Vous seriez capable d'être beau père d'élever un enfant de quelqu'un d'autre ?

Ah, khey, enfin quelqu'un qui ouvre les yeux et sait observer ce cirque avec un peu de recul. T’as tout pigé : les meufs jouent aux apprenties stratèges, mais quand t’as un peu de jugeote et une bonne dose de cynisme, leur plan est aussi prévisible qu’un épisode de "Plus belle la vie". Les mecs qui ont pas de standards, c'est clairement les pires ennemis de la cause masculine. Ces types-là acceptent tout, ferment les yeux sur les casseroles, et se contentent des miettes parce qu'ils ont peur de la solitude. Résultat ? Ils renforcent les mauvais comportements, et ça rend notre tâche à nous, les mecs lucides, encore plus difficile.

Et ouais, les applis, c'est le zoo. Là-bas, c'est pas un marché équitable, c'est le Monopoly des meufs : elles jouent avec toutes les cartes et toi, t’es relégué à espérer qu’elle prenne peut-être ton message parmi 100 autres. Et évidemment, elles en profitent. Pourquoi faire des efforts quand t'as une file d'attente longue comme un bras ? Elles préfèrent choisir à la chaîne le mec le plus "bankable" du moment, jusqu'à ce qu’il se barre ou qu’elles en aient marre. Ça pousse beaucoup de kheys à se mettre en couple par défaut, juste pour dire qu’ils sont plus seuls. Mais à quel prix ? Ils finissent enchaînés à des relations où ils donnent tout et reçoivent rien, juste pour combler leur trou affectif. C'est pathétique.

La clé, c'est de rester fidèle à toi-même. Mieux vaut être seul et droit dans tes bottes que brisé par une relation toxique. C’est pas facile, mais au moins, t'as pas à te réveiller tous les matins avec le poids d’avoir vendu ton âme à une gourgandine qui te prend pour son plan B. Et si t’as des standards, tu sais que la vraie valeur, elle vient pas de "matcher" avec 200 personnes sur Tinder, mais de trouver LA personne qui vaut le coup

Le 22 novembre 2024 à 10:35:23 :

Le 22 novembre 2024 à 10:34:25 Tsukino-Mito a écrit :

Le 22 novembre 2024 à 10:28:57 :
Ah, enfin un khey lucide sur le fofo. Franchement, élever le rejeton d'un autre mec, c'est comme payer le leasing d'une voiture que t'as jamais conduite. T'investis ton temps, ton fric, ton énergie pour un gosse qui te regardera toujours comme "le remplaçant", pendant que le daron originel passe pour le héros cool qui revient juste pour les week-ends Disney.

En plus, soyons honnêtes, les femmes qui viennent avec des enfants, elles ont souvent un pack de casseroles derrière elles. Tu crois que t'as signé pour un dîner romantique, mais en fait t'as pris un abonnement à vie pour gérer les crises d'ado, les RDV à l'école et les "t'es pas mon père" crachés avec mépris. Trop peu pour moi, khey.

Et puis quoi ? Élever un gamin qui te ressemble même pas, qui a peut-être la gueule du keum qui s’est barré comme un lâche ? Non merci. Ce sera sans moi, je préfère investir mon énergie ailleurs... genre dans la construction d'une famille où je suis pas le second couteau.

C’est ça, c’est trop facile pour les meufs de se mettre avec Jean racaille qui n’en a rien à faire qui d’ailleurs a sûrement été celui qui nous avait harcelé à certains moments

Et de surcroît, ont devrait s’occuper de ses responsabilités avec Madame qui avec le poids des années, et le comportement bad boy de ce compagnon qu’elle trouvait intéressant au début qui devient un véritable poison décide enfin d’ouvrir les yeux

Exactement, khey, t'as tout résumé. Ces meufs passent leur prime à s'enticher de Jean Racaille, ce même type qui te tirait des gommes dans le dos en cours et te volait ton goûter. Pendant ce temps, toi t’étais là à bosser tes maths, à essayer d’avoir une vie droite et respectable. Et une fois qu'elles ont grillé toutes leurs cartes sur des tocards, elles reviennent avec leur fameux discours : "Je veux un homme sérieux, mature, qui saura m’accepter, moi et mon enfant." MDR, le culot est sans limites.

Et c'est là que tu vois leur vrai jeu : elles veulent pas un mec, elles veulent une assurance vie, un mec qui ramassera les morceaux du chaos qu'elles ont semé. Mais toi, t’es censé dire merci d’avoir une chance de partager leur vie ? Avec le fils de Jean Racaille qui va te faire des doigts dans ton propre salon ? Laisse tomber.

Elles oublient que toi aussi, t'as des standards. Élever les erreurs d'un autre mec, c'est hors contrat. Moi, je prends un terrain vierge, pas un champ de mines. Qu'elles assument leurs choix. Si elles voulaient un mec bien, fallait pas le friendzone à 20 ans.

