(RISITAS) La revanche d'un Célestin au lycée
Le 14 juillet 2018 à 00:00:35 [jv]supermais3 a écrit :
Par contre, j'admets que je suis un peu déçu par Camille, je pensais que c'était une fille pure, pas une fille qui embrasse un type juste parce qu'il y a une attirance physique
Moi aussi j'ai été trompé par le sticker
Il a pris 30 pages carrément
Salut khey 
Je suis un PUR ghostfag, mais là vraiment jsuis sur le cul.
J'ai passé la nuit à lire, j'ai pas ri autant sur le net depuis un bout de temps
Je lis pas mal de romans et franchement ton récit est prenant et t'as de réelles qualités d'écriture, j'aimerais voir une autre histoire de ta part un jour, pq pas un truc plus sérieux 
Fin bref du bon boulot clé 
je m’etait arrêté au 28 je crois C’est un récit incroyable
Je suis sur le cul , merci pour le risitas clé
Le 13 juillet 2018 à 23:57:41 ywaal a écrit :
Hey, je ne trouve pas l'episode 7.
Tu l'as reposté à un moment?
Je l'avais reposté mais il a été 410. Je le reposte
Le 14 juillet 2018 à 03:28:27 TDND a écrit :
sinon il est arrivé quoi à A ?
Je sais pas, je n'ai plus trop eu de nouvelles de lui après la 2nd
Le 14 juillet 2018 à 07:14:21 PtitCieuxPEM a écrit :
Bordel j’ai tout lu
C’est un récit incroyable
Je suis sur le cul , merci pour le risitas clé
Merci khey 
Le 14 juillet 2018 à 05:10:54 -Sycamore- a écrit :
Salut kheyJe suis un PUR ghostfag, mais là vraiment jsuis sur le cul.
J'ai passé la nuit à lire, j'ai pas ri autant sur le net depuis un bout de tempsJe lis pas mal de romans et franchement ton récit est prenant et t'as de réelles qualités d'écriture, j'aimerais voir une autre histoire de ta part un jour, pq pas un truc plus sérieux
Fin bref du bon boulot clé
Merci khey
Je pense que je vais écrire un autre Risitas après celui-là. Mais ce sera une fic cette fois-ci.
Pour l'instant je n'ai pas vraiment de scénarios, mais j'ai pas mal d'idées en vrai.
Je suis en train d'y réfléchir activement là.
Je vous tiens au courant sur ce topic
Episode 7 :
Bon, que je vous le dise tout de suite, les sorties scolaires c'était l'un des trucs que je redoutais le plus au lycée. 
Parce-que j'avais la phobie de passer la journée tout seul, au su et au vu de tout le monde.
Et pendant une sortie scolaire, on ne peut pas se cacher : vu qu'on se déplace en groupe, bah ça se voit forcément un moment ou un autre si on est seul 
Alors déjà que je redoutais ce moment, mais en plus j'avais un énorme torticolis qui faisait que j'avais la tête penchée tel un mort-vivant 
La journée s'anonçait délicate à gérer.
Je me disais, en mon for intérieur que j'allais vaiment passer pour un con si on me voyait tout seul, et en prime avec la tête penchée.
On va me prendre pour un malade mental sorti de l'asile.
Heureusement, il y avait mon trio infernal (Jerem', Antoine, et O), et je savais que je pourrais squatter avec eux pendant la sortie.
Quand je les ai rejoins le matin, à mon grand étonnement, personne n'a remarqué ma dystonie cervicale. 
Seul Gontrand m'a fait une petite blague, en penchant sa tête comme le faisait la mienne pour me serrer la main. 
Sacré Gontrand.
La majeure partie de la journée n'a pas grand importance, donc je vous passe les détails.
On a visité le musée de la monnaie (ES oblige), du coup on a vu comment était créée la monnaie, les planches à billet, tout ça 
La seule chose qui a egayé ma journée est que Camille a tenté un rapprochement avec moi. 
