Topic de Takris :

Guillaume Apollinaire on en parle de ce sale pédo ?

Je suis en train de lire son livre Les 10 000 Vierges, je suis choqué il a pas honte ? Regardez moi ces extraits bon sang :

Le général Mounine, pendant ce temps, avait fait entrer un petit garçon chinois, tout mignon et apeuré. Ses yeux bridés clignotaient tournés vers le couple en amour. Le général le déshabilla et lui suça sa quéquette grosse à peine comme un jujube. Il le tourna ensuite et fessa son petit cul maigre et jaune. Il saisit son grand sabre et le plaça près de lui. Puis il encula le petit garçon qui devait connaître cette manière de civiliser la Mandchourie, car il agitait d’une façon expérimentée son petit corps de lope céleste.

Le général disait : – Jouis bien, mon Haïdyn, je vais jouir aussi.

Et sa pine sortait presque entière du corps de l’enfant chinois pour y rentrer prestement. Lorsqu’il en fut à la jouissance, il prit le sabre et, les dents serrées, sans arrêter le culetage, trancha la tête du petit Chinois dont les derniers spasmes lui procurèrent une grande jouissance tandis que le sang jaillissait de son cou comme l’eau d’une fontaine.

Je viens de lire Wiki aussi, il a même un prix littéraire à son nom. C'est une blague ?

Le jour de l’exécution arriva, le prince Vibescu se confessa, communia, fit son testament et écrivit à ses parents. Ensuite on fit entrer dans sa prison une petite fille de douze ans. Il en fut étonné, mais voyant qu’on le laissait seul, il commença à la peloter. Elle était charmante et lui dit en roumain qu’elle était de Bucarest et avait été prise par les Japonais sur les derrières de l’armée russe où ses parents étaient mercantis. On lui avait demandé si elle voulait être dépucelée par un condamné à mort roumain et elle avait accepté.

Mony lui releva les jupes et lui suça son petit con rebondi où il n’y avait pas encore de poil, puis il la fessa doucement pendant qu’elle le branlait. Ensuite il mit la tête de son vit entre les jambes enfantines de la petite Roumaine, mais il ne pouvait entrer. Elle le secondait de tous ses efforts, donnant des coups de cul et offrant à baiser au prince ses petits seins ronds comme des mandarines. Il entra en fureur érotique et son vit pénétra enfin dans la petite fille, ravageant enfin ce pucelage, faisant couler le sang innocent.

Alors Mony se releva et, comme il n’avait plus rien à espérer de la justice humaine, il étrangla la petite fille après lui avoir crevé les yeux, tandis qu’elle poussait des cris épouvantables.

Dire que Sade a été en prison pour moins que ça :) :) :)

Avec sa poésie de dégénéré là :)
Tout va bien :)

Il releva ses jupes et découvrit un cul merveilleux dont les fesses étaient tellement serrées qu’elles semblaient avoir juré de ne jamais se séparer.

Putain de dégénéré :)

Pas pour rien qu'il est l'idole des élites :)

Ensuite, ils se rajustèrent et l’on apporta un beau jeune homme dont les bras et les jambes avaient été emportés par la mitraille. Ce tronc humain possédait encore un beau membre dont la fermeté était idéale. L’ambulancière, aussitôt qu’elle fut seule avec Mony, s’assit sur la pine du tronc qui râlait et pendant cette chevauchée échevelée, suça la pine de Mony qui déchargea bientôt comme un carme. L’homme-tronc n’était pas mort ; il saignait abondamment par les moignons des quatre membres. La goule lui téta le vit et le fit mourir sous l’horrible caresse.

:) :) :)

Toi < le progrès
Dommage l’OP :)

"Les 10 000 Vierges"

Tu sais même pas lire le titre d'une œuvre ?

Le titre c'est pas les 11 000 vierges, plutôt ?

Le parcours du héros est ponctué de scènes notablement crues, où Apollinaire explore toutes les paraphilies de la sexualité avec une volonté évidente d'éclectisme : le sadisme alterne avec le masochisme, la zoophilie avec l'ondinisme, la scatophilie avec le vampirisme, la pédophilie avec la gérontophilie et la nécrophilie, l'onanisme avec les orgies, le saphisme avec la pédérastie… L'écriture est alerte, l'humour (noir au besoin) constamment présent, et l'ensemble du roman dégage une impression de « joie infernale », qui trouve son apothéose dans la scène finale
https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Onze_Mille_Verges

Bref, c'est un roman, pas un essai...

Le 12 août 2020 à 19:35:48 roadtoalpha a écrit :
Toi < le progrès
Dommage l’OP :)

:) :) :)

Le 12 août 2020 à 19:37:55 Guignolesque a écrit :
Le titre c'est pas les 11 000 vierges, plutôt ?

