Topic de GauloisVenere :

[BORDEL] Le massacre de San Fernando :malade:

Le 30 juillet 2018 à 16:42:27 SaintPatrice93 a écrit :
Non mais l'histoire des 1vs1 a la batte la mais chaud de croire a ces legendes sans aucune preuve olol 1 temoin de la scene a raconté mais oui bien sur

Ca viens du journal El Informador et ca viens du temoignage d'un survivant. Donc au final que du vent, je vois pas comment un survivant peu avoir autant de details alors que dans son temoignage il le dit lui meme qu'ils ont eters separes

Les 200k de morts comportent beaucoup beaucoup de flics corrompu de politiciens véreux et en majorité des sales types qui sont dans les trafics.

Après y a bien sûr des innocents comme les militaires et quelques flics, juges et des migrants voir quelques mexicains qui ont pris des balles perdu

Par conte si vous allez au Mexique faites confiance à personne des autorités sauf à la limite une parti des militaires.

Les flics sont des fdp de corrompu et ils font du zèle avec les gars lambda comme nous

Hors ça et faire gaffe à pas deconner, c est un pays magnifique avec les gens les plus sympa au monde, la bouffe est bonne peu cher, les boites de nuit sont géantes !!!

Et les filles sont chaude comme les cartels haha :bave:

Ils ne se sont pas fait niquer par le cartel de Sinaloa Los Zetas ?

Le 30 juillet 2018 à 16:59:15 blablaplop410 a écrit :
Ils ne se sont pas fait niquer par le cartel de Sinaloa Los Zetas ?

No'p, ils sont encore en activité dans la région Chihuahua et Nuevo Leon.
Par contre en Nuevo Leon y'as aussi le CDG et c'est eux qu'on les routes principales pour le traffic en direct de Reynosa sur la côte est américaine, N.Y et compagnie.
Et sur la côte ouest y'as Sinaloa qui gère tout son réseau de tunnel comme d'hab et envoie des tonnes de poudre au bonne gens d'Hollywood. :hap:

En gros los Zetas survit grâce au cartel de Juarez qui eux aussi on une bonne route avec le traffic en direct live vers El Paso.

Mais en terme de fric, Sinaloa et le CDG sont au dessus. Ils contrôlent les meilleurs routes.

En résumé ils se sont fait baiser par l'alliance Sinaloa-CDG oui. :noel:

Le 30 juillet 2018 à 17:05:25 Suricate1er a écrit :

Le 30 juillet 2018 à 16:59:15 blablaplop410 a écrit :
Ils ne se sont pas fait niquer par le cartel de Sinaloa Los Zetas ?

No'p, ils sont encore en activité dans la région Chihuahua et Nuevo Leon.
Par contre en Nuevo Leon y'as aussi le CDG et c'est eux qu'on les routes principales pour le traffic en direct de Reynosa sur la côte est américaine, N.Y et compagnie.
Et sur la côte ouest y'as Sinaloa qui gère tout son réseau de tunnel comme d'hab et envoie des tonnes de poudre au bonne gens d'Hollywood. :hap:

En gros los Zetas survit grâce au cartel de Juarez qui eux aussi on une bonne route avec le traffic en direct live vers El Paso.

Mais en terme de fric, Sinaloa et le CDG sont au dessus. Ils contrôlent les meilleurs routes.

En résumé ils se sont fait baiser par l'alliance Sinaloa-CDG oui. :noel:

Merci pour toutes ces précisions khey https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png

Ce pays est foutu. Je n'irais jamais là bas.
Je ne vois pas comment le Mexique peut s'en sortir !
Et dire que ces chefs de cartels sont érigés en héros chez nous comme Escobar, El Chapo... Tu peux acheter des posters, des t-shirts ça me dégoute.

Le 30 juillet 2018 à 16:37:01 DiablesBleus a écrit :
Vous pensez que c'est génétique ce genre de merde ? C'est chaud d'être aussi violents

c'est ce que je me demandais, est-ce que c'est dans leur nature ? Est-ce que c'est sociologique ?

