Un fifrelin oisif a exhumé de vive façon ce salon d’échanges verbaux maniérés.
Est-ce là un « hasard », pour utiliser la langue des sarrasins, ou bien est-ce la volonté Devine que d’envoyer un signe aux âmes perdues de cette communauté qui s’étiole de saison en saison tel un tas de bois putride dévoré par les cèpes et autres coulemelles ?