Topic de turcophoneDeter :

(INCROYABLE) La carte des QI totalement brisées...

Supprimé

Le 18 décembre 2024 à 10:55:56 :
Sans regarder ce serait pas plutôt une histoire d'éducation et d'accès au savoir :question:

L'environnement c'est pas que l'environnement social, ça peut être aussi la géographie. Les Népalais ont un QI faible car ils vivent en altitude et donc leur cerveau est moins oxygéné. Alors que les Népalais qui vivent au UK par exemple montent des entreprises, font de la politique, etc...

Le 18 décembre 2024 à 11:28:16 :

Le 18 décembre 2024 à 10:55:56 :
Sans regarder ce serait pas plutôt une histoire d'éducation et d'accès au savoir :question:

L'environnement c'est pas que l'environnement social, ça peut être aussi la géographie. Les Népalais ont un QI faible car ils vivent en altitude et donc leur cerveau est moins oxygéné. Alors que les Népalais qui vivent au UK par exemple montent des entreprises, font de la politique, etc...

Intéressant https://image.noelshack.com/fichiers/2024/51/3/1734517815-1663921748-ahi.png

Si l’environnement influence plus que la génétique le développement de l’intelligence, pourquoi les populations noires aux USA ou descendantes des anciens esclaves n’ont pas les mêmes chances que les autres populations sur la même surface géographique ?
Au point même que les populations asiatiques (que la carte donnent comme ayant un meilleur QI) ont carrément des malus aux examens face aux autres groupes de population ?

Et encore, dans le cas des asiatiques c’est parce qu’ils évaluent comme très importants les maths, les travaux scolaires etc, dans ce cas, pourquoi dans le même environnement les autres ne font pas pareil ?

Pourquoi la famille asiatique où la mère est couturière les enfants finissent ingénieurs quand pour la famille africaine la mère est femme de ménage et ses enfants finissent au moins avec des emplois précaires ?

Pour résumer en semi troll :
Pourquoi si on met un âne dans une écurie ça ne devient pas un cheval de course ?
Pourquoi si on ne met des seins à un homme ça n’en fait pas une femme ?

J'ai oublié le nom de l'auteur de ce pavé, vous m'excuserez, mais merci à lui

Mythe : « Les différences de Q.I. entre les populations sont 100% environnementales »

:d) Les différences de Q.I. moyens entre les populations humaines sont connues et admises depuis longtemps. Je me limiterai ici à la comparaison entre Européens et Subsahariens, car c'est de loin la paire la plus étudiée concernant les différences de Q.I. Les conclusions que l'on peut en tirer ne s'appliquent donc pas nécessairement à toutes les autres populations. Le débat porte plutôt sur la cause majeure de ces différences.

Les Asiatiques de l'Est obtiennent généralement un Q.I. moyen légèrement plus élevé que celui des Européens, qui à leur tour obtiennent un Q.I. moyen plus élevé que celui des Subsahariens. Fait notable : les Ashkénazes ont le Q.I. moyen le plus élevé de toutes les populations humaines.

Pour les raisons que l'on peut imaginer, cette question est évidemment l'une des plus controversées dans le domaine de la psychologie, et de nombreux biais idéologiques viennent entacher la recherche. Bon nombre de scientifiques, de philosophes et même de profanes estiment qu'il ne faut pas mener de recherches susceptibles de remettre en cause la doctrine selon laquelle toutes les différences entre populations seraient uniquement d'origine environnementale. D'éminents chercheurs qui soutiennent qu'une part des différences intellectuelles entre les populations peut être attribuée aux gènes ont été moralement condamnés, catégorisés comme des racistes, accusés de verser dans la pseudo-science, licenciés, voire menacés physiquement à cause de leurs positions ou de leurs recherches.

Pour cette question épineuse, je procéderai en trois parties, étant donné la longueur des explications.

:d) En préambule, j'aimerais préciser ce qui est entendu par « populations humaines ».

