Topic de maisbordel :

Le pavé du "bon tant pis je meurs"

Le 02 février 2019 à 01:13:51 maisbordel a écrit :
Le pavé btg ? Je suis pas sur qu'il est complet :hap: enfin bref :

Bien ta grotte profonde sombre en Antarctique entouré d'une couche de 45 mètres de neige et à 50 sous terre , servant aussi d'abri anti-nucléaire et chimique ainsi que d'abri en cas de fin du monde, en béton armé et tiges de titane recouverte d'une triple couche d'isolant sonore surpuissant et d'isolant thermique empêchant le moindre contact avec l'air pure extérieur, surveillé par 138 caméras et 56 gardes pour t'empêcher de découvrir le monde réel , étant également fermé par une porte blindée en alliage de titanium et bronze , recouverte d'une quadruple couche d'émail et de diamant , puis protégée elle même par 2 gros cadenas à détection et ouverture digitale ainsi que d'autres éléments permettant une étanchéité parfaite et contribuant donc à ton enfermement le tout férmée par 50 portes blindées dans un bunker anti-bactérioatomique climatisé dans l'espace intersidéral, pouvant être comparé à une immense grotte de l'Antarctique glaciaire, composé d'une quadruple couche de béton armé étanche et d'une double couche de diamant purifié rarissime, protégé par une énorme porte pressurisée en platine synthétique contenant un triple vitrage à l'azote liquide, humainement impossible à ouvrir, entourée elle-même d'un alliage de titane et de bronze entouré d'une quintuple couche d'isolant thermique permettant une étancheité parfaite, invulnérable aux trous noirs, aux chocs planétaires, aux gazs toxiques les plus mortels ainsi qu'aux chaleurs les plus élevées et insupportables de notre galaxie Surveillé par 63 gardes du corps équipés de M16 et de plusieurs 357 magnums et 54 tireurs d'élites surentrainés par les meilleurs stratèges et instructeurs du monde, t'empêchant la moindre tentative d'évasion, le moindre contact avec l'air pur et également l'accès à 3 gros cadenas à reconnaisance vocale et d'empreintes digitales d'un ours polaire du Sahara, désormais chassé et disparu, pouvant également se déplacer à la vitesse de la lumière grâce à des réacteurs à fusion turbo-chimiquo-nucléo-électriques coincées dans une faille provenant d'un hap immergé à 20 milles lieux sous les mers d'une île inconnue qui longe la Nouvelle Zélande d'une planète similaire à la Terre se trouvant dans la galaxie HUDF JD2 qui est elle-même bloquée dans une faille spatio-temporelle d'une dimension parralèle d'un microcosmose d'une vomissure de panaché dans une bouteille de sauvetage lâché dans une mer souterraine caché aux creux d'une météorite coincée dans une étoilefilante éloignée de plusieurs galaxies dans une nébuleuse paumée de l'autre coté d'un Univers parallèle dont le temps s'écoule à l'envers et qui se retrouve piegé par un continium espace temps incohérent où 1 + 1 = 3 et où les pedobear ont pris le pouvoir et qui, tout les 32 du mois, annoncent par un rituel, un langage corporel et une danse du phallus que seul un pedobear pourrait comprendre qu'il faut récupérer la 2ème statuette magique de Gladeulfeur qui selon les tablettes de skellosse permettra au gnome unijambiste des forêts du nord dansant à la pleine lune au milieux de 12 statuettes enroulées dans du jambon d'ouvrir la porte de Zaralback et d'accomplir la prophétie qui laissera passer l'étoile filante mais c'est sans compter les 3 millions de hap devant cette porte qui Onchent tous en même temps sous les ordres de HomerSimpson en écoutant le concert de Morsay qui dans cette dimension est en duo avec le Roi Heenok et qui s'était mis à rire quand on lui a annoncé que Windows c'est mieux qu'un Mac.