Je peux pas croire que les mecs "dangereux" de chez nous pourraient être aussi fous même s'ils vivaient dans une merde comparables aux barrios du mexique

Bah là bas tu peux tuer en "toute liberté"

Y aurait beaucoup plus de gens comme ça en France et Europe si la justice était autant laxiste

Le 30 juillet 2018 à 16:01:15 Bondrewdo a écrit :

Le 30 juillet 2018 à 15:49:16 LivreurDeHentai a écrit :
En vrais ce pays on devrait l'enfermé les gaucho qui scandale pour le mur alors qu'une heure au Mexique tu les retrouvent avec la gorge défoncé

Vous comprenez pas que les cartels c'est surtout au Nord du pays, comme PAR HASARD près de la frontière américaine? :)

Los Zetas a été crée par des anciens commandos mexicains formés par la CIA pour combattre les guerrilla communistes,c'est l'enfant légitime du libéralisme les cartels :)

Le 31 juillet 2018 à 00:36:46 a2k a écrit :
Ce pays est foutu. Je n'irais jamais là bas.
Je ne vois pas comment le Mexique peut s'en sortir !
Et dire que ces chefs de cartels sont érigés en héros chez nous comme Escobar, El Chapo... Tu peux acheter des posters, des t-shirts ça me dégoute.

Oui, leur série de merde ils te montre que des échanges de coups de feu entre cartel, c'est pas du tout ça la réalité.

[16:48:34] <JeanJasmin>

Le 30 juillet 2018 à 16:42:27 SaintPatrice93 a écrit :
Non mais l'histoire des 1vs1 a la batte la mais chaud de croire a ces legendes sans aucune preuve olol 1 temoin de la scene a raconté mais oui bien sur

Ca viens du journal El Informador et ca viens du temoignage d'un survivant. Donc au final que du vent, je vois pas comment un survivant peu avoir autant de details alors que dans son temoignage il le dit lui meme qu'ils ont eters separes

C'est une fic d'un khey mexicain

Le 30 juillet 2018 à 15:14:36 GauloisVenere a écrit :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_2011_à_San_Fernando

Bordel est ce que ça existe pire engeance du démon que les cartels mexicains ? :malade:

"Le 18 avril 2011, le journal mexicain El Informador publie le témoignage anonyme d'un survivant du massacre du 25 mars.

Selon son témoignage, il se trouvait ce jour-là dans un autobus de la compagnie Autobuses de Oriente (ADO) en direction de Reynosa, une ville industrielle située au bord du Río Grande, à la frontière avec les États-Unis. En début de soirée, le bus fait son arrêt obligatoire à San Fernando. À la station, deux personnes descendent et deux autres montent, pour un total de 15 passagers. Le chauffeur reprend la route à environ 20 h 30 le plus vite possible, effrayé à l'idée d'être victime d'un des cartels qui opèrent en ville1.

Alors que le bus quitte San Fernando, le conducteur remarque des camions qui bloquent l'autoroute en avant, et des hommes portant des masques de ski et armés de fusils d'assaut AR-15. Ces hommes font signe au bus de s'arrêter et le conducteur obtempère. Ils s'approchent, armes pointées vers le véhicule, et s'écrient : « Ouvre la porte cabrón, bouge hijo de puta si tu ne veux pas que je te tire dans la tête ». Le chauffeur, tremblant, ouvre la porte et les assaillants s'engouffrent dans le bus. « Vous êtes tous dans la merde » crie l'un d'entre eux aux passagers. Ces derniers sont terrorisés, certains se mettent à pleurer, pensant qu'il s'agit d'un vol à main armée.

Les assaillants ordonnent au conducteur de redémarrer et le font prendre un chemin de terre pendant une dizaine de kilomètres jusqu'à une plaine, « au milieu de nulle part ». Là sont déjà garés une vingtaine de camions et trois autobus, certains troués de balles, les pneus crevés et les fenêtres brisées. Le conducteur se voit demandé d'arrêter le bus, puis les hommes de descendre. Ils sont alignés et les membres du cartels commencent à les trier du plus jeune au plus vieux et du plus fort au plus faible. Ceux qui paraissent être les plus vieux ou les plus faibles sont séparés du groupe, leurs chevilles sont attachées et ils sont emmenés ailleurs. Les hommes restants doivent enlever leur chemise et attendre. Un homme habillé d'un uniforme noir et équipé d'un gilet pare-balles sort d'un des camions et s'approche. Il est appelé Comandante 40 par les autres, plus connu sous son nom : Miguel Treviño Morales. C'est un des chefs des Zetas. Il s'adresse aux hommes alignés et dit avec une voix puissante : « voyons voir cabrones, qui veut vivre ? ». Personne ne répond. Un adolescent s'urine dessus accidentellement sous l'effet du stress, et le Comandante 40 l'abat d'une balle dans la tête. Puis il crie « je vais vous le demander encore une fois, qui veut vivre ? ». Tous les hommes lèvent la main. « Bien, nous allons vous tester pour voir de quoi vous êtes capables. Si vous réussissez vous vivez, sinon vous êtes dans la merde. ». Le Comandante demande ensuite à ses hommes d'amener des battes et des clubs, et chacun des hommes alignés en reçoit une ou un. Ils sont ensuite mis par paires, et Treviño Morales dit alors : « très bien, cassez-vous la gueule ».