Le parcours du héros est ponctué de scènes notablement crues, où Apollinaire explore toutes les paraphilies de la sexualité avec une volonté évidente d'éclectisme : le sadisme alterne avec le masochisme, la zoophilie avec l'ondinisme, la scatophilie avec le vampirisme, la pédophilie avec la gérontophilie et la nécrophilie, l'onanisme avec les orgies, le saphisme avec la pédérastie… L'écriture est alerte, l'humour (noir au besoin) constamment présent, et l'ensemble du roman dégage une impression de « joie infernale », qui trouve son apothéose dans la scène finale
https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Onze_Mille_Verges

Bref, c'est un roman, pas un essai...

Oui et bientôt le lolicon ce n'est que des dessins :)

Sade c’est sacré, c’est le divin marquis. Apollinaire c’est le bouffon génie, et il fait là une bouffonnerie. Sade écrit son essence, sa raison d’être, son entité quand Apollinaire voulait faire un truc rigolo à l’époque. Le génie d’écriture est plus chez Apollinaire que chez Sade. Mais Sade a un message à porter, qu’il veut porter de façon aussi sacrée et dogmatique que ce qu’il dénonce en face : le dogme chrétien, ecclésiastique. Alors que pour Apollinaire, la vie doit être une grande bouffonnerie parsemée d’orgies. Le problème de l’obscurantisme ne préoccupe pas Apollinaire.

L'horreur prend en effet rapidement une tournure ridicule, et l'écriture affublée de l'humour d'Apollinaire parvient à circonscrire l'infamie des actes contés. "'Les Onze Mille Verges' se situe entre Rabelais et Sade, précise Alexandre Dupouy. Peut-être même plus Rabelais que Sade, finalement. On est plus proche du journal Hara Kiri que d'un texte sensuel
https://www.franceculture.fr/litterature/les-onze-milles-verges-dapollinaire-pire-que-sade

Encore un autre passage. Décidemment il aime beaucoup les enfants :)

Pendant ce temps, le Danois, mari de la muette, s’était aperçu de sa disparition, car la petite fille réclamait le sein de sa mère. Il prit le nourrisson dans ses bras et fut à la recherche de sa femme. Un soldat lui indiqua la tente où elle était, mais sans lui dire ce qu’elle y faisait. Fou de jalousie, le Danois se précipita, souleva la toile et pénétra dans la tente. Le spectacle était peu banal : sa femme ensanglantée et nue en compagnie d’un Tatar ensanglanté et nu fouettait un jeune homme. Le knout était par terre, le Danois posa son enfant sur le sol, prit le knout et en frappa de toutes ses forces sa femme et le Tatar qui tombèrent sur le sol en criant de douleur.

ous les coups, le membre de Mony s’était redressé, il bandait, contemplant cette scène conjugale. Le petite fille criait sur le sol. Mony s’en saisit et la démaillotant, embrassa son petit cul rose et sa petite fente grasse et glabre, puis l’appliquant sur son vit et lui fermant la bouche d’une main, il la viola ; son membre déchira les chairs enfantines. Mony ne fut pas long à jouir. Il déchargeait lorsque le père et la mère, s’apercevant trop tard de ce crime, se précipitèrent sur lui.

:) :) :)

J’ai du mal à terminer, c’est complètement abject. Les descriptions sont bien trop explicites pour que ça soit autre chose que les déviances d’un taré. Quel dommage, sa poésie est pourtant sublime.

Le 12 août 2020 à 19:37:55 Guignolesque a écrit :
Le titre c'est pas les 11 000 vierges, plutôt ?

Le parcours du héros est ponctué de scènes notablement crues, où Apollinaire explore toutes les paraphilies de la sexualité avec une volonté évidente d'éclectisme : le sadisme alterne avec le masochisme, la zoophilie avec l'ondinisme, la scatophilie avec le vampirisme, la pédophilie avec la gérontophilie et la nécrophilie, l'onanisme avec les orgies, le saphisme avec la pédérastie… L'écriture est alerte, l'humour (noir au besoin) constamment présent, et l'ensemble du roman dégage une impression de « joie infernale », qui trouve son apothéose dans la scène finale
https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Onze_Mille_Verges

Bref, c'est un roman, pas un essai...

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/18/4/1556817322-satanerie.png

Le 12 août 2020 à 19:41:05 FrankOceanLens a écrit :
J’ai du mal à terminer, c’est complètement abject. Les descriptions sont bien trop explicites pour que ça soit autre chose que les déviances d’un taré. Quel dommage, sa poésie est pourtant sublime.

