[FIC] CELESTIN, de HEROS à PRISONNIER DE GUERRE
Ceci est la suite d'une fic que j'ai commencé il y a près d'un an, et qui suit les aventures de Célestin dans la France d'un nouveau régime tyrannique.
Lien de la partie 1 : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-73529668-1-0-1-0-fic-celestin-de-puceau-a-heros-de-guerre.htm
Je précise que certains choix seront proposés au cours de la fic. La partie 2 sera beaucoup mieux écrite que la première. Bonne lecture à tous mes kheyous !
* * *
3 mois se sont écoulés depuis ce jour de 27 décembre qui a changé la France et ses habitants à tout jamais. Un personnage aussi énigmatique que terrifiant a pris les commandes de la nation. Il l'a rebâtie à son image, faisant des français ses pions et ses marionnettes. Dans la nouvelle capitale française, Lille, préfecture du département du Nord, le chef de la nouvelle France s'apprête à prononcer un discours en direct à la télé.
- Mesdames et Messieurs, très chers camarades, nous sommes le 5 avril de l'année 2024 et en ce beau jour de printemps, le Chef Suprême de la nation va s'exprimer devant vous pour vous informer des dernières avancées notables sur le plan économique et politique.
L'hymne de la République Populaire et Démocratique de France (RPDF) se joue.
- Mes chers camarades ! J'espère que le peuple français se porte à merveille ! Oui, la route est encore longue et il nous faudra tout reconstruire après les attaques étrangères et intérieures que nous avons observées ! Strasbourg, Dijon, Marseille, Toulon, tout sera fait pour reconstruire nos villes ! Mais je rappelle à tous que nous avons également des priorités !
- Ces priorités sont les suivantes : résoudre la question du chômage, accélérer l'industrialisation du Grand Milieu, et achever l'opération militaire spéciale à Andorre ! Ce sont les 3 objectifs communs du projet récent que j'ai élaboré avec le Conseil Suprême et auquel j'aimerais vous introduire : la ligne Strannix !
- Il s'agit d'une voie ferrée qui traversera la France du Nord au Sud, sur toute la largeur du territoire, reliant la capitale Lille à la préfecture de la région Sud, Perpignan. Ce projet nous permettrait d'acheminer plus facilement les ressources nécessaires à l'armée française, mais aussi à toutes les usines que nous allons ouvrir dans la région du Grand Milieu. Et pour tout cela, on aura besoin de main d'œuvre. Tous les français actuellement sans emploi auront la chance de servir tous ensemble pour nos intérêts et objectifs communs, je vous en fais la promesse !
- La construction de cette voie ferroviaire commence aujourd'hui, et si tout se passe bien, elle sera achevée avant l'hiver prochain ! J'espère que vous réalisez les avantages que nous offrirait la ligne Strannix ! Et d'ici là, les villes seront reconstruites et tous les français auront un toit sous lequel dormir ! Du moins, c'est ce qu'on cherche à atteindre. Et je suis sûr qu'on y arrivera ! TOUS ENSEMBLE !
Dans les rues de la capitale, et dans toute l'agglomération, des cris de joie s'élèvent.
- OUAIS ! VIVE LA FRANCE DE STRANNIX ! VIVE LA LIGNE STRANNIX !
- VIVE LE GRAND CHEF SUPREME !
- FREE PALISTINE ! FREE PALISTINE !
Après la diffusion du discours pré-enregistré, Strannix regarde par la fenêtre de son bureau, dans les hauteurs de son palais, avec sa garde privée.
- Nan mais regardez-moi ça, ils m'adorent vraiment ! Je sens qu'on va aller loin... peuple de moutons !
- Tu es le meilleur espoir que ce pays pouvait avoir depuis Macaron, mon Strannou !
- Je suis fier de servir vos intérêts et les nôtres en tant que bras-droit, mon chef !
- Et je suis fier de t'avoir à mes côtés, Norman !
Strannix s'approche du buste de Lénine qui est récemment arrivé dans son bureau. Il contemple son regard, l'air mesquin.
- Tiens ! On dirait qu'il y a un bruit là-dedans... une sorte de minuteur ! Garde ! Tu entends ça ?
- ... Laissez-moi écouter, grand Chef Suprême.
- Qu'est ce qu'il y a, mon chéri ? C'est Lénine qui te murmure des choses ?
- Camarade Strannix ! On dirait qu'on peut dévisser la tête ! Il y a quelque chose dedans, laissez-moi voir, pour votre sécurité !
Le garde soulève lentement la tête et inspecte le contenu du buste. Ses yeux s'ouvrent grand tandis que le bruit s'accélère subitement.
- ... Reculez ! Reculez ! RECULEZ ! TOUT LE MONDE A COUVERT !
Le 05 novembre 2024 à 13:38:40 :
Enfin la partie 2 je monte dans le train
Bienvenue à bord, content de te revoir ! C'est cool de voir que j'ai des lecteurs aussi fidèles !
Si tu as kiffé la partie 1, crois-moi, tu vas adorer la partie 2 qui sera mieux écrite avec beaucoup plus de sens dans le scénario
Le 05 novembre 2024 à 13:41:33 :
Le 05 novembre 2024 à 13:38:40 :
Enfin la partie 2 je monte dans le trainBienvenue à bord, content de te revoir ! C'est cool de voir que j'ai des lecteurs aussi fidèles !
Si tu as kiffé la partie 1, crois-moi, tu vas adorer la partie 2 qui sera mieux écrite avec beaucoup plus de sens dans le scénario
Résumé de la partie 1 :
Oui, ça fait long comme résumé mais il s'en est passé des choses aussi.
