Joseph Goebbels, une vie, la tragédie d'un destin...

Anka lui confesse, un matin, elle a couché avec Kölsch, Goebbels lui pardonne et l'embrasse alors qu'elle est en larmes.

Ce célestin level cuck

Le 31 août 2019 à 14:09:42 SONWIL-1 a écrit :

Anka lui confesse, un matin, elle a couché avec Kölsch, Goebbels lui pardonne et l'embrasse alors qu'elle est en larmes.

Ce célestin level cuck

Cuck par son seul ami, c'est dur en effet

Le 31 août 2019 à 13:01:24 CosmonauteCCCP a écrit :
Le seul truc que je retiens c'est que son père s'appelle Frite bordel

J'ai explosé, ça doit être la fatigue

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Une conscience politique naissante

Sous l'influence de Flisges et par sa propre étude de Dostoïevski, Goebbels développe une conscience politique. Il a maintenant 22 ans et penche politiquement vers la gauche.

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L'attirance vers le socialisme

Quand l'étudiant Anton Count von Arco-Valley fut condamné pour l'assassinat du premier ministre de Bavière Kurt Eisner (Parti social-démocrate indépendant d'Allemagne, extrême-gauche), Goebbels développa une certaine curiosité pour le socialisme. Etant plus d'inclination littéraire que politicienne, il explora ses propres convictions à travers l'écriture d'un pièce dramatique intitulée "La lutte du prolétariat", pièce qu'il griffonna dans un de ses cahiers d'exercices.
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L'admiration de Joseph envers les soldats de bas rang

On toque à sa porte une après-midi de 1919, son ami d'enfance, Richard Flisges entre alors, la pluie ruisselant de son manteau. Ex-lieutenant, il revient de la guerre, décoré et blessé, son bras étant dans une écharpe. Richard a raté les examens d'entrée à l'université, il est résolu à devenir un agitateur pacifiste, bousculer l'ordre des choses. Goebbels écoute son ami, soldat désœuvré et peu éduqué, avec une attention particulière. Il a toujours eu un certain respect pour les personnes d'extraction humble. En écrivant à Willy ZIlles en 1915, il avait répugné la poème de Horace Odi profanum vulgus et arceo (je hais la plèbe et les garde à bonne distance), en lui préférant la poème romantique de Wilhelm Raabe's Hab'acht auf die Gassen! (Soyez attentifs aux complaintes de la rue!)

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Un intérêt croissant pour la politique

Pendant que Goebbels assiste au séminaire sur Goethe et l'ère du Sturm und Drang il commence à penser aux questions politiques et sociales déchirant l'Allemagne défaite. Dans la soirée, il questionne sa foi, il commence à douter ses convictions religieuses.

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Joseph abjure sa foi et écrit une nouvelle

En 1919 Joseph quitte l'église catholique. Peut-être que la pratique quelque peu suffocante du catholicisme du diocèse de Wurzburg a contribué à cette décision. Il était troublé par la nature de dieu, il y voyait une falsification de sa nature véritable par des prêtres idolâtres. Dans son roman "Michael", son héros réfléchit à ce dilemme. La rhétorique du livre est très peu marquante, sauf pour une affirmation, "Peu importe ce en quoi on croit, du moment qu'on en quelque chose", cette citation caractérise l'essence de Goebbels lors de ses années au pouvoir.

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Son roman "Michael"

D'à peine 30 000 mots, il écrit à la première personne dans son style littéraire favori, le journal intime. En effet, Goebbels tient depuis ses 12 ans un journal intime.

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La conclusion de son roman

Le protagoniste est tué dans un accident, le se termine par une lettre écrite par un mineur à Hertha Holk, lui disant que Michael est mort, sourrire au visage et que dans sa copie de Zarathustra il souligné cette citation "Il y en a beaucoup qui meurent trop tard et quelques-uns qui meurent trop tôt. La doctrine qui dit : « meurs à temps ! » semble encore étrange."

