Topic de CuteKJboy] :

Madoka est le meilleur anime de l'univers.

J'ai regardé les 12 épisodes. Et putain, je regrette salement, je me suis fait copieusement chier du début à la fin. Alors je concède que l'anime n'est pas aussi niais que les premiers épisodes le suggèrent, mais franchement, même une fois posée l'atmosphère véritable de l'anime, avec ses éléments sombres, ça reste une connerie débilisante pour adolescents, les amis. D'accord, c'est pas pour les enfants de 8 ans, mais c'est pour les ados de 15 ans ou les attardés qui restent culturellement bloqués à cet âge. Il faut aimer voir des adolescentes magiques en robe de princesse se battre contre des sorcières et palabrer sur leurs relations affectives, quoi. Le tout dans une esthétique globalement très infantile.

Et ne venez pas me dire que l'anime est profond par son baratin poético-métaphysique : ce genre d'enfumage prétentieux et grandiloquent est le procédé habituel des produits de divertissement (américains souvent) pour illusionner un public peu cultivé sur la valeur du produit, et lui faire penser qu'il regarde plus, justement, qu'un simple produit de divertissement industriel. On regarde Madoka, Matrix ou Black Mirror, et on a le plaisir de consommer un produit facile d'accès mais aussi celui de se croire intelligent.

Bref, vos kikoojaperies m'ont clairement fait perdre le temps que j'aurais pu consacrer à lire ou regarder une vraie oeuvre d'art.

Alors à ceux qui pourraient passer par là et vivre la même expérience que moi, j'annonce la couleur : Madoka ne mérite pas une seule seconde d'attention si on n'aime pas les kikoojaperies puériles. C'est pas du Kon, c'est pas du Miyazaki, c'est pas du Tezuka, c'est pas du Takahata, c'est rien de ce que la culture de masse japonaise peut avoir de correct pour un individu ordinaire. C'est de la daube destinée à un public cible d'ados ou d'adulescents.

Le 13 mars 2020 à 14:07:13 LetsAllLoveLain a écrit :

La génération du désespoir pré-rupture oui. Mais le plus gros vient du moment ou les phases s'inversent, et ça elle l'empêche.

Justement pas, le désespoir est toujours là, c'est juste qu'elle l'absorbe pour elle-même.

Si je reste dans ton sens, elle vole l'énergie que les Incubators s'efforcent de collecter pour l'univers. Donc on en revient au problème de base qui est que ces derniers on bien un intérêt à vouloir contrôler Madokami.

C'est assez bien expliqué dans Rebellion, quand Kyuubey révèle tout à Homura.

Le problème c'est justement que Rébellion est allé retcon des trucs pour faire marcher son plot. De base quand la série a été faite y'avait aucun problème à la fin, vu que le passage d'espoir à désespoir arrivait toujours, ça résultait juste plus en une sorcière.

C'est aussi expliqué dans la série... Épisode 9 : "À l'instant ou vos âmes devenues des Soul Gems se consuments et deviennent des Grief Seed, une énergie incroyable est libérée", mais bref. Au bout d'un moment j'ai épuisé toutes mes sources. Je fais pas de la spéculation.

Mais, pour les premières boucles principalement, elle n'exclue pas les autres de l'équation. C'est à force d'être toujours soutenue par Madoka, peu importe les suspicions que Homura créé, qu'elle en fait son baroud d'honneur.

Oui, c'est un truc qui lui est venu avec le temps, mais tel qu'on la voit dans la série elle pense bel et bien qu'à Madoka, je parle d' "égoïsme" en contraste avec la mentalité des Incubators pour qui l'individualité ne veut rien dire. Homura est au contraire obsédée par un individu en particulier.

En réfléchissant de manière extérieure, de quel droit sa race se porte-t-elle garante de l'univers ?

Elle a pas besoin d'un droit, elle en est juste capable donc elle le fait, de la même façon que le corps humain est programmer de telle façon qu'on va instinctivement chercher à se reproduire pour préserver l'espèce, ça peut très bien être l'instinct des Incubators d'empêcher la destruction de l'univers pour que les différentes formes de vie continuent à exister.

Nan mais vous parlez de "sauver" l'univers, c'est sur cette notion que je questionne son droit. Savoir s'il s'agit réellement de sauver quelque chose quand celui-ci devrait s'éteindre naturellement. Parce que sinon oui on parle seulement d'instinct, et c'est plus "sauver" mais "prolonger".

Et désolé mais même le fait d'avoir étendu son labyrinthe à l'échelle universelle c'est pas quelque chose qu'Homura aurait du pouvoir faire. Y'a pas de "partie humaine" de Madoka, ça c'est encore un truc inventé par le film.

Je viens d'amener des arguments avec des exemples de la série et Rebellion pour comprendre comment Homura serait capable d'étendre son labyrinthe. J'attends que tu m'expliques pourquoi elle pourrait pas.

