Guillaume Apollinaire on en parle de ce sale pédo ?

Encore un passage pédo avec de la torture

Quand tous les soldats eurent enculé le prisonnier, Mony dit quelques mots à l’oreille de Cornabœux qui était encore béat de la plume qu’on venait de lui tailler.

Cornabœux alla jusqu’au bordel et en revint bientôt accompagné de la jeune putain Japonaise Kilyému, qui se demandait ce qu’on lui voulait.

Elle aperçut tout à coup Egon que l’on venait de ficher, bâillonné sur le pal de fer. Il se contorsionnait et la pique lui pénétrait petit à petit dans le fondement. Sa pine par devant bandait à se rompre.

Mony désigna Kilyému aux soldats et la pauvre petite femme regardait son amant empalé avec des yeux où la terreur, l’amour et la compassion se mêlaient en une désolation suprême. Les soldats la mirent nue et hissèrent son pauvre petit corps d’oiseau sur celui de l’empalé.

Ils écartèrent les jambes de la malheureuse et le vit gonflé qu’elle avait tant désiré, la pénétra encore.

La pauvre petite âme simple ne comprenait pas cette barbarie, mais le vit qui la remplissait, l’excitait trop à la volupté. Elle devint comme folle et s’agitait faisant descendre petit à petit le corps de son amant le long du pal. Il déchargea en expirant.

C’était un étrange étendard que celui formé par cet homme bâillonné et cette femme qui s’agitait sur lui, bouche tordue !… Un sang sombre formait une mare au pied du pal.

— Soldats, saluez ceux qui meurent, cria Mony et s’adressant à Kilyému : J’ai rempli tes souhaits !… En ce moment les cerisiers sont en fleurs au Japon, des amants s’égarent dans la neige rose des pétales qui feuillolent !

Remarquez le culot du dernier dialogue
Si j'étais roumain j'enragerai

Le 12 août 2020 à 20:39:07 dehorslesfacho2 a écrit :
Saw ne parle pas de pedophilie.

C'est pas le sujet de l'oeuvre d’Apollinaire non plus !

Le 12 août 2020 à 20:38:03 dehorslesfacho2 a écrit :
Une sensibilité à la pédophilie oui, immonde.

Évidemment, étant opposé à la pédophilie, je trouve ça choquant de lire ça, ça me perturbe. Et c'est ça qui fait l'intérêt de la lecture.

Le 12 août 2020 à 20:38:30 pycckumagboog a écrit :
Remarquons avec quel dévouement les 2 tarés du topic défendent ces immondices.
On remarquera que ce sont les 2 a utilisé des stickers personnalisés C’est une COÏNCIDENCE.

Un problème ?

Le 12 août 2020 à 20:38:30 pycckumagboog a écrit :
Remarquons avec quel dévouement les 2 tarés du topic défendent ces immondices.
On remarquera que ce sont les 2 a utilisé des stickers personnalisés C’est une COÏNCIDENCE.

Oui, encore un qui isole 4 mots dans un bouquin de 400 pages et qui se sent PERTINENT pour parler LITTÉRATURE ! et s’énerve tout seul quand l'auditoire ne veut pas se plier à son délire complotiste !

Le 12 août 2020 à 20:39:21 Takris a écrit :
Encore un passage pédo avec de la torture

Quand tous les soldats eurent enculé le prisonnier, Mony dit quelques mots à l’oreille de Cornabœux qui était encore béat de la plume qu’on venait de lui tailler.

Cornabœux alla jusqu’au bordel et en revint bientôt accompagné de la jeune putain Japonaise Kilyému, qui se demandait ce qu’on lui voulait.

Elle aperçut tout à coup Egon que l’on venait de ficher, bâillonné sur le pal de fer. Il se contorsionnait et la pique lui pénétrait petit à petit dans le fondement. Sa pine par devant bandait à se rompre.

Mony désigna Kilyému aux soldats et la pauvre petite femme regardait son amant empalé avec des yeux où la terreur, l’amour et la compassion se mêlaient en une désolation suprême. Les soldats la mirent nue et hissèrent son pauvre petit corps d’oiseau sur celui de l’empalé.

Ils écartèrent les jambes de la malheureuse et le vit gonflé qu’elle avait tant désiré, la pénétra encore.

La pauvre petite âme simple ne comprenait pas cette barbarie, mais le vit qui la remplissait, l’excitait trop à la volupté. Elle devint comme folle et s’agitait faisant descendre petit à petit le corps de son amant le long du pal. Il déchargea en expirant.