:rire: :rire: putain

Bah non il y est pas le pavé des chattes

Attention celui là est long :hap: :

Toi, fiers mâle alpha ou souffre-douleur, peu importe qui tu es ! Pendant le temps que dure une levrette nous sommes tous des seigneurs de guerre. Ta virilité se cristallise, tu es le dominant, le maître de se bout de viande prosternée à 4 pattes devant toi. Tu la sens soumise à toi et tu as bien raison car elle l’est ! Pourquoi serait-elle nue en face de toi sinon ?

Agenouillé tel un guerrier grec, tu regardes avec un plaisir accapareur le corps de ta femelle tel un présent qui t’est offert. En face de toi, se dresse son corps nu sur lequel tu peux apprécier sa délicieuse paire de fesses agrémentée de ses formes féminines qui libère en toi des instincts primaux. Son postérieur est à toi, tu peux en faire ce que tu veux. En contrebas, tu vois trôner son vagin, véritable fort à assiéger, gouverné par un souverain étrillé qui à la vue de votre pièce, sans appel, ouvre l’impénétrable cuirasse que forment ses lèvres charnues aux teintes rosées tels les pétales d’une rose à la première rosée du matin. Ton pénis, non ton dard que dis-je ton rostre reproducteur se dresse. Rien n’est plus éminent que le sexe masculin et je défie le sexe faible de pouvoir dresser leur sexe à la seule force de leurs pensées.

En face de toi, ce n’est plus une femme mais une catin. Tu te dis quelle honte de laisser son vagin en pâture ! Tant pis pour elle, si elle ne fait pas preuve d’amour propre, toi tu ne vas pas te priver pour la pénétrer. Quatre milliards d’années d’évolution se sont écoulées pour aboutir à cet organe de soumission. Organe passif, fait pour être perforé et recevoir la semence… ta semence.

Du premier coup, ton pénis rentre. Ce n’est pas agréable dès les premiers assauts car malgré les sécrétions qui s’écoulent de son vagin, tu sens une petite résistance. Tu recules ton rostre et tu reviens à la charge tout doucement. Non pas par respect pour ta partenaire car tu n’en n’as aucun, sinon pourquoi la prendrais tu en levrette ? Non la raison t’est plus personnelle, la douleur t’est gênante lorsque tu tapes sur cette barrière imperceptible. Néanmoins, suite à ta détermination sexuelle infaillible mélangée à l’excitation de ta partenaire, le coup fatidique s’en suit très vite et ton rostre par un élan homérique assiège la dernière poche de résistance, telle la tête de loup éventrant la porte de Minas Tirith. Cette barrière dérobée, tu as accès à la partie profonde de son vagin, véritable place stratégique pour ton éjaculation. Tes sécrétions séminales qui suintent de ton prépuce gonflé de plaisir se confondent dans ses sécrétions vaginales. Ton pénis est ancré, plus rien ne peut compromettre ton projet.

S’en suit des coups de pénétration frénétiques. Ton gland embrasse ses parois vaginales de plus en plus fort. Le rostre glisse sur ses parois vaginales à chaque à-coup tel la coque d’un drakkar glissant sur l’eau. Chaque pénétration est motivée par le gémissement de ta captive. Mais comme tout général de guerre, tu es confronté à un problème de taille. Son vagin est en train de se foutre littéralement de ta gueule. Il te provoque et te met au défi. «Tu me défonces là ?» entends-tu au loin. S’en est trop, tu dois lui faire payer son insolence. Tu l’as pénètre de plus en plus fort, de plus en plus vite et toujours plus profondément. Cette fois tu n’entends plus aucune vocifération, son vagin étouffé par ton sexe ne dit plus mots. Ses seins, si ils sont assez longs, applaudissent au rythme maniaque des tiraillements de cette joute bestiale. Ton pubis cogne et gronde sur son fessier replet. Ta position t’autorise à admirer la chorale physique qui s’orchestre. Quant à elle, dans sa position, elle ne peut te regarder. De toute façon elle n’en n’a pas besoin. C’est toi qui doit jouir pas elle. Elle ne fait que s’offrir à toi. Tu vois tout d’elle et c’est tout ce qu’on demande pour une levrette. Une règle primordiale en levrette, est de ne pas être emmerdé pendant l’acte car une éjaculation requiert concentration. De toute façon à quoi pourrait-elle penser ? A vous 2, vous baladant au bord d’un lac ? A des câlins ? Le fait de te penser amoureux d’elle l’excite ?... Pensées naïves et triviales. Toi tu ne penses qu’à une chose : Littéralement défoncer son vagin et éjaculer dedans. C’est convenu pour ça et tu ne vas pas te gêner.

