« Léon » c’est vraiment un film bizarre

Le 09 décembre 2018 à 15:13:54 Kage_V a écrit :
La fille est amoureuse de Léon, et oui limite elle voulait se faire baiser. Et ? Justement leur relation est réaliste, c'est d'ailleurs pour ça qu'elle est touchante, ET au final y'a rien de pédophile, aucun réel attouchement rien.

(et oui Luc Besson est chelou, rien qu'à voir ses récentes affaires d’agressions sexuel)

Bref ceux à qui ça choque vous avez vu très peu de film dans votre vie.

D'ailleurs c'est le cas de beaucoup de gamines il me semble, d'être amoureuse de leur prof ou autres conneries

Heureusement le type en face est un minimum adulte pour savoir où mettre les limites quoi, dans 90% des cas

Le 09 décembre 2018 à 15:10:28 AntresSibyllins a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 15:02:01 Lornithorynque8 a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:54:39 AntresSibyllins a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:50:17 Lornithorynque8 a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:44:10 AntresSibyllins a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:41:10 Lornithorynque8 a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:38:14 AntresSibyllins a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:36:51 Lornithorynque8 a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:33:03 AntresSibyllins a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:30:15 Lornithorynque8 a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:27:13 heycaramba a écrit :
Vu les barrières mentales que tu t’infliges c’est normal de pas aimer un film qui sort de l’ordinaire

L'ordinaire c'est plutôt la mode des films de petits bourgeois qui veulent se la jouer "subversif" alors qu'en réalité ils se complaisent dans l'obscénité. Léon en fait partie.

Qu'est ce que tu casses les couilles avec ton raisonnement simpliste sur tous le films un peu subversifs "c'est pour les bourgeois" c'est pour ça que le film a aussi bien marché sur le grand public ?

Justement ce n'est pas subversif. Bunuel, Rocha ou Paso ça l'est, les Lanthimos ou Noé c'est de la complaisance dans de l'obscénité, c'est tout.

Et le nombre d'entrées ne veux strictement rien dire, ça n'est qu'une histoire de marketing (orchestre par des bourgeois justement) depuis la fin des années 70

Oui oui, tu répètes les mêmes conneries sur tous les topics c'est affligeant, va te cultiver stp. Lolita de Nabokov c'est du marketing bourgeois des années 70? La figure de la Lolita a pas attendu Besson pour exister Romuald.

Lolita ce n'est pas de la complaisance bien au contraire. Mais bon, apparemment la distanciation (coucou Bretch) ça ne te dit rien. Et après ça parle de culture

Quel rapport avec la complaisance le demeuré, je te parle de la figure de la Lolita
Putain t'es ridicule c'est comme la fois où t'as passé 10 pages à faire le malin sur le beau, j't'ai mis une gifle et t'as pas osé répondre. Retourne te branler sur Brecht qui n'a par ailleurs rien inventé.

En même temps pourquoi tu me parles de la figure de la Lolita ? Moi je te parle de complaisance dans l'obscénité et tu me réponds que ce n'est pas Besson qui a inventé la Lolita, je le sais très bien et ça n'a strictement aucun rapport avec ce dont je parlais avant.

Dans ce cas explique moi bien en quoi c'est de la complaisance. Je vais faire un effort pour t'entendre débiter tes conneries une dernière fois. Ensuite je t'expliquerai pourquoi j'ai parlé de Lolita même si j'aurais pu prendre la figure de Delphine dans Guignols Band de Céline. Non parce que tes pseudo analyses sur les bourgeois subversifs digne d'un enfant c'est fatiguant à la longue.

C'est le fait de filmer ça sans aucun procédé de distanciation justement et sans jamais le remettre en question. Il y a même certains réals qui vont encore plus loin et tentent même de rendre ce genre de choses "fun" (la scène de torture dans Reservoir Dogs par exemple), ce n'est pas vraiment Lee cas de Besson pour le coup mais ça reste pas la joie.

Sinon le truc avec le sublime/beau je l'avais vu et j'allais te répondre que c'était très intéressant et admettre que je parlais plutôt du sublime et non du beau mais vu que tu t'étais amusé à insulté bien violemment comme un malpropre je t'avais juste ddb et tu t'étais fait ban.

J'ai jamais trouvé que le processus de distanciation était intéressant et pertinent en cinéma puisqu'il utilise surtout des procédés littéraires en essayant parfois de cacher cette erreur par de la mise en scène bancale. Sur ce point je vois pas trop où je pourrais te convaincre parce que ça touche directement à des procédés issus des mœurs et de la morale et je fais parti des gens qui arrivent à apprécier une œuvre sans que ces dernieres aient un impact direct sur la narration. Pour le coup c'est deux vision. Je veux bien le reconnaître.

Ah merde c'est pour ça que j'avais été ban
Pour le coup je t'avais insulté parce que t'avais été méprisant sur 10 pages, c'était loin d'être de l'amusement mais si je reconnais que parfois j'y prends un certain plaisir.

J'avoue que j'avais fait l'enfoire sur le coup , surtout que tu avais pris pas mal de temps pour écrire.

Mais oui, c'était vraiment intéressant, tu conseillerais de commencer par Platon et d'autres philosophes de l'Antiquité d'ailleurs ou de passer directement à des philosophes plus "récents" pour cette question d'ailleurs ?