C’était un étrange étendard que celui formé par cet homme bâillonné et cette femme qui s’agitait sur lui, bouche tordue !… Un sang sombre formait une mare au pied du pal.

— Soldats, saluez ceux qui meurent, cria Mony et s’adressant à Kilyému : J’ai rempli tes souhaits !… En ce moment les cerisiers sont en fleurs au Japon, des amants s’égarent dans la neige rose des pétales qui feuillolent !

Remarquez le culot du dernier dialogue
Si j'étais roumain j'enragerai

Bordel mais c'est tellement puissant. Merci du partage.

Le 12 août 2020 à 20:40:33 MagicienDeter22 a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:38:03 dehorslesfacho2 a écrit :
Une sensibilité à la pédophilie oui, immonde.

Évidemment, étant opposé à la pédophilie, je trouve ça choquant de lire ça, ça me perturbe. Et c'est ça qui fait l'intérêt de la lecture.

Le 12 août 2020 à 20:38:30 pycckumagboog a écrit :
Remarquons avec quel dévouement les 2 tarés du topic défendent ces immondices.
On remarquera que ce sont les 2 a utilisé des stickers personnalisés C’est une COÏNCIDENCE.

Un problème ?

T'es le genre de gars à t'arrêter devant un crachat dans la rue toi

Le 12 août 2020 à 20:42:11 Takris a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:40:33 MagicienDeter22 a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:38:03 dehorslesfacho2 a écrit :
Une sensibilité à la pédophilie oui, immonde.

Évidemment, étant opposé à la pédophilie, je trouve ça choquant de lire ça, ça me perturbe. Et c'est ça qui fait l'intérêt de la lecture.

Le 12 août 2020 à 20:38:30 pycckumagboog a écrit :
Remarquons avec quel dévouement les 2 tarés du topic défendent ces immondices.
On remarquera que ce sont les 2 a utilisé des stickers personnalisés C’est une COÏNCIDENCE.

Un problème ?

T'es le genre de gars à t'arrêter devant un crachat dans la rue toi

Comment ça ?

Le 12 août 2020 à 20:33:31 Takris a écrit :
Encore un passage pédo

Un Anglais de Yokohama me recueillit. Il sentait le cadavre comme tous les Européens, et longtemps je ne pus me faire à cette odeur. Aussi le suppliais-je de m’enculer pour ne pas voir devant moi sa face bestiale à favoris roux. Pourtant à la fin je m’habituai à lui et, comme il était sous ma domination, je le forçais à me lécher la vulve jusqu’à ce que sa langue, prise de crampe, ne pût plus remuer.

Une amie dont j’avais fait connaissance à Tokyo et que j’aimais à la folie venait me consoler.

Elle était jolie comme le printemps et il semblait que deux abeilles étaient toujours posées sur la pointe de ses seins. Nous nous satisfaisions avec un morceau de marbre jaune taillé par les deux bouts en forme de vit. Nous étions insatiables et, dans les bras l’une de l’autre, éperdues, écumantes et hurlantes, nous nous agitions furieusement comme deux chiens qui veulent ronger le même os.

L’Anglais un jour devint fou, il se croyait le Shogun et voulait enculer le Mikado.

On l’emmena et je fis la putain en compagnie de mon amie jusqu’au jour où je devins amoureuse d’un Allemand, grand, fort, imberbe, qui avait un grand vit inépuisable. Il me battait et je l’embrassais en pleurant. À la fin, rouée de coups, il me faisait l’aumône de son vit et je jouissais comme une possédée en l’étreignant de toutes mes forces.

Un jour nous prîmes le bateau, il m’emmena à Shangaï et me vendit à une maquerelle. Puis il s’en alla, mon bel Egon, sans tourner la tête, me laissant désespérée, avec les femmes du bordel qui riaient de moi. Elles m’apprirent bien le métier, mais lorsque j’aurai beaucoup d’argent je m’en irai, en honnête femme, par le monde pour trouver mon Egon, sentir encore une fois son membre dans ma vulve et mourir en pensant aux arbres roses du Japon.

La petite Japonaise, droite et sérieuse, s’en alla comme une ombre, laissant Mony, les larmes aux yeux, réfléchir à la fragilité des passions humaines.

Putain la conclusion il a aucune honte

Ce passage c'est flagrant que c'est juste exagéré à en devenir drôle.