Après t’être suffisamment repaitre, tu sens cette petite chaleur qui te chatouille le fond de ta prostate. Tu le sens que ça va venir. La fréquence de tes pénétrations s’accélère tout en étant accompagnée d’une vigueur que Freud qualifierait de sauvage. Tes muscles fessiers se contractent comme si les cellules de ton corps savaient que ce moment était important pour toi. Tes mains tiennent fermement les hanches et caressent de temps en temps ses fesses. Cette sotte ne se rend même pas compte que tu vas éjaculer en elle. Elle est encore dans ses rêves de gamines. Cette chaleur rayonne de plus en plus fort. Tu viens à imaginer ta petite armée microscopique se préparer à assiéger l'ovaire de ta proie. Ton éjaculat va venir arroser son vagin fané par la fatigue.

Ta proie n'est plus qu'un sac à foutre pour toi. Ton visage ne peut s’empêcher d’échapper des rictus.
C'est bon ça arrive ! La chaleur traverse ton pénis ! Par un réflexe primaire hérité de tes ancêtres primitifs, tu l'as tiens bien fermement, tes bras encerclant solidement son ventre pour éviter «au cas où» qu'elle ne s'enfuie et tu enfonces le plus profondément ton rostre reproducteur au fond de son vagin. Dans sa cavité vaginale, c’est l’hécatombe. Ton sperme prisonnier depuis un long moment se déferle tel un torrent destructeur. Ne te justifie pas de la violence de ton éjaculat, si elle te vidait régulièrement les couilles, tes colères seraient moindre. Pour toi, un dernier petit va et vient pour bien disperser ta semence dans les parties encore épargnées. Ses tétons sont durs et de petits cratères ont émergé autour, ils servent initialement à humidifier ses tétons pour l’allaitement mais apparaissent aussi lorsque leur propriétaire est excitée. Elle comprend rapidement que tu as déposé en elle. Elle doit sentir la chaleur de ton foutre lui réchauffer les parois vaginales. Elle acquiesce un petit gémissement pour te faire comprendre qu’elle a bien reçu ta semence.

En conquérant victorieux, tu ressors ton vigoureux rostre reproducteur dont le bout laisse libre une petite goute de sperme. Le trou dans son vagin laissé par le retrait de ton rostre se referme tout doucement, tel des rideaux d’opéra marquant la fin d’une pièce exquise. Quand tout d’un coup, tu entraperçois un liquide blanc coulé de son orifice. C’est ton sperme mon grand ! Quel fierté de voir TON sperme couler de son vagin. Tel un fleuve, ta semence s’écoule en suivant les sillons qui ornementent ses lèvres pour finir s’écraser sur sa culotte encore présente au niveau de ses genoux. Ses lèvres sont encore dilatées et grandes ouvertes. Tu rêvasses sur ce que tu viens d’accomplir. Tu sondes ton esprit. Une partie de toi-même se demande comment les femmes peuvent-elles supporter cette soumission. Une partie plus magnanime de toi, remercie les parents de cette fille de l’avoir mis au monde. Merci à cet homme et cette femme de s’être aimé car sans cet amour, la fille sur laquelle tu t’es vidé les couilles n’existerait pas. Tu la vois se relever exténuée. Tu l’as toise avec un peu de mépris. Tu as tout fait ! La seule chose qu’elle a fait c’est se mettre à 4 pattes et te donner son vagin en pâture puis gémir de temps à autre. Néanmoins tu t’es vidé les couilles et c’est ce qui compte.
D’ailleurs, tu ressens une certaine satisfaction à la voir se rhabiller pour aller au collège en sachant qu’au plus profond d’elle se cache une partie de toi encore vivante tel un horcrux et dont ses parents et ses camarades de classe ne soupçonneront même pas.