Une population humaine est un groupe d'individus qui partagent une ascendance commune provenant de la même région du monde. En raison de cette ascendance commune, les membres d'un même groupe sont plus étroitement liés les uns aux autres qu'aux individus extérieurs à leur groupe ; c'est pour cela que deux Africains se ressemblent plus physiquement qu'un Africain et un Européen, par exemple.

Pour éviter toute polémique sémantique, j'emploie ici le terme de « populations », bien qu'il puisse laisser penser que ces groupes ne sont que socialement construits, comme on peut parfois l'entendre. Nous allons voir que ce n'est pas le cas et que les populations humaines se différencient génétiquement les unes des autres.

Dans cette discussion, le même argument est très souvent objecté par ceux qui excluent les différences génétiques entre populations de l'équation : « il y a plus de variabilité génétique au sein des différentes populations qu'entre elles ». Techniquement, c'est vrai. Lorsqu'on examine chaque gène séparément, on trouve effectivement qu'environ 85% de la variabilité réside entre les individus, et le reste entre les groupes. Sans rentrer dans les détails techniques, cet argument souffre toutefois d'au moins deux failles :

Premièrement, la faible proportion de variabilité entre les groupes n'informe pas sur l'ampleur qualitative des variations. Autrement dit, un petit nombre de différences génétiques peut résulter en un changement considérable du phénotype, suivant quels gènes sont affectés. Cet argument ne permet donc pas de minorer les différences qualitatives dues aux gènes entre les populations humaines, ni de conclure logiquement que les « catégorisations raciales » sont injustifiées ou dénuées de sens.
Deuxièmement, lorsque l'on réplique les analyses en prenant un grand nombre de gènes en compte simultanément - leur effet cumulatif permettant de mieux distinguer les groupes -, on peut tout à fait classer les individus dans des groupes d'ascendance, qui correspondent à 99,86% à leur « groupe racial » auto-déclaré. C'est de cette manière que les tests génétiques type 23AndMe sont capables d'indiquer de manière fiable les origines géographiques d'une personne, ce qui ne serait pas possible s'il n'y avait aucune distinction génétique entre les différentes populations humaines.
À l'échelle mondiale, en rassemblant de nombreux génomes humains en fonction de leur proximité génétique et en les classifiant en 5 groupes, on retrouve peu ou prou les anciennes grandes « races » continentales traditionnelles de l'anthropologie du XIXe siècle.
Comparez vous-mêmes : https://image.noelshack.com/fichiers/2024/19/1/1714996607-rosenberg.png ; https://image.noelshack.com/fichiers/2024/19/1/1714996140-blumenbach.jpg

Bien sûr, les populations humaines ne sont pas génétiquement séparées par des barrières nettes ; il s'agit d'un continuum. Le consensus scientifique rejette le concept de « races humaines » au sens biologique, définies en tant que groupes génétiquement distincts. Notons tout de même que cette définition était déjà obsolète au XIXe siècle. L'anthropologue Johann Friedrich Blumenbach, considéré comme le fondateur des classifications raciales, écrivait en 1795 :

Toutes les différences nationales dans la forme et la couleur du corps humain […] s'étendent si insensiblement, par tant de nuances et de transitions les unes dans les autres, qu'il est impossible de les séparer autrement que par des limites très arbitraires.

:d) Maintenant que les bases sont posées, intéressons-nous d'abord à la fameuse carte des Q.I. : https://image.noelshack.com/fichiers/2024/19/1/1714996169-la-carte.png

Compte tenu des différences massives d'environnement et de culture qui existent entre les pays, et même en admettant que toutes les données utilisées soient fiables, ce qui a fait l'objet de nombreuses critiques, il semble difficile de conclure que cette carte est uniquement le reflet direct d'une inégalité génétique.
Cependant, les moins bonnes conditions de vie des pays affichant un faible Q.I. moyen pourraient être la conséquence d'une moindre intelligence, et non la cause première de celle-ci. D'après le rasoir d'Ockham, cette explication est rationnellement plus satisfaisante, car elle permet de se passer d'hypothèses ad hoc pour expliquer la différenciation spontanée entre pays riches et pays pauvres si tous les peuples sont égaux en intelligence. En revanche, le rasoir d'Ockham n'a jamais permis de démontrer quoi que ce soit à lui seul. Il faut donc aller plus loin.

