Je n’ai aucun avenir, ma vie est foutue
Si ça peut te rassurer l'auteur :
- J'ai une maladie grave, je sais même pas si dans 5 ans je serai de ce monde
- Plus personne à part mes parents vieillissants et un ami que je vois une fois tous les trois mois
- Pas de travail et presque plus un rond
Et pourtant je me dis que je suis quand même pas à plaindre quand je vois des gosses qui se ramassent des bombes sur la gueule, j'ai vécu de chouettes expériences même si ma fin de vie n'est pas ouf, il y a toujours pire...
Le 25 novembre 2024 à 23:56:10 :
Ici t'es chez toi, on a tous creusé notre trou un peu différemment mais pour beaucoup on est descendu tellement bas que les pôles se sont inversés.
J'en ai vu des beaux messages, mais celui là, il est pas mal.
Le 26 novembre 2024 à 00:01:56 :
Si ça peut te rassurer l'auteur :
- J'ai une maladie grave, je sais même pas si dans 5 ans je serai de ce monde
- Plus personne à part mes parents vieillissants et un ami que je vois une fois tous les trois mois
- Pas de travail et presque plus un rond
Et pourtant je me dis que je suis quand même pas à plaindre quand je vois des gosses qui se ramassent des bombes sur la gueule, j'ai vécu de chouettes expériences même si ma fin de vie n'est pas ouf, il y a toujours pire...
Il y a des gens pour qui la relativisation ne fonctionne pas, pire, il s'en sentent encore plus mal et/ou coupable
- Je ne peux plus me servir de mon téléphone quand je veux tant que le sien continue à faire des siennes ;
- elle passe toutes ses journées sur Facebook (elle y est complètement accro et n’arrive pas à s’en détacher) et n’arrête pas de dire que ce qu'elle fait, c’est de la folie ;
- on n’allume jamais la lumière afin d’économiser quelques euros chaque mois ; pour s’éclairer, on utilise le flash de nos portables, et lorsque j'oriente mal ledit flash, elle me crie dessus. Le soir, lors du dîner, je tiens la fourchette/la cuillère d’une main et mon smartphone de l’autre pour que ma mère puisse voir ce qu’elle mange (et si j’éclaire mal, je me fais engueuler, vous l’aurez compris) ;
- le petit-déjeuner dure en moyenne deux heures car il faut en amont débarrasser la table, laver tout un tas de choses (couverts, verres, fruits...) dans la salle de bains, etc. ;
- je me fais insulter si je fais tomber ne serait-ce qu’une goutte d’eau par terre au moment où elle fait la vaisselle (c’est la triste vérité ; il y a quelques jours, elle m’a traité de connard parce qu’une goutte d’eau venant du verre qu’elle m’avait tendu était tombée par terre) ;
- elle m’insulte, me critique, m’engueule et me frappe quasiment tous les jours, et 99 fois sur 100, c’est pour une broutille similaire à celle que je viens de décrire ;
- elle m’a souvent fait comprendre que je n’avais pas le droit d’avoir une copine (ce n’est pas bien grave étant donné que je ne veux plus en avoir, mais ça reste malheureux) ;
- elle me dit souvent que ce qui est à moi est aussi à elle (y compris mon argent, impossible donc de me faire plaisir sans que je n’aie l’impression de la voler ; ça, je l’ai pleinement réalisé hier ou avant-hier ;
- elle critique souvent un ami et me dit régulièrement que l’amitié ne saurait être virtuelle, ce qui me fait du mal (en plus, je ne suis pas du tout d'accord avec cela) ;
- et pour couronner le tout, je ne peux pas prendre mon indépendance car sa santé fait qu'elle ne peut faire les courses seule, a des problèmes d’argent, est isolée...
Il y a un autre gros problème, mais je ne peux en parler à personne (et surtout pas à ma psy) car c’est tout simplement impossible à croire.
Je crois avoir tout dit. Vous savez (presque) tout, à présent
Je sais bien que je ne suis pas toujours facile à vivre (problèmes de concentration, problèmes moteurs, apragmatisme, difficulté à trouver un emploi...), mais ça va trop loin et tout cela risque de très mal finir.