Une oeuvre n'est pas forcément censé représenter la réalité,elle peut être purement fictionnel,c'est justement le fondement de la littérature.
Je suis d'accord sur le fait que ce livre n'est pas forcément très sain mais ça reste totalement fictionnel donc a quel moment il est pédophilie en écrivant ça .

Si on suit ton raisonnement Nabokov est pédophile aussi vu qu'il a rédigé Lolita,bref on en a pas fini avec ce genre de raisonnement ...

Le 12 août 2020 à 20:39:07 dehorslesfacho2 a écrit :
Saw ne parle pas de pedophilie.

Ouais donc le problème c'est juste que ça parle de pédophilie.

Comme quoi même en 2020 y a des sujets qui choquent rien qu'à leur évocation

Le 12 août 2020 à 20:42:38 MagicienDeter22 a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:42:11 Takris a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:40:33 MagicienDeter22 a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:38:03 dehorslesfacho2 a écrit :
Une sensibilité à la pédophilie oui, immonde.

Évidemment, étant opposé à la pédophilie, je trouve ça choquant de lire ça, ça me perturbe. Et c'est ça qui fait l'intérêt de la lecture.

Le 12 août 2020 à 20:38:30 pycckumagboog a écrit :
Remarquons avec quel dévouement les 2 tarés du topic défendent ces immondices.
On remarquera que ce sont les 2 a utilisé des stickers personnalisés C’est une COÏNCIDENCE.

Un problème ?

T'es le genre de gars à t'arrêter devant un crachat dans la rue toi

Comment ça ?

Des ordures sont des ordures. Moi quand je vois un crachat j'admire pas le toupet de l'accusé. Je le méprise. C'est la même chose avec ce livre.

Le 12 août 2020 à 20:44:13 CasqueAdrian a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:33:31 Takris a écrit :
Encore un passage pédo

Un Anglais de Yokohama me recueillit. Il sentait le cadavre comme tous les Européens, et longtemps je ne pus me faire à cette odeur. Aussi le suppliais-je de m’enculer pour ne pas voir devant moi sa face bestiale à favoris roux. Pourtant à la fin je m’habituai à lui et, comme il était sous ma domination, je le forçais à me lécher la vulve jusqu’à ce que sa langue, prise de crampe, ne pût plus remuer.

Une amie dont j’avais fait connaissance à Tokyo et que j’aimais à la folie venait me consoler.

Elle était jolie comme le printemps et il semblait que deux abeilles étaient toujours posées sur la pointe de ses seins. Nous nous satisfaisions avec un morceau de marbre jaune taillé par les deux bouts en forme de vit. Nous étions insatiables et, dans les bras l’une de l’autre, éperdues, écumantes et hurlantes, nous nous agitions furieusement comme deux chiens qui veulent ronger le même os.

L’Anglais un jour devint fou, il se croyait le Shogun et voulait enculer le Mikado.

On l’emmena et je fis la putain en compagnie de mon amie jusqu’au jour où je devins amoureuse d’un Allemand, grand, fort, imberbe, qui avait un grand vit inépuisable. Il me battait et je l’embrassais en pleurant. À la fin, rouée de coups, il me faisait l’aumône de son vit et je jouissais comme une possédée en l’étreignant de toutes mes forces.

Un jour nous prîmes le bateau, il m’emmena à Shangaï et me vendit à une maquerelle. Puis il s’en alla, mon bel Egon, sans tourner la tête, me laissant désespérée, avec les femmes du bordel qui riaient de moi. Elles m’apprirent bien le métier, mais lorsque j’aurai beaucoup d’argent je m’en irai, en honnête femme, par le monde pour trouver mon Egon, sentir encore une fois son membre dans ma vulve et mourir en pensant aux arbres roses du Japon.

La petite Japonaise, droite et sérieuse, s’en alla comme une ombre, laissant Mony, les larmes aux yeux, réfléchir à la fragilité des passions humaines.

Putain la conclusion il a aucune honte

Ce passage c'est flagrant que c'est juste exagéré à en devenir drôle.

Tellement. Mais "gne gne pédo pas bien"

Évidemment que c'est mal la pédophilie, mais l'art c'est autre chose encore.

Le 12 août 2020 à 20:44:44 GiniPiggu9 a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:39:07 dehorslesfacho2 a écrit :
Saw ne parle pas de pedophilie.

Ouais donc le problème c'est juste que ça parle de pédophilie.