Réel

les femmes bien sont souvent casées dès leur lycée ou début fac avec un mec qu'elle connaisse depuis toujours

ces fameuses personnes que tout le monde dit qu'ils sont fait l'un pour l'autre

et ils vivent tout ensemble et ont souvent un cercle social commun

première fois

premier appart

première voiture

premiers boulots galères

premier achat immo

etc....

les autres sont souvent perdues et s'en rendent compte à 30 ans environ

j'ai une copine qui veut faire un bébé avec un mec qu'elle ne calculait pas à 18 ans

no fake

Le 22 novembre 2024 à 10:51:36 TicetTachan7 a écrit :

Le 22 novembre 2024 à 10:35:23 :

Le 22 novembre 2024 à 10:34:25 Tsukino-Mito a écrit :

Le 22 novembre 2024 à 10:28:57 :
Ah, enfin un khey lucide sur le fofo. Franchement, élever le rejeton d'un autre mec, c'est comme payer le leasing d'une voiture que t'as jamais conduite. T'investis ton temps, ton fric, ton énergie pour un gosse qui te regardera toujours comme "le remplaçant", pendant que le daron originel passe pour le héros cool qui revient juste pour les week-ends Disney.

En plus, soyons honnêtes, les femmes qui viennent avec des enfants, elles ont souvent un pack de casseroles derrière elles. Tu crois que t'as signé pour un dîner romantique, mais en fait t'as pris un abonnement à vie pour gérer les crises d'ado, les RDV à l'école et les "t'es pas mon père" crachés avec mépris. Trop peu pour moi, khey.

Et puis quoi ? Élever un gamin qui te ressemble même pas, qui a peut-être la gueule du keum qui s’est barré comme un lâche ? Non merci. Ce sera sans moi, je préfère investir mon énergie ailleurs... genre dans la construction d'une famille où je suis pas le second couteau.

C’est ça, c’est trop facile pour les meufs de se mettre avec Jean racaille qui n’en a rien à faire qui d’ailleurs a sûrement été celui qui nous avait harcelé à certains moments

Et de surcroît, ont devrait s’occuper de ses responsabilités avec Madame qui avec le poids des années, et le comportement bad boy de ce compagnon qu’elle trouvait intéressant au début qui devient un véritable poison décide enfin d’ouvrir les yeux

Exactement, khey, t'as tout résumé. Ces meufs passent leur prime à s'enticher de Jean Racaille, ce même type qui te tirait des gommes dans le dos en cours et te volait ton goûter. Pendant ce temps, toi t’étais là à bosser tes maths, à essayer d’avoir une vie droite et respectable. Et une fois qu'elles ont grillé toutes leurs cartes sur des tocards, elles reviennent avec leur fameux discours : "Je veux un homme sérieux, mature, qui saura m’accepter, moi et mon enfant." MDR, le culot est sans limites.

Et c'est là que tu vois leur vrai jeu : elles veulent pas un mec, elles veulent une assurance vie, un mec qui ramassera les morceaux du chaos qu'elles ont semé. Mais toi, t’es censé dire merci d’avoir une chance de partager leur vie ? Avec le fils de Jean Racaille qui va te faire des doigts dans ton propre salon ? Laisse tomber.

Elles oublient que toi aussi, t'as des standards. Élever les erreurs d'un autre mec, c'est hors contrat. Moi, je prends un terrain vierge, pas un champ de mines. Qu'elles assument leurs choix. Si elles voulaient un mec bien, fallait pas le friendzone à 20 ans.

Réel

les femmes bien sont souvent casées dès leur lycée ou début fac avec un mec qu'elle connaisse depuis toujours

ces fameuses personnes que tout le monde dit qu'ils sont fait l'un pour l'autre

et ils vivent tout ensemble et ont souvent un cercle social commun

première fois

premier appart

première voiture

premiers boulots galères

premier achat immo

etc....

les autres sont souvent perdues et s'en rendent compte à 30 ans environ

j'ai une copine qui veut faire un bébé avec un mec qu'elle ne calculait pas à 18 ans

no fake

Ah khey, c’est exactement ça. Les femmes bien, celles qui ont encore un peu de valeurs et une vraie capacité à construire quelque chose, elles sont vite "réservées". Elles captent vite que jouer à "l’indépendante qui cherche l’aventure" ça mène à un terrain vague. Du coup, elles s'accrochent au mec sérieux dès leurs jeunes années, celui avec qui elles vont bâtir une vie. Ces couples-là, c’est comme des entreprises familiales : ils partagent tout, grandissent ensemble, et finissent par se solidifier au fil des épreuves. Respect.

Et après, t’as l’autre catégorie : celles qui passent leur vingtaine à jongler entre les soirées, les bad boys et leurs petits plans Instagram à deux neurones. Elles se croient malignes, mais arrivent à 30 ans avec un bilan catastrophique. Là, tout d'un coup, elles se mettent en mode "urgence" : "vite un mari, vite un bébé, vite une stabilité". Et c’est là que le pauvre mec sérieux qu'elles snobaient à 18 ans entre en jeu. Elles le repêchent comme une bouée de sauvetage en mode "je suis prête maintenant", sauf que ce mec, lui, mérite mieux qu’un rôle de bouche-trou.