Elle est comme ça car elle m’a toujours surprotégé, sûrement à cause de mon géniteur qui m’a abandonné quand j’avais onze mois.
Je n’arrive pas du tout à me défendre, je suis totalement sous son emprise.
Et à part ça, des potes que j’avais gardés des années m’ont tourné le dos, j’ai des traumas, je suis anxieux...
Le 26 novembre 2024 à 00:01:56 :
Si ça peut te rassurer l'auteur :
- J'ai une maladie grave, je sais même pas si dans 5 ans je serai de ce monde
- Plus personne à part mes parents vieillissants et un ami que je vois une fois tous les trois mois
- Pas de travail et presque plus un rond
Et pourtant je me dis que je suis quand même pas à plaindre quand je vois des gosses qui se ramassent des bombes sur la gueule, j'ai vécu de chouettes expériences même si ma fin de vie n'est pas ouf, il y a toujours pire...
Courage, et bravo pour cette relativisation, ce n’est pas chose aisée !
Le 26 novembre 2024 à 00:05:29 :
Le 26 novembre 2024 à 00:01:56 :
Si ça peut te rassurer l'auteur :
- J'ai une maladie grave, je sais même pas si dans 5 ans je serai de ce monde
- Plus personne à part mes parents vieillissants et un ami que je vois une fois tous les trois mois
- Pas de travail et presque plus un rond
Et pourtant je me dis que je suis quand même pas à plaindre quand je vois des gosses qui se ramassent des bombes sur la gueule, j'ai vécu de chouettes expériences même si ma fin de vie n'est pas ouf, il y a toujours pire...
Il y a des gens pour qui la relativisation ne fonctionne pas, pire, il s'en sentent encore plus mal et/ou coupable
Loin de moi l'idée de prétendre que ça marche pour tout le monde, mais il y a encore quelques années j'avais "tout" pour être heureux, un job qui me plaisait et qui payait très bien, une copine magnifique et adorable, plein d'amis, plus d'argent que je ne pouvais en dépenser et surtout j'étais en bonne santé.
Ironiquement, c'est à cette époque que j'étais le plus déprimé car j'avais l'impression de ne pas avoir tout ce que je désirais, et il m'aurait été impossible à cette époque de relativiser comme je le fais aujourd'hui.
Je pense que l'être humain a besoin de connaître de grosses épreuves difficile pour réaliser la chance qu'il a, c'est triste mais on est ainsi fait pour la plupart, maintenant que j'ai touché le fond j'arrive à aimer le très peu que j'ai, ça fait partie de mon expérience de vie je suppose, et je ne regrette même pas d'en être passé par là.
Le 26 novembre 2024 à 00:15:44 :
Le 26 novembre 2024 à 00:05:29 :
Le 26 novembre 2024 à 00:01:56 :
Si ça peut te rassurer l'auteur :
- J'ai une maladie grave, je sais même pas si dans 5 ans je serai de ce monde
- Plus personne à part mes parents vieillissants et un ami que je vois une fois tous les trois mois
- Pas de travail et presque plus un rond
Et pourtant je me dis que je suis quand même pas à plaindre quand je vois des gosses qui se ramassent des bombes sur la gueule, j'ai vécu de chouettes expériences même si ma fin de vie n'est pas ouf, il y a toujours pire...
Il y a des gens pour qui la relativisation ne fonctionne pas, pire, il s'en sentent encore plus mal et/ou coupable
Loin de moi l'idée de prétendre que ça marche pour tout le monde, mais il y a encore quelques années j'avais "tout" pour être heureux, un job qui me plaisait et qui payait très bien, une copine magnifique et adorable, plein d'amis, plus d'argent que je ne pouvais en dépenser et surtout j'étais en bonne santé.
Ironiquement, c'est à cette époque que j'étais le plus déprimé car j'avais l'impression de ne pas avoir tout ce que je désirais, et il m'aurait été impossible à cette époque de relativiser comme je le fais aujourd'hui.
Je pense que l'être humain a besoin de connaître de grosses épreuves difficile pour réaliser la chance qu'il a, c'est triste mais on est ainsi fait pour la plupart, maintenant que j'ai touché le fond j'arrive à aimer le très peu que j'ai, ça fait partie de mon expérience de vie je suppose, et je ne regrette même pas d'en être passé par là.