Enfin je l'ai interprété comme tel.
En vrai, j'ai jamais été sûr à 100% sûr que c'était une tentative de drague de sa part.
En fait, pendant qu'on était en train de regarder des pièces de monnaie dans une vitrine ( 
), et que la guide nous expliquait l'historique de ces pièces, elle était à environ 3 mètres de moi, sans rien entre nous.
Puis elle a fait quelques pas pour s'avancer. 
Mais elle a fait ça de façon très bizarre.
Elle ne s'est pas avancée en faisant des pas devant soi, mais en faisant des pas sur le côté, comme un petit crabe 
Et quand elle a été à environ 50cm de moi, elle a croisé les pieds. (c'était une façon très spéciale qu'elle avait de se tenir. Au lieu d'avoir les pieds parallèles contre le sol, elle les enlaçait souvent)
Sauf qu'en effectuant ce mouvement de croisement, l'un de ses pieds à frappé contre ma jambe. 
A ce moment, je me suis retourné pour voir ce que ce qui avait tapé ma jambe, et quand j'ai croisé son regard, elle m'a fait un petit sourire
En véritable Don Juan que j'étais, je ne lui ai pas rendu ce sourire et j'ai gardé le visage fermé pour montrer mon insensibilité à la douleur 
Bon, non, en vrai c'est parce-que j'osais pas lui sourire. 
Bref, elle me fait un sourire et puis elle me demande si j'ai entendu ce qu'à dit la guide.
Je lui répète donc ce qu'a dit la guide, et elle commence à me parler.
Elle me dit notamment qu'elle s'intéresse beaucoup à l'histoire 
J'ai dit ok, et la conversation s'est finie.
Propre. 
Bon, c'est vrai, j'aurais pu tenter de poursuivre la conversation. 
Mais, de une, je ne savais pas quoi lui répondre, de deux, mon cœur s'emballait tellement que je savais que j'allais bégayer comme pas possible, donc il valait mieux que je me taise pour éviter de m'enfoncer. 
Voilà, ces quelques secondes ont suffit pour illuminer cette journée moribonde.
En vrai, il n'y a que ça qui stimulait mes journées au lycée.
Chaque jour, je me levais en espérant que ce jour-ci elle m'enverrait des signaux d'intérêts. 
Signaux auxquels je ne répondais pas, comme l'illustre l'exemple ci-dessus, mais je me disais que si elle continuait de m'en envoyer alors que je ne lui en envoyais pas moi-même, ça veut dire qu'elle me kiffait vraiment, et donc que si je me décidais à lui en envoyer à mon tour, ça serait dans la poche
...
Et qu'est-ce que j'attendais pour lui envoyer des signaux d'intérêt à mon tour ? 
La peur, quelle question.
Si je lui montrais que j'étais attiré par elle, je devrais passer à l'étape suivante, c'est à dire la draguer.
Et ça me terrifiait au plus haut point 
Je préférais donc rester dans cet état de semi-léthargie à essayer de capter le moindre de ses signaux d'intérêts (quitte à me faire des films), plutôt que de réellement tenter quelque chose avec elle, qui risquerait de la faire fuir 
A part ça, la journée s'est déroulée sans événement marquant.
Le soir en rentrant, j'ai préféré sécher les TPE, parce-que j'avais trop mal au cou et que ça me gonflait d'y aller.
Dans les jours qui suivirent, j'ai compris que Pierre avait arrêté de draguer Camille. 
En effet, j'avais surpris une conversation entre lui et son pote.
Son pote lui avait demandé si il voulait toujours la toucher, et il avait répondu qu'elle ne l'intéressait plus. 
C'était cool ouai, mais ça ne changeait rien pour autant.
Je ne lui avais toujours pas parlé, donc pour elle j'étais encore au stade de semi-inconnu.
Néanmoins, on se bouffait du regard l'un et l'autre.
Surtout pendant les cours d'Histoire-Géo d'ailleurs, parce-qu'on était placé dans la même diagonale, du coup on avait une vue directe l'un sur l'autre.
