La fois ou j'ai baiser une Rom mendiante a Paris
SuppriméLe 20 octobre 2020 à 18:23:47 dakko41 a écrit :
Le 20 octobre 2020 à 18:23:30 Chamatou a écrit :
C'est nofake heinDeja ya plein de roms de base qui se prostitue la je sai pas elle voulait son coup la meuf
Elle voulait surtout un gosse
C'est pas comme ca khey
Tfacon je fule et boit mes sperme doivent etre ramolo
Le 20 octobre 2020 à 18:10:15 Chamatou a écrit :
Croyez le ou non c'est 100%nofakeIl etait genre 21h c'etait la nuit y'avait une vieille rom elle faisait la manche et elle se baladait avec son faux papier d'asso pour les handicapés
Et je sais pas ce qui lui a pris elle est venu vers moi et sans attendre elle m'a dit "tu veux baiser"
Au debut jpensai qu'elle voulait que jla paye pour, logique
Donc pour rire (enfin a moitie) jlui ai dit "jai pa dargent "
Elle ma dit : "non gratuit je te suce et tu baise moi"Jen croyais pas mes oreille jpensais qu'elle se foutai de moi
Jme sui dit ni'e sa mere on vit qu'une foi (javai pa de capote rien et c'etai un rom de genre 18 ans surement deja mere de 2 enfant et porteuse du typhus)
Le 20 octobre 2020 à 18:25:00 fleodu13 a écrit :
Le 20 octobre 2020 à 18:10:15 Chamatou a écrit :
Croyez le ou non c'est 100%nofakeIl etait genre 21h c'etait la nuit y'avait une vieille rom elle faisait la manche et elle se baladait avec son faux papier d'asso pour les handicapés
Et je sais pas ce qui lui a pris elle est venu vers moi et sans attendre elle m'a dit "tu veux baiser"
Au debut jpensai qu'elle voulait que jla paye pour, logique
Donc pour rire (enfin a moitie) jlui ai dit "jai pa dargent "
Elle ma dit : "non gratuit je te suce et tu baise moi"Jen croyais pas mes oreille jpensais qu'elle se foutai de moi
Jme sui dit ni'e sa mere on vit qu'une foi (javai pa de capote rien et c'etai un rom de genre 18 ans surement deja mere de 2 enfant et porteuse du typhus)
On est aller dans un coin sombre pas trop frequenter vers les tuileries et jlui ai mis son tarif elle sucer super bien bordelCa va quan je lai pris en leuleu elle puait pas trop
Sinon c'etait une 7/10 bons seins bon cul pas trop crade elle avait des cheveux teint en rouge bien lisses
Bref ca a pas durer longtemps c'etait vrialent un pti coup ca a du durer genre moins de 10 min en tout
Je lui ai cracher dans la chatte puis a la fin jme sui dit "bordel tu vien de fair quoi la"
Jme sui refroque jlui ai dit "vasy jme casse" elle ma dit "au revoir cochon"
Et fin jui rentrer chez moi jme sentai hyper crade jai plus rien fait dans le mois qui a suivi meme pas une fap
Et c'es nofake
Viel
Ille rom dans le sens ou c'est un rom lambda en mode chlag qui fait ses ptite magouille d'escro
C'est comme si tu di "une vieille meuf"
Le 20 octobre 2020 à 18:25:17 PoneyCornu a écrit :
21H en juin, la nuit... Putain bossez vos fake -_-' c'est du travail d'amateur
Le soir en gros
Le soleil se couchait
On en parle des fautes ? Je suis pas très regardant mais la bordel
Bonus : Sombre illettré impénitent, apprends à écrire ! Pourquoi une telle inappétence linguistique ? Pourquoi ne fournis-tu pas le moindre effort pour surmonter tes exorbitantes, malséantes et incommodantes lacunes orthographiques, et du même coup obvier aux ténèbres idiolectales en lesquelles tu te meus ? Est-ce lié à une déficience d'instruction ? À une nature indiciblement cossarde ? Tu m'atterres suprêmement. As-tu conscience de porter la déliquescence à son paroxysme ? Tu avilis la société. Tous ceux qui, à l'instar de ta fangeuse personne, sont inaptes à la graphie congruente à leur moyen d'expression participent de l'alarmant, patent, endémique et incoercible nivellement. Honnêtement, ton orthographe défaillante ne te lèse-t-elle pas dans la vie quotidienne ? ne s'en gausse-t-on jamais ? C'est un indubitable handicap, dont tu t'enorgueillis ; cela me révulse. Tu te vautres dans un ostensible illettrisme. Voilà qui est affligeant.
Peut-être eût-il été envisageable d'engager un dialogue construit et pondéré, mais avec un niveau aussi bas, tu dois compter parmi ces béotiens qui deviennent furibonds dès que l'on a l'outrecuidance de remettre en cause leur « personnalité orthographique », leur droit inaliénable à ne pas savoir conjuguer, leur sacro-sainte liberté de malmener la langue française, et c'est désolant. Un peu de calme, de recul et d'échange posé et consciencieux sans immédiatement percevoir comme pédantes et amphigouriques objurgations ce qui n'est qu'humbles recommandations relèvent sans doute de l'utopie. Aujourd'hui, le progrès est vu comme dégénérescence, la liberté comme ostracisme.
