L'architecture cyclopéenne, les horreurs insondables, les formes indicibles
Les abominations cosmiques
Les odeurs nauséabondes qui émanent de ces choses venues des étoiles
Sans déconner je connais pas un seul bouquin du Mythe de cthulu sans le mot cyclopéen, et sans la mention du Necronomicon
c'est simple; j'en suis à un point ou j'attends que le name soit dropped
Toi qui te dis bienveillant et attribues le lourd manteau des responsabilités à tes prétendues élus, loin de moi le désir de remettre en question ton autorité sur tes hôtes. Mais voudrais-tu m'expliquer où je trouverais, moi ou un autre, les ressources nécessaires à ton entreprise si je dois sans cesse combattre mes intérêts ? Par quels moyens, dans la course du temps, trouverais-je de quoi rebondir face aux prochains défis ? Voici que j'apprends que celui qui accepte se présent et échoue se fait évincer, celui qui prend ce risque doit courir à sa propre perte, ainsi tu les achêve lorsqu'ils sont faible.
Le plus petit domaine n'est pas nécessairement le plus faible je vois clair dans ton jeu.
Il est du devoir des hommes responsables de servir leurs idéaux en y accordant leurs intérêts fermant le possible de leurs actions entre piliers et parenthèses, un champ glorieux mais silencieux qu'il tient secret, prenant là où l'on peut sans causer de tort, afin de rebondir sur de nouveaux problèmes que nous pourrons alors affronter, ceux-là toujours plus importants ou plus nombreux. Dangereux, me dirais-tu, car en cas de défaite, celle-ci est double. Mais au moins, je n'insinue pas le poison que j'entends évincer, ce que, en effet, tu pourrais faire par intérêt, afin peut-être d'affaiblir ceux qui courent aveuglément dans ton piège.
Le 04 novembre 2024 à 21:26:46 :
Ce qui est bien avec Lovecraft c'est que tu peux appliquer ses textes à l'odeur d'une chiotte d'air d'autoroute tu vois pas la différence
Tu n'avais pas à dire ça
Le 04 novembre 2024 à 21:26:46 :
Ce qui est bien avec Lovecraft c'est que tu peux appliquer ses textes à l'odeur d'une chiotte d'air d'autoroute tu vois pas la différence
Oui, surtout les chiottes d'aire d'autoroute sans station-service
Le 04 novembre 2024 à 21:27:17 ikheysponsable a écrit :
Le 04 novembre 2024 à 21:26:46 :
Ce qui est bien avec Lovecraft c'est que tu peux appliquer ses textes à l'odeur d'une chiotte d'air d'autoroute tu vois pas la différenceTu n'avais pas à dire ça
"L'architecture cyclopéenne, les horreurs insondables, les formes indicibles" tout routier qui a du s'arrêter un jour avec une chiasse monstre sait de quoi il parle
Le 04 novembre 2024 à 21:27:12 :
Toi qui te dis bienveillant et attribues le lourd manteau des responsabilités à tes prétendues élus, loin de moi le désir de remettre en question ton autorité sur tes hôtes. Mais voudrais-tu m'expliquer où je trouverais, moi ou un autre, les ressources nécessaires à ton entreprise si je dois sans cesse combattre mes intérêts ? Par quels moyens, dans la course du temps, trouverais-je de quoi rebondir face aux prochains défis ? Voici que j'apprends que celui qui accepte se présent et échoue se fait évincer, celui qui prend ce risque doit courir à sa propre perte, ainsi tu les achêve lorsqu'ils sont faible.Le plus petit domaine n'est pas nécessairement le plus faible je vois clair dans ton jeu.
Il est du devoir des hommes responsables de servir leurs idéaux en y accordant leurs intérêts fermant le possible de leurs actions entre piliers et parenthèses, un champ glorieux mais silencieux qu'il tient secret, prenant là où l'on peut sans causer de tort, afin de rebondir sur de nouveaux problèmes que nous pourrons alors affronter, ceux-là toujours plus importants ou plus nombreux. Dangereux, me dirais-tu, car en cas de défaite, celle-ci est double. Mais au moins, je n'insinue pas le poison que j'entends évincer, ce que, en effet, tu pourrais faire par intérêt, afin peut-être d'affaiblir ceux qui courent aveuglément dans ton piège.