Inutile de vous dire que je kiffais bien les cours d'Histoire 
D'ailleurs je vous ai pas dit mais dans ce même cours d'Histoire, j'étais assis à côté de sa meilleure pote.
La dénommée Diane 
Elle était pas mal aussi, mais elle avait déjà un mec, donc je l'avais exclu de ma liste de cibles potentielles.
Et elle avait capté qu'on se lançait souvent des regards.
- Tu l'aimes bien Camille ?
- Euh... non, pourquoi ? 
- Parce-que t'arrête pas de la regarder
- Euh ouai non, je regarde vers la porte 
-
Eh m*rde, elle m'a démasqué.
Je me suis dit qu'il fallait que j'arrête un peu de fixer Camille pendant le cours sinon elle risquait de tout balancer cette c*nne.
Pendant les jours qui suivirent, elle a un peu changé de comportement avec moi.
Elle engageait systématiquement la conversation au début des cours désormais et elle se montrait assez entreprenante.
Bon en vrai, comme il y avait O derrière moi qui disait conn*rie sur conn*rie, c'était très facile de rebondir la-dessus.
Un jour, alors que la prof parlait d'un célèbre dictateur Allemand, en voyant sa photo dans le bouquin, je lui ai dit :
- Il est pas si moche que ça en vrai (en toute objectivité hein, je ne suis pas néo-nazi, mais la photo le mettait bien en valeur)
- (en me regardant) Non, il a pas les yeux verts, donc il est moche
(j'ai les yeux verts 
)
Ah ouai ok, elle me fait carrément du rentre-dedans
C'était flatteur, mais ça me mettait dans l'embarras. 
Même si elle était mignonne, elle ne m'intéressait pas.
Et en plus elle avait déjà un mec.
Mais je craignais qu'elle essaye de me mettre des batons dans les roues si je me décidais à aller plus loin avec Camille 
Je viens de tout lire en 1 semaine, c'était génial
La passe Dé d'Alice, cimer putain 
En vrai, c'est excellent et les personnages sont géniaux, plus qu'a attendre pour les derniers épisodes mais tu régales cimer chef
Episode 33 : I will survive
Je suis aux anges
Ca y est p*tain, j'ai réussi 
Cette fois, c'est moi qui sort vainqueur de l'histoire (cf épisode 15) 
En rentrant chez moi, sur le trajet, je me repasse la scène en boucle.
Je me dis qu'il y a tellement de facteurs qui auraient pu faire changer le cours des choses, que je suis un miraculé.
Je dois beaucoup à Alice, c'est certain 
Néanmoins, je me dis que si je n'étais pas parti m'isoler sur ce perron, je ne l'aurais pas croisée, et je n'aurais jamais embrassé Camille...
Ca se joue vraiment à peu de choses parfois.
Je ressens néanmoins une pointe d'amertume 
Ca me fait bizarre d'être heureux.
Je ne me sens pas à ma place dans cette situation.
J'ai l'impression d'avoir trahi les miens 
C'est vrai qu'en fait je suis quasiment le seul de mon groupe à avoir embrassé une fille cette année
Je repense à Baptiste qui s'est pris un rateau ; à Maxime, qui s'est pris un vent avec Anna ; à O qui collectionne les échecs par centaines, à Jerem', qui n'a jamais rien tenté avec une fille...
… mais également à Marie, la petite blonde de ma classe qui m'a tapé dans l'oeil. 
Si ça se trouve, c'est vers elle que j'aurais dû aller plutôt.
Elle avait l'air plus "facile" que Camille (dans le sens moins prude).
Parce-que j'ai un mauvais préssentiment avec Camille 
Quelque chose me dit que ça ne va pas marcher.
C'est donc en proie aux doutes, que je m'endors 
...
Le lendemain, en me réveillant, une question me hante l'esprit :
Où est-ce que j'en suis avec Camille ?
Est-ce qu'on sort ensemble ?