Le 05 novembre 2024 à 21:09:58 :
Le 05 novembre 2024 à 21:07:53 :
Enfin khey !!
Si tu permet je vais changer un peu la sweet de la Fic :
Après l’explosion, il survit et s’en va à Marseille ensuite Célestin souhaitait devenir le chef ultime de sa conquête, tout d’abord il achète une Audi Q5 ou une Volkswagen ?
Sa te fait pas plaisir que je vienne sur ce topic ? J’estime que chaque FIC doit avoir des votes car j’aime les kheys créatifs
Le 05 novembre 2024 à 21:11:09 :
Le 05 novembre 2024 à 21:09:58 :
Le 05 novembre 2024 à 21:07:53 :
Enfin khey !!
Si tu permet je vais changer un peu la sweet de la Fic :
Après l’explosion, il survit et s’en va à Marseille ensuite Célestin souhaitait devenir le chef ultime de sa conquête, tout d’abord il achète une Audi Q5 ou une Volkswagen ?Sa te fait pas plaisir que je vienne sur ce topic ? J’estime que chaque FIC doit avoir des votes car j’aime les kheys créatifs
Tu n'es pas très apprécié sur le forum d'après ce que j'ai pu lire.
A des centaines de kilomètres de la nouvelle capitale française, dans une base militaire au nord de l'Espagne.
En pleine nuit, des soldats de l'armée espagnole s'occupent à mettre en rang une centaine de prisonniers français, capturés durant l'opération militaire française sur le sol de la principauté d'Andorre. Un camion militaire, qui vient d'entrer dans le camp, s'arrête devant les prisonniers. Un homme grand et imposant, en uniforme, en descend.
- Buenas tardes, coronel ! Ha llegado en el momento oportuno !
- Buenas noches ! Bien ! Ya veremos !
Le militaire s'approche et regarde, les mains sur les hanches, les visages curieux et apeurés des français capturés la nuit dernière.
Un autre soldat vient murmurer quelque chose à l'oreille de son supérieur. (dialogue traduit en français)
- Les 11 hommes au premier rang, tout à droite. Ils ont tué des civils dans les villages de la région. Ils ont aussi tué plusieurs commandants et un colonel.
Le militaire espagnol lève la tête et toise une nouvelle fois les prisonniers. Cette fois-ci, il s'exprime à eux, dans un français correct.
- J'ai toujours aimé la France et les français, vous savez ?
- Certains d'entre vous ont tué l'un de mes collaborateurs les plus précieux... Picado, c'était un ami, un frère. Ouais. On avait étudié à Paris, tous les deux. Mais ça, c'était avant.
- Dans quelques jours, il allait revoir sa famille, ses enfants. Un brave type, qui a donné sa vie pour défendre son pays. S'il nous regarde de là-haut, j'aimerais lui rendre un petit hommage.
Le colonel ordonne quelque chose à ses hommes, qui se dépêchent de faire avancer tout le premier rang et de faire mettre à genoux les 20 prisonniers désignés.
- Parmi ces soldats, 11 d'entre eux ont été vus en train d'abattre des civils, et des enfants, des familles ! Ils se sont introduis dans des villages, ont tué des innocents... et pour la peine, c'est tout le premier rang qui va y passer ! APUNTAD !
Les soldats espagnols exécutent l'ordre et mettent en joue leurs armes. Les 20 personnes désignées affichent un sentiment mêlé de peur et de frustration. L'un d'entre eux, en guise de dernières paroles, vocifère face aux fusils.
- Bande d'enc*lés ! Vive STRANNIX ! La liberté ou la m-
Un concert de détonations s'ensuit. Les 20 français tombent simultanément. Le colonel espagnol s'approche des corps. Il s'arrête devant celui du gaillard qui a crié au nom de Strannix. Il le roue de coups de pieds, avec un écrasement de tête brutal qui fait frémir tous les autres prisonniers, forcés de regarder cette scène glaçante. Deux d'entre eux s'échangent quelques mots à voix basse.
- C'est un fou, ce type ! T'as vu ça, Matt ?
- Comme disent les français : la nuit porte conseil. J'espère que vous vous acclimatez déjà à cet endroit avec ce que vous venez de voir, parce que c'est que le début !
- Je suis le colonel Montenegro ! Martinez Montenegro !
- Comme le pays en dessous de la Bosnie, tiens !
- Et si mon nom vous fait rire, on peut peut-être parler de "Strannix", un nom qui me semble sortir tout droit d'une bande-dessinée Marvel ! Peut-être qu'il aurait mieux fait de s'appeler "Filsdeputix" !
Le dénommé Martinez se tourne vers ses hommes.
- Emmenez-les ! Vamos ! Une longue journée les attend demain ! Fini les kalashnikovs, vous casserez du caillou et couperez du bois !
- C'est sûr que c'est moins dangereux !
Les hommes du colonel s'activent et font déplacer tous les prisonniers restants dans des sortes de fosses en forme de carrés, chacune surmontée d'une lourde trappe munie de barreaux. Des tours de guet, des grillages et des baraquements entourent l'endroit. Le blondinet et son compagnon en roue libre sont jetés dans l'un de ces trous, où se trouvent déjà d'autres prisonniers.
- Vous le payerez ! Même pas un matelas, zut !
La trappe se referme au dessus d'eux. L'homme aux cheveux blonds et au visage pâle se redresse et découvre avec grande surprise ses codétenus.
Un visage familier se dévoile intégralement dans la pénombre.
- Oui, toi ! On se connait non ?
Données du topic
- Auteur
- Ducon59
- Date de création
- 5 novembre 2024 à 00:24:35
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