Bon sinon on va peut-être éviter de preshot tout les scénarios possibles par le film ? À ce moment là on en écrit plus du tout. Evidemment que Rebellion vient avec de nouvelles idées. Il se base sur la conclusion de la série qui a une durée 15 minutes...
L'important c'est qu'il vient pas contredire son prédecesseur.
Et Madoka a fait son voeu en étant Humaine, elle a conservé ses souvenirs et ses émotions, evidemment qu'elle a une part d'humanité, ne serait-ce que spirituellement.

Le 13 mars 2020 à 17:29:59 Auteur blacklisté a écrit :
J'ai regardé les 12 épisodes. Et putain, je regrette salement, je me suis fait copieusement chier du début à la fin.

D'un autre côté, vu comme c'était parti.. . On ne peut pas aimer ce qu'on a envie de détester. De plus, tu as commencé à provoquer délibérément de manière très puérile la communauté de fans sans même connaître l'oeuvre. Cela s'est naturellement terminé par des échanges houleux et peu cordiaux qui ont blessé ton égo. Ce qui fait que ton point de vue est biaisé dès le départ. Tu ne pouvais pas finir du côté des gens qui ont porter atteinte à ton égo.

Alors je concède que l'anime n'est pas aussi niais que les premiers épisodes le suggèrent, mais franchement, même une fois posée l'atmosphère véritable de l'anime, avec ses éléments sombres, ça reste une connerie débilisante pour adolescents, les amis. D'accord, c'est pas pour les enfants de 8 ans, mais c'est pour les ados de 15 ans ou les attardés qui restent culturellement bloqués à cet âge. Il faut aimer voir des adolescentes magiques en robe de princesse se battre contre des sorcières et palabrer sur leurs relations affectives, quoi. Le tout dans une esthétique globalement très infantile.

Je croyais que l'esthétique "extraordinaire" était le seul bon point de l'anime, il faut vous mettre d'accord, les puristes rageux.

Et ne venez pas me dire que l'anime est profond par son baratin poético-métaphysique : ce genre d'enfumage prétentieux et grandiloquent est le procédé habituel des produits de divertissement (américains souvent) pour illusionner un public peu cultivé sur la valeur du produit, et lui faire penser qu'il regarde plus, justement, qu'un simple produit de divertissement industriel. On regarde Madoka, Matrix ou Black Mirror, et on a le plaisir de consommer un produit facile d'accès mais aussi celui de se croire intelligent.

Cette remarque est attribuable au 3ème film de Madoka que tu ne regarderas probablement pas, mais pas à la série ni aux deux premiers films.

Bref, vos kikoojaperies m'ont clairement fait perdre le temps que j'aurais pu consacrer à lire ou regarder une vraie oeuvre d'art.
Alors à ceux qui pourraient passer par là et vivre la même expérience que moi, j'annonce la couleur : Madoka ne mérite pas une seule seconde d'attention si on n'aime pas les kikoojaperies puériles. C'est pas du Kon, c'est pas du Miyazaki, c'est pas du Tezuka, c'est pas du Takahata, c'est rien de ce que la culture de masse japonaise peut avoir de correct pour un individu ordinaire. C'est de la daube destinée à un public cible d'ados ou d'adulescents.

Tezuka, Miyazaki... Rabaisser Madoka à des oeuvres qui sont les équivalents nippons de Walt Disney... Nom de Dieu. :honte:

+ Matrix, c'est très bien.

Le 13 mars 2020 à 19:24:29 CuteKJboy- a écrit :

Le 13 mars 2020 à 17:29:59 Auteur blacklisté a écrit :
J'ai regardé les 12 épisodes. Et putain, je regrette salement, je me suis fait copieusement chier du début à la fin.

D'un autre côté, vu comme c'était parti.. . On ne peut pas aimer ce qu'on a envie de détester. De plus, tu as commencé à provoquer délibérément de manière très puérile la communauté de fans sans même connaître l'oeuvre. Cela s'est naturellement terminé par des échanges houleux et peu cordiaux qui ont blessé ton égo. Ce qui fait que ton point de vue est biaisé dès le départ. Tu ne pouvais pas finir du côté des gens qui ont porter atteinte à ton égo.

Alors je concède que l'anime n'est pas aussi niais que les premiers épisodes le suggèrent, mais franchement, même une fois posée l'atmosphère véritable de l'anime, avec ses éléments sombres, ça reste une connerie débilisante pour adolescents, les amis. D'accord, c'est pas pour les enfants de 8 ans, mais c'est pour les ados de 15 ans ou les attardés qui restent culturellement bloqués à cet âge. Il faut aimer voir des adolescentes magiques en robe de princesse se battre contre des sorcières et palabrer sur leurs relations affectives, quoi. Le tout dans une esthétique globalement très infantile.

Je croyais que l'esthétique "extraordinaire" était le seul bon point de l'anime, il faut vous mettre d'accord, les puristes rageux.