Un des passagers s'approche de lui et lui dit en pleurant : « S'il-vous-plaît monsieur, je ne veux pas faire ça. Je vous donnerai tout l'argent que j'ai et ma propre maison, mais s'il-vous-plaît laissez-nous partir ». Treviño Morales le regarde avec fermeté, lui prend son club et lui dit : « ok idiot, pars ». Alors que l'homme s'éloigne, il le frappe violemment derrière la tête avec sa batte, puis s'acharne en lui portant plus de vingt coups jusqu'à ce que sa tête soit complètement détruite. Il se retourne vers les autres victimes et leur déclare : « c'est ce que vous avez à faire, portez vos couilles. Ceux qui ne veulent pas peuvent me le dire et je vous exploserai ». Tous les hommes commencent à se battre. Pendant ce temps, les membres des Zetas toujours présents dans le bus choisissent les femmes qu'ils considèrent comme étant les plus belles et les font descendre du véhicule pour pouvoir les violer. Ils arrachent les enfants à leurs mères, puis abattent les derniers passagers. Les femmes sont emmenées dans un entrepôt où d'autres femmes sont déjà retenues captives. À l'intérieur d'une pièce plongée dans le noir, les femmes sont violées et battues, d'après leurs cris et ceux des enfants plongés dans de l'acide. Un des conducteurs se voit demandé de redémarrer et diriger le bus vers l'endroit où les victimes qui avaient été attachées sont allongées au milieu du chemin de terre. « Roule-leur dessus », dit un des tueurs au chauffeur, qui reste immobile. « Roule-leur dessus où tu les rejoins, cabrón », répète l'homme. Pendant que le chauffeur écrase ses passagers, il a l'impression de rouler sur des dos-d'ânes, à la différence près qu'il peut entendre les cris des victimes. À la fin, il est abattu d'une balle dans la tête, et le bus est incendié. Treviño Morales rassemble ses hommes et leur dit : « nous nous sommes assez amusé pour cette nuit. Amenez les vainqueurs ». Ils amènent devant lui les survivants des combats entre passagers1.

Le Comandante 40 leur dit alors : « bienvenue chez les Forces spéciales Zetas, l'autre armée »"

Les Serbes pendant la guerre de Bosnie étaient pas mal non plus.

Les habitants de ce continent ont toujours été connus pour leur cruauté et leur violence sanguinaire

Déjà à l’epoque des incas ou des aztèques, le sacrifice humain fessait partie de leur culture religieuse

Le 13 avril 2020 à 05:28:10 Drogba-MLS20 a écrit :
Les habitants de ce continent ont toujours été connus pour leur cruauté et leur violence sanguinaire

Déjà à l’epoque des incas ou des aztèques, le sacrifice humain fessait partie de leur culture religieuse

On lui dit ?

Le 30 juillet 2018 à 15:14:36 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_2011_à_San_Fernando

Bordel est ce que ça existe pire engeance du démon que les cartels mexicains ? :malade:

"Le 18 avril 2011, le journal mexicain El Informador publie le témoignage anonyme d'un survivant du massacre du 25 mars.

Selon son témoignage, il se trouvait ce jour-là dans un autobus de la compagnie Autobuses de Oriente (ADO) en direction de Reynosa, une ville industrielle située au bord du Río Grande, à la frontière avec les États-Unis. En début de soirée, le bus fait son arrêt obligatoire à San Fernando. À la station, deux personnes descendent et deux autres montent, pour un total de 15 passagers. Le chauffeur reprend la route à environ 20 h 30 le plus vite possible, effrayé à l'idée d'être victime d'un des cartels qui opèrent en ville1.

Alors que le bus quitte San Fernando, le conducteur remarque des camions qui bloquent l'autoroute en avant, et des hommes portant des masques de ski et armés de fusils d'assaut AR-15. Ces hommes font signe au bus de s'arrêter et le conducteur obtempère. Ils s'approchent, armes pointées vers le véhicule, et s'écrient : « Ouvre la porte cabrón, bouge hijo de puta si tu ne veux pas que je te tire dans la tête ». Le chauffeur, tremblant, ouvre la porte et les assaillants s'engouffrent dans le bus. « Vous êtes tous dans la merde » crie l'un d'entre eux aux passagers. Ces derniers sont terrorisés, certains se mettent à pleurer, pensant qu'il s'agit d'un vol à main armée.