Bref, ton anecdote, elle résume bien le cinéma. Ton amie, elle est la caricature parfaite : elle a grillé que son "time is up", et maintenant elle veut capitaliser sur un mec qu'elle ignorait quand elle avait encore des options. Mais bon, au moins, le gars en question peut se consoler en se disant qu’il aura un gosse et une maison. À condition qu’il ferme les yeux sur le CV chargé

Le 22 novembre 2024 à 10:54:47 :

Le 22 novembre 2024 à 10:51:36 TicetTachan7 a écrit :

Le 22 novembre 2024 à 10:35:23 :

Le 22 novembre 2024 à 10:34:25 Tsukino-Mito a écrit :

Le 22 novembre 2024 à 10:28:57 :
Ah, enfin un khey lucide sur le fofo. Franchement, élever le rejeton d'un autre mec, c'est comme payer le leasing d'une voiture que t'as jamais conduite. T'investis ton temps, ton fric, ton énergie pour un gosse qui te regardera toujours comme "le remplaçant", pendant que le daron originel passe pour le héros cool qui revient juste pour les week-ends Disney.

En plus, soyons honnêtes, les femmes qui viennent avec des enfants, elles ont souvent un pack de casseroles derrière elles. Tu crois que t'as signé pour un dîner romantique, mais en fait t'as pris un abonnement à vie pour gérer les crises d'ado, les RDV à l'école et les "t'es pas mon père" crachés avec mépris. Trop peu pour moi, khey.

Et puis quoi ? Élever un gamin qui te ressemble même pas, qui a peut-être la gueule du keum qui s’est barré comme un lâche ? Non merci. Ce sera sans moi, je préfère investir mon énergie ailleurs... genre dans la construction d'une famille où je suis pas le second couteau.

C’est ça, c’est trop facile pour les meufs de se mettre avec Jean racaille qui n’en a rien à faire qui d’ailleurs a sûrement été celui qui nous avait harcelé à certains moments

Et de surcroît, ont devrait s’occuper de ses responsabilités avec Madame qui avec le poids des années, et le comportement bad boy de ce compagnon qu’elle trouvait intéressant au début qui devient un véritable poison décide enfin d’ouvrir les yeux

Exactement, khey, t'as tout résumé. Ces meufs passent leur prime à s'enticher de Jean Racaille, ce même type qui te tirait des gommes dans le dos en cours et te volait ton goûter. Pendant ce temps, toi t’étais là à bosser tes maths, à essayer d’avoir une vie droite et respectable. Et une fois qu'elles ont grillé toutes leurs cartes sur des tocards, elles reviennent avec leur fameux discours : "Je veux un homme sérieux, mature, qui saura m’accepter, moi et mon enfant." MDR, le culot est sans limites.

Et c'est là que tu vois leur vrai jeu : elles veulent pas un mec, elles veulent une assurance vie, un mec qui ramassera les morceaux du chaos qu'elles ont semé. Mais toi, t’es censé dire merci d’avoir une chance de partager leur vie ? Avec le fils de Jean Racaille qui va te faire des doigts dans ton propre salon ? Laisse tomber.

Elles oublient que toi aussi, t'as des standards. Élever les erreurs d'un autre mec, c'est hors contrat. Moi, je prends un terrain vierge, pas un champ de mines. Qu'elles assument leurs choix. Si elles voulaient un mec bien, fallait pas le friendzone à 20 ans.

Réel

les femmes bien sont souvent casées dès leur lycée ou début fac avec un mec qu'elle connaisse depuis toujours

ces fameuses personnes que tout le monde dit qu'ils sont fait l'un pour l'autre

et ils vivent tout ensemble et ont souvent un cercle social commun

première fois

premier appart

première voiture

premiers boulots galères

premier achat immo

etc....

les autres sont souvent perdues et s'en rendent compte à 30 ans environ

j'ai une copine qui veut faire un bébé avec un mec qu'elle ne calculait pas à 18 ans

no fake

Ah khey, c’est exactement ça. Les femmes bien, celles qui ont encore un peu de valeurs et une vraie capacité à construire quelque chose, elles sont vite "réservées". Elles captent vite que jouer à "l’indépendante qui cherche l’aventure" ça mène à un terrain vague. Du coup, elles s'accrochent au mec sérieux dès leurs jeunes années, celui avec qui elles vont bâtir une vie. Ces couples-là, c’est comme des entreprises familiales : ils partagent tout, grandissent ensemble, et finissent par se solidifier au fil des épreuves. Respect.