Et ne venez pas me dire que l'anime est profond par son baratin poético-métaphysique : ce genre d'enfumage prétentieux et grandiloquent est le procédé habituel des produits de divertissement (américains souvent) pour illusionner un public peu cultivé sur la valeur du produit, et lui faire penser qu'il regarde plus, justement, qu'un simple produit de divertissement industriel. On regarde Madoka, Matrix ou Black Mirror, et on a le plaisir de consommer un produit facile d'accès mais aussi celui de se croire intelligent.

Cette remarque est attribuable au 3ème film de Madoka que tu ne regarderas probablement pas, mais pas à la série ni aux deux premiers films.

Bref, vos kikoojaperies m'ont clairement fait perdre le temps que j'aurais pu consacrer à lire ou regarder une vraie oeuvre d'art.
Alors à ceux qui pourraient passer par là et vivre la même expérience que moi, j'annonce la couleur : Madoka ne mérite pas une seule seconde d'attention si on n'aime pas les kikoojaperies puériles. C'est pas du Kon, c'est pas du Miyazaki, c'est pas du Tezuka, c'est pas du Takahata, c'est rien de ce que la culture de masse japonaise peut avoir de correct pour un individu ordinaire. C'est de la daube destinée à un public cible d'ados ou d'adulescents.

Tezuka, Miyazaki... Rabaisser Madoka à des oeuvres qui sont les équivalents nippons de Walt Disney... Nom de Dieu. :honte:

+ Matrix, c'est très bien.

Je vois pas en quoi ça n'est pas applicable à la série, même si en effet le troisième film casse les limites

Bien sinon tes sophismes ? C'est pas parce qu'il n'a pas aimé Madoka qu'il doit être rangé dans la catégorie "puriste rageux" (vu la gueule de ton premier post c'est plutôt toi le puriste dans l'histoire m'enfin)

Faudra m'expliquer un jour en quoi Madoka est si génialissime, pourtant j'ai essayé de l'aimer mais j'y ai pas vu grand chose de plus que le VDD

Et ne venez pas me dire que l'anime est profond par son baratin poético-métaphysique : ce genre d'enfumage prétentieux et grandiloquent est le procédé habituel des produits de divertissement (américains souvent) pour illusionner un public peu cultivé sur la valeur du produit, et lui faire penser qu'il regarde plus, justement, qu'un simple produit de divertissement industriel. On regarde Madoka, Matrix ou Black Mirror, et on a le plaisir de consommer un produit facile d'accès mais aussi celui de se croire intelligent.

L'agence qui dépend du ministère de la culture japonais qui s'occupe de récompenser les meilleurs animes n'est pas d'accord avec cette analyse. D'ailleurs, Madoka a reçu le Grand Prix de sa part en 2011 comme les Miyazaki avant lui.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Japan_Media_Arts_Festival

Ce maître de conférence des universités non plus: il n'est pas d'accord avec toi: https://adala-news.fr/2015/04/lanime-madoka-magica-etudie-a-luniversite-au-japon/

Mais admettons, c'est archi nul de ton point de vue, tu t'es fait chier. Dans ce cas, tu as eu tout le temps de relever les références culturelles occidentales pour t'occuper? Les références évidentes à l'oeuvre de Goethe (le pacte avec le diable qui prend la forme d'un petit animal? la nuit de Walpurgis? ), les nombreux tableaux et sculptures dans le monde des sorcières, les quelques compositions musicales classiques? Tu as évidemment pu tout lister.
Sans mauvaise foi, n'est-ce pas un bel hommage à notre culture en sachant que Madoka est destiné avant tout à un public japonais?

Le 13 mars 2020 à 20:14:32 salade__verte a écrit :

Le 13 mars 2020 à 19:24:29 CuteKJboy- a écrit :

Le 13 mars 2020 à 17:29:59 Auteur blacklisté a écrit :
J'ai regardé les 12 épisodes. Et putain, je regrette salement, je me suis fait copieusement chier du début à la fin.

D'un autre côté, vu comme c'était parti.. . On ne peut pas aimer ce qu'on a envie de détester. De plus, tu as commencé à provoquer délibérément de manière très puérile la communauté de fans sans même connaître l'oeuvre. Cela s'est naturellement terminé par des échanges houleux et peu cordiaux qui ont blessé ton égo. Ce qui fait que ton point de vue est biaisé dès le départ. Tu ne pouvais pas finir du côté des gens qui ont porter atteinte à ton égo.

Alors je concède que l'anime n'est pas aussi niais que les premiers épisodes le suggèrent, mais franchement, même une fois posée l'atmosphère véritable de l'anime, avec ses éléments sombres, ça reste une connerie débilisante pour adolescents, les amis. D'accord, c'est pas pour les enfants de 8 ans, mais c'est pour les ados de 15 ans ou les attardés qui restent culturellement bloqués à cet âge. Il faut aimer voir des adolescentes magiques en robe de princesse se battre contre des sorcières et palabrer sur leurs relations affectives, quoi. Le tout dans une esthétique globalement très infantile.