La carte des Q.I. à elle seule ne peut pas être considérée comme un argument sérieux en faveur d'une explication génétique des différences observées. Néanmoins, cette carte montre un schéma global pertinent, qui se retrouve à bien d'autres échelles et au-delà même des scores de Q.I.

:d) Intéressons-nous plutôt aux différences trouvées entre Européens et Subsahariens au sein d'un même pays.

La comparaison entre deux populations au sein d'un même pays permet d'atténuer, voire d'éliminer, certains biais dus à la langue ou aux différences culturelles et environnementales.

Aux États-Unis, les Euro-Américains obtiennent en moyenne un Q.I. de 100. Les Afro-Américains obtiennent quant à eux un Q.I. moyen de 85. Le schéma est le même que sur la carte des Q.I., bien que les scores des Afro-Américains soient significativement plus élevés que ceux de leurs homologues d'Afrique subsaharienne, du fait, notamment, de meilleures conditions de vie. Pour autant, cela n'implique pas que l'écart restant soit aussi entièrement d'origine environnementale.

Pour pouvoir déterminer si les gènes jouent un rôle, il faut en premier lieu s'assurer que les résultats des Afro-Américains et des Euro-Américains aux tests de Q.I. soient comparables ; qu'un même test de Q.I. fonctionne de la même manière et mesure bien la même chose (le facteur g) chez les deux populations.

:d) Mythe dans le mythe n°1 : « Les tests de Q.I. sont biaisés en défaveur des Afro-Américains »

C'est justement ce qu'un test d'invariance de mesure permet de vérifier. Je ne rentrerai pas dans les détails de la procédure ici, car c'est vraiment trop technique, mais si ça vous intéresse, vous trouverez de quoi faire dans les sources.

Des tests d'invariance de mesure effectués sur plusieurs batteries de tests confirment : il n'y a pas de différence notable entre ce qui est mesuré chez les Euro-Américains et ce qui est mesuré chez les Afro-Américains ; leurs résultats sont donc comparables. Ce n'est pas étonnant, puisque les tests de Q.I. sont systématiquement contrôlés pour éviter les biais statistiques à l'égard de certains groupes. Autrement, ils seraient difficilement commercialisables.

À cela vient s'ajouter le fait, connu depuis longtemps, que la valeur prédictive du Q.I. est identique chez les Euro-Américains et chez les Afro-Américains.

Les différences constatées entre Euro-Américains et Afro-Américains ne peuvent donc pas être expliquées par des tests de Q.I. biaisés. Plus généralement, les tests de Q.I. ne présentent pas de biais à l'égard des groupes dont les individus, dans le cas présent, sont nés aux États-Unis et parlent couramment l'anglais.

Ensuite, il faut vérifier si les explications environnementales fréquemment avancées tiennent la route.

:d) Mythe dans le mythe n°2 : « Le plus faible Q.I. moyen des Afro-Américains est expliqué par un environnement défavorisé »

Non. À statut socio-économique égal, l'écart de Q.I. persiste. Certaines études trouvent même qu'il est plus grand chez les familles les plus riches et les plus éduquées que chez les familles les plus pauvres, ce qui conduit les Afro-Américains les plus riches à avoir un Q.I. moyen similaire à celui des Euro-Américains les plus pauvres.

L'écart de Q.I. n'est pas non plus expliqué par la moins bonne qualité de la scolarité des Afro-Américains, puisqu'il apparaît avant même l'âge d'un an et se creuse au fur et à mesure que l'héritabilité du Q.I. augmente.