Les assaillants ordonnent au conducteur de redémarrer et le font prendre un chemin de terre pendant une dizaine de kilomètres jusqu'à une plaine, « au milieu de nulle part ». Là sont déjà garés une vingtaine de camions et trois autobus, certains troués de balles, les pneus crevés et les fenêtres brisées. Le conducteur se voit demandé d'arrêter le bus, puis les hommes de descendre. Ils sont alignés et les membres du cartels commencent à les trier du plus jeune au plus vieux et du plus fort au plus faible. Ceux qui paraissent être les plus vieux ou les plus faibles sont séparés du groupe, leurs chevilles sont attachées et ils sont emmenés ailleurs. Les hommes restants doivent enlever leur chemise et attendre. Un homme habillé d'un uniforme noir et équipé d'un gilet pare-balles sort d'un des camions et s'approche. Il est appelé Comandante 40 par les autres, plus connu sous son nom : Miguel Treviño Morales. C'est un des chefs des Zetas. Il s'adresse aux hommes alignés et dit avec une voix puissante : « voyons voir cabrones, qui veut vivre ? ». Personne ne répond. Un adolescent s'urine dessus accidentellement sous l'effet du stress, et le Comandante 40 l'abat d'une balle dans la tête. Puis il crie « je vais vous le demander encore une fois, qui veut vivre ? ». Tous les hommes lèvent la main. « Bien, nous allons vous tester pour voir de quoi vous êtes capables. Si vous réussissez vous vivez, sinon vous êtes dans la merde. ». Le Comandante demande ensuite à ses hommes d'amener des battes et des clubs, et chacun des hommes alignés en reçoit une ou un. Ils sont ensuite mis par paires, et Treviño Morales dit alors : « très bien, cassez-vous la gueule ».

Un des passagers s'approche de lui et lui dit en pleurant : « S'il-vous-plaît monsieur, je ne veux pas faire ça. Je vous donnerai tout l'argent que j'ai et ma propre maison, mais s'il-vous-plaît laissez-nous partir ». Treviño Morales le regarde avec fermeté, lui prend son club et lui dit : « ok idiot, pars ». Alors que l'homme s'éloigne, il le frappe violemment derrière la tête avec sa batte, puis s'acharne en lui portant plus de vingt coups jusqu'à ce que sa tête soit complètement détruite. Il se retourne vers les autres victimes et leur déclare : « c'est ce que vous avez à faire, portez vos couilles. Ceux qui ne veulent pas peuvent me le dire et je vous exploserai ». Tous les hommes commencent à se battre. Pendant ce temps, les membres des Zetas toujours présents dans le bus choisissent les femmes qu'ils considèrent comme étant les plus belles et les font descendre du véhicule pour pouvoir les violer. Ils arrachent les enfants à leurs mères, puis abattent les derniers passagers. Les femmes sont emmenées dans un entrepôt où d'autres femmes sont déjà retenues captives. À l'intérieur d'une pièce plongée dans le noir, les femmes sont violées et battues, d'après leurs cris et ceux des enfants plongés dans de l'acide. Un des conducteurs se voit demandé de redémarrer et diriger le bus vers l'endroit où les victimes qui avaient été attachées sont allongées au milieu du chemin de terre. « Roule-leur dessus », dit un des tueurs au chauffeur, qui reste immobile. « Roule-leur dessus où tu les rejoins, cabrón », répète l'homme. Pendant que le chauffeur écrase ses passagers, il a l'impression de rouler sur des dos-d'ânes, à la différence près qu'il peut entendre les cris des victimes. À la fin, il est abattu d'une balle dans la tête, et le bus est incendié. Treviño Morales rassemble ses hommes et leur dit : « nous nous sommes assez amusé pour cette nuit. Amenez les vainqueurs ». Ils amènent devant lui les survivants des combats entre passagers1.

Le Comandante 40 leur dit alors : « bienvenue chez les Forces spéciales Zetas, l'autre armée »"

Certaines autorités ne se demande si il ne s'agit pas juste d'un récit volontairement abusé par un complice du cartel se positionnant en rescapé, histoire de répandre la peur sans faire couler trop de sang.

On est cependant sûr qu'au moins la moitié des passagers du bus sont morts, mais même l'histoire du recrutement est pas avérée.

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GauloisVenere
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30 juillet 2018 à 15:14:36
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