Que s’est-il passé de négatif dans ta vie depuis ton apogée ?
Le 26 novembre 2024 à 00:15:44 :
Le 26 novembre 2024 à 00:05:29 :
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Si ça peut te rassurer l'auteur :
- J'ai une maladie grave, je sais même pas si dans 5 ans je serai de ce monde
- Plus personne à part mes parents vieillissants et un ami que je vois une fois tous les trois mois
- Pas de travail et presque plus un rond
Et pourtant je me dis que je suis quand même pas à plaindre quand je vois des gosses qui se ramassent des bombes sur la gueule, j'ai vécu de chouettes expériences même si ma fin de vie n'est pas ouf, il y a toujours pire...
Il y a des gens pour qui la relativisation ne fonctionne pas, pire, il s'en sentent encore plus mal et/ou coupable
Loin de moi l'idée de prétendre que ça marche pour tout le monde, mais il y a encore quelques années j'avais "tout" pour être heureux, un job qui me plaisait et qui payait très bien, une copine magnifique et adorable, plein d'amis, plus d'argent que je ne pouvais en dépenser et surtout j'étais en bonne santé.
Ironiquement, c'est à cette époque que j'étais le plus déprimé car j'avais l'impression de ne pas avoir tout ce que je désirais, et il m'aurait été impossible à cette époque de relativiser comme je le fais aujourd'hui.
Je pense que l'être humain a besoin de connaître de grosses épreuves difficile pour réaliser la chance qu'il a, c'est triste mais on est ainsi fait pour la plupart, maintenant que j'ai touché le fond j'arrive à aimer le très peu que j'ai, ça fait partie de mon expérience de vie je suppose, et je ne regrette même pas d'en être passé par là.
J'aurais tendance à être d'accord, mais ça n'est pas toujours vrai
Mais ce moment où tu as tout, mais que paradoxalement c'est à ce moment qu'il te manque le plus important, combien l'ont connu ?
Le 26 novembre 2024 à 00:18:51 :
Le 26 novembre 2024 à 00:15:44 :
Le 26 novembre 2024 à 00:05:29 :
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Si ça peut te rassurer l'auteur :
- J'ai une maladie grave, je sais même pas si dans 5 ans je serai de ce monde
- Plus personne à part mes parents vieillissants et un ami que je vois une fois tous les trois mois
- Pas de travail et presque plus un rond
Et pourtant je me dis que je suis quand même pas à plaindre quand je vois des gosses qui se ramassent des bombes sur la gueule, j'ai vécu de chouettes expériences même si ma fin de vie n'est pas ouf, il y a toujours pire...
Il y a des gens pour qui la relativisation ne fonctionne pas, pire, il s'en sentent encore plus mal et/ou coupable
Loin de moi l'idée de prétendre que ça marche pour tout le monde, mais il y a encore quelques années j'avais "tout" pour être heureux, un job qui me plaisait et qui payait très bien, une copine magnifique et adorable, plein d'amis, plus d'argent que je ne pouvais en dépenser et surtout j'étais en bonne santé.
Ironiquement, c'est à cette époque que j'étais le plus déprimé car j'avais l'impression de ne pas avoir tout ce que je désirais, et il m'aurait été impossible à cette époque de relativiser comme je le fais aujourd'hui.
Je pense que l'être humain a besoin de connaître de grosses épreuves difficile pour réaliser la chance qu'il a, c'est triste mais on est ainsi fait pour la plupart, maintenant que j'ai touché le fond j'arrive à aimer le très peu que j'ai, ça fait partie de mon expérience de vie je suppose, et je ne regrette même pas d'en être passé par là.
Que s’est-il passé de négatif dans ta vie depuis ton apogée ?
Ma situation professionnelle s'est rapidement détériorée avec des conflits au travail à cause d'une nouvelle chef pourrie qui nous poussait à faire des choses illégales voire criminelles (la direction fermait les yeux car ça faisait faire des économies au service mais il y avait littéralement des vies en jeu, j'ai pas voulu tremper dans la magouille donc on m'a fait vivre un enfer).