On peut, sans aboutir à une hâblerie, faire état d'analphabétisme. Tu pourras objecter que tu te fais approximativement entendre – quoique tes propos puissent paraître nébuleux en raison des multiples impropriétés qui parsèment tes phrases –, mais je n'ai cure de la clairvoyance : je fais ici allusion au respect des règles basales et irréfragables de la langue française, qui est le fondement de la déférence vis-à-vis de ses interlocuteurs. Être mauvais en orthographe n'est pas une tare définitive et incorrigible, mais excusable, c'est un état foncièrement funeste qui dénote une certaine confusion interne de l'esprit. Quand on est incapable d'écrire convenablement et de bâtir des phrases correctes, c'est qu'on ignore le fonctionnement global des mots qu'on emploie, et dans une moindre mesure cela engendre des entraves au cheminement de la réflexion et à la formulation des idées qui en découlent, formant ainsi des angles morts dans la pensée. Souviens-toi que l'on pense à travers les mots, et que l'égalitarisme cosmopolite qui escamote de plus en plus la place de l'orthographe pour ne pas mortifier nos pauvres écoliers incapables de manier leur propre langue ne suffit pas à oblitérer ou à atténuer la portée des faits. La novlangue symbolise l'aboutissement la désintégration de la langue. Le principe est limpide : plus on restreint le nombre de mots d'une langue, plus on limite le nombre de concepts avec lesquels les gens peuvent méditer, plus les finesses du langage s'amenuisent, moins la population se montre prompte à la concaténation, plus elle raisonne à l'affect. La maîtrise défaillante de la langue rend les individus nigauds, obtus, dépendants, apathiques, acrimonieux, les conduit à l'ilotisme, les réduit à la déréliction, les condamne à la turpitude.
En conséquence, je t'engage à travailler ardemment ton français et à inviter toutes tes connaissances affichant les mêmes faiblesses désarçonnâtes que les tiennes à en faire de même : la nécessité d'exhorter à ce type d'initiative philologique m'apparaît comme essentielle à une époque télématique où la concision de certaines contributions n'a d'égale que la fantaisie de leur expression. Je serais chagriné que tu perçusses mon anathème comme une estocade caustique procédant de la circonspection à laquelle je m'astreins invariablement, laquelle me confère la faculté d'accéder à une harmonie idéale avec mon inconscient et ipso facto, à ne pas perpétuer de révoltantes inexactitudes linguistiques telles que les tiennes, mais sans qu'il s'agisse nécessairement de s'imposer la méticulosité qui doit être la nôtre lorsqu'il est question de calligraphier sur un palimpseste, permets-moi toutefois d'épancher les affres qui sont les miennes à mesure que, profitant de l'ubiquité permise dans la sphère virtuelle, je constate l'hécatombe que font subir une pléthore de faquins iconoclastes à notre mirifique idiome. Et pour n'en citer que quelques aspects, je t'invite à remarquer l'absence des signes diacritiques. Pis encore lorsque, involontairement ou consciemment, certains vont jusqu'à verser dans la polysyndète ou bien encore l'anacoluthe, phénomène qui t'inclut certainement et qui, partant, motive amplement le parachèvement de ma philippique.
Et c'est en toute conscience que je déclare avec conviction que les circonstances qui nous échoient obligent à la prise en compte encore plus effective d'une valorisation sans concession de notre moyen d'expression principal : les mots ! Et j'ose espérer que ce n'est pas toi, mon cher compatriote, qui rompras en visière si j'affirme solennellement que l'aspiration plus que légitime de tout un chacun au progrès expressif entraîne un apostolat somme toute des plus exaltants pour moi : l'élaboration d'un projet porteur de véritables promesses linguistiques, notamment pour les plus démunis. Dès lors, sache que je guerroierai pour faire admettre que la conjoncture actuelle doit tenir compte des préoccupations de tous ceux qui vilipendent le SMS sans pour autant prêter considération aux bonimenteurs qui font dans le superfétatoire à l'occasion de propagandes parfaitement inopérantes. L'essor des clavardages atteste de leur stérilité. Avec plus d'attention, plus de rigueur, nous pourrons atteindre l'apex de la clarté, de sorte in fine que les incompréhensions s'étioleront pour que plus rien ne vienne entacher notre insatiabilité communicative. L'impéritie n'est pas une fatalité ! Et considère qu'il s'agit là de prolégomènes à une action déterminée.
Le 20 octobre 2020 à 18:26:15 FamosoPep a écrit :
Le 20 octobre 2020 à 18:25:00 fleodu13 a écrit :
Le 20 octobre 2020 à 18:10:15 Chamatou a écrit :
Croyez le ou non c'est 100%nofakeIl etait genre 21h c'etait la nuit y'avait une vieille rom elle faisait la manche et elle se baladait avec son faux papier d'asso pour les handicapés
Et je sais pas ce qui lui a pris elle est venu vers moi et sans attendre elle m'a dit "tu veux baiser"
Au debut jpensai qu'elle voulait que jla paye pour, logique
Donc pour rire (enfin a moitie) jlui ai dit "jai pa dargent "
Elle ma dit : "non gratuit je te suce et tu baise moi"Jen croyais pas mes oreille jpensais qu'elle se foutai de moi
Jme sui dit ni'e sa mere on vit qu'une foi (javai pa de capote rien et c'etai un rom de genre 18 ans surement deja mere de 2 enfant et porteuse du typhus)
Topic clos
Je pense qu'il voulait dire une sale rom
Données du topic
- Auteur
- Chamatou
- Date de création
- 20 octobre 2020 à 18:10:15
- Date de suppression
- 6 janvier 2024 à 10:37:00
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