Je croyais que l'esthétique "extraordinaire" était le seul bon point de l'anime, il faut vous mettre d'accord, les puristes rageux.

Et ne venez pas me dire que l'anime est profond par son baratin poético-métaphysique : ce genre d'enfumage prétentieux et grandiloquent est le procédé habituel des produits de divertissement (américains souvent) pour illusionner un public peu cultivé sur la valeur du produit, et lui faire penser qu'il regarde plus, justement, qu'un simple produit de divertissement industriel. On regarde Madoka, Matrix ou Black Mirror, et on a le plaisir de consommer un produit facile d'accès mais aussi celui de se croire intelligent.

Cette remarque est attribuable au 3ème film de Madoka que tu ne regarderas probablement pas, mais pas à la série ni aux deux premiers films.

Bref, vos kikoojaperies m'ont clairement fait perdre le temps que j'aurais pu consacrer à lire ou regarder une vraie oeuvre d'art.
Alors à ceux qui pourraient passer par là et vivre la même expérience que moi, j'annonce la couleur : Madoka ne mérite pas une seule seconde d'attention si on n'aime pas les kikoojaperies puériles. C'est pas du Kon, c'est pas du Miyazaki, c'est pas du Tezuka, c'est pas du Takahata, c'est rien de ce que la culture de masse japonaise peut avoir de correct pour un individu ordinaire. C'est de la daube destinée à un public cible d'ados ou d'adulescents.

Tezuka, Miyazaki... Rabaisser Madoka à des oeuvres qui sont les équivalents nippons de Walt Disney... Nom de Dieu. :honte:

+ Matrix, c'est très bien.

Je vois pas en quoi ça n'est pas applicable à la série, même si en effet le troisième film casse les limites

Bien sinon tes sophismes ? C'est pas parce qu'il n'a pas aimé Madoka qu'il doit être rangé dans la catégorie "puriste rageux" (vu la gueule de ton premier post c'est plutôt toi le puriste dans l'histoire m'enfin)

Sur l'autre topic, j'ai discuté avec un autre mec, gros cinéphile hautain qui te prend de haut car il a vu tous les films hongrois des années 60. (Sauf qu'à côté, il bave sur les BD de Batman et Spiderman. Sans commentaire) , et il m'a dit que pour Madoka, à part le visuel, il n'y a rien de bien. Je faisais référence à lui dans mon message.

Faudra m'expliquer un jour en quoi Madoka est si génialissime, pourtant j'ai essayé de l'aimer mais j'y ai pas vu grand chose de plus que le VDD

Cela tient à plusieurs choses:

Sur la forme: les innovations visuelles, l'OST divine, les nombreuses références culturelles occidentales et celles à d'autres animes/mangas qui sont très bien utilisées.

Sur le fond: La symbolique qui multiplie les grilles de lecture possibles, Madoka c'est l'histoire d'un pacte avec le diable (mis en avant par les références à Faust) qui cherche à endoctriner les âmes naïves (représentées par des jeunes filles) un peu comme dans une secte (parallèle avec la secte),

c'est l'histoire de la désillusion du passage de la condition d'enfant à celle d'adulte/travailleur (le voyage initiatique allant dans ce sens. Un magical girl comme un shonen est un voyage initiatique. On va de la signature du contrat de travail contre rémunération(le voeu) jusqu'à à la dépression, et la mort (car oui, le travail aliène et tue) ),
ça raconte également la fin de l'homme qui obtient son désir le plus cher (un questionnement désir/bonheur) et visiblement, il finit mal; et ce qui est génial c'est que ça raconte tout ça en même temps.

Mais ce n'est pas tout! Car il y a encore les personnages derrière qui entrent dans des questionnements sur les sujets de philo sur l'altruisme/l'égoïsme (Madoka/Homura), sortir de la solitude à tout prix (Mami), la passion amoureuse racinienne revisité de Sayaka etc.

Enfin, bref, ça me prendrait trop de temps à tout expliciter et ça prendrait des heures pour tout développer mais je vais quand même tenter d'expliquer en partie avec des exemples. Même si tout saute aux yeux dans l'anime.

Voici, ce que j'avais commencé à expliquer sur un autre topic:

Madoka, ça parle de l'entrée dans le monde des adultes et de la perte d'espoir en la vie dans un contexte contemporain mais j'y reviendrai sur l'autre Topic, lorsque je serai sur ordi. Chaque personnage a une psychologie intéressante et approfondie ainsi que des valeurs morales très différentes par rapport aux autres personnages

Pour faire un parallèle entre un Madoka et un nekketsu ou un autre voyage initiatique classique.

Dans Naruto, One piece, dragon Ball (et même Ping pong, et ça vaut aussi pour des magical girl classiques ) etc, les personnages ont un objectif dans leur vie qu'ils idéalisent des le départ et qu'ils réussiront à atteindre à force d'entraînement, à force de détermination etc.