Le mec fait une collection de pavé. Get paveted https://image.noelshack.com/fichiers/2018/46/6/1542448900-c45b3e24-89ee-47e5-ac0d-f63e19536d35.jpeg

Le 02 février 2019 à 01:21:13 maisbordel a écrit :
Jazz - Figaro - Fauteuil - Cigare

Maintenant je ne sors plus du tout, moi ma philosophie c'est pas de perdre du temps de vie dans des futilités, je me cultive en permanence

Je ris en voyant tous les moutons faire des "sorti antr ami olol" ou "je pare en vacence avec mé poto lolilol", le pire c'est que les gros moutons peuvent plus vivre sans passer des moments avec leur "ami pour la vi xd lol mdr"

Bien d’être dépendants des autres pour être heureux? Bien de passer des soirées à se bourrer la gueule comme des moutons conditionnés du système illusoire que la société capitaliste a inventé parce que et qui pensent que sortir c'est la réussite sociale?

Pendant que vous passez pour des abrutis en boite ou en soirée avec vos potes, moi je lis le Figaro, je me cultive, un cigare aux lèvres et un bon verre de whisky single malt 12 ans d'âge avec un fond de jazz, lové dans mon fauteuil en cuir italien c'est largement mieux que vos soirées de mougeons conditionnés lobotomisés corrompus les déchets

le figaro :rire:

le jeudi soir ou samedi soir, je me rends seul dans un des bars jazz ou lounge de qualité de ma ville, musique de qualité supérieure, avec des femmes bien plus poussée intellectuellement que la masse.
Ainsi, même en sortant, au lieu de lire des articles constructifs ainsi que des livres de qualité pour m'élever intellectuellement tout en écoutant un peu de Jazz seul chez moi, je discute de sujets divers et de qualité avec des inconnus, tout en passant une soirée qui à la fin m'aura beaucoup appris.
Me direz-vous, "pourquoi ne pas perdre un peu de neurones et de temps de vie en laissant notre cerveau jeter son attention sur des images en continue dans cette boîte rectangle pour se distraire, ou sortir ingurgiter des substances pour se faire plaisir, il n'y a point de mal à ceci, il faut savoir décompresser et oublier un peu le quotidien hein..."
Mais quel est le but concret, l'intérêt de celui-ci, pourquoi vouloir "décompresser et oublier son quotidien" ? Votre vie est-elle si médiocre que pour vouloir combler votre misère intellectuelle et sociale il vous faut "oublier" et "décompresser" ?
Ensuite vous me direz, "Je suis sûr que tu ne t'amuse pas comme ces personnes, ces ignares comme tu dis, comme ces 'petites gens', c'est obligatoire que tu sois comme cela, que tu ne t'amuse en aucun cas..."
Eh bien je ne pense pas pouvoir m'amuser comme eux, et que j'effectue mes distractions d'une autre manière.

Là je vais fumer un cigare Behike, une édition limitée de la marque Cohiba. Et j'ai décidé de le savourer aujourd'hui. Je sors donc le tranchoir pour libérer l'odeur délicate du tabac raffiné qui s'y cache... Petite flamme de briquet neutre Saint-Dupont, pour ne pas fausser les arômes de ce tabac roulé à la main par de petits travailleur cubains, et je m'assoie dans mon fauteuil matelassé en cuir des années 40 en laissant glisser mon peignoirs sur la moquette bordeau... Me lovant dans un petit drap de soie qui traînait sur la table basse dix-huitième, je sens les effluves du bourbon 12 ans d'âge dans mon verre à Whisky Swarovski qui s'amuse entre mes doigts et me rappel les folles soirées de la semaine passée sur les côtes californiennes... Je déplie le Figaro du jour que je n'ai pas encore lu... Et je m’imprègne des nouvelles du monde culturel et politique sur fond de jazz, le vinyle grésils parfois un peu dans le vieux tourne-disque, ajoutant nu charme certain à cette black musique.
Ma télévision passe les news de CNN en boucle, le son est volontairement coupé... J'hésite à zapper sur les milliers de chaines câblées... Sans doute y trouverais-je une session de Golf ou de Formule 1.
Il fait un peu sombre, les larges peupliers de la coure abritent mon salon de cette journée forte ensoleillée, j'allume donc un Ménorah et récupère mon monocle qui m'assurera une lecture bien plus agréable dans cette ambiance tamisée, ainsi qu'un cendrier pour ne pas souiller le tapis en peau d'Ours que j'ai déniché lors d'une vente aux enchère à Londres en début de saison.
Mon verre est terminé, il me fait valser la tête, mais m'a surtout ouvert l’appétit... J'hésite à terminer le homard sur lit de caviar béluga qui traîne dans le frigo depuis ce midi, ou appeler directement mon traiteur pour qu'il me fasse quelque chose de frais et d'original...
Il fait un peu frais en cet après-midi de printemps, je vais donc allumer la cheminée, nue comme un vers, mes épais rideau de soie cachant mon corps adipeux des touristes curieux de l'avenue Foch... Aristide, mon jeune lévrier dors dans son panier d'osier comme à l'accoutumée 

