[FIC] Ta Grand-mère et moi.

J'vote 1.

belle course

Le 20 février 2018 à 10:28:47 lookpilki a écrit :
2 , j'espère que nous avons les lunettes quand même. . .

Bien évidemment

Le 20 février 2018 à 18:41:54 Toystealer a écrit :
La 1, on se fait kidnapper et c’est nous le mort du chapitre

Concrètement on ne mourra pas avant la sweet comédie musicale qui aura lieu demain.

Aucun risque de mourir avant demain.

Le 20 février 2018 à 19:38:50 ChefDumas a écrit :
Dans les chiottes

Le 20 février 2018 à 20:34:18 Gamnor a écrit :
La 2 on la culbute vite fait au chiottes et c'est fini ;)

Des bons quais

Le 20 février 2018 à 17:46:28 Sozion a écrit :
Up, allez il faut voter

On ne vous dira jamais pour qui, mais c'est important mes petites beautés, il faut voter!

L'heure est venue de clore les votes.

• 1) IIIIIII
• 2) IIIII

La réponse 1) est la gagnante. La sweet sortira entre une et deux heures du matin les quais.
Puis je compte sur votre vote car la sweet de demain sera spéciale.

Chapitre 4: Picsou Magazine
Partie 09:

[Édition: Le texte sacré qui va se faire foudroyer]*

_________________________________________________________________________________________

-On va donc chez moi?

-Pourquoi pas?

Qu'aurais-je pu répondre à cette question? "Non, je préfère faire ça dans des toilettes publiques qui sont au passage à la libre disposition d'une bande de clochard" ou bien encore "Non merci, tu m'as quand même l'air bien louche." ? Cette fille était sympathique mine de rien, alors j'avais accepté d'aller chez elle pour lui faire plaisir. Son appartement fut tout simplement nickel, à l'image de la plastique de la locataire des lieux. Point de superflu, Promesse était une fille simple qui vivait pour le sport. Parmi les quelques meubles qui se battaient en duel pouvait s'apercevoir une ou deux haltères, ou d'autres appareils sportifs dont j'ignorais le nom. A vrai dire, cela aurait plutôt été leur non présence en ce lieu qui m'aurait étonné plutôt que l'inverse.

Une fois la porte de passé, elle m'installa sur le sofa de son studio et s'absenta pendant plusieurs minutes seul avec un mouton de poussière qui avait réussi à survivre à des mois de ménage mécanique et intensif.

-Voici donc la récompense du au champion.

Elle se dévoila devant moi entièrement nue, rayonnante et fière de l'être. Il est important de le préciser car tout le monde n’a pas le même rapport à la nudité mon grand. Et ce n'est même pas une histoire de sexe, d'homme ou de femme. Certaines personnes sont mal à l'aise une fois nu comme un vers. Je peux me rappeler comme étant tremblotant lorsque adolescent, dans ce fameux cagibi, j’eus déboutonné mon pantalon face à une Cassandre en manque d’expériences.

-Tu as peut-être perdu, mais on ne peut te retirer ta beauté.

-Merci.

Malgré une rougeur entre les omoplates liée au coup que lui avait porté cet idiot d'Aslihano, son corps était parfait, à la fois souple et ferme, incroyablement longiligne et vide de poils ou autres marques distinctive. Elle inaugura le contact physique en se posant sur mes genoux et commença à me dévorer le cou. Dans sa simplicité bestiale, elle n'arborait aucune odeur. Tout en me retirant le haut, elle frottait plus ou moins énergiquement et à intervalle régulier sa bouche contre mes joues mal rasées. Sa peau n'avait pas que l'apparence du cuir elle fut l'une des femmes les plus douces à s'être enlacé contre moi, touché exotique probablement lié à ses origines. Mais cette apparence cacha en réalité une certaine bestialité en ses actes.

Ce fut pour elle une expérience sportive comme une autre. Et sa domination venait peut-être du fait qu'elle arborait une carrure physique nettement plus solide que la mienne.

La simple suite logique de tout un programme qui avait commencé par notre course de l'après-midi. Me trainant dans sa chambre, elle me positionna devant son lit et s'agenouilla pour me secouer frénétiquement ma fusée qui ne demandait que cela. Elle fut brusquement mécanique mais c'était pile poil ce qu'il fallait pour activer les douceurs de la verge. Ni plus, ni moins. A croire qu'elle avait lu des livres d'anatomies pour être aussi précise. A mon grand regret, elle ne me laissa pas lui explorer l'entre-jambe à mon tour, malgré mon envie car des plus sympathique à contempler. Elle se cambra sur son lit par la suite et ce fut avec la même boule au ventre que celle d'une personne au régime que je m'étais élancé en elle. Ce fut comme une visite guidée dans un musé où l'on ne peut aller où on veut. Malgré la levrette, ce ne fut toujours pas moi le capitaine du pédalo.

-Mmmh.