Madoka est un peu le contre-pied de tout ça, le vœu permet de passer d'entrée de jeu à l'étape supérieure. On a directement ce qu'on a toujours voulu, et ce qui est intéressant, c'est de savoir ce qu'il se passe après.

Personne ne s'est jamais demandé ce que devient Naruto après qu'il soit devenu Hokage ? Peut-être qu'Hokage, ce poste qu'il idealisait, ne lui convient pas. Peut-être qu'il croulera sous les responsabilités et qu'il finira en dépression du fait de sa charge de travail ?
Madoka est un peu le contre-pied de tout ça, le vœu permet de passer d'entrée de jeu à l'étape supérieure. On a directement ce qu'on a toujours voulu, et ce qui est intéressant, c'est de savoir ce qu'il se passe après.

.
Si Madoka malgré son aspect rebutant a très bien marché au Japon,je pense que c'est justement car il exprime cette entrée dans le moule de la société adulte qu'on idealisait étant enfant jusqu'à comprendre qu'un adulte est en fait un esclave soumis à son travail et écrasé par les responsabilités qui lui incombent. Ce travail pouvant conduire à la dépression, à devenir aigri, à hair le monde et à la mort.
+ l'effet Evangelion sur la forme de l'anime avec les références occidentales religieuses. Madoka ajoutant des références philosophiques et artistiques omniprésentes.
+ l'aspect manipulatoire et surprenant de la série réfléchi des le début qui est sympathique.

Le 13 mars 2020 à 20:37:29 CuteKJboy- a écrit :

Le 13 mars 2020 à 20:14:32 salade__verte a écrit :

Le 13 mars 2020 à 19:24:29 CuteKJboy- a écrit :

Le 13 mars 2020 à 17:29:59 Auteur blacklisté a écrit :
J'ai regardé les 12 épisodes. Et putain, je regrette salement, je me suis fait copieusement chier du début à la fin.

D'un autre côté, vu comme c'était parti.. . On ne peut pas aimer ce qu'on a envie de détester. De plus, tu as commencé à provoquer délibérément de manière très puérile la communauté de fans sans même connaître l'oeuvre. Cela s'est naturellement terminé par des échanges houleux et peu cordiaux qui ont blessé ton égo. Ce qui fait que ton point de vue est biaisé dès le départ. Tu ne pouvais pas finir du côté des gens qui ont porter atteinte à ton égo.

Alors je concède que l'anime n'est pas aussi niais que les premiers épisodes le suggèrent, mais franchement, même une fois posée l'atmosphère véritable de l'anime, avec ses éléments sombres, ça reste une connerie débilisante pour adolescents, les amis. D'accord, c'est pas pour les enfants de 8 ans, mais c'est pour les ados de 15 ans ou les attardés qui restent culturellement bloqués à cet âge. Il faut aimer voir des adolescentes magiques en robe de princesse se battre contre des sorcières et palabrer sur leurs relations affectives, quoi. Le tout dans une esthétique globalement très infantile.

Je croyais que l'esthétique "extraordinaire" était le seul bon point de l'anime, il faut vous mettre d'accord, les puristes rageux.

Et ne venez pas me dire que l'anime est profond par son baratin poético-métaphysique : ce genre d'enfumage prétentieux et grandiloquent est le procédé habituel des produits de divertissement (américains souvent) pour illusionner un public peu cultivé sur la valeur du produit, et lui faire penser qu'il regarde plus, justement, qu'un simple produit de divertissement industriel. On regarde Madoka, Matrix ou Black Mirror, et on a le plaisir de consommer un produit facile d'accès mais aussi celui de se croire intelligent.

Cette remarque est attribuable au 3ème film de Madoka que tu ne regarderas probablement pas, mais pas à la série ni aux deux premiers films.

Bref, vos kikoojaperies m'ont clairement fait perdre le temps que j'aurais pu consacrer à lire ou regarder une vraie oeuvre d'art.
Alors à ceux qui pourraient passer par là et vivre la même expérience que moi, j'annonce la couleur : Madoka ne mérite pas une seule seconde d'attention si on n'aime pas les kikoojaperies puériles. C'est pas du Kon, c'est pas du Miyazaki, c'est pas du Tezuka, c'est pas du Takahata, c'est rien de ce que la culture de masse japonaise peut avoir de correct pour un individu ordinaire. C'est de la daube destinée à un public cible d'ados ou d'adulescents.

Tezuka, Miyazaki... Rabaisser Madoka à des oeuvres qui sont les équivalents nippons de Walt Disney... Nom de Dieu. :honte:

+ Matrix, c'est très bien.