Putain le final du pavé levrette :

"Quand elle part au collège " ahahaha Mon Dieu

Le 02 février 2019 à 01:39:15 maisbordel a écrit :
Hey ! Salut... J'espère que cette lettre te donnera autant de joie que j'en ai eu à l'écrire.

Pose toi 5 minutes sur ton lit, ne fais rien d'autre pendant la lecture de cette lettre. Ouaip, faisons comme ça. Maintenant j'aimerais que tu me dédies quelques minutes de ta vie parce que c'que j'vais te dire là est super important.

T'sais ça fait maintenant 6 mois que j'te connais et même si nous n'étions pas les collègues les plus proches du monde au début... Et bien... Comment dire... J'trouve qu'on s'entend plutôt bien actuellement, j'aime bien venir te parler même si on s'capte que très rapidement dans la journée.

J'voulais te dire que j'comprends ta méfiance envers les gars, des gros cons j'en ai connu malheureusement... Mais j'sais aussi que ça ne sert à rien de se comporter comme eux car ils n'apportent que du malheur à leur entourage... J'sais que je ne suis pas comme eux mais qu'il est difficile de te l'prouver alors je t'invite à me connaître plus en détail et tu verras qu'avec le temps j'peux être quelqu'un de bien, drôle et attentionné (veuillez rayer la mention inutile, j'rigole).

En tout cas j't'apprécie vachement pour ce que tu es, c'que tu apportes, tes discussions, ton rire, ton humour, j'ai envie d'te connaître ouais, j'ai envie d'en apprendre plus sur toi.

C'pas une déclaration d'amour je t'arrête tout de suite... Mais si tu m'donnes l'opportunité de te connaître et bien peut-être que je t'en ferai une dans les mois à v'nir pourquoi pas...

J'espère que tu répondras positivement à cette demande, t'sais t'es pas obligée d'écrire une lettre pour me répondre, de toute façon qui fait ça aujourd'hui... Écrire des lettres... J'déconne j'sais qu'on se reverra la semaine prochaine au travail alors j'espère qu'on aura l'occasion d'en discuter.

Mais ça c'est si j'ai les cojones de t'envoyer cette lettre parce que ouais je l'ai déjà écrite mais j'ai peur, peur de ta réaction, peur du refus, peur du malaise, peur de m'être trompé sur tes sentiments, sur mes sentiments. En tout cas si tu la lis sache que j'ai fait un gros effort pour toi et ça c'est bien la preuve que je t'apprécie, ouais.

Quelqu'un a le vocaroo du khey qui l'avait dit à haute voix ??

Gg l'auteur, cette historien
Le pavé des insectes dans le cul dans la forêt dis moi que tu l'as stp
Ouin ouin j’habite dans un pays riche, ma maman me prépare de bons petits plats et j’ai un toit sur la tête mais je suis trop triste Déménage en Somalie le fragile tu verras ce que c’est la vraie vie les occidentaux ces grosses feignasses sans déconner les mecs ont tellement de temps libre pour penser qu’ils en deviennent dépressifs

J’entends souvent cette expression: « Saisis le moment! ». Facile à dire, pas facile à faire. À mon avis, l'expression est absurde. Et effectivement, on ne peut inviter les gens à faire ce qui est impossible. Je dis cela en en étant pleinement persuadé, parce que je l’ai expérimenté sur moi. J’ai essayé de saisir le moment, mais je n’ai pas réussi à l’attraper, je n’ai fait que casser ma montre. Je sais maintenant que c’est impossible. Il est de même impossible de « saisir l'époque », parce que c’est aussi un moment, plus grand simplement.