C'est un fou furieux. une fois passé Paris c'est infernal à lire :)

Le 12 août 2020 à 19:31:36 Takris a écrit :

Le jour de l’exécution arriva, le prince Vibescu se confessa, communia, fit son testament et écrivit à ses parents. Ensuite on fit entrer dans sa prison une petite fille de douze ans. Il en fut étonné, mais voyant qu’on le laissait seul, il commença à la peloter. Elle était charmante et lui dit en roumain qu’elle était de Bucarest et avait été prise par les Japonais sur les derrières de l’armée russe où ses parents étaient mercantis. On lui avait demandé si elle voulait être dépucelée par un condamné à mort roumain et elle avait accepté.

Mony lui releva les jupes et lui suça son petit con rebondi où il n’y avait pas encore de poil, puis il la fessa doucement pendant qu’elle le branlait. Ensuite il mit la tête de son vit entre les jambes enfantines de la petite Roumaine, mais il ne pouvait entrer. Elle le secondait de tous ses efforts, donnant des coups de cul et offrant à baiser au prince ses petits seins ronds comme des mandarines. Il entra en fureur érotique et son vit pénétra enfin dans la petite fille, ravageant enfin ce pucelage, faisant couler le sang innocent.

Alors Mony se releva et, comme il n’avait plus rien à espérer de la justice humaine, il étrangla la petite fille après lui avoir crevé les yeux, tandis qu’elle poussait des cris épouvantables.

Dire que Sade a été en prison pour moins que ça :) :) :)

Bof, pas pour moins que ca, non

Le 12 août 2020 à 19:39:25 Guignolesque a écrit :
Sade c’est sacré, c’est le divin marquis. Apollinaire c’est le bouffon génie, et il fait là une bouffonnerie. Sade écrit son essence, sa raison d’être, son entité quand Apollinaire voulait faire un truc rigolo à l’époque. Le génie d’écriture est plus chez Apollinaire que chez Sade. Mais Sade a un message à porter, qu’il veut porter de façon aussi sacrée et dogmatique que ce qu’il dénonce en face : le dogme chrétien, ecclésiastique. Alors que pour Apollinaire, la vie doit être une grande bouffonnerie parsemée d’orgies. Le problème de l’obscurantisme ne préoccupe pas Apollinaire.

L'horreur prend en effet rapidement une tournure ridicule, et l'écriture affublée de l'humour d'Apollinaire parvient à circonscrire l'infamie des actes contés. "'Les Onze Mille Verges' se situe entre Rabelais et Sade, précise Alexandre Dupouy. Peut-être même plus Rabelais que Sade, finalement. On est plus proche du journal Hara Kiri que d'un texte sensuel
https://www.franceculture.fr/litterature/les-onze-milles-verges-dapollinaire-pire-que-sade

On se rassure comme on peut :)
"hihihi on crève les yeux d'une gamine c'est rigolo" :)

Le 12 août 2020 à 19:32:05 Takris a écrit :
Avec sa poésie de dégénéré là :)
Tout va bien :)

Mais non avec les mots ils dessinaient des formes :)
Cest de lart :)

Le 12 août 2020 à 19:44:29 Takris a écrit :

Le 12 août 2020 à 19:39:25 Guignolesque a écrit :
Sade c’est sacré, c’est le divin marquis. Apollinaire c’est le bouffon génie, et il fait là une bouffonnerie. Sade écrit son essence, sa raison d’être, son entité quand Apollinaire voulait faire un truc rigolo à l’époque. Le génie d’écriture est plus chez Apollinaire que chez Sade. Mais Sade a un message à porter, qu’il veut porter de façon aussi sacrée et dogmatique que ce qu’il dénonce en face : le dogme chrétien, ecclésiastique. Alors que pour Apollinaire, la vie doit être une grande bouffonnerie parsemée d’orgies. Le problème de l’obscurantisme ne préoccupe pas Apollinaire.

L'horreur prend en effet rapidement une tournure ridicule, et l'écriture affublée de l'humour d'Apollinaire parvient à circonscrire l'infamie des actes contés. "'Les Onze Mille Verges' se situe entre Rabelais et Sade, précise Alexandre Dupouy. Peut-être même plus Rabelais que Sade, finalement. On est plus proche du journal Hara Kiri que d'un texte sensuel
https://www.franceculture.fr/litterature/les-onze-milles-verges-dapollinaire-pire-que-sade

On se rassure comme on peut :)
"hihihi on crève les yeux d'une gamine c'est rigolo" :)

Sade est actuellement en enfer en train de se faire violer pas des millions de démons

Données du topic

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Takris
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12 août 2020 à 19:28:45
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