Infirmier, j’ai dû raser mon 1er A*** aujourd’hui
Je m'appelle Thomas, et je suis infirmier dans un grand hôpital. Aujourd'hui, c'est une journée particulièrement importante pour moi, car je dois préparer l'opération de Monsieur Bernard.
Monsieur Bernard est un patient que je connais bien, car il a été hospitalisé plusieurs fois ces derniers mois pour des problèmes de santé récurrents. Cette fois-ci, il doit subir une intervention chirurgicale délicate pour traiter ses hémorroïdes, et je suis déterminé à faire en sorte que tout se passe au mieux.
Dès mon arrivée à l'hôpital, je me dirige vers le bloc opératoire pour m'assurer que tout est en ordre. Je vérifie que tous les instruments chirurgicaux sont stérilisés et prêts à être utilisés. Je m'assure également que les médicaments nécessaires sont disponibles et que l'équipe chirurgicale est bien préparée.
Ensuite, je me rends dans la chambre de Monsieur Bernard pour le préparer à l'opération. Dès que j'entre dans la pièce, je remarque immédiatement que Monsieur Bernard est venu à l'hôpital vêtu de talons et d'une jupe. Il m'a confié un jour qu'il est transsexuel et qu'il se sent plus à l'aise en s'habillant ainsi. Je suis très tolérant et je respecte profondément ses choix. Je sens une tension palpable dans l'air, mais il y a aussi quelque chose d'autre dans son regard, une sorte de connexion silencieuse entre nous.
Je lui explique calmement ce qui va se passer, en prenant soin de répondre à toutes ses questions et de le rassurer. Je sais que c'est une période stressante pour lui, et je veux qu'il se sente en confiance. Je lui administre les médicaments préopératoires et je m'assure qu'il est bien installé sur le brancard. Une étape importante de la préparation est de raser la zone autour de l'anus de Monsieur Bernard. C'est une procédure délicate, mais nécessaire pour assurer une intervention chirurgicale propre et sans complications. Je m'assure de le faire avec douceur et professionnalisme, en expliquant chaque étape à Monsieur Bernard pour le mettre à l'aise. Pendant ce temps, je sens son regard sur moi, et je fais de mon mieux pour rester concentré sur ma tâche.
Pendant que je le conduis au bloc opératoire, je continue de lui parler pour le distraire et le détendre. Une fois arrivés, je l'aide à s'installer sur la table d'opération et je m'assure qu'il est bien positionné. Je vérifie une dernière fois tous les paramètres vitaux et je m'assure que l'anesthésiste est prêt à intervenir.
L'opération commence, et je reste à proximité pour assister l'équipe chirurgicale. Je surveille attentivement les signes vitaux de Monsieur Bernard et je m'assure que tout se passe comme prévu. Pendant toute l'opération, nos regards se croisent souvent. Il y a une intensité dans ses yeux que je ne peux ignorer. L'intervention se déroule sans complications, et je suis soulagé de voir que tout s'est bien passé.
Après l'opération, je m'occupe de Monsieur Bernard en salle de réveil. Je surveille ses constantes et je m'assure qu'il récupère bien. Je lui parle doucement pour le rassurer et je lui explique que l'opération s'est bien déroulée. Une fois qu'il est suffisamment réveillé et stable, je l'accompagne dans sa chambre où il pourra se reposer.
Quelques heures plus tard, je retourne dans la chambre de Monsieur Bernard pour vérifier son état et appliquer de la pommade sur la zone irritée. Je m'assure de le faire avec douceur et précision, en expliquant chaque étape pour le rassurer. La pommade est un peu collante, mais je fais de mon mieux pour qu'il se sente à l'aise. Monsieur Bernard semble apprécier le soin et la délicatesse avec lesquels je m'occupe de lui.
Cependant, alors que je termine d'appliquer la pommade, Monsieur Bernard grimace de douleur et lâche un gaz très puant. Il semble embarrassé et s'excuse immédiatement. Je le rassure en lui disant que c'est une réaction normale après une opération et qu'il n'a pas à s'inquiéter. Je lui explique que les gaz sont courants après une intervention chirurgicale et que c'est un signe que son corps commence à récupérer.
L'odeur me rappelle étrangement les haricots que ma mère cuisinait quand j'étais enfant. C'est un souvenir à la fois drôle et réconfortant, et je ne peux m'empêcher de sourire. Monsieur Bernard, voyant ma réaction, se détend un peu et nous partageons un moment de complicité.