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La nouvelle trahison de Anka

Leur rencontre suivant se déroule pendant la pentecôte, Joseph lui lit "Der Wanderer and Die Saat", une de ses pièces, cependant Anka est aliénée par la teneur socialiste de ses écrits, elle qui est fille d'un riche industriel. Le fossé entre les deux s'agrandit. Elle commence à voir Theo Geitmann, un de ses amis. Chagriné, il lui retourne le bracelet qu'elle lui avait offert. Il lui propose de rendre leur relation officielle, elle refuse. Après une nuit peu satisfaisante en sa compagnie, il lui écrit une lettre d'adieu de quatre pages, dans laquelle il appelle son nom 24 fois, une complainte romantique, suppliant son retour "Est-ce vraiment fini?... Je n'ai connu que toi, tu étais mon monde, le plus beau des mondes jamais conçu -- et je l'ai perdu par ma faute." Cette nuit était sans nul doute un point de non retour pour eux deux. "Pense tu pouvoir trouver un autre qui puisse t'aimer autant?" demande-t-il.

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Joseph envoie ses amis espionner Anka et espère la reconquérir

Il emprunte de l'argent à l'automne 1920, apprenant qu'elle est à Munich, il envoie la personne en qui il a le plus confiance, Richard Flisges, pour enquêter sur les activités de Anka. Flisges écrit qu'il a aperçu Anka escortée par un homme portant un luxueux gilet dont les boutons et les épingles étaient dorés. Affolé, Goebbels se dirige vers le domicile de Anka; alors qu'il attend dehors, Flisges se rue dans les escaliers. Mais elle est bien partie, elle a quitté Munich pour Freiburg pour dans la journée avec son fiancé, un dénommé Georg Mumme, un jeune étudiant en droit coincé, avec une situation financière bien meilleure que celle de Goebbels.

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Le mari de Anka menaçant Joseph, la réponse de Joseph

Alors que le mari de Anka menaçait Goebbels de poursuites judiciaires s'il n'arrêtait pas de lui envoyer des lettres , Goebbels pris sa revanche en réécrivant son roman "Michael" en faisant souffrir l'héroïne le plus possible, autant qu'il était desespéré.

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L'effet de la relation avec Anka sur l'attitude par rapport aux femmes de Goebbels

"Anka, meurtrière!" lui reproche-t-il, 8 ans plus tard, sa trahison lui ronge encore l'esprit. "Anka m'a abandonnée" il écrit, "ma relation aux femmes n'a qu'empiré depuis".

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La dépression nerveuse

Passant les vacances d'automne cloitré chez lui, il lit Les Frères Karamazov de Dostoïevski, il souffre d'une dépression nerveuse. Il écrit son testament, daté au 1er Octobre 1920, dans lequel lègue sa poésie et son roman à Flisges et sa mère. Madame Anka Stalherm est invitée à bruler toutes les correspondances que j'ai entretenu avec elle... puisse-t-elle être heureuse et ne pas pleurer ma mort.". La dernière phrase indique des tendances suicidaires "Je pars réjoui de quitter une vie qui est devenue pour moi un enfer". Il gardera ce testament dans une lettre mais n’ira pas plus loin.

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La vie de Joseph après l'université

Pendant les quatre années suivantes il persista dans son nihilisme en n'entreprit rien. Au désespoir de ses parents, il vivotait grace aux maigres revenus qu'il gagnait des cours particuliers qu'il donnait. L'Allemagne, pendant cette période, était en proie au chaos économique, mais Goebbels n'avait que faire de ces problèmes, il ne s'informait pas, ne protestait pas, n'y accordait aucune importance. Il était ailleurs [...] étendu sur son lit, il lisait les écrits de Oswald Spangler sur le déclin de l'Occident.

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Le 31 août 2019 à 16:42:41 GauloisDragon a écrit :
sweet ou swat

La suite passe pas, elle se fait supprimer
Ça devient un peu trop sensible je pense

Le 31 août 2019 à 15:49:08 akuseru4 a écrit :
Frite goebbels

FRITZ !...
Fritz...
C'est un prénom allemand. PAS FRITE.

Le 31 août 2019 à 17:06:03 Alex-Sad- a écrit :

Le 31 août 2019 à 15:49:08 akuseru4 a écrit :
Frite goebbels

FRITZ !...
Fritz...
C'est un prénom allemand. PAS FRITE.

Oui et ça veut dire frite en allemand donc ça revient au même...