:d) Mythe dans le mythe n°3 : « Le racisme subi par les Afro-Américains explique les disparités »

Il y a au moins trois gros problèmes avec cette assertion :

Lorsqu'Afro-Américains et Euro-Américains sont appariés par Q.I., les désavantages sociaux des Afro-Américains disparaissent. Ils gagnent, en moyenne, un salaire équivalent voire plus élevé, ont des résultats scolaires identiques et une situation professionnelle comparable ou meilleure que celle des Euro-Américains ;
Le mal-être psychologique dû à un éventuel racisme ambiant n'est pas non plus un argument valable : les Afro-Américains présentent une plus grande estime d'eux-mêmes et ne montrent pas de différences par rapport aux Euro-Américains sur des questionnaires diagnostiques pour la dépression ;
Aucun mécanisme proposé n'explique clairement comment le racisme pourrait faire baisser le Q.I. des Afro-Américains sans affecter d'autres variables psychologiques. Le racisme n'a pas d'impact causal démontré sur le Q.I.
Le « racisme » (systémique ou non) invoqué par certains - pas sur le forum, je documente simplement la réfutation de ce mythe - semble bien fantomatique…

Pour finir, puisque l'invariance de mesure est respectée pour les tests de Q.I., il est improbable, pour ne pas dire impossible, qu'un quelconque autre facteur de ce type contribue à baisser systématiquement le Q.I. de certaines populations ; cela résulterait en un échec de l'invariance de mesure, ou bien en des biais mesurables par d'autres procédés habituels de contrôle. L'invariance de mesure suggère que les différences de Q.I. entre les populations ont les mêmes causes que les différences de Q.I. entre les individus.

:d) Avec tous ces éléments posés sur la table, abordons maintenant le cœur du sujet : l'écart de Q.I. entre Afro-Américains et Euro-Américains est-il entièrement environnemental ?

L'héritabilité du Q.I. des Euro-Américains et des Afro-Américains étant identique, et puisque les différences de Q.I. entre les Euro-Américains sont majoritairement le fruit des gènes, le rasoir d'Ockham nous amène à présupposer que les différences entre Afro-Américains et Euro-Américains devraient également être majoritairement le fruit des gènes, jusqu'à preuve du contraire.

L'hypothèse « héréditariste » prévaut donc rationnellement sur l'hypothèse « environnementaliste », qui doit invoquer des explications ad hoc - dont beaucoup ont déjà réfutées - pour se justifier. Néanmoins, une haute héritabilité à l'intérieur des groupes n'implique pas nécessairement que l'héritabilité entre les groupes soit supérieure à 0 ; c'est juste rationnellement plus probable, en l'absence d'éléments qui viennent falsifier l'hypothèse. En outre, l'hypothèse héréditariste semble mieux se conformer aux données, étant donné ce qui a été établi précédemment.

Passons maintenant à une expérience pour laquelle les deux hypothèses prédisent des résultats différents…

:d) Les études sur les mélanges ancestraux

Aux États-Unis, les Afro-Américains ont en moyenne 20% à 25% de « gènes européens », du fait d'un métissage dû à l'esclavage et à l'histoire du pays. Un moyen assez direct de départager les deux hypothèses consiste à vérifier si, comme le prédit l'hypothèse héréditariste, une plus grande proportion d'ascendance européenne chez les Afro-Américains est associée à un plus haut Q.I.

D'après l'hypothèse environnementaliste, en revanche, à environnement égal, aucune relation entre le Q.I. et le degré d'ascendance européenne ne devrait être trouvée, à moins d'invoquer une énième hypothèse ad hoc : « les Afro-Américains avec le moins d'ascendance européenne sont plus discriminés que les autres, à cause de leur apparence qui se rapproche le plus des Subsahariens non métissés », ce qui ferait baisser leur Q.I. par l'opération du Saint-Esprit, comme nous l'avons vu précédemment.

Les premières études à avoir mis en place ce protocole datent des années 70. Le degré d'ascendance européenne était mesuré via le groupe sanguin, la couleur de peau ou l'ascendance multiraciale auto-déclarée de chaque participant. Ces méthodes ne permettent pas d'estimer correctement la proportion d'ascendance européenne et ont, depuis, été largement surpassées par l'étude de l'A.D.N. des individus. Curieusement, bien que ces études soient fortement obsolètes, certains environnementalistes les citent encore, parce que les résultats ne montrent pas de relation et vont ainsi dans leur sens, affirmant que cela démontre que la part génétique dans l'écart de Q.I. entre Afro-Américains et Euro-Américains est nulle. Ils semblent donc approuver, de fait, ce protocole.