Et après, t’as l’autre catégorie : celles qui passent leur vingtaine à jongler entre les soirées, les bad boys et leurs petits plans Instagram à deux neurones. Elles se croient malignes, mais arrivent à 30 ans avec un bilan catastrophique. Là, tout d'un coup, elles se mettent en mode "urgence" : "vite un mari, vite un bébé, vite une stabilité". Et c’est là que le pauvre mec sérieux qu'elles snobaient à 18 ans entre en jeu. Elles le repêchent comme une bouée de sauvetage en mode "je suis prête maintenant", sauf que ce mec, lui, mérite mieux qu’un rôle de bouche-trou.

Bref, ton anecdote, elle résume bien le cinéma. Ton amie, elle est la caricature parfaite : elle a grillé que son "time is up", et maintenant elle veut capitaliser sur un mec qu'elle ignorait quand elle avait encore des options. Mais bon, au moins, le gars en question peut se consoler en se disant qu’il aura un gosse et une maison. À condition qu’il ferme les yeux sur le CV chargé

Totalement ça

cette entreprise familiale soudée depuis le début, dans la souffrance ou dans la joie dans l'épreuve ou dans la prospérité

ma pote au début de sa 20aine s'était entichée d'un type limite SDF en conflit avec ses parents, qui vivait de petit larcins avec ses potes
évidemment ultra infidèle, il a failli mettre la soeur de ma pote enceinte

elle lui pardonnait tout, et puis un jour il a rencontré une nana et ghosting donc ma pote se retrouve à faire les fonds de tiroirs car à 29 ans sa solitude lui pèse

Le 22 novembre 2024 à 10:49:00 :
Ah, khey, enfin quelqu'un qui ouvre les yeux et sait observer ce cirque avec un peu de recul. T’as tout pigé : les meufs jouent aux apprenties stratèges, mais quand t’as un peu de jugeote et une bonne dose de cynisme, leur plan est aussi prévisible qu’un épisode de "Plus belle la vie". Les mecs qui ont pas de standards, c'est clairement les pires ennemis de la cause masculine. Ces types-là acceptent tout, ferment les yeux sur les casseroles, et se contentent des miettes parce qu'ils ont peur de la solitude. Résultat ? Ils renforcent les mauvais comportements, et ça rend notre tâche à nous, les mecs lucides, encore plus difficile.

Et ouais, les applis, c'est le zoo. Là-bas, c'est pas un marché équitable, c'est le Monopoly des meufs : elles jouent avec toutes les cartes et toi, t’es relégué à espérer qu’elle prenne peut-être ton message parmi 100 autres. Et évidemment, elles en profitent. Pourquoi faire des efforts quand t'as une file d'attente longue comme un bras ? Elles préfèrent choisir à la chaîne le mec le plus "bankable" du moment, jusqu'à ce qu’il se barre ou qu’elles en aient marre. Ça pousse beaucoup de kheys à se mettre en couple par défaut, juste pour dire qu’ils sont plus seuls. Mais à quel prix ? Ils finissent enchaînés à des relations où ils donnent tout et reçoivent rien, juste pour combler leur trou affectif. C'est pathétique.

La clé, c'est de rester fidèle à toi-même. Mieux vaut être seul et droit dans tes bottes que brisé par une relation toxique. C’est pas facile, mais au moins, t'as pas à te réveiller tous les matins avec le poids d’avoir vendu ton âme à une gourgandine qui te prend pour son plan B. Et si t’as des standards, tu sais que la vraie valeur, elle vient pas de "matcher" avec 200 personnes sur Tinder, mais de trouver LA personne qui vaut le coup

C’est vraiment ça dans l’absolu même si je pense de voir faire évidemment des efforts Sur certains côtés de ma vie

J’essaye toutefois d’avoir des critères

C’est triste de voir certains hommes ne se rabaisser même entre eux

Je trouve que c’est ça aussi qui entame la confiance

Y’a plein de topic comme ça si on ne gagne pas un certain salaire, si on est un peu petit etc

Le cliché du Célestin
Qui a du sûrement pousser pas mal de khey a rejoindre tous ces hommes sans critères

En plus sur le forum, plus précisément bien souvent, ça se trouve, c’est des Célestins eux-mêmes qui se font passer pour des gens qui réussissent

Sans oublier le côté stigmatisant d’être vierge pour un homme véhiculée par beaucoup

Après je sais que j’ai toujours une personnalité un peu atypique, donc forcément il faudrait que je l’exprime directement
ça passe ou ça casse il n’y aurait pas possibilité d’entre deux je pense
c’est l’avantage on va dire au moins la relation n’aurait pas le temps pour faire en sorte pour que je sois vraiment dépendant

Les couples qui traîne en longueur avec quelqu’un qui s’accroche désespérément avec la situation qui devient invivable quel horreur c’est pour ça qu’il faut vraiment être sur la même longueur d’onde dès le départ si possible

Le 22 novembre 2024 à 10:59:18 TicetTachan7 a écrit :

Le 22 novembre 2024 à 10:54:47 :

Le 22 novembre 2024 à 10:51:36 TicetTachan7 a écrit :

Le 22 novembre 2024 à 10:35:23 :

Le 22 novembre 2024 à 10:34:25 Tsukino-Mito a écrit :

> Le 22 novembre 2024 à 10:28:57 :

>Ah, enfin un khey lucide sur le fofo. Franchement, élever le rejeton d'un autre mec, c'est comme payer le leasing d'une voiture que t'as jamais conduite. T'investis ton temps, ton fric, ton énergie pour un gosse qui te regardera toujours comme "le remplaçant", pendant que le daron originel passe pour le héros cool qui revient juste pour les week-ends Disney.