Comme quoi même en 2020 y a des sujets qui choquent rien qu'à leur évocation

T'aimerais que ça soit pas le cas, hein ?

Le 12 août 2020 à 20:44:44 GiniPiggu9 a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:39:07 dehorslesfacho2 a écrit :
Saw ne parle pas de pedophilie.

Ouais donc le problème c'est juste que ça parle de pédophilie.

Comme quoi même en 2020 y a des sujets qui choquent rien qu'à leur évocation

Oui, on appelle ça un tabou, et justement c'est plutôt une bonne chose d'en parler !

Le 12 août 2020 à 20:45:12 MagicienDeter22 a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:44:13 CasqueAdrian a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:33:31 Takris a écrit :
Encore un passage pédo

Un Anglais de Yokohama me recueillit. Il sentait le cadavre comme tous les Européens, et longtemps je ne pus me faire à cette odeur. Aussi le suppliais-je de m’enculer pour ne pas voir devant moi sa face bestiale à favoris roux. Pourtant à la fin je m’habituai à lui et, comme il était sous ma domination, je le forçais à me lécher la vulve jusqu’à ce que sa langue, prise de crampe, ne pût plus remuer.

Une amie dont j’avais fait connaissance à Tokyo et que j’aimais à la folie venait me consoler.

Elle était jolie comme le printemps et il semblait que deux abeilles étaient toujours posées sur la pointe de ses seins. Nous nous satisfaisions avec un morceau de marbre jaune taillé par les deux bouts en forme de vit. Nous étions insatiables et, dans les bras l’une de l’autre, éperdues, écumantes et hurlantes, nous nous agitions furieusement comme deux chiens qui veulent ronger le même os.

L’Anglais un jour devint fou, il se croyait le Shogun et voulait enculer le Mikado.

On l’emmena et je fis la putain en compagnie de mon amie jusqu’au jour où je devins amoureuse d’un Allemand, grand, fort, imberbe, qui avait un grand vit inépuisable. Il me battait et je l’embrassais en pleurant. À la fin, rouée de coups, il me faisait l’aumône de son vit et je jouissais comme une possédée en l’étreignant de toutes mes forces.

Un jour nous prîmes le bateau, il m’emmena à Shangaï et me vendit à une maquerelle. Puis il s’en alla, mon bel Egon, sans tourner la tête, me laissant désespérée, avec les femmes du bordel qui riaient de moi. Elles m’apprirent bien le métier, mais lorsque j’aurai beaucoup d’argent je m’en irai, en honnête femme, par le monde pour trouver mon Egon, sentir encore une fois son membre dans ma vulve et mourir en pensant aux arbres roses du Japon.

La petite Japonaise, droite et sérieuse, s’en alla comme une ombre, laissant Mony, les larmes aux yeux, réfléchir à la fragilité des passions humaines.

Putain la conclusion il a aucune honte

Ce passage c'est flagrant que c'est juste exagéré à en devenir drôle.

Tellement. Mais "gne gne pédo pas bien"

Évidemment que c'est mal la pédophilie, mais l'art c'est autre chose encore.

Donne-moi la définition de l'art, qu'on rigole ?

Le 12 août 2020 à 20:44:58 Takris a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:42:38 MagicienDeter22 a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:42:11 Takris a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:40:33 MagicienDeter22 a écrit :

Le 12 août 2020 à 20:38:03 dehorslesfacho2 a écrit :
Une sensibilité à la pédophilie oui, immonde.

Évidemment, étant opposé à la pédophilie, je trouve ça choquant de lire ça, ça me perturbe. Et c'est ça qui fait l'intérêt de la lecture.

Le 12 août 2020 à 20:38:30 pycckumagboog a écrit :
Remarquons avec quel dévouement les 2 tarés du topic défendent ces immondices.
On remarquera que ce sont les 2 a utilisé des stickers personnalisés C’est une COÏNCIDENCE.

Un problème ?

T'es le genre de gars à t'arrêter devant un crachat dans la rue toi

Comment ça ?

Des ordures sont des ordures. Moi quand je vois un crachat j'admire pas le toupet de l'accusé. Je le méprise. C'est la même chose avec ce livre.

Sauf qu'Appolinaire n'est pas pédo apriori, donc il n'est coupable de rien en vérité.

Si demain je décrivais une scène de pillage dans un livre, où les hommes se font tuer et les femmes violer, ça fait de moi un assassin violeur ?