Plus récemment, au moins quatre études utilisant des méthodes modernes d'identification de la proportion d'ascendance européenne par l'A.D.N. ont été publiées. Ces études prennent en compte le statut socio-économique et plusieurs paramètres de l'apparence, comme la couleur de peau, des yeux et des cheveux des participants. Deux de ces études testent et confirment l'invariance de mesure au sein des jeux de données analysés.

Leurs conclusions : il existe une association, faible mais significative, entre la proportion d'ascendance européenne et le Q.I. chez les Afro-Américains, même après contrôle du statut socio-économique, et l'apparence physique des participants n'a pas d'incidence sur leur Q.I. indépendamment de leur ascendance. Ces études convergent donc toutes vers une contribution non nulle des gènes dans les différences de Q.I. entre Afro-Américains et Euro-Américains.
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/19/1/1714996194-admixture1.jpg ; https://image.noelshack.com/fichiers/2024/19/1/1714996196-admixture2.png ; https://image.noelshack.com/fichiers/2024/19/1/1714996198-admixture3.png

Pour des traits moins controversés, comme les différences de taille ou de prévalence de certaines maladies entre populations, de tels résultats obtenus par ce protocole sont généralement interprétés comme étant la preuve d'une causalité génétique.

De nouvelles études seraient cependant les bienvenues, notamment afin de s'assurer de la réplicabilité de ces conclusions et pour vérifier si elles s'appliquent aux autres populations, par exemple aux Asiatiques de l'Est - où une plus grande proportion d'ascendance asiatique serait associée à un plus haut Q.I. chez les Européens.

Si d'autres arguments en faveur de l'hypothèse héréditariste vous intéressent, je vous renvoie vers le tout dernier lien que j'ai mis dans les sources. J'ai choisi de ne présenter ici que l'argument le plus direct et le plus convaincant, selon moi, pour départager les deux hypothèses, et sans trop rentrer dans les détails techniques. L'état actuel des connaissances ne permet pas de donner une estimation de la contribution génétique aux différences de Q.I. entre les populations humaines, si ce n'est qu'elle est très probablement supérieure à zéro.

Si toutefois l'hypothèse environnementaliste vous séduit malgré tout, lisez James R. Flynn. C'était un des rares à défendre sa position sérieusement, sans user de tous les poncifs mille fois réfutés que j'ai - de façon non exhaustive - abordés ici.

Sources :
SPOIL
https://www1.udel.edu/educ/gottfredson/reprints/1997mainstream.pdf
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S016028960600033X
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0160289619301795
https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/09515089.2019.1697803
https://journals.sagepub.com/doi/10.1111/j.1467-9280.2006.01802.x
https://link.springer.com/chapter/10.1007/978-1-4684-9063-3_14
https://www.cell.com/ajhg/fulltext/S0002-9297(07)62578-6
https://www.science.org/drg/doi/10.1126/science.1078311
Blumenbach, J. F. (1795), De generis humani varietate nativa
https://bioanth.org/about/position-statements/aapa-statement-race-and-racism-2019
https://www.uni-goettingen.de/en/blumenbach+and+the+concept+of+race/650077.html
https://en.wikipedia.org/wiki/IQ_and_the_Wealth_of_Nations#Criticism_of_data_sets
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S016028961300113X
https://osf.io/gfbrc
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0160289603000515
https://psycnet.apa.org/record/2000-02413-012
https://reasonwithoutrestraint.com/poor-environmental-explanations-of-the-gap/#Predictive_validity
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0160289608000305
Jensen, A. (1980), Bias in Mental Testing
https://reasonwithoutrestraint.com/poor-environmental-explanations-of-the-gap/#The_Socioeconomic_Hypothesis
Jensen, A. (1998), The g Factor: The Science of Mental Ability, p. 358
https://reasonwithoutrestraint.com/the-early-emergence-of-black-white-disparities/#Early_Childhood_Longitudinal_Study_data
https://www.jstor.org/stable/2096392
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S016028961500166X
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0160289600000428
https://psycnet.apa.org/record/2002-02633-001
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12428771
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0160289619301904
https://www.cell.com/ajhg/fulltext/S0002-9297(14)00476-5
https://psycnet.apa.org/record/1974-04436-001
https://link.springer.comcom/article/10.1007/BF00273154
https://psycnet.apa.org/record/1997-02239-020
https://www.mdpi.com/2624-8611/1/1/34
https://www.mdpi.com/2624-8611/1/1/1
https://www.dropbox.com/s/zgrocak0uhipca0/7.pdf?e=1&dl=0
https://www.researchgate.net/publication/354010004_Genetic_Ancestry_and_General_Cognitive_Ability_in_a_Sample_of_American_Youths
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0032840
https://journals.plos.org/plosgenetics/article?id=10.1371/journal.pgen.1002641
https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.1402875111
https://gwern.net/doc/iq/2021-warne-2.pdf