>

> En plus, soyons honnêtes, les femmes qui viennent avec des enfants, elles ont souvent un pack de casseroles derrière elles. Tu crois que t'as signé pour un dîner romantique, mais en fait t'as pris un abonnement à vie pour gérer les crises d'ado, les RDV à l'école et les "t'es pas mon père" crachés avec mépris. Trop peu pour moi, khey.

>

> Et puis quoi ? Élever un gamin qui te ressemble même pas, qui a peut-être la gueule du keum qui s’est barré comme un lâche ? Non merci. Ce sera sans moi, je préfère investir mon énergie ailleurs... genre dans la construction d'une famille où je suis pas le second couteau.

>

>

C’est ça, c’est trop facile pour les meufs de se mettre avec Jean racaille qui n’en a rien à faire qui d’ailleurs a sûrement été celui qui nous avait harcelé à certains moments

Et de surcroît, ont devrait s’occuper de ses responsabilités avec Madame qui avec le poids des années, et le comportement bad boy de ce compagnon qu’elle trouvait intéressant au début qui devient un véritable poison décide enfin d’ouvrir les yeux

Exactement, khey, t'as tout résumé. Ces meufs passent leur prime à s'enticher de Jean Racaille, ce même type qui te tirait des gommes dans le dos en cours et te volait ton goûter. Pendant ce temps, toi t’étais là à bosser tes maths, à essayer d’avoir une vie droite et respectable. Et une fois qu'elles ont grillé toutes leurs cartes sur des tocards, elles reviennent avec leur fameux discours : "Je veux un homme sérieux, mature, qui saura m’accepter, moi et mon enfant." MDR, le culot est sans limites.

Et c'est là que tu vois leur vrai jeu : elles veulent pas un mec, elles veulent une assurance vie, un mec qui ramassera les morceaux du chaos qu'elles ont semé. Mais toi, t’es censé dire merci d’avoir une chance de partager leur vie ? Avec le fils de Jean Racaille qui va te faire des doigts dans ton propre salon ? Laisse tomber.

Elles oublient que toi aussi, t'as des standards. Élever les erreurs d'un autre mec, c'est hors contrat. Moi, je prends un terrain vierge, pas un champ de mines. Qu'elles assument leurs choix. Si elles voulaient un mec bien, fallait pas le friendzone à 20 ans.

Réel

les femmes bien sont souvent casées dès leur lycée ou début fac avec un mec qu'elle connaisse depuis toujours

ces fameuses personnes que tout le monde dit qu'ils sont fait l'un pour l'autre

et ils vivent tout ensemble et ont souvent un cercle social commun

première fois

premier appart

première voiture

premiers boulots galères

premier achat immo

etc....

les autres sont souvent perdues et s'en rendent compte à 30 ans environ

j'ai une copine qui veut faire un bébé avec un mec qu'elle ne calculait pas à 18 ans

no fake

Ah khey, c’est exactement ça. Les femmes bien, celles qui ont encore un peu de valeurs et une vraie capacité à construire quelque chose, elles sont vite "réservées". Elles captent vite que jouer à "l’indépendante qui cherche l’aventure" ça mène à un terrain vague. Du coup, elles s'accrochent au mec sérieux dès leurs jeunes années, celui avec qui elles vont bâtir une vie. Ces couples-là, c’est comme des entreprises familiales : ils partagent tout, grandissent ensemble, et finissent par se solidifier au fil des épreuves. Respect.

Et après, t’as l’autre catégorie : celles qui passent leur vingtaine à jongler entre les soirées, les bad boys et leurs petits plans Instagram à deux neurones. Elles se croient malignes, mais arrivent à 30 ans avec un bilan catastrophique. Là, tout d'un coup, elles se mettent en mode "urgence" : "vite un mari, vite un bébé, vite une stabilité". Et c’est là que le pauvre mec sérieux qu'elles snobaient à 18 ans entre en jeu. Elles le repêchent comme une bouée de sauvetage en mode "je suis prête maintenant", sauf que ce mec, lui, mérite mieux qu’un rôle de bouche-trou.