Le 04 novembre 2024 à 21:28:43 :
Le 04 novembre 2024 à 21:27:12 :
Toi qui te dis bienveillant et attribues le lourd manteau des responsabilités à tes prétendues élus, loin de moi le désir de remettre en question ton autorité sur tes hôtes. Mais voudrais-tu m'expliquer où je trouverais, moi ou un autre, les ressources nécessaires à ton entreprise si je dois sans cesse combattre mes intérêts ? Par quels moyens, dans la course du temps, trouverais-je de quoi rebondir face aux prochains défis ? Voici que j'apprends que celui qui accepte se présent et échoue se fait évincer, celui qui prend ce risque doit courir à sa propre perte, ainsi tu les achêve lorsqu'ils sont faible.Le plus petit domaine n'est pas nécessairement le plus faible je vois clair dans ton jeu.
Il est du devoir des hommes responsables de servir leurs idéaux en y accordant leurs intérêts fermant le possible de leurs actions entre piliers et parenthèses, un champ glorieux mais silencieux qu'il tient secret, prenant là où l'on peut sans causer de tort, afin de rebondir sur de nouveaux problèmes que nous pourrons alors affronter, ceux-là toujours plus importants ou plus nombreux. Dangereux, me dirais-tu, car en cas de défaite, celle-ci est double. Mais au moins, je n'insinue pas le poison que j'entends évincer, ce que, en effet, tu pourrais faire par intérêt, afin peut-être d'affaiblir ceux qui courent aveuglément dans ton piège.
Ahi
J'écrirais bien sur mon interpretation de la règle des deux, mais tu as de la chance j'ai trop bu, et cela n'est pas mon habitude.
Te voici épargner, d'un nouveau pavax.
Le 04 novembre 2024 à 21:28:34 :
Le 04 novembre 2024 à 21:27:17 ikheysponsable a écrit :
Le 04 novembre 2024 à 21:26:46 :
Ce qui est bien avec Lovecraft c'est que tu peux appliquer ses textes à l'odeur d'une chiotte d'air d'autoroute tu vois pas la différenceTu n'avais pas à dire ça
"L'architecture cyclopéenne, les horreurs insondables, les formes indicibles" tout routier qui a du s'arrêter un jour avec une chiasse monstre sait de quoi il parle
l'odeur nauséabonde qui s'échappait du WC turque de l'A14 empestait dans les villages voisins.
l'insondable viscosité qui se trouvait au fond de l'orifice, surement d'une forme cyclopéenne aux angles impossibles à relater pour le pauvre esprit humain rudimentaire, annonçait la présence non loin d'une créature étoilée, dont la chair rejetait tout ce qu'il y a plus de horrible pour tous les sens imaginables.
Une expédition était de mise pour que le narrateur y confronte ses rêves qui le hantent depuis que quelques cataclysmes ont été relayées. Un géologue, un historien, un archéologue et 12 hommes de mains se rendirent sur place afin de recueillir quelques spécimens et d'étudier ce savoir interdit et abominable.
Le 04 novembre 2024 à 21:31:28 ikheysponsable a écrit :
Le 04 novembre 2024 à 21:28:34 :
Le 04 novembre 2024 à 21:27:17 ikheysponsable a écrit :
Le 04 novembre 2024 à 21:26:46 :
Ce qui est bien avec Lovecraft c'est que tu peux appliquer ses textes à l'odeur d'une chiotte d'air d'autoroute tu vois pas la différenceTu n'avais pas à dire ça
"L'architecture cyclopéenne, les horreurs insondables, les formes indicibles" tout routier qui a du s'arrêter un jour avec une chiasse monstre sait de quoi il parle
l'odeur nauséabonde qui s'échappait du WC turque de l'A14 empestait dans les villages voisins.