C’est autre chose si on dit: « Impressionnez ce qui se passe en ce moment.» C'est tout à fait autre chose. Par exemple: un, deux, trois! Il ne s’est rien passé! Je viens d'impressionner le moment pendant lequel il ne s’est rien passé. J’en ai parlé à Zabolotski. Cela lui a beaucoup plu et il est resté toute une journée à compter: un, deux, trois! Et il a noté que rien ne s’était passé.

Schwartz a surpris Zabolotski occupé à cela. Schwartz s’est lui aussi intéressé à ce moyen original pour impressionner ce qui se passe à notre époque, parce que, n’est-ce pas, ce sont les moments qui composent l'époque. Mais je vous prie de porter attention à ceci: c’est encore moi qui ai inventé cette méthode. Encore moi! Toujours moi! Tout simplement étonnant!

Ce qu’un autre a du mal à faire, avec quelle facilité je le fais! Je sais même voler. Mais je ne vais pas en parler, parce que de toute façon personne ne me croira.

Ce topic à fait partie d'un grand moment de ma vie

Je devais être en première à l'époque et j'ai lu ce topic en cours, j'ai taper un de mes plus gros fou rire en lisant les réponse des kheys (parce qu'en vrai, le pavé en lui même est pas si ouf, mais le topo était légendaire), le genre de fou rire incontrôlable, même en posant mon téléphone j'avais l'une des réponses ("le mec se croit dans battlefeid, il croit respawn sur la plage tranquille") du topic qui tournait en boucle dans ma tête. Résultat : Après 10 minutes de fou rire incontrôlé, le prof m'à virer et j'ai finis l'heure de cours en perm :rire:

No fake, je n'ai jamais raconter cette histoire à qui que ce soit, j'ai pas de potes khey irl :rire:

Rick & Morty > All

Pour être honnête, il faut avoir un très haut QI pour comprendre Rick et Morty. L'humour est extrêmement subtile, et, sans une solide compréhension de la physique théorique la majorité des blagues ne peuvent être comprises par le spectateur typique. Il y a aussi la vision nihiliste de Rick qui est adroitement tissée dans son personnage, sa philosophie personnelle s'inspire grandement de la littérature Narodnaya Volya par exemple. Les vrais fans comprennent tout ça, ils ont la capacité intellectuelle de vraiment apprécier les profondeurs de ces blagues, de réaliser qu'elle ne sont pas tout simplement drôle -mais qu'elles racontent quelque chose de profond sur LA VIE. Par conséquent ceux qui n'aiment pas Rick & Morty SONT de véritables idiots- en effet ils ne pourraient jamais apprécier,prenons par exemple, l'humour de la célèbre et récurrente phrase existentielle de Rick “Wubba Lubba Dub Dub,” qui est elle-même une référence cryptée à l'épique Père et Fils de Turgenev. J'aborde un rictus juste en imaginant un de ces simplet se tirant les cheveux en pleine confusion pendant que l'esprit génial de Dan Harmon imprègne son écran de télévision. Quels imbéciles... J'ai pitié de ces gens. 

Et oui, en effet j'AI vraiment un tatouage de Rick & Morty. Et non, vous ne pouvez pas le voir, c'est pour les yeux des dames seulement- et même elles doivent prouver qu'elles ont un QI d'au moins 5 point de plus ou de moins que le miens (de préférence de moins) avant. Rien de personnel gamin.

Je connais la meuf depuis 10 jours environ.
On est dans le meme open space.
On a eu un super bon feeling dès le début, meme si en temps normal elle aurait pu/du m'intidimer car elle est jolie + gros seins + bon cul + bon style + cliché de la parisienne qui a le cul chaud Mais elle était hyper cool et on a bien rigoler au début.