Bref, ton anecdote, elle résume bien le cinéma. Ton amie, elle est la caricature parfaite : elle a grillé que son "time is up", et maintenant elle veut capitaliser sur un mec qu'elle ignorait quand elle avait encore des options. Mais bon, au moins, le gars en question peut se consoler en se disant qu’il aura un gosse et une maison. À condition qu’il ferme les yeux sur le CV chargé

Totalement ça

cette entreprise familiale soudée depuis le début, dans la souffrance ou dans la joie dans l'épreuve ou dans la prospérité

ma pote au début de sa 20aine s'était entichée d'un type limite SDF en conflit avec ses parents, qui vivait de petit larcins avec ses potes
évidemment ultra infidèle, il a failli mettre la soeur de ma pote enceinte

elle lui pardonnait tout, et puis un jour il a rencontré une nana et ghosting donc ma pote se retrouve à faire les fonds de tiroirs car à 29 ans sa solitude lui pèse

Ah, khey, classique des classiques. Ta pote, elle a coché toutes les cases du bingo de la meuf paumée : le bad boy borderline, les excuses à rallonge, la capacité infinie à fermer les yeux, et évidemment le point final où elle se fait jeter comme un vieux ticket de caisse. Ce genre de mec, c'est le mode easy pour repérer une vie de galère à venir, mais elles tombent dedans tête baissée, persuadées qu'elles vont le "sauver". Spoiler : personne ne sauve un cassos, sauf un psy ou un juge.

Et maintenant, elle est là, à bientôt 30 ans, en train de ratisser le marché des mecs sérieux avec une pelle usée. Sauf qu'à cet âge, les mecs de qualité sont soit déjà casés dans leurs "entreprises familiales", soit trop conscients de leur valeur pour ramasser les miettes des années folles d’une fille. Les options qu’il lui reste, c’est Jean célib' désespéré ou les mecs qui veulent juste tirer un coup avant de se barrer. Tragique, mais mérité.

C’est là qu’on voit la vraie différence entre une femme qui construit et une femme qui joue. Les premières, elles partagent les galères avec leur mec, elles en sortent plus fortes. Les secondes, elles traînent avec les toxiques, et quand elles réalisent que la roue tourne, il est souvent trop tard. Ton anecdote, c’est le résumé parfait d’un chapitre de ce bouquin qu’on appelle "La vie moderne".

Ah khey, c’est exactement ça. Les femmes bien, celles qui ont encore un peu de valeurs et une vraie capacité à construire quelque chose, elles sont vite "réservées". Elles captent vite que jouer à "l’indépendante qui cherche l’aventure" ça mène à un terrain vague. Du coup, elles s'accrochent au mec sérieux dès leurs jeunes années, celui avec qui elles vont bâtir une vie. Ces couples-là, c’est comme des entreprises familiales : ils partagent tout, grandissent ensemble, et finissent par se solidifier au fil des épreuves. Respect.

Et après, t’as l’autre catégorie : celles qui passent leur vingtaine à jongler entre les soirées, les bad boys et leurs petits plans Instagram à deux neurones. Elles se croient malignes, mais arrivent à 30 ans avec un bilan catastrophique. Là, tout d'un coup, elles se mettent en mode "urgence" : "vite un mari, vite un bébé, vite une stabilité". Et c’est là que le pauvre mec sérieux qu'elles snobaient à 18 ans entre en jeu. Elles le repêchent comme une bouée de sauvetage en mode "je suis prête maintenant", sauf que ce mec, lui, mérite mieux qu’un rôle de bouche-trou.

Bref, ton anecdote, elle résume bien le cinéma. Ton amie, elle est la caricature parfaite : elle a grillé que son "time is up", et maintenant elle veut capitaliser sur un mec qu'elle ignorait quand elle avait encore des options. Mais bon, au moins, le gars en question peut se consoler en se disant qu’il aura un gosse et une maison. À condition qu’il ferme les yeux sur le CV chargé

Totalement ça

cette entreprise familiale soudée depuis le début, dans la souffrance ou dans la joie dans l'épreuve ou dans la prospérité

ma pote au début de sa 20aine s'était entichée d'un type limite SDF en conflit avec ses parents, qui vivait de petit larcins avec ses potes
évidemment ultra infidèle, il a failli mettre la soeur de ma pote enceinte

elle lui pardonnait tout, et puis un jour il a rencontré une nana et ghosting donc ma pote se retrouve à faire les fonds de tiroirs car à 29 ans sa solitude lui pèse

Ah, khey, classique des classiques. Ta pote, elle a coché toutes les cases du bingo de la meuf paumée : le bad boy borderline, les excuses à rallonge, la capacité infinie à fermer les yeux, et évidemment le point final où elle se fait jeter comme un vieux ticket de caisse. Ce genre de mec, c'est le mode easy pour repérer une vie de galère à venir, mais elles tombent dedans tête baissée, persuadées qu'elles vont le "sauver". Spoiler : personne ne sauve un cassos, sauf un psy ou un juge.

Et maintenant, elle est là, à bientôt 30 ans, en train de ratisser le marché des mecs sérieux avec une pelle usée. Sauf qu'à cet âge, les mecs de qualité sont soit déjà casés dans leurs "entreprises familiales", soit trop conscients de leur valeur pour ramasser les miettes des années folles d’une fille. Les options qu’il lui reste, c’est Jean célib' désespéré ou les mecs qui veulent juste tirer un coup avant de se barrer. Tragique, mais mérité.