Je vois pas en quoi ça n'est pas applicable à la série, même si en effet le troisième film casse les limites

Bien sinon tes sophismes ? C'est pas parce qu'il n'a pas aimé Madoka qu'il doit être rangé dans la catégorie "puriste rageux" (vu la gueule de ton premier post c'est plutôt toi le puriste dans l'histoire m'enfin)

Sur l'autre topic, j'ai discuté avec un autre mec, gros cinéphile hautain qui te prend de haut car il a vu tous les films hongrois des années 60. (Sauf qu'à côté, il bave sur les BD de Batman et Spiderman. Sans commentaire) , et il m'a dit que pour Madoka, à part le visuel, il n'y a rien de bien. Je faisais référence à lui dans mon message.

Faudra m'expliquer un jour en quoi Madoka est si génialissime, pourtant j'ai essayé de l'aimer mais j'y ai pas vu grand chose de plus que le VDD

Cela tient à plusieurs choses:

Sur la forme: les innovations visuelles, l'OST divine, les nombreuses références culturelles occidentales et celles à d'autres animes/mangas qui sont très bien utilisées.

Sur le fond: La symbolique qui multiplie les grilles de lecture possible, Madoka c'est l'histoire d'un pacte avec le diable (point de vue expliciter par les références à Faust) qui cherche à endoctriner les âmes naïves (représentées par des jeunes filles) un peu comme dans une secte (parallèle avec la secte),

c'est l'histoire de la désillusion du passage de la condition d'enfant à celle d'adulte/travailleur (le voyage initiatique allant dans ce sens. Un magical girl comme un shonen est un voyage initiatique. On va de la signature du contrat de travail contre rémunération(le voeu) jusqu'à à la dépression, et la mort (car oui, le travail aliène et tue) ),
ça raconte également la fin de l'homme qui obtient son désir le plus cher (un questionnement désir/bonheur) et visiblement, il finit mal; et ce qui est génial c'est que ça raconte tout ça en même temps.

Mais ce n'est pas tout! Car il y a encore les personnages derrière qui entrent dans des questionnements sur les sujets de philo sur l'altruisme/l'égoïsme (Madoka/Homura), sortir de la solitude à tout prix (Mami), la passion amoureuse racinienne revisité de Sayaka etc.

Enfin, bref, ça me prendrait trop de temps à tout expliciter et ça prendrait des heures pour tout développer mais je vais quand même tenter d'expliquer en partie avec des exemples. Même si tout saute aux yeux dans l'anime.

Ouais j'avais déjà plus ou moins vu tout ça, tant pis Madoka c'est pas pour moi, jamais été un grand fan d'anime de toutes façons ça doit pas mal jouer :(

ça raconte également la fin de l'homme qui obtient son désir le plus cher (un questionnement désir/bonheur) et visiblement, il finit mal; et ce qui est génial c'est que ça raconte tout ça en même temps.

Pour aller plus loin dans cette ligne de lecture précise: le désir est insatiable comme l'a montré Socrate avec l'allégorie du tonneau percé. Les puella magi ont compris que malgré le fait qu'elles ont pu obtenir la chose qui leur tenait le plus à coeur dans cette vie, cela ne les a pas rendu heureuses, c'est même tout le contraire. Un nouveau désir se forme directement après avoir assouvi le premier. Elles en viennent alors à penser que le bonheur est inaccessible pour elles. Suite à cela elles vont se poser des questions sur l'intérêt de ce qu'elles font. (c'est ce qui va les faire basculer).

c'est l'histoire de la désillusion du passage de la condition d'enfant à celle d'adulte/travailleur (le voyage initiatique allant dans ce sens. Un magical girl comme un shonen est un voyage initiatique. On va de la signature du contrat de travail contre rémunération(le voeu) jusqu'à à la dépression, et la mort (car oui, le travail aliène et tue) ),

Pour en revenir à cette ligne de lecture, elle est très accentuée par le parallèle entre les Puella Magi et la mère de Madoka. Pour rappelle, la mère de Madoka est cadre, elle supporte difficilement le monde du travail/adulte vu que lorsqu'elle rentre chez elle le soir, elle boit (scène de discussion entre Madoka et sa Mère pour essayer de trouver une solution aux problèmes de Sayaka) . Les Puella Magi ont des responsabilités similaires à celle d'un cadre (plutôt dans la santé ou la justice) car elles ont des vies entre les mains. Et elles ont également une reconnaissance similaire , c'est-à-dire inexistante.
Madoka ne comprend rien du problème de Sayaka mais elle la voit souffrir de sa nouvelle condition de cadre justicier. Sa mère recommande à Madoka de ne rien dire et de laisser Sayaka affronter ses erreurs car les "enfants" se remettent facilement de leurs blessures sous-entendant que les enfants sont fait pour tomber et apprendre de leurs erreurs. Le problème c'est qu'à ce moment , contrairement à Madoka, Sayaka a déjà accepté des responsabilités d'adulte et l'erreur ne lui est plus permise.
La mère de Madoka ajoute que c'est pour supporter leur condition que les adultes boivent de l'alcool.