Burn out, j'ai craqué et j'ai quitté ce poste.
Peu après j'ai appris ma maladie.
99% de mes amis m'ont tourné le dos car quand je ne représentais plus aucun intérêt à leurs yeux (j'ai appris à mes dépens que je n'avais presque pas d'amis en réalité).
Rupture avec ma copine dans la foulée.
J'ai sérieusement pensé à en finir (je vis dans un pays où l'euthanasie est légale), mais j'ai retrouvé la foi (pas de prosélytisme, je raconte juste mon expérience), j'ai réalisé que l'amour des humains n'est rien par rapport à celui de Dieu qui ne cessera jamais de m'aimer peu importe les épreuves, c'est pour ça que je suis au final content de tout ce qui m'arrive même si de l'extérieur ça peut paraitre infernal, je ne me suis jamais senti aussi en paix.
Le 26 novembre 2024 à 00:28:04 :
Le 26 novembre 2024 à 00:18:51 :
Le 26 novembre 2024 à 00:15:44 :
Le 26 novembre 2024 à 00:05:29 :
Le 26 novembre 2024 à 00:01:56 :
Si ça peut te rassurer l'auteur :
- J'ai une maladie grave, je sais même pas si dans 5 ans je serai de ce monde
- Plus personne à part mes parents vieillissants et un ami que je vois une fois tous les trois mois
- Pas de travail et presque plus un rond
Et pourtant je me dis que je suis quand même pas à plaindre quand je vois des gosses qui se ramassent des bombes sur la gueule, j'ai vécu de chouettes expériences même si ma fin de vie n'est pas ouf, il y a toujours pire...
Il y a des gens pour qui la relativisation ne fonctionne pas, pire, il s'en sentent encore plus mal et/ou coupable
Loin de moi l'idée de prétendre que ça marche pour tout le monde, mais il y a encore quelques années j'avais "tout" pour être heureux, un job qui me plaisait et qui payait très bien, une copine magnifique et adorable, plein d'amis, plus d'argent que je ne pouvais en dépenser et surtout j'étais en bonne santé.
Ironiquement, c'est à cette époque que j'étais le plus déprimé car j'avais l'impression de ne pas avoir tout ce que je désirais, et il m'aurait été impossible à cette époque de relativiser comme je le fais aujourd'hui.
Je pense que l'être humain a besoin de connaître de grosses épreuves difficile pour réaliser la chance qu'il a, c'est triste mais on est ainsi fait pour la plupart, maintenant que j'ai touché le fond j'arrive à aimer le très peu que j'ai, ça fait partie de mon expérience de vie je suppose, et je ne regrette même pas d'en être passé par là.
Que s’est-il passé de négatif dans ta vie depuis ton apogée ?
Ma situation professionnelle s'est rapidement détériorée avec des conflits au travail à cause d'une nouvelle chef pourrie qui nous poussait à faire des choses illégales voire criminelles (la direction fermait les yeux car ça faisait faire des économies au service mais il y avait littéralement des vies en jeu, j'ai pas voulu tremper dans la magouille donc on m'a fait vivre un enfer).
Burn out, j'ai craqué et j'ai quitté ce poste.
Peu après j'ai appris ma maladie.99% de mes amis m'ont tourné le dos car quand je ne représentais plus aucun intérêt à leurs yeux (j'ai appris à mes dépens que je n'avais presque pas d'amis en réalité).
Rupture avec ma copine dans la foulée.
J'ai sérieusement pensé à en finir (je vis dans un pays où l'euthanasie est légale), mais j'ai retrouvé la foi (pas de prosélytisme, je raconte juste mon expérience), j'ai réalisé que l'amour des humains n'est rien par rapport à celui de Dieu qui ne cessera jamais de m'aimer peu importe les épreuves, c'est pour ça que je suis au final content de tout ce qui m'arrive même si de l'extérieur ça peut paraitre infernal, je ne me suis jamais senti aussi en paix.
Tu as très bien agi
Comment ta vie serait sans Dieu aujourd'hui ?