Généralement on va au meme metro mais on prend des lignes différentes, elle elle va chez ses parents blindés dans l'Ouest de Paris et moi je vais dans mon 19m2 de plouc de l'autre coté de Paris.
On s'arrete souvent à la boulangerie avant de prendre le metro, et je paye souvent son truc malgré ses protestations. 
Sinon elle me parle de son mec, ensemble depuis 1 mois et demi mais elle en marre blabla.

Moi comme un bon fdp je lui dis " au fond si c'est que le début et que ça se passe mal vaut peut-etre mieux couper court blablabla " 

Le soir meme, elle me propose de la suivre dans un bar avec ses potes. Je lui dis que je dois aller voir un pote mais que je les rejoins après. Je passe voir mon pote, et je rejoins le bar indiqué. J'arrive, elle est avec ses potes à une table. Je prends une chaise à une autre table, mais je suis vachement à l'écart. Elle le remarque, et vient me dire " Viens on va prendre une bière au comptoir tous les deux "
On va boire nos bières en discutant beaucoup, on se rapproche à fond elle devient hyper tactile.
Je devais partir, là elle m'accompagne dehors fumer une clope, me prend les deux mains et me dit dans les yeux :

" tu vois une meuf en ce moment ? "
La réponse est oui, mais je lui dis non 
Elle me fait un grand sourire, me dit " okay " puis je me casse.

Le lendemain elle me dit qu'elle a un truc à midi, et à midi elle me dit " j'ai laché mon mec " moi je suis trop content. Elle me dit " du coup faut que je me trouve un gars pour l'hiver alors je sors ce soir avec mes copines, tu veux venir ? "
Mais comme un con j'avais tellement peur d'etre friendzoné que je me suis inventé des potes à passer voir ce soir là.

Pas eu trop de nouvelles de la soirée, on s'est un peu écrit.
Le lendemain, elle me propose qu'on se capte le soir tous les deux. Je lui propose d'aller mater le match de LDC dans un bar.
Elle accepte, et c'est ELLE qui a proposé qu'on se capte. Je rentre, je me douche, je lui écris pour lui demander où et quand on se capte et elle répond pas à mes messages alors qu'elle est bien active sur messenger  Elle me laisse en plan. Moi, je force pas, j'insiste pas.

Le lendemain elle arrive au taf hyper en retard et me dit " désolée pour hier soir j'étais avec mon mec "
Je suis hyper choqué de l'apprendre mais j'essaie de le cacher. Je dis " Cool " et à midi elle me dit " tu veux qu'on mange tous les deux ? " ( les autres stagiaires savent qu'on se tourne autour ) je lui ai dit " non " et jme suis cassé solo au kebab 

Je commençais à tomber sous son charme en plus, mais je comprenais pas cette meuf.
Elle finissait plus tot que moi qui devait rattraper une heure.
On s'est pas parlés de l'aprem, ni par fb ni de vive voix ( on est en face dans l'open space), à chaque fois que je la voyais prendre son tel pour écrire un texto j'imaginais que c'était à un mec et je pétais un cable.
Elle se barre donc plus tot en disant "salut tout le monde" et moi je dis rien.
Je pars une heure après elle, elle m'attendait en bas dans les canapés de l'entrée 

Elle me propose d'aller boire un verre tous les deux, j'accepte. On y va on commence à discuter à fond, on reste ensemble de 19 à 22h, heure à laquelle je dois rentrer car je dors pas chez moi car je laisse l'appart à mon coloc qui accueille sa copine, et je devais dormir chez un pote. Mais le pote en question ( pas fiable du tout ) annule au DERNIER moment en me disant qu'il veut voir personne car il est en descente (le chomage  ) du coup je me retrouve sans plan. Je dis à la meuf que j'ai une galère, elle me dit " essaie de trouver un autre plan si t'as nulle part ou aller tu viens chez moi mais il y a mes parents par contre " je lui dis " oui ok tkt " et là je cherche un autre plan. Je me casse.