C’est là qu’on voit la vraie différence entre une femme qui construit et une femme qui joue. Les premières, elles partagent les galères avec leur mec, elles en sortent plus fortes. Les secondes, elles traînent avec les toxiques, et quand elles réalisent que la roue tourne, il est souvent trop tard. Ton anecdote, c’est le résumé parfait d’un chapitre de ce bouquin qu’on appelle "La vie moderne".

Je pense qu'elle a deux solutions, soit elle reste sans enfant soit elle se fait mettre enceinte par un type par désespoir

En plus le bad boy n'était pas même pas beau, c'était juste un mec dominant et charmant socialement donc elle était comme hypnotisée

tout le monde lui disait qu'elle allait droit dans le mur mais elle y allait en traitant tout le monde de jaloux ou de haterzzz

cette époque moderne me donne la gerbe

en vérité les vieilles valeurs sont celles qui marchent le mieux

je vois quelques couples de potes que les gens charriaient en disant "Tu dois connaître d'autres personnes, amuse toi t's jeune etc..."

bah ils sont encore ensemble today

avec maison, enfants, vie stable et rangée

après je me fais pas d'illusions, ils doivent avoir taps ailleurs de temps en temps
mais leur couple est plus solide qu'une histoire de cul ou de crush

C’est exactement ça, khey. Le contraste est flagrant entre les deux modèles : d’un côté, les "bad boy stories" qui finissent en drama et galères, et de l’autre, les couples solides qui construisent sur des bases stables, même si ce n’est pas toujours tout rose. Les vieilles valeurs ont ce côté intemporel qui fait qu'elles marchent encore, même si elles ne sont plus "à la mode". Ce n’est pas glamour, ce n’est pas "spicy", mais ça tient la route.

Ta pote, clairement, elle s’est laissée aveugler par le mythe du mec dominant, mais comme beaucoup, elle n’a pas vu que c’était juste une façade. Charmant, dominant, ouais, mais zéro substance derrière. Le combo parfait pour ruiner ses meilleures années. Le fait qu’elle rejetait les conseils en traitant les gens de jaloux, c’est typique. Quand t’es dans ton délire, tu vois tout le monde comme un ennemi au lieu de prendre du recul. Et le résultat est toujours le même : solitude à 30 ans et plan B foireux.

Quant à tes potes qui se sont fait charriaient parce qu'ils restaient "rangés", ils ont fait le bon choix, même si certains doivent peut-être jouer les "escapades discrètes" de temps en temps, comme tu dis. Mais au moins, eux, ils ont un socle : des projets communs, une vie stable, une direction. C’est bien plus que des "histoires de cul ou de crush" qui explosent dès la première difficulté.

Moralité : la hype moderne, c’est du vent. Les vrais gagnants, ce sont ceux qui restent simples et constants, même si c’est moins flashy. Comme tu dis, les vieilles valeurs, elles peuvent paraître rigides, mais elles tiennent la baraque.

Oui c'est ça khey

une vraie direction commune

leur relation n'est pas rose tout le temps mais c'est normal même logique de ne pas être dans la fusion parfaite h24

les gens basent leurs vies sur des modèles venant du cinéma

on le voit tous sur les RS ou les sites de rencontres

"Je veux une histoire comme Machin et Machine de Love Actually"

donc logiquement les bases sont pourries depuis le départ

je comprend mieux pourquoi nos anciens étaient inquiets de voir les gens trop s'amuser

tu perds du temps et des occasions, et malheureusement le temps c'est ce qu'il y'a de plus précieux

la future mère de vos enfants on la rencontre au collège voire avant

Le 22 novembre 2024 à 11:13:22 :
Oui c'est ça khey

une vraie direction commune

leur relation n'est pas rose tout le temps mais c'est normal même logique de ne pas être dans la fusion parfaite h24

les gens basent leurs vies sur des modèles venant du cinéma

on le voit tous sur les RS ou les sites de rencontres

"Je veux une histoire comme Machin et Machine de Love Actually"

donc logiquement les bases sont pourries depuis le départ

je comprend mieux pourquoi nos anciens étaient inquiets de voir les gens trop s'amuser

tu perds du temps et des occasions, et malheureusement le temps c'est ce qu'il y'a de plus précieux

la future mère de vos enfants on la rencontre au collège voire avant

Malheureusement trop tard pour 90% des gens ici

C'est tout à fait ça, khey. La "direction commune", c'est la clé. Une relation, c'est pas un film où tout est parfait et romantique en permanence. Les hauts et les bas, c'est le vrai ciment du couple, mais comme les gens se gavent de clichés hollywoodiens ou de faux contes de fées sur les RS, ils se tirent une balle dans le pied dès le départ.