Alors que je m'apprête à quitter la chambre, Monsieur Bernard me fait signe de m'approcher. Il prend un pansement et un stylo, et écrit quelque chose dessus. Avec un sourire timide, il me dit : "Merci pour tout, Thomas. J'aimerais rester en contact." Il colle le pansement dans ma main, et je vois qu'il y a écrit son numéro de téléphone.
Je suis touché par ce geste et je lui promets de prendre soin de lui jusqu'à sa sortie de l'hôpital. Mon travail d'infirmier est parfois difficile, mais des moments comme celui-ci me rappellent pourquoi j'ai choisi cette profession. Aider les patients et les voir se rétablir est une grande source de satisfaction pour moi.
Cependant, depuis ce jour, quelque chose a changé en moi. Je me surprends à repenser sans cesse à Monsieur Bernard. Ce n'est pas seulement à cause de l'opération ou de la manière dont il s'habille, mais quelque chose de plus profond. Je me sens attiré par lui d'une manière que je ne peux pas expliquer. Cette attirance commence à créer des tensions dans ma relation avec ma femme. Je me sens perdu et confus, et je ne sais pas comment gérer ces sentiments.
Je sais que je dois parler à ma femme, mais je ne sais pas par où commencer. Je crains que mes sentiments ne soient pas compris, et je ne veux pas lui faire de mal. Mais je sais aussi que je ne peux pas continuer à vivre dans le déni. Je dois trouver un moyen de comprendre ce qui se passe en moi et de trouver une solution qui soit juste pour nous deux.
Un soir, en rentrant à la maison, je décide de parler à ma femme. Je lui explique que je me sens différent, que quelque chose a changé en moi. Je lui dis que je repense sans cesse à un patient et que cela me trouble profondément. Ma femme, bien que surprise par ma confession, écoute attentivement. Elle comprend que je traverse une période difficile et elle veut m'aider à retrouver notre connexion.
Cependant, malgré nos efforts, je réalise que mes sentiments pour Monsieur Bernard sont trop forts pour être ignorés. Je me rends compte que je ne peux plus continuer à vivre dans cette situation. Je vais sûrement demander le divorce à ma femme, car je n'y arrive plus. Je sais que ce ne sera pas facile, mais je dois être honnête avec moi-même et avec elle.
Je décide alors de prendre une décision radicale. Je veux m'habiller comme je le souhaite, sans me soucier des jugements des autres. Je me connecte à Internet et je commande les mêmes talons et la même robe que Monsieur Bernard portait à l'hôpital. Je ressens une excitation mêlée de nervosité en attendant la livraison.
Lorsque le colis arrive, je l'ouvre avec impatience. Je me regarde dans le miroir, vêtu de ces nouveaux vêtements, et je me sens enfin moi-même. C'est une sensation libératrice, et je sais que j'ai pris la bonne décision. Je suis prêt à affronter les défis qui m'attendent, mais je sais que je dois être fidèle à moi-même pour être vraiment heureux.
Les pavés les mieux écrits sont toujours les plus déviants
Je m'appelle Thomas, et je suis infirmier dans un grand hôpital. Aujourd'hui, c'est une journée particulièrement inhabituelle pour moi, car je dois m'occuper d'un cas peu commun : Monsieur Bernard s'est fait une entorse au pénis. C'est une situation délicate et embarrassante pour le patient, mais je suis déterminé à faire en sorte que tout se passe au mieux.
Dès mon arrivée à l'hôpital, je me dirige vers la salle d'examen pour m'assurer que tout est en ordre. Je vérifie que tous les instruments nécessaires sont disponibles et que l'équipe médicale est bien préparée. Je sais que ce type de blessure est rare et nécessite une attention particulière.
Ensuite, je me rends dans la chambre de Monsieur Bernard pour le préparer à l'examen. Dès que j'entre dans la pièce, je remarque immédiatement que Monsieur Bernard est visiblement mal à l'aise. Il est allongé sur le lit, le visage crispé par la douleur et l'embarras. Je m'approche de lui avec un sourire rassurant et je lui explique calmement ce qui va se passer, en prenant soin de répondre à toutes ses questions et de le rassurer.
Je lui administre des médicaments pour soulager la douleur et je m'assure qu'il est bien installé sur le lit. Une étape importante de l'examen est de vérifier l'étendue de la blessure. Je m'assure de le faire avec douceur et professionnalisme, en expliquant chaque étape à Monsieur Bernard pour le mettre à l'aise. Pendant ce temps, je sens son regard sur moi, et je fais de mon mieux pour rester concentré sur ma tâche.
L'examen révèle que Monsieur Bernard a effectivement une entorse au pénis, une blessure rare mais sérieuse. Je lui explique que nous allons devoir immobiliser la zone pour permettre une guérison correcte. Je lui applique une pommade pour réduire l'inflammation et je lui montre comment utiliser un bandage spécial pour maintenir le pénis en place.