En même temps faut être vraiment le dernier des abrutis pour croire qu'il y a une corrélation race/intelligence :hap:
Je fais de la recherche en maths, t'as des mecs ultra fort dans absolument tous les pays :(

Le 18 décembre 2024 à 11:34:41 Dark-vg2 a écrit :
En même temps faut être vraiment le dernier des abrutis pour croire qu'il y a une corrélation race/intelligence :hap:
Je fais de la recherche en maths, t'as des mecs ultra fort dans absolument tous les pays :(

"Je fais de la recherche en maths, t'as des mecs ultra fort dans absolument tous les pays"

T'es pas sérieux avec cette phrase j'espère ?

Le 18 décembre 2024 à 11:34:41 :
En même temps faut être vraiment le dernier des abrutis pour croire qu'il y a une corrélation race/intelligence :hap:
Je fais de la recherche en maths, t'as des mecs ultra fort dans absolument tous les pays :(

Ca leur évite de trop réfléchir et de se rassurer en se disant que quoiqu''il arrive, ils appartiennent au bon groupe, même si leur vie perso n'est pas géniale.

Le 18 décembre 2024 à 11:28:16 bukeled a écrit :

Le 18 décembre 2024 à 10:55:56 :
Sans regarder ce serait pas plutôt une histoire d'éducation et d'accès au savoir :question:

L'environnement c'est pas que l'environnement social, ça peut être aussi la géographie. Les Népalais ont un QI faible car ils vivent en altitude et donc leur cerveau est moins oxygéné. Alors que les Népalais qui vivent au UK par exemple montent des entreprises, font de la politique, etc...

Les autochtones des zone de haute altitude se sont adaptés et leurs sans est tout autant saturé en oxygène que le notre.

S'ils sont low IQ c'est surtout que le pays n'est pas industrialisé et qu'ils ont peu accès à l'éducation.

Non non mais ils sont délirants ceux qui parlent d’environnement.
Le consensus scientifique de 2024 c’est que le facteur d’hérédité de l’intelligence est estimée à « plus de 80% »
Ta marge de progression de ton intelligence plafond est de 1 à 20%
Les études américaines démontent que la variabilité environnementale (typiquement l’africain dans un continent blanc avec la meilleure éducation) est de max 4-5 points.

Les golems vont maintenant nier le consensus pour faire exister leur modèle universaliste pensé dans des universités occidentales qui permet de conserver les intérêts du grand capital :)

Le 18 décembre 2024 à 11:38:15 :

Le 18 décembre 2024 à 11:28:16 bukeled a écrit :

Le 18 décembre 2024 à 10:55:56 :
Sans regarder ce serait pas plutôt une histoire d'éducation et d'accès au savoir :question:

L'environnement c'est pas que l'environnement social, ça peut être aussi la géographie. Les Népalais ont un QI faible car ils vivent en altitude et donc leur cerveau est moins oxygéné. Alors que les Népalais qui vivent au UK par exemple montent des entreprises, font de la politique, etc...

Les autochtones des zone de haute altitude se sont adaptés et leurs sans est tout autant saturé en oxygène que le notre.

S'ils sont low IQ c'est juste que le pays n'est pas industrialisé et qu'ils ont peu accès à l'éducation.

Mais t'as déjà vu la gueule d'un test de QI ?