En tout cas, je trouve que les films 1 et 2 sont bien mieux réalisés que la série de 12 épisodes, et je les recommande en priorité à ceux qui ne sont pas familiers avec le monde de l'animation. Je répète également que la VF est très bonne et adaptée pour un public occidental.
D'ailleurs, ceux qui n'ont vu que la série, je vous plains d'être passé à côté de cette scène mythique: https://www.youtube.com/watch?v=5Euy0AiGozI

Pour les gens qui ont aimé Madoka:

Je vous conseille suivant ce que vous avez aimé,

Si c'est le visuel, les autres oeuvres avec Akiyuki Shinbo à la réalisation: Sangatsu no lion est l'une des plus accessibles.
Les autres sont chelous et sont trop axés "lolis": Hidamari Sketch (grosse inspiration pour le character design de Madoka) ou petites culottes: Monogatarie series

Si c'est les scénarios sombres et pessimistes de Gen Urobuchi, je recommande Fate/Zero, Psycho-pass, Requiem for the phantom et le visuel novel Saya no Uta. Par contre, ce n'est pas aussi soft que Madoka

Si vous avez aimé la musique, il suffit de rechercher les animes pour lesquels Yuki Kajiura est compositeur: Erased, Fate/zero, Noir etc.

Bokurano est une grosse inspiration pour le scénario de Madoka, même si les thématiques ne sont pas les mêmes du fait que les genres sont différents.

Le 13 mars 2020 à 17:29:59 Aristobulle a écrit :
J'ai regardé les 12 épisodes. Et putain, je regrette salement, je me suis fait copieusement chier du début à la fin. Alors je concède que l'anime n'est pas aussi niais que les premiers épisodes le suggèrent, mais franchement, même une fois posée l'atmosphère véritable de l'anime, avec ses éléments sombres, ça reste une connerie débilisante pour adolescents, les amis. D'accord, c'est pas pour les enfants de 8 ans, mais c'est pour les ados de 15 ans ou les attardés qui restent culturellement bloqués à cet âge. Il faut aimer voir des adolescentes magiques en robe de princesse se battre contre des sorcières et palabrer sur leurs relations affectives, quoi. Le tout dans une esthétique globalement très infantile.

Et ne venez pas me dire que l'anime est profond par son baratin poético-métaphysique : ce genre d'enfumage prétentieux et grandiloquent est le procédé habituel des produits de divertissement (américains souvent) pour illusionner un public peu cultivé sur la valeur du produit, et lui faire penser qu'il regarde plus, justement, qu'un simple produit de divertissement industriel. On regarde Madoka, Matrix ou Black Mirror, et on a le plaisir de consommer un produit facile d'accès mais aussi celui de se croire intelligent.

Bref, vos kikoojaperies m'ont clairement fait perdre le temps que j'aurais pu consacrer à lire ou regarder une vraie oeuvre d'art.

Alors à ceux qui pourraient passer par là et vivre la même expérience que moi, j'annonce la couleur : Madoka ne mérite pas une seule seconde d'attention si on n'aime pas les kikoojaperies puériles. C'est pas du Kon, c'est pas du Miyazaki, c'est pas du Tezuka, c'est pas du Takahata, c'est rien de ce que la culture de masse japonaise peut avoir de correct pour un individu ordinaire. C'est de la daube destinée à un public cible d'ados ou d'adulescents.

Ok le troll. Moins subtil la prochaine fois.

Ce maître de conférence des universités non plus: il n'est pas d'accord avec toi: https://adala-news.fr/2015/04/lanime-madoka-magica-etudie-a-luniversite-au-japon/

Bordel, excellent :bave: Madoka est vraiment une très bonne matière de réflexion :oui: (et d'analyse artistique plus globalement)

Sauf qu'à côté, il bave sur les BD de Batman et Spiderman. Sans commentaire

Ils sont très bien les comics de Batman et Spider-Man. T'as quoi contre ? :( Ok certains sont du divertissement facile, mais y'en a une sacrée palanquée qui sont de petits bijoux (en tout cas pour Batman, je n'ai jamais vraiment lu de Spider-Man)

Tu dis que c'est un troll mais son argumentaire tient la route et contrairement à L'op qui défend avec des contres argument et cela, dans le respect, toi direct, tu dis juste que c'est un troll, sans dire pourquoi et de façon catégorique, tu pense une seconde qu'on va te prendre au sérieux :hap: ?

Le 13 mars 2020 à 22:11:17 CuteKJboy- a écrit :
Pour les gens qui ont aimé Madoka:

Je vous conseille suivant ce que vous avez aimé,

Si c'est le visuel, les autres oeuvres avec Akiyuki Shinbo à la réalisation: Sangatsu no lion est l'une des plus accessibles.
Les autres sont chelous et sont trop axés "lolis": Hidamari Sketch (grosse inspiration pour le character design de Madoka) ou petites culottes: Monogatarie series

Si c'est les scénarios sombres et pessimistes de Gen Urobuchi, je recommande Fate/Zero, Psycho-pass, Requiem for the phantom et le visuel novel Saya no Uta. Par contre, ce n'est pas aussi soft que Madoka

Si vous avez aimé la musique, il suffit de rechercher les animes pour lesquels Yuki Kajiura est compositeur: Erased, Fate/zero, Noir etc.