Ou alors, est-ce que c'était juste un baiser comme ça ?
Pour ma part, je pense que rien n'est encore fait.
Une fille comme elle, j'ai l'impression qu'il faut lui parler des semaines entières avant de pouvoir espérer quelque chose de concret...
Bon, de toute façon, je vais la revoir le lendemain au lycée.
Donc on aura l'occasion d'en reparler.
Je passerais le reste de mon dimanche à retourner la question dans tous les sens.
…
Le lendemain, c'est avec la boule au ventre que je vais au lycée 
J'appréhende de voir sa réaction quand on va se revoir.
Puis, j'espère que personne d'autre n'est au courant.
(à part Alice bien sûr ).
Parce-qu'entendre des rumeurs colportées sur son dos, c'est pas toujours le top 
En arrivant devant la salle de cours, je retrouve O et Maxime.
- Oh Fume-sec, beau gosse
- Ca va champion ?
- Ca va, ouai... 
- … pourquoi « champion » ?
- Non je sais pas, comme ça
C'est la 1ère fois qu'il m'appelle comme ça, c'est bizarre.
Antoine nous rejoint quelques minutes après
Ca devait faire une semaine qu'il n'était plus venu en cours.
- Tiens, un revenant
- Ahah
Il se tourne vers moi.
- Ca va mec ?
- Tranquille, et toi ?
Il me regarde fixement en souriant
On se fixe du regard quelques secondes, puis il se met à rire.
- Pourquoi tu rigoles ?
- Ben non, rien
On se refixe du regard quelques secondes.
Il est toujours en train de sourire.
- T'es bizarre toi aujourd'hui ahah
- Bah attends, déjà qu'il se vexe parce-que je l'appelle champion
J'ai vraiment l'impression qu'ils sont au courant pour moi et Camille.
Je deviens un peu parano je crois 
...
Je regarde un peu aux alentours.
Camille est déjà arrivée.
Je redoute un peu d'aller la voir 
Nos regards se croisent l'espace d'un centième de seconde.
Elle me fait un petit sourire évocateur comme elle savait si bien les faire
J'ai l'impression qu'elle me dit « alors, on assume pas ? » 
On s'ignore finalement pendant toute la matinée.
L'après-midi, pendant le cours de spé' math, j'aperçois Hélène et Camille parler ensemble à voix basse
Puis Hélène me regarde du coin de l'oeil
Je pense qu'elle vient d'être mise dans la confidence.
Je commence à me sentir mal à l'aise
Je fais tout pour ne pas la voir 
A la pause, on descend dans la cour avec Gontrand
Puis en remontant les escaliers, Gontrand se dirige vers Hélène et Camille.
« Non, p*tain, pas maintenant, je suis pas prêt... »
Il amorce la conversation.
Bon, je crois que je ne peux plus y échapper désormais, je dois lui parler.
…
Hélène et Gontrand engagent donc la conversation.
Puis, au bout de quelques secondes, Hélène m'adresse la parole :
- Ca va Fume-sec ?
- Ouai, et toi ? 
Elle regarde Camille
- (en me regardant) Salut
- Salut
Hélène lui fait un sourire très appuyé
« Ok, bon il faut que je mette fin à ce moment de malaise »
- Il y a pas beaucoup de monde aujourd'hui 
- Ouai... t'as vu
- Les gens ils sont déjà en vacances on dirait
- Ouai grave ahah
Elle n'arrête pas d'acquiescer et ricane à tout ce que je dis.
Ca me met en confiance et je commence à déstresser.
Petit à petit, Hélène et Gontrand s'éloignent, et je reste seul avec Camille.
Je fais un peu le pitre. 
(c'est de l'humour contextuel, donc c'est difficile à retranscrire)
Mais comme elle rigole à tout ce que je dis, la faire rire est un jeu d'enfant.
- Ahah, t'es un vrai bout-en-train en fait toi (dit-elle en me touchant la main)
A ce moment là, je comprends que tous les feux sont au vert.