Pendant que je m'occupe de Monsieur Bernard, je continue de lui parler pour le distraire et le détendre. Je lui explique que ce type de blessure est rare mais qu'il est important de suivre les instructions médicales pour une guérison complète. Je lui assure que nous allons tout faire pour qu'il se rétablisse rapidement.
Monsieur Bernard m'explique alors comment il s'est fait cette entorse. Depuis que sa femme l'a quitté, il s'est senti très seul et déprimé. Pour tenter de se distraire, il a commencé à faire des trous dans son matelas, une habitude qu'il avait apprise pendant ses 18 ans de prison. Malheureusement, cette activité a conduit à cette blessure inhabituelle.
Je l'écoute attentivement, comprenant la douleur émotionnelle qu'il traverse. Je lui offre des mots de réconfort et lui suggère de parler à un thérapeute pour l'aider à gérer ses émotions. Je lui assure que nous sommes là pour l'aider, non seulement physiquement, mais aussi émotionnellement.
Quelques heures plus tard, je retourne dans la chambre de Monsieur Bernard pour vérifier son état et appliquer un gel pour aider à la guérison. Je m'assure de le faire avec douceur et précision, en expliquant chaque étape pour le rassurer. Le gel est un peu frais et collant, ce qui surprend Monsieur Bernard. Il grimace légèrement mais semble apprécier le soin et la délicatesse avec lesquels je m'occupe de lui.
Alors que je m'apprête à quitter la chambre, Monsieur Bernard me fait signe de m'approcher. Il prend un pansement et un stylo, et écrit quelque chose dessus. Avec un sourire timide, il me dit : "Merci pour tout, Thomas. J'aimerais rester en contact." Il colle le pansement dans ma main, et je vois qu'il y a écrit son numéro de téléphone.
Je suis touché par ce geste et je lui promets de prendre soin de lui jusqu'à sa sortie de l'hôpital. Mon travail d'infirmier est parfois difficile, mais des moments comme celui-ci me rappellent pourquoi j'ai choisi cette profession. Aider les patients et les voir se rétablir est une grande source de satisfaction pour moi.
Monsieur Bernard ajoute alors quelque chose d'inattendu : "Tu sais, Thomas, la confiture permet de faire d'excellents massages qui soignent les entorses. D'ailleurs, je fais de succulentes confitures de figues. Si tu veux, je peux t'en apporter demain soir."
Je suis surpris par cette proposition, mais je lui souris en le remerciant pour le conseil. Nous nous regardons droit dans les yeux, et je sens une connexion silencieuse entre nous. Peut-être qu'un jour, je trouverai le courage de parler de ma propre situation et d'essayer ce remède inhabituel.
Le soir même, après une journée épuisante à l'hôpital, je rentre chez moi et je décide de contacter Monsieur Bernard. Je me connecte à Skype et je lance un appel vidéo. Après quelques sonneries, le visage de Monsieur Bernard apparaît à l'écran. Il semble surpris mais heureux de me voir.
"Thomas, c'est une agréable surprise !" dit-il avec un sourire.
"Bonsoir, Monsieur Bernard. Je voulais juste m'assurer que vous alliez bien et peut-être en savoir plus sur cette histoire de confiture," dis-je en souriant.
Monsieur Bernard rit doucement. "Bien sûr, Thomas. Je serais ravi de t'expliquer. La confiture de figues est vraiment spéciale. Elle a des propriétés anti-inflammatoires et apaisantes qui peuvent aider à soulager les douleurs et les entorses."
Nous passons les minutes suivantes à discuter des bienfaits de la confiture de figues et de la manière dont elle peut être utilisée pour les massages. Monsieur Bernard me donne des conseils précis sur la façon de l'appliquer et de masser la zone affectée. Je prends des notes, fasciné par cette méthode inhabituelle mais prometteuse.
"Merci beaucoup, Monsieur Bernard. Je vais essayer cela dès que possible," dis-je avec gratitude.
"De rien, Thomas. Et n'hésite pas à me contacter si tu as d'autres questions ou si tu as besoin de plus de confiture," répond-il avec un clin d'œil.
Nous nous disons au revoir et je raccroche, me sentant étrangement réconforté par cette conversation. Peut-être que cette confiture de figues est la clé pour guérir non seulement les entorses, mais aussi les blessures émotionnelles que nous portons tous.
Données du topic
- Auteur
- Labrador12
- Date de création
- 21 décembre 2024 à 22:13:39
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