Le 09 décembre 2018 à 15:19:15 Lornithorynque8 a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 15:10:28 AntresSibyllins a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 15:02:01 Lornithorynque8 a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:54:39 AntresSibyllins a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:50:17 Lornithorynque8 a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:44:10 AntresSibyllins a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:41:10 Lornithorynque8 a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:38:14 AntresSibyllins a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:36:51 Lornithorynque8 a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:33:03 AntresSibyllins a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:30:15 Lornithorynque8 a écrit :

Le 09 décembre 2018 à 14:27:13 heycaramba a écrit :
Vu les barrières mentales que tu t’infliges c’est normal de pas aimer un film qui sort de l’ordinaire

L'ordinaire c'est plutôt la mode des films de petits bourgeois qui veulent se la jouer "subversif" alors qu'en réalité ils se complaisent dans l'obscénité. Léon en fait partie.

Qu'est ce que tu casses les couilles avec ton raisonnement simpliste sur tous le films un peu subversifs "c'est pour les bourgeois" c'est pour ça que le film a aussi bien marché sur le grand public ?

Justement ce n'est pas subversif. Bunuel, Rocha ou Paso ça l'est, les Lanthimos ou Noé c'est de la complaisance dans de l'obscénité, c'est tout.

Et le nombre d'entrées ne veux strictement rien dire, ça n'est qu'une histoire de marketing (orchestre par des bourgeois justement) depuis la fin des années 70

Oui oui, tu répètes les mêmes conneries sur tous les topics c'est affligeant, va te cultiver stp. Lolita de Nabokov c'est du marketing bourgeois des années 70? La figure de la Lolita a pas attendu Besson pour exister Romuald.

Lolita ce n'est pas de la complaisance bien au contraire. Mais bon, apparemment la distanciation (coucou Bretch) ça ne te dit rien. Et après ça parle de culture

Quel rapport avec la complaisance le demeuré, je te parle de la figure de la Lolita
Putain t'es ridicule c'est comme la fois où t'as passé 10 pages à faire le malin sur le beau, j't'ai mis une gifle et t'as pas osé répondre. Retourne te branler sur Brecht qui n'a par ailleurs rien inventé.

En même temps pourquoi tu me parles de la figure de la Lolita ? Moi je te parle de complaisance dans l'obscénité et tu me réponds que ce n'est pas Besson qui a inventé la Lolita, je le sais très bien et ça n'a strictement aucun rapport avec ce dont je parlais avant.

Dans ce cas explique moi bien en quoi c'est de la complaisance. Je vais faire un effort pour t'entendre débiter tes conneries une dernière fois. Ensuite je t'expliquerai pourquoi j'ai parlé de Lolita même si j'aurais pu prendre la figure de Delphine dans Guignols Band de Céline. Non parce que tes pseudo analyses sur les bourgeois subversifs digne d'un enfant c'est fatiguant à la longue.

C'est le fait de filmer ça sans aucun procédé de distanciation justement et sans jamais le remettre en question. Il y a même certains réals qui vont encore plus loin et tentent même de rendre ce genre de choses "fun" (la scène de torture dans Reservoir Dogs par exemple), ce n'est pas vraiment Lee cas de Besson pour le coup mais ça reste pas la joie.

Sinon le truc avec le sublime/beau je l'avais vu et j'allais te répondre que c'était très intéressant et admettre que je parlais plutôt du sublime et non du beau mais vu que tu t'étais amusé à insulté bien violemment comme un malpropre je t'avais juste ddb et tu t'étais fait ban.

J'ai jamais trouvé que le processus de distanciation était intéressant et pertinent en cinéma puisqu'il utilise surtout des procédés littéraires en essayant parfois de cacher cette erreur par de la mise en scène bancale. Sur ce point je vois pas trop où je pourrais te convaincre parce que ça touche directement à des procédés issus des mœurs et de la morale et je fais parti des gens qui arrivent à apprécier une œuvre sans que ces dernieres aient un impact direct sur la narration. Pour le coup c'est deux vision. Je veux bien le reconnaître.

Ah merde c'est pour ça que j'avais été ban
Pour le coup je t'avais insulté parce que t'avais été méprisant sur 10 pages, c'était loin d'être de l'amusement mais si je reconnais que parfois j'y prends un certain plaisir.

J'avoue que j'avais fait l'enfoire sur le coup , surtout que tu avais pris pas mal de temps pour écrire.

Mais oui, c'était vraiment intéressant, tu conseillerais de commencer par Platon et d'autres philosophes de l'Antiquité d'ailleurs ou de passer directement à des philosophes plus "récents" pour cette question d'ailleurs ?

Celle du beau? Honnêtement ouais, tu peux commencer vite fait par Platon et Aristote (que je trouve bien plus intéressant) mais très rapidement parce que notre conception esthétique s'est énormément éloignée pour te diriger vers Kant ou Hegel. Franchement c'est au feeling mais c'est vrai que l'Hippias majeur et La Poétique ça permet déjà d'avoir une vision bien différente de ce qu'on a aujourd'hui et même si j'adhère pas sur tout c'est utile pour la suite. C'est vraiment pas long en plus. Bon, sans rancune, allez, j'ai moi même été bien virulent.