Bokurano est une grosse inspiration pour le scénario de Madoka, même si les thématiques ne sont pas les mêmes du fait que les genres sont différents.

J'avais vu la saison 1 de Psycho-Pass, et c'était vraiment super bon (pas aussi bon ni marquant que Madoka mais quand même !). Leur uchronie est vraiment crédible et hyper bien faite.

Par contre, ça part tellement dans le complexe parfois qu'il est difficile de s'en rappeler précisément. Les scènes d'action sont bonnes mais peu marquantes. Et je n'ai jamais trop compris la dualité Makishima/Ogami, elle est forcée.

Je vais clairement me mater la suite un jour :ange: Mais SPOIL PSYCHO PASSj'ai peur que Makishima me manque :snif:

Le 13 mars 2020 à 17:29:59 Aristobulle a écrit :
J'ai regardé les 12 épisodes. Et putain, je regrette salement, je me suis fait copieusement chier du début à la fin. Alors je concède que l'anime n'est pas aussi niais que les premiers épisodes le suggèrent, mais franchement, même une fois posée l'atmosphère véritable de l'anime, avec ses éléments sombres, ça reste une connerie débilisante pour adolescents, les amis

J'ai arrêté là, arrête de te prendre pour un youtubeur eco+ pour enfants attardés

Le 13 mars 2020 à 17:45:30 Lasticobeur a écrit :
Si je reste dans ton sens, elle vole l'énergie que les Incubators s'efforcent de collecter pour l'univers

Justement pas. Elle prend juste le désespoir. L'énergie qui résulte du passage de l'espoir au désespoir est toujours là.

Savoir s'il s'agit réellement de sauver quelque chose quand celui-ci devrait s'éteindre naturellement

Bah c'est déjouer la nature mais dans le but de sauver la vie. Après tu sais on met en contraste ce qui est voulu par les formes de vies intelligentes avec ce qui est "naturel", mais en soit nos actions sont dues à la causalité aussi, elles sont aussi quelque part quelque chose de naturel qui fait partie de cet enchaînement sans fin de causes et d'effets... c'est pas parce qu'on a une illusion de libre arbitre qu'on est si différents des autres bouts de matière qui peuplent cet univers.

L'important c'est qu'il vient pas contredire son prédecesseur.

Bah justement en fait, le problème il est là, on avait une situation qui était résolue et ils viennent chercher la petite bête juste pour pouvoir faire une suite.

Le 13 mars 2020 à 22:11:17 CuteKJboy- a écrit :
Pour les gens qui ont aimé Madoka:

Je vous conseille suivant ce que vous avez aimé,

Si c'est le visuel, les autres oeuvres avec Akiyuki Shinbo à la réalisation: Sangatsu no lion est l'une des plus accessibles.
Les autres sont chelous et sont trop axés "lolis": Hidamari Sketch (grosse inspiration pour le character design de Madoka) ou petites culottes: Monogatarie series

Si c'est les scénarios sombres et pessimistes de Gen Urobuchi, je recommande Fate/Zero, Psycho-pass, Requiem for the phantom et le visuel novel Saya no Uta. Par contre, ce n'est pas aussi soft que Madoka

Si vous avez aimé la musique, il suffit de rechercher les animes pour lesquels Yuki Kajiura est compositeur: Erased, Fate/zero, Noir etc.

Bokurano est une grosse inspiration pour le scénario de Madoka, même si les thématiques ne sont pas les mêmes du fait que les genres sont différents.

Nice.
Quitte à citer des oeuvres d'autres auteurs, je rajouterais aussi Mawaru Penguindrum, qui est assez similaire au niveau de la forme et du fond (style pas mal de références indirectes à d'autres histoires/contes), même si les histoires ont pas grand-chose à voir. :noel: (et puis il semble que t'as pas mal de fans de Madoka qui l'apprécient... enfin, si j'en crois l'autre topic, nous deux au moins https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480081449-ris35.png )

Le 13 mars 2020 à 22:43:43 Dantelight a écrit :

Sauf qu'à côté, il bave sur les BD de Batman et Spiderman. Sans commentaire

Ils sont très bien les comics de Batman et Spider-Man. T'as quoi contre ? :( Ok certains sont du divertissement facile, mais y'en a une sacrée palanquée qui sont de petits bijoux (en tout cas pour Batman, je n'ai jamais vraiment lu de Spider-Man)

Désolé. Je n'ai pas dû tomber sur les bons lorsque j'étais jeune. De toute façon, ça ne m'a jamais vraiment branché. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/03/2/1547588979-homura-the-2.png

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