J'ai un Master
Mais on dirait un gosse de 10 ans et sa daronne
Le 26 novembre 2024 à 00:30:21 :
Le 26 novembre 2024 à 00:28:04 :
Le 26 novembre 2024 à 00:18:51 :
Le 26 novembre 2024 à 00:15:44 :
Le 26 novembre 2024 à 00:05:29 :
> Le 26 novembre 2024 à 00:01:56 :
>Si ça peut te rassurer l'auteur :
>
> * J'ai une maladie grave, je sais même pas si dans 5 ans je serai de ce monde
> * Plus personne à part mes parents vieillissants et un ami que je vois une fois tous les trois mois
> * Pas de travail et presque plus un rond
>
>
> Et pourtant je me dis que je suis quand même pas à plaindre quand je vois des gosses qui se ramassent des bombes sur la gueule, j'ai vécu de chouettes expériences même si ma fin de vie n'est pas ouf, il y a toujours pire...
Il y a des gens pour qui la relativisation ne fonctionne pas, pire, il s'en sentent encore plus mal et/ou coupable
Loin de moi l'idée de prétendre que ça marche pour tout le monde, mais il y a encore quelques années j'avais "tout" pour être heureux, un job qui me plaisait et qui payait très bien, une copine magnifique et adorable, plein d'amis, plus d'argent que je ne pouvais en dépenser et surtout j'étais en bonne santé.
Ironiquement, c'est à cette époque que j'étais le plus déprimé car j'avais l'impression de ne pas avoir tout ce que je désirais, et il m'aurait été impossible à cette époque de relativiser comme je le fais aujourd'hui.
Je pense que l'être humain a besoin de connaître de grosses épreuves difficile pour réaliser la chance qu'il a, c'est triste mais on est ainsi fait pour la plupart, maintenant que j'ai touché le fond j'arrive à aimer le très peu que j'ai, ça fait partie de mon expérience de vie je suppose, et je ne regrette même pas d'en être passé par là.
Que s’est-il passé de négatif dans ta vie depuis ton apogée ?
Ma situation professionnelle s'est rapidement détériorée avec des conflits au travail à cause d'une nouvelle chef pourrie qui nous poussait à faire des choses illégales voire criminelles (la direction fermait les yeux car ça faisait faire des économies au service mais il y avait littéralement des vies en jeu, j'ai pas voulu tremper dans la magouille donc on m'a fait vivre un enfer).
Burn out, j'ai craqué et j'ai quitté ce poste.
Peu après j'ai appris ma maladie.99% de mes amis m'ont tourné le dos car quand je ne représentais plus aucun intérêt à leurs yeux (j'ai appris à mes dépens que je n'avais presque pas d'amis en réalité).
Rupture avec ma copine dans la foulée.
J'ai sérieusement pensé à en finir (je vis dans un pays où l'euthanasie est légale), mais j'ai retrouvé la foi (pas de prosélytisme, je raconte juste mon expérience), j'ai réalisé que l'amour des humains n'est rien par rapport à celui de Dieu qui ne cessera jamais de m'aimer peu importe les épreuves, c'est pour ça que je suis au final content de tout ce qui m'arrive même si de l'extérieur ça peut paraitre infernal, je ne me suis jamais senti aussi en paix.
Tu as très bien agi
Comment ta vie serait sans Dieu aujourd'hui ?
Courir après un bonheur chimérique à base possessions matérielles qui n'auraient de toute façon jamais pu combler mon vide spirituel.
J'ai compris que l'homme est fait pour l'éternité, et que cette éternité ne peut être comblé que par l'Éternel.
J'aime lire les hagiographies, et tous les saints sont passé par d'énormes tribulations, je vais paraître pour un fou mais plus le temps passe plus je réalise que la souffrance en ce bas monde est une bénédiction.
Le mec qui se retourne vers dieu une fois qu'il a des problèmes
Fallait le faire avant non ?