Je trouve un pote qui m'héberge, et je lui dis que je dors chez une meuf , chez " une pote "
Elle me répond PAS  Je vais dormir chez mon pote, et à 3h du mat elle m'envoie " t'es ou " elle était sans doute bourrée 
Le lendemain au taf, je la calcule tranquille et elle me fait un peu la gueule mais veut pas me dire pourquoi.
Puis le soir, rebelote, je suis chez un pote et je lui envoie un message de son tel car j'ai plus de batterie, je lui demande ce qu'elle fait ce soir. Elle répond vers 2-3h du mat " t'es ou ??? " 

Vendredi aprem, on bosse pas. On sort du taf elle me dit " tu fais quoi là ? " je lui dis " jsuis crevé je rentre faire une sieste " et elle me dit " viens faire la sieste chez moi "   
On passe à sushi shop, elle paye 50 balles de sushis.
On prend le metro.
On va chez elle, appart de fou hyper grand avec vue hyper stylée.
On mange, et elle me dit " T'as l'air hyper fatigué, tu veux pas aller dormir ? Installe toi dans ma chambre "
Je lui dis " oui okay mais toi tu vas faire quoi ? "
Elle me dit quoi " Je dois aller faire des trucs mais tkt reste ici, prends une douche si tu veux et si tu peux juste sortir le chien au bois de boulogne vers 16h30 c'est super, je rentre à 18h30 "  
Et là elle se casse, pas un bisou, pas un calin, pas UN truc ambigu 
Je vais dormir dans son lit et je me roule dans ses draps.
J'étais dans un état trop vénère,entre rage et joie 

Je me réveille, je sors le chien, je rentre chez elle, jme douche, et là elle m'écrit quoi ? " Si t'as des trucs à faire tu peux t'en aller et laisse les clefs dans le café en bas " elle me fait comprendre de dégager.
Du coup jme suis cassé après un texto " je suis parti merci " et voilà.
Le soir vers 22h elle m'écrit " bien ta soirée ? " j'ai pas répondu car un peu vexé.
Et là ce matin je vois qu'elle a essayé de m'appeler cette nuit et mon pote me dit qu'elle lui a écrit ( celui dont j'ai pris le portable pour lui écrire un soir) pour lui demander si j'étais avec lui.

Donc voilà, je sais pas trop si cette meuf me kiffe ou pas, et ce que je dois faire. Sachant qu'elle est un peu instable et compliquée et que on est au taf ensemble donc bon 

Mage noir = Puceau de plus de 30 ans. Ils sont vénérés par le forum car ils ont "réussi" à "se priver" de femme durant toute leur vie. Les guillemets sont présents pour témoigner de la mythomanie des forumeurs qui inversent les rôles en clamant que de par leur pureté, ils ne veulent pas se souiller au contact de la femme qui incarne à elle seule, le vice, la luxure, la manipulation, le mensonge, la faiblesse, la bassesse, la vulgarité, la superficialité alors qu'en réalité ils rêvent ou tentent désespérément de perdre leur pucelage. La légende du Mage Noir raconte que de par sa pucellerie infinie, en échange de l'absence totale de vice en lui, il acquerra à 30 ans d'extraordinaires pouvoirs capables de figer le temps et l'espace et attirera vers lui un amoncellement de femmes en chaleur qu'il repoussera, aucune n'étant digne de lui. Diverses spécialisations et grades existent chez les Mages Noirs :
18 ans : Full puceau
21 ans : Déchet de la société
25 ans : Guerrier Solitaire
30 ans : Mage Noir
40 ans : Archimage
50 ans : Overlord ou seigneur de guerre
58 ans : Modérateur
65 ans : Terreur de la lumière
70 ans : Eternal
75 ans : Spectre
80 ans : Immanant ou empereur du chaos
90 ans : Transcendant
100 ans : Entité d'énergie pure
Bon cette fois ci les kheys c'est la fin :hap:

Le pavé mma et la vie cette sale race, indémodables :cimer:

Le pavé boucher belle découverte

Données du topic

Auteur
maisbordel
Date de création
2 février 2019 à 00:51:58
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