Le 18 décembre 2024 à 11:39:03 :

Le 18 décembre 2024 à 11:38:15 :

Le 18 décembre 2024 à 11:28:16 bukeled a écrit :

Le 18 décembre 2024 à 10:55:56 :
Sans regarder ce serait pas plutôt une histoire d'éducation et d'accès au savoir :question:

L'environnement c'est pas que l'environnement social, ça peut être aussi la géographie. Les Népalais ont un QI faible car ils vivent en altitude et donc leur cerveau est moins oxygéné. Alors que les Népalais qui vivent au UK par exemple montent des entreprises, font de la politique, etc...

Les autochtones des zone de haute altitude se sont adaptés et leurs sans est tout autant saturé en oxygène que le notre.

S'ils sont low IQ c'est juste que le pays n'est pas industrialisé et qu'ils ont peu accès à l'éducation.

Mais t'as déjà vu la gueule d'un test de QI ?

Oui j'en ai passé quand j'étais petit.

C'est un outil incomplet mais qui va très bien dans le sens de la macaquerie ambiante dans certains pays.

Le 18 décembre 2024 à 11:36:22 :

Le 18 décembre 2024 à 11:34:41 Dark-vg2 a écrit :
En même temps faut être vraiment le dernier des abrutis pour croire qu'il y a une corrélation race/intelligence :hap:
Je fais de la recherche en maths, t'as des mecs ultra fort dans absolument tous les pays :(

"Je fais de la recherche en maths, t'as des mecs ultra fort dans absolument tous les pays"

T'es pas sérieux avec cette phrase j'espère ?

En quoi je suis pas serieux ?
Je taff avec des Argentins, des Iraniens, des italiens etc...
La seul différence c'est l'accès a l'éducation et à de bons professeurs :)
C'est ca la vrais redpill.
Après si ce que tu voulais dire c'est que la recherche en maths n'est pas synonymes d'intelligence effectivement ça peut se discuter :hap:

Le 18 décembre 2024 à 11:38:15 :

Le 18 décembre 2024 à 11:28:16 bukeled a écrit :

Le 18 décembre 2024 à 10:55:56 :
Sans regarder ce serait pas plutôt une histoire d'éducation et d'accès au savoir :question:

L'environnement c'est pas que l'environnement social, ça peut être aussi la géographie. Les Népalais ont un QI faible car ils vivent en altitude et donc leur cerveau est moins oxygéné. Alors que les Népalais qui vivent au UK par exemple montent des entreprises, font de la politique, etc...

Les autochtones des zone de haute altitude se sont adaptés et leurs sans est tout autant saturé en oxygène que le notre.

S'ils sont low IQ c'est surtout que le pays n'est pas industrialisé et qu'ils ont peu accès à l'éducation.

Oui c'est sans doute un des paramètres. Je donnais l'oxygène comme exemple parmi d'autres. Les tests de QI demandent quand même des connaissance de base, rien que pour comprendre les question et les réponses attendues.

Jeanrac a drop le pavé blackpill mais les gauchistes du topax vont boucler : « faut être debile pour croire que. »

Quel argument scientifique implacable les gauchos on sent bien votre license en socio transparaître

Le 18 décembre 2024 à 11:37:40 :

Le 18 décembre 2024 à 11:34:41 :
En même temps faut être vraiment le dernier des abrutis pour croire qu'il y a une corrélation race/intelligence :hap:
Je fais de la recherche en maths, t'as des mecs ultra fort dans absolument tous les pays :(

Ca leur évite de trop réfléchir et de se rassurer en se disant que quoiqu''il arrive, ils appartiennent au bon groupe, même si leur vie perso n'est pas géniale.

Ayaaa ouais c'est exactement l'impression que j'avais en lisant le topic :hap:

Je commence à regarder mais ça l'air intéressant mais je peux pas m'empêcher de faire part de ma peur en voyant les 54 de QI des bushmen :peur:

Données du topic

Auteur
turcophoneDeter
Date de création
18 décembre 2024 à 10:51:44
Date de suppression
18 décembre 2024 à 12:24:00
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