Le 26 novembre 2024 à 00:35:40 :
Le 26 novembre 2024 à 00:30:21 :
Le 26 novembre 2024 à 00:28:04 :
Le 26 novembre 2024 à 00:18:51 :
Le 26 novembre 2024 à 00:15:44 :
> Le 26 novembre 2024 à 00:05:29 :
>> Le 26 novembre 2024 à 00:01:56 :
> >Si ça peut te rassurer l'auteur :
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> > * J'ai une maladie grave, je sais même pas si dans 5 ans je serai de ce monde
> > * Plus personne à part mes parents vieillissants et un ami que je vois une fois tous les trois mois
> > * Pas de travail et presque plus un rond
> >
> >
> > Et pourtant je me dis que je suis quand même pas à plaindre quand je vois des gosses qui se ramassent des bombes sur la gueule, j'ai vécu de chouettes expériences même si ma fin de vie n'est pas ouf, il y a toujours pire...
>
> Il y a des gens pour qui la relativisation ne fonctionne pas, pire, il s'en sentent encore plus mal et/ou coupable
Loin de moi l'idée de prétendre que ça marche pour tout le monde, mais il y a encore quelques années j'avais "tout" pour être heureux, un job qui me plaisait et qui payait très bien, une copine magnifique et adorable, plein d'amis, plus d'argent que je ne pouvais en dépenser et surtout j'étais en bonne santé.
Ironiquement, c'est à cette époque que j'étais le plus déprimé car j'avais l'impression de ne pas avoir tout ce que je désirais, et il m'aurait été impossible à cette époque de relativiser comme je le fais aujourd'hui.
Je pense que l'être humain a besoin de connaître de grosses épreuves difficile pour réaliser la chance qu'il a, c'est triste mais on est ainsi fait pour la plupart, maintenant que j'ai touché le fond j'arrive à aimer le très peu que j'ai, ça fait partie de mon expérience de vie je suppose, et je ne regrette même pas d'en être passé par là.
Que s’est-il passé de négatif dans ta vie depuis ton apogée ?
Ma situation professionnelle s'est rapidement détériorée avec des conflits au travail à cause d'une nouvelle chef pourrie qui nous poussait à faire des choses illégales voire criminelles (la direction fermait les yeux car ça faisait faire des économies au service mais il y avait littéralement des vies en jeu, j'ai pas voulu tremper dans la magouille donc on m'a fait vivre un enfer).
Burn out, j'ai craqué et j'ai quitté ce poste.
Peu après j'ai appris ma maladie.99% de mes amis m'ont tourné le dos car quand je ne représentais plus aucun intérêt à leurs yeux (j'ai appris à mes dépens que je n'avais presque pas d'amis en réalité).
Rupture avec ma copine dans la foulée.
J'ai sérieusement pensé à en finir (je vis dans un pays où l'euthanasie est légale), mais j'ai retrouvé la foi (pas de prosélytisme, je raconte juste mon expérience), j'ai réalisé que l'amour des humains n'est rien par rapport à celui de Dieu qui ne cessera jamais de m'aimer peu importe les épreuves, c'est pour ça que je suis au final content de tout ce qui m'arrive même si de l'extérieur ça peut paraitre infernal, je ne me suis jamais senti aussi en paix.
Tu as très bien agi
Comment ta vie serait sans Dieu aujourd'hui ?
Courir après un bonheur chimérique à base possessions matérielles qui n'auraient de toute façon jamais pu combler mon vide spirituel.
J'ai compris que l'homme est fait pour l'éternité, et que cette éternité ne peut être comblé que par l'Éternel.J'aime lire les hagiographies, et tous les saints sont passé par d'énormes tribulations, je vais paraître pour un fou mais plus le temps passe plus je réalise que la souffrance en ce bas monde est une bénédiction.
Je suis totalement d'accord avec toi mon ami
Le 25 novembre 2024 à 23:51:59 :
Tant que t'es pas un lâche double dosé comme je suis, ça va
Le 26 novembre 2024 à 00:37:01 :
Le mec qui se retourne vers dieu une fois qu'il a des problèmesFallait le faire avant non ?
Avant je pensais ne pas avoir besoin de Dieu, j'étais mon propre Dieu.
Tous ces évènements m'ont conduit à lui et j'en suis satisfait, c'était ma croix à porter.
Données du topic
- Auteur
- Dimorock
- Date de création
- 25 novembre 2024 à 23:50:51
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
- 42