l'insondable viscosité qui se trouvait au fond de l'orifice, surement d'une forme cyclopéenne aux angles impossibles à relater pour le pauvre esprit humain rudimentaire, annonçait la présence non loin d'une créature étoilée, dont la chair rejetait tout ce qu'il y a plus de horrible pour tous les sens imaginables.Une expédition était de mise pour que le narrateur y confronte ses rêves qui le hantent depuis que quelques cataclysmes ont été relayées. Un géologue, un historien, un archéologue et 12 hommes de mains se rendirent sur place afin de recueillir quelques spécimens et d'étudier ce savoir interdit et abominable.
ayaoooooooooooo j'ai explosé
Le 04 novembre 2024 à 21:35:34 :
J'adore les topics lovecraftiens
Bien qu'il s'amusait de temps à autres, lors de ses longues errances nocturnes dans la vieille ville de Providence, à observer le simulacre de joie que semblaient ressentir ses semblables, le narrateur ne pu jamais s'extirper de cette étrange sentiment de mal être qui le rongeait depuis qu'il aperçu la chose tombée des étoiles. Chaque jour passant, les arbres autour de lui dépérissaient, les aboiements des chiens sonnaient comme d'abominables échos émanant des profondeurs, le pain avait cet insondable goût d'abysses insoupçonnées.
Chapitre 1: Souvenirs perdus
Jacques, enfant du Gard, naquit d’une lignée modeste mais stable, son père enseignant et sa mère fonctionnaire. Ils menaient une vie sans éclat, mais l’assurance des privilèges d’État, des horaires légers et des longs étés payés leur offrait une certaine quiétude, loin des remous de la société. C’était un début d’été, l’année de ses huit ans, lorsque la famille décida de traverser le pays, empruntant les routes sinueuses de la France pour atteindre un gîte reculé en Normandie. Jacques, comme dans un demi-rêve, passa l’essentiel du trajet dans cet état d’assoupissement où les ombres et les souvenirs se mêlent aux premières teintes du crépuscule.
La voiture glissait sur l’asphalte brûlant de l’autoroute A14 lorsque son père décréta une halte, presque anodine, mais lourde de nécessité. À demi conscient, Jacques émergea du véhicule, ses jambes se mouvant sans volonté propre, le menant au cœur de cette aire de repos, qui semblait à première vue semblable à toutes celles traversées jusque-là. Mais l’air portait en lui une lourdeur étrange, comme saturée de quelque chose d’invisible, une ombre diffuse, pressante.
En traversant le terrain sablonneux et dénudé, il longea d’imposants camions aux structures métalliques, figés comme des monstres d’acier sous le soleil déclinant. Lorsqu’il poussa la porte du bâtiment, une vague d’odeurs méphitiques l’envahit, un parfum qui ne relevait ni de la crasse humaine ni de la décomposition naturelle, mais de quelque chose d’ancien, de profondément inhumain. Ses narines se remplirent d’un relent suffocant, lourd de ce que son esprit, incapable de nommer, rejetait avec instinct.
Les murs étaient gravés de symboles cryptiques d'une langue inconnue . Des glyphes étalés en volutes incompréhensibles s’accrochaient aux parois comme autant de murmures muets. Chaque pas dans ce couloir exhalait une morbidité grandissante, comme si l’air lui-même devenait une entité vivante et menaçante.
Jacques, dans un état de transe éveillée, posa sa main tremblante sur une porte écaillée. La surface métallique semblait moite et poisseuse, suintant d’une substance invisible. En l’ouvrant, il découvrit une pièce plongée dans des ténèbres où se tenait… quelque chose. Dans la pénombre moite, une forme difforme et gargantuesque émergeait d’un coin où toute perspective était perdue. Ce n’était pas un être fait de chair et de sang, mais plutôt une construction grotesque de courbes non euclidiennes, des angles impossibles qui semblaient danser dans son champ de vision, se tordant et s’étirant avec une logique qui échappait aux lois naturelles.
La forme ondulait ! Sous l’effet de cette apparition cauchemardesque, l'esprit de Jacques se déconnecta de la réalité.
Données du topic
- Auteur
- ikheysponsable
- Date de création
- 4 novembre 2024 à 21:20:09
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