J'étais comme pris entre deux feux. Entre son petit plaisir à la fois personnel et déshumanisé puis mes propres sensations. Mais de quoi me plaignais-je? Cette véritable reine des abeilles maniait son amant à la perfection, et mes lunettes, qui furent posées sur la table de nuit, contribuaient-elles aussi à leur manière. Même après avoir déchainé les foudres d'Aphrodite en elle, Promesse ne me lâcha point. Ce fut à ses standards que nous nous conformâmes. Cette danse à travers les feux de l'amour continua encore et encore et ne s'arrêta que lorsque cette ogresse fut elle-même rassasiée.

Nous étions en sueur, en vie, et gisant sur les draps. Elle me regardait avec une certaine malice, avec celle d'un enfant ayant contesté l'autorité qui lui faisait référence. Nos chemins se séparèrent donc sur une jouissance commune, et notre relation fut aussi ardente que nous redevinrent de parfaits inconnu l'un pour l'autre l'instant d'après.

_________________________________________________________________________________________

Je ne sais pas réellement si tu as déjà ressenti ceci mon grand, après tout tu es encore jeune et puéril. Mais parfois il arrive dans la vie d'un homme qu'on n'a l'impression de n'être qu'un pion dans un immense échiquier contrôlé par le tout puissant lui-même. Pourquoi cette pensée me vint-elle à l'esprit? Car parfois les choses s'emboitent simplement et un peu trop parfaitement.

A peine sorti de l'appartement de Promesse, n'ayant même pas encore fini de tituber pour reprendre par la suite une démarche normale qu'un appel fit vibrer mon téléphone. Quelques minutes plus tard et l'appelant m'aurait eu en pleine convalescence ou même pire, en plein coït.

-Qui c'est qui m'appelle?

Des sept milliards d'appelant potentiels, ce fut bien évidemment l'une de mes connaissances qui avait essayé de me contacter.

-Oui allô? Philandrin? Darling?

Paris était la ville des tons hautains et bourgeois, mais celui-ci ne pouvait appartenir qu'à Poppy, l'une de mes collègues du Picsou Magazine. Lui avais-je donné mon numéro? Je ne m'en souvenais plus réellement.

-Rooh, moi non plus je ne m'en souviens plus de ça Darling, mais à vrai dire ton téléphone est une vrai passoire.

-Comment ça une passoire? Il est neuf?!

-Disons, pour rester imagé, qu'il y a des bateaux en Somalie qui se font moins pirater que ton téléphone. Donc avec l'aide d'un ami (le fameux) il a pu m'obtenir ta position sans trop forcer vu que quelqu'un s'y fait déjà plaisir.

- Répète-moi ça?! Mon téléphone c'est fait pirater?

Mais de quoi était-elle en train de me parler? Mon téléphone était neuf, je l'avais fait changé après me l'être fait confisquer par la police. Qu'avais-je récemment pu changer dans mes habitudes pour qu'une personne s'y introduise à l'intérieur. Mais c'est vrai que maintenant que j'y repensais, de nombreuses choses étranges se sont passées avec mon téléphone. La première fois qu'Audrey est venue par exemple, je n'avais pas du tout envoyé ces fameux messages qui l’avaient invité. Ou même Janelle qui m'avait signalé qu'elle avait reçu des messages bizarres de ma part. D'ailleurs il faudrait impérativement que je réinstalle Whatsapp pour reparler avec elle avant qu'elle ne vienne jusqu'ici pour me tirer la peau des fesses.

-On s'en fout de tout ça! Il y a plus urgent!

-Pas vraiment non, ça touche à ma vie privé ces conneries!

-Tu es mon collègue Phil, et je peux voir que tu es à proximité d'une personne que je veux interviewer pour l'un de mes articles. Tu peux me le ramener ici?

-Cause toujours, je verrais après.

-Je vais faire un article sur les apports du business du sexe à l'économie Française. Le type que je voudrais que tu me ramènes est un acteur pornographique qui en a dans la caboche. Étienne Lantier qu'il s'appelle. Rends-toi utile et va me le chercher s'il te plait.

Même si nous n'étions pas actuellement en vision conférence, cela s'entendait à sa voix: Elle me faisait les yeux doux et arborait son plus beau sourire. Autant de dents, crois-moi cela s’entend même au téléphone. Avais-je réellement envie de l'aider? Oui elle était une collègue, ma voisine de bureau, et je ne m'étais pas manifesté au job depuis la pause de midi, mais tout de même!

Vas-tu aider Poppy?

• 1) Non, je préfère mille fois Jordi el niño à cet Étienne Lantier que je ne connais même pas. Débrouille toi la rosbif.

• 2) Bien évidemment que je vais l'aider, avoir cette fille dans ses petits papiers peut toujours servir.

_________________________________________________________________________________________

* Enfin rassurez-vous, mon pseudo ne va pas se supprimer.