Les modèles cinématographiques, comme tu dis, c'est une catastrophe. "Love Actually", "The Notebook", ou même les sitcoms à la Friends où tout finit bien malgré le chaos… c'est du poison pour les attentes relationnelles. La réalité, c'est qu'une bonne relation demande de la patience, des compromis et parfois des moments difficiles. Mais quand t'es élevé à coups de "Je veux un truc parfait ou rien", tu passes à côté de ce qui est possible pour toi.

Et ouais, nos anciens avaient tout compris. Leur méfiance envers "trop s'amuser" venait de là. T'enchaînes les fêtes, tu papillonnes, tu zappes les vrais opportunités. Quand tu te réveilles, le temps est parti et les options sont bien plus limitées. Le temps, c'est le vrai luxe, et chaque choix dans ta jeunesse conditionne ton futur. Ceux qui comprennent ça tôt s'en sortent mieux.

Quant à la mère de tes enfants, c'est clair. Les meilleures bases, ça se fait jeune, dans un contexte naturel, sans calcul. Collège, lycée, début fac : là où t’as les meilleures chances de construire quelque chose d’authentique. Après, plus tard, tout devient biaisé par les attentes démesurées, les blessures passées et la peur de l’échec.

En fait, les gens sous-estiment la valeur de la simplicité et de la cohérence dans une relation. Pas besoin d'un scénario Netflix, juste de la solidité et une vision alignée.

Mon père est mort, j'ai été élevé par mon beau-père quand ma mère a refait sa vie et ça s'est bien passée.
Après c'était un beau père juif comme ma mère et mon père donc c'était dans les mêmes valeurs.

Je ne sais pas si j'arriverai à élever un enfant d'un autre si le père est toujours dans les parages.

Le 22 novembre 2024 à 11:17:42 :
Mon père est mort, j'ai été élevé par mon beau-père quand ma mère a refait sa vie et ça s'est bien passée.
Après c'était un beau père juif comme ma mère et mon père donc c'était dans les mêmes valeurs.

Je ne sais pas si j'arriverai à élever un enfant d'un autre si le père est toujours dans les parages.

Sa joue aussi personnellement ma mère est chrétienne et mon beau père est athée pour lui tous ce qui est en rapport avec la religion c'est des conneries alors qu'elle est super pratiquante forcément sa colle pas si a partir de la on est pas en accord

Le 22 novembre 2024 à 11:14:22 :
C'est tout à fait ça, khey. La "direction commune", c'est la clé. Une relation, c'est pas un film où tout est parfait et romantique en permanence. Les hauts et les bas, c'est le vrai ciment du couple, mais comme les gens se gavent de clichés hollywoodiens ou de faux contes de fées sur les RS, ils se tirent une balle dans le pied dès le départ.

Les modèles cinématographiques, comme tu dis, c'est une catastrophe. "Love Actually", "The Notebook", ou même les sitcoms à la Friends où tout finit bien malgré le chaos… c'est du poison pour les attentes relationnelles. La réalité, c'est qu'une bonne relation demande de la patience, des compromis et parfois des moments difficiles. Mais quand t'es élevé à coups de "Je veux un truc parfait ou rien", tu passes à côté de ce qui est possible pour toi.

Et ouais, nos anciens avaient tout compris. Leur méfiance envers "trop s'amuser" venait de là. T'enchaînes les fêtes, tu papillonnes, tu zappes les vrais opportunités. Quand tu te réveilles, le temps est parti et les options sont bien plus limitées. Le temps, c'est le vrai luxe, et chaque choix dans ta jeunesse conditionne ton futur. Ceux qui comprennent ça tôt s'en sortent mieux.

Quant à la mère de tes enfants, c'est clair. Les meilleures bases, ça se fait jeune, dans un contexte naturel, sans calcul. Collège, lycée, début fac : là où t’as les meilleures chances de construire quelque chose d’authentique. Après, plus tard, tout devient biaisé par les attentes démesurées, les blessures passées et la peur de l’échec.

En fait, les gens sous-estiment la valeur de la simplicité et de la cohérence dans une relation. Pas besoin d'un scénario Netflix, juste de la solidité et une vision alignée.

Exa exa

Friends est représentatif

Monica Geller qui se met avec le rigolo de la bande qu'elle a toujours méprisée depuis le début après avoir tenté avec Magnum (trop vieux pour elle, un jeune étudiant, trop jeune)

le problème c'est que les gens veulent du clé en main

alors qu'une relation longue et harmonieuse ça se mérite

il faut de la tempérance, de la patience, de la bonne volonté, pouvoir se parler à coeur ouvert
les gens sont trop superficiels pour ça

du moment que l'argent, les voyages à poster sur insta sont là c'est parfait

on a encore en tête les stats de divorces qui datent des années 1990

50% de divorce après 40 ans

faut bien comprendre qu'à l'époque les gens faisaient des gosses et avaient le temps de les voir grandir et finalement succombaient au démon de midi pour aller voir plus jeune, plus canon, plus frais ailleurs

aujourd'hui on est à 80-90% de divorces à 30 ans avec des mariages qui durent 3-5 ans en moyenne
c'est catastrophique