Brigitte a passé 41 ans chez Leclerc : voici son départ en retraite
https://x.com/Sofiane__10/status/1851341842258018357?t=x0ND1qWDJx6jL4FSTUETrg&s=19
Le 30 octobre 2024 à 11:02:24 :
T'es bon tu montes
Pas en France.
Le 30 octobre 2024 à 11:02:17 :
Bah c'est sympa.. Elle a sûrement dû avoir eu le temps de participer au crédit de sa propre maison, y'a rien de mal dans cette vidéo elle a travaillé toute sa vie alors que nombreux sont ceux qui galèrent à tenir le coup...
Purée mais c'est clair, ya combien de déchets qui coûtent je ne sais combien à la société ici qui se foutent se sa gueule alors qu'elle les a financé ?
Hôpital, charité, etc.
comment on peut tolerer le salariat serieux ??
Comment un homme peut-il se réjouir d'être réveillé à 5h30 du matin par une alarme, bondir hors de son lit, avaler sans plaisir une tartine, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le trafic pour trouver une place, où essentiellement il produit du fric pour quelqu'un d'autre, qui en plus lui demande d'être reconnaissant pour cette opportunité
La société de consommation a privilégié l'avoir au détriment de l'être
Pour entrer dans la ronde de la consommation frénétique, il faut de l’argent et pour avoir de l’argent, il faut travailler, c'est-à-dire vendre son temps et sa force de travail. Le système dominant a fait du travail sa principale valeur. Et les esclaves doivent travailler toujours plus pour payer à crédit leur vie misérable. Ils s’épuisent dans le travail, perdent la plus grande part de leur force vitale et subissent les pires humiliations. Ils passent toute leur vie à une activité fatigante et ennuyeuse pour le profit de quelques uns
Quand on dit que le salariat est de l'esclavage moderne, ce n'est pas une blague. La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule des esclaves qui rampent à la surface de la Terre. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus
Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l’on consent généreusement à leur donner, s’ils sont suffisamment sages. Ils choisissent eux-mêmes les maitres qu’ils devront servir. Pour que cette tragédie mêlée d’absurdité ait pu se mettre en place, il a fallu tout d’abord ôter aux membres de cette classe toute conscience de son exploitation et de son aliénation
Voila bien l’étrange modernité de notre époque. Contrairement aux esclaves de l’Antiquité, aux serfs du Moyen-âge ou aux ouvriers des premières révolutions industrielles, nous sommes aujourd’hui devant une classe totalement asservie mais qui ne le sait pas ou plutôt qui ne veut pas le savoir. Ils ignorent par conséquent la révolte qui devrait être la seule réaction légitime des exploités. Ils acceptent sans discuter la vie pitoyable que l’on a construite pour eux. Le renoncement et la résignation sont la source de leur malheur
Le 30 octobre 2024 à 11:06:25 :
comment on peut tolerer le salariat serieux ??
Comment un homme peut-il se réjouir d'être réveillé à 5h30 du matin par une alarme, bondir hors de son lit, avaler sans plaisir une tartine, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le trafic pour trouver une place, où essentiellement il produit du fric pour quelqu'un d'autre, qui en plus lui demande d'être reconnaissant pour cette opportunitéLa société de consommation a privilégié l'avoir au détriment de l'être
Pour entrer dans la ronde de la consommation frénétique, il faut de l’argent et pour avoir de l’argent, il faut travailler, c'est-à-dire vendre son temps et sa force de travail. Le système dominant a fait du travail sa principale valeur. Et les esclaves doivent travailler toujours plus pour payer à crédit leur vie misérable. Ils s’épuisent dans le travail, perdent la plus grande part de leur force vitale et subissent les pires humiliations. Ils passent toute leur vie à une activité fatigante et ennuyeuse pour le profit de quelques uns
Quand on dit que le salariat est de l'esclavage moderne, ce n'est pas une blague. La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule des esclaves qui rampent à la surface de la Terre. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus
Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l’on consent généreusement à leur donner, s’ils sont suffisamment sages. Ils choisissent eux-mêmes les maitres qu’ils devront servir. Pour que cette tragédie mêlée d’absurdité ait pu se mettre en place, il a fallu tout d’abord ôter aux membres de cette classe toute conscience de son exploitation et de son aliénation
Voila bien l’étrange modernité de notre époque. Contrairement aux esclaves de l’Antiquité, aux serfs du Moyen-âge ou aux ouvriers des premières révolutions industrielles, nous sommes aujourd’hui devant une classe totalement asservie mais qui ne le sait pas ou plutôt qui ne veut pas le savoir. Ils ignorent par conséquent la révolte qui devrait être la seule réaction légitime des exploités. Ils acceptent sans discuter la vie pitoyable que l’on a construite pour eux. Le renoncement et la résignation sont la source de leur malheur
Vous vous sentez réellement intelligents/en avance quand vous sortez des pavés sur "la zocieter... à méditer" que n'importe qui avait compris à 12 ans ?
Le 30 octobre 2024 à 11:07:56 :
Le 30 octobre 2024 à 11:06:25 :
comment on peut tolerer le salariat serieux ??
Comment un homme peut-il se réjouir d'être réveillé à 5h30 du matin par une alarme, bondir hors de son lit, avaler sans plaisir une tartine, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le trafic pour trouver une place, où essentiellement il produit du fric pour quelqu'un d'autre, qui en plus lui demande d'être reconnaissant pour cette opportunitéLa société de consommation a privilégié l'avoir au détriment de l'être
Pour entrer dans la ronde de la consommation frénétique, il faut de l’argent et pour avoir de l’argent, il faut travailler, c'est-à-dire vendre son temps et sa force de travail. Le système dominant a fait du travail sa principale valeur. Et les esclaves doivent travailler toujours plus pour payer à crédit leur vie misérable. Ils s’épuisent dans le travail, perdent la plus grande part de leur force vitale et subissent les pires humiliations. Ils passent toute leur vie à une activité fatigante et ennuyeuse pour le profit de quelques uns
Quand on dit que le salariat est de l'esclavage moderne, ce n'est pas une blague. La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule des esclaves qui rampent à la surface de la Terre. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus
Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l’on consent généreusement à leur donner, s’ils sont suffisamment sages. Ils choisissent eux-mêmes les maitres qu’ils devront servir. Pour que cette tragédie mêlée d’absurdité ait pu se mettre en place, il a fallu tout d’abord ôter aux membres de cette classe toute conscience de son exploitation et de son aliénation
Voila bien l’étrange modernité de notre époque. Contrairement aux esclaves de l’Antiquité, aux serfs du Moyen-âge ou aux ouvriers des premières révolutions industrielles, nous sommes aujourd’hui devant une classe totalement asservie mais qui ne le sait pas ou plutôt qui ne veut pas le savoir. Ils ignorent par conséquent la révolte qui devrait être la seule réaction légitime des exploités. Ils acceptent sans discuter la vie pitoyable que l’on a construite pour eux. Le renoncement et la résignation sont la source de leur malheur
Vous vous sentez réellement intelligents/en avance quand vous sortez des pavés sur "la zocieter... à méditer" que n'importe qui avait compris à 12 ans ?
Données du topic
- Auteur
- Trajanus
- Date de création
- 30 octobre 2024 à 10:53:39
- Nb. messages archivés
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