[RISITAS] La vie d'un Célestin : Péripéties et désillusions
Chapitre 22 : Et là, ça va ?
Mais avant ça, il y avait toute une semaine de cours à affronter.
Mes résultats s’étaient d’ailleurs largement améliorés. J’ai découvert que j’étais une brute en math.
C’est simple, la prof explique quelque chose, je le comprends directement et pas besoin de réviser, c’est enregistré et je peux le ressortir. Il me suffit uniquement d’écouter au moment de l’explication.
J’ai en moyenne 19/20 à chaque DS de math, toute la classe était jalouse de mes skills, mes potes d’internat confirmaient que je foutais rien et que ça passait comme une lettre à La Poste.
Dans les autres matières j’ai une moyenne qui tourne autour de 13 / 14 pour un travail fourni pas exceptionnel, mais ça me suffit largement, pas besoin de plus.
D’ailleurs, je suis un peu le chouchou de la classe.
Tout le monde m’aime bien, la prof principale m’adore littéralement et à l’internat je suis heureux aussi. Tout le monde se parle et est bienveillant avec tout le monde et je suis de plus en plus pote avec Arthur.
Putain merci seigneur, après tant d’années de galère.
De rien mon fils
La semaine se passe tranquillement et à l’internat, j’ai gagné le droit de bosser dans ma chambre après les cours.
En gros, les secondes doivent aller dans une salle de permanence surveillée par un pion de 17h à 18h. Mais si on a de bons résultats eh bien on gagne le droit de ne pas aller dans cette salle et de bosser dans notre chambre.
En gros de dormir de 17h à 18h quoi, petite sieste bien méritée.
Bon parfois il y a des contrôles aléatoires donc il faut faire attention.
En gros, le pion pouvait passer dans nos chambres vers 17h30 pour voir si on travaillait bien. Il avait des techniques de putes d’ailleurs, genre insérer la clef tout doucement pour pas faire du bruit et ouvrir la porte très vite de façon à ce qu’on n’ait pas le temps de prendre un cahier à l’arrache si on dort.
Et si on se faisait prendre, c’était retour en étude pour toute la semaine, il fallait donc être ingénieux.
Malheureusement pour lui, ce pion était loin d’être l’homme le plus brillant du monde.
Il fait un maximum de bruit quand il arrive à notre étage et APRES il essaye d’être discret.
Évidemment on avait souvent le temps de se réveiller et se mettre à notre bureau.
« Non, mais nous on s’en fou de tes règles d’internat, on veut la suite avec Jade »
J’y viens mes amis, j’y arrive.
Le lundi passe, mardi, mercredi, jeudi, vendredi…
C’est le week-end.
Avec Jade on a nos petites habitudes. Je passe à peine chez moi quand je rentre le weekend en fait. J’arrive, je pose ma valise et je pars monter un étage rejoindre Jade pour être avec elle et sa famille. On mange tous ensemble puis je dors avec Jade dans son lit.
De toute façon avec ma famille on se parle pas donc que je sois là ou non ça ne change rien.
Au moment de se coucher, je stress comme pas possible, comment ça va se passer les prélis ? Si je me trompe de trou ? Si elle a mal ? Elle va peut-être être traumatisée, c’est sa 1ère fois aussi…
Et si elle mouille pas ou tout simplement qu’elle n’aime pas ça…
Je suis du genre à toujours me poser 36 000 questions mais un moment fuck, il faut y aller.
D’ailleurs, le respect des femmes a toujours été une part très importante de mon éducation. Il faut être gentil et doux avec les femmes et ne surtout pas les forcer.
« Ah… je suis crevée de ma semaine, nos câlins m’ont manqué »
« Oui, moi aussi, allez viens m’enlacer »
On fait comme d’habitude beaucoup de caresses, de bisous… Je ne savais pas du tout quand passer à l’action.
« Ça va ? Ton cœur bat super vite »
« Oui oui, ne t’inquiète pas, je sais pas pourquoi il bat vite »
Je savais très bien pourquoi, je stressais comme un khey devant une 9/10
Allez iPen, c’est le moment, je peux commencer par m’approcher de ses seins.
J’approche donc ma main de son soutien-gorge et commence à caresser autour, elle ne réagit pas et se laisse faire…
« Ça va ? »
Putain le briseur d’ambiance
« Oui oui t’inquiète »
Je glisse donc ma main sous son soutif et commence à lui caresser les seins.
Putain que c’est agréable à toucher, elle fait un bon bonnet B en plus, ça épouse parfaitement la main. Ses tétons pointaient comme pas possible et étaient tout dur.
« Et là ça va ? »
« Oui »
Allez je suis lancé, je ne m’arrête pas, je retire ma main de ses seins puis je lui caresse le ventre, le dessus de sa culotte…
« Et là, ça va toujours ? »
« Oui »
Je déboutonne son jean. Un bouton, deux boutons… Puis je caresse le dessus de sa culotte.
Je sens que c’est déjà très chaud et humide là-dessous. Elle commence à pousser des petits gémissements de plaisir.
Ça y est, je vais pouvoir toucher le vagin d’une femme, je vais passer un cap dans ma vie d’homme.
Je passe ma main sous sa culotte…
« Ça va ? »
« Oui… »
Que c’est chaud là-dessous… c’est tellement agréable.
Et c’est mouillé aussi, c’est vraiment très humide.
Je joue un peu avec mes doigts, ses gémissements s’intensifient de plus en plus… Je descends de plus en plus bas et je sens un trou plus large que les autres, ça doit être celui là…
J’introduis un doigt, elle pousse une sorte de cri de soulagement, je vois qu’elle aime alors je continue et j’agite mon doigt. Je peux faire plus, j’introduis un second doigt et je continue de les agiter…
« C’est tellement bien »
Je continue de longues secondes comme ça, mais un moment je m’arrête, je vais me faire une crampe au bras si je continue. On en profite pour se câliner et s’embrasser, tous les deux exténué et content de ce qu’on vient de vivre et de découvrir.
« Alors ? »
« C’était trop bien »
« T’as pas eu trop mal, ça va ? »
« Non c’était super, je t’aime tellement »
« Moi aussi je t’aime fort Jade »
Et on s’est endormi tous les deux, mes bras l’enlaçant très fort et mon cerveau rempli de dopamine.
J’étais presque un homme désormais
Données du topic
- Auteur
- iPen
- Date de création
- 20 décembre 2019 à 14:41:15
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