Ca devient trop facile.
Limite, je pense que si je lui touchais les seins, je crois qu'elle dirait rien. 
A la fin, c'est même elle qui essaye de me faire rire.
Mais comme je ne rigole pas exprès à ce qu'elle dit pour la narguer, elle continue d'autant plus
…
Le cours reprend.
On s'échange des petits sourires comme jamais.
Mais limite c'est moi qui est blasé maintenant.
En fait, comme je sais qu'elle est « acquise » je ne la vois plus trop de la même manière
Je crois que je perds un peu de l'attirance pour elle.
Ouai, je sais, l'esprit humain est mal fait
On désire quelque chose de toutes nos forces, et une fois qu'on l'a, on n'en veut plus... 
…
On ne se parlera plus trop de la journée après ça.
Ni le jour suivant d'ailleurs...
Ni celui d'après encore...
Tellement convaincu que c'est dans la poche, j'ai l'impression de ne plus rien avoir à faire 
« De toute façon, j'ai son numéro, donc on peut se revoir la semaine prochaine » me dis-je.
...
On ne se reparlera finalement que le jeudi de la semaine suivante, c'est à dire la veille de la fin des cours.
Néanmoins, les choses ont un peu changé 
Je la sens assez distante.
Quand je m'avance vers elle pour la saluer, elle fait mine de ne pas m'avoir vu.
- Ca va Camille ?
- Ah, salut... ouai ça va...
Puis elle reprend sa conversation avec Hélène sans trop m'accorder d'importance.
Et les rares fois où elle m'adresse la parole, elle me regarde à peine, et me répond assez sèchement.
Elle est froide.
Très froide.
J'aurais pu mettre ça sur le compte du stress du bac, mais comme elle se montre plus cordiale avec les autres, ça ne peut pas être ça...
J'ai vraiment l'impression qu'elle m'en veut.
- Qu'est ce qu'il y a ? j'ai dit un truc qu'il ne fallait pas ?
- Non, non, t'inquiète (en tournant le regard)
Je n'insiste pas.
Ca compliquerait la situation plus qu'autre chose de toute façon.
…
Je me rends compte alors que j'ai peut-être fait une c*nnerie.
J'aurais dû conclure quand j'en avais l'opportunité.
Elle me tendait les bras il y a quelques jours, et voilà que maintenant elle me répond à peine quand je lui parle... 
Je pense qu'elle m'en veut de ne pas m'être lancé quand c'était le moment.
(aka la "fenêtre de tir")
En plus, comme on a fini les cours, on n'aura plus vraiment d'opportunité de se revoir.
(Il y aura bien le jour du bac, mais bon tout le monde sera stressé, donc je ne mise pas trop là-dessus).
J'ai bien peur que ce ne soit trop tard pour rattraper le coup 
M*rde, p*tain...
Le soir, en rentrant chez moi, je décide de lui envoyer un sms. 
J'hésite à jouer la carte de la franchise, et lui dire tout ce que j'ai sur le cœur.
Je me résigne finalement
Mais je ne sais pas quoi lui dire du coup.
Je décide finalement de lui envoyer une petite private joke en référence à la discussion qu'on a eu la semaine d'avant.
Elle répond par un simple « Ah ah, oui ».
Puis, dans un élan de panique, je lui propose d'aller prendre un verre.
Mon coeur bat à deux mille à l'heure en attendant sa réponse
Elle me répondra mot pour mot :
« Je ne pense pas que je pourrais. Mais pour être honnête, je n'ai pas trop envie qu'on se revoie. Bonne chance pour le bac »
P*tain
Bon bah, ça a le mérite d'être clair...
It's over 
mais quel nul
Mais qu'est ce que t'as branlé khey 
T'as loupé un penalty sans gardien à la 90 ème. 
Bref, sweeeeeeeeeeeeeeet
Données du topic
- Auteur
- Fume-sec
- Date de création
- 8 janvier 2018 à 00:36:07
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