ALERTE : un député LFI arrêté pour avoir acheté de la DROGUE
SuppriméLe 22 octobre 2024 à 01:30:08 :
La consommation de 3-MMC, associée à celle de GHB/GBL, est initialement rattachée au milieu du chemsex, pratique de consommation de drogues en contexte sexuel, qui est essentiellement le fait d’hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), dans des contextes de sexe à plusieurs. Les chemsexeurs attribuent souvent à la 3-MMC des propriétés aphrodisiaques facilitant les rapports sexuels (augmentation du désir, facilité à avoir une érection, retardement de l’éjaculation…).
Le 22 octobre 2024 à 01:51:06 CARBOcremeFDP a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 01:47:49 :
Ça doit être qqch les soirées à la Palmade, une dizaine de corps masculins dopés qui s’enfilent en boucle ambiance torride, l’odeur
Pas de conclusion hâtive le facho, à 22h un jeudi soir, il prenait peut-être de la cocaïne synthétique à effet prolongé pour mieux dormir !
Curieux
Une drogue de riche et/ou de violeur, comme par hasard
Le 22 octobre 2024 à 01:30:08 :
La consommation de 3-MMC, associée à celle de GHB/GBL, est initialement rattachée au milieu du chemsex, pratique de consommation de drogues en contexte sexuel, qui est essentiellement le fait d’hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), dans des contextes de sexe à plusieurs. Les chemsexeurs attribuent souvent à la 3-MMC des propriétés aphrodisiaques facilitant les rapports sexuels (augmentation du désir, facilité à avoir une érection, retardement de l’éjaculation…).
Le 22 octobre 2024 à 01:45:48 :
Le 22 octobre 2024 à 01:28:11 :
Parcours politique"Andy Kerbrat n'est pas du genre à s'appesantir sur son sort. Il y a, bien sûr, son homosexualité, qu'il a décidé de clamer haut et fort. Militant LGBT, il se syndique à la CGT et devient membre puis secrétaire du CHSCT"
Le 22 octobre 2024 à 01:30:08 :
La consommation de 3-MMC, associée à celle de GHB/GBL, est initialement rattachée au milieu du chemsex, pratique de consommation de drogues en contexte sexuel, qui est essentiellement le fait d’hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), dans des contextes de sexe à plusieurs. Les chemsexeurs attribuent souvent à la 3-MMC des propriétés aphrodisiaques facilitant les rapports sexuels (augmentation du désir, facilité à avoir une érection, retardement de l’éjaculation…).
On va encore apprendre qu'un élu LFI se tapait des gosses...
Le 22 octobre 2024 à 01:47:52 FanDeGTA6 a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 01:46:35 Loli-Pop a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 01:44:16 FanDeGTA6 a écrit :
J'ai l'impression qu'il nous prend pour des cons avec son communiqué.
J'y connais rien, mais ça n'a pas l'air d'être une drogue que tu prends pour oublier ta vie de merdeNi pour enculer ou se faire enculer, t'as raison t'y connais rien
https://theconversation.com/du-chemsex-aux-fetes-la-3-mmc-cette-drogue-de-synthese-qui-gagne-du-terrain-chez-les-jeunes-207156
L’expertise universitaire, l’exigence journalistique" Essentiellement le fait d’hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), dans des contextes de sexe à plusieurs. Les chemsexeurs attribuent souvent à la 3-MMC des propriétés aphrodisiaques facilitant les rapports sexuels (augmentation du désir, facilité à avoir une érection, retardement de l’éjaculation…). "
Aucun rapport avec le phallus le complotiste !
Et toc !
Tu parles d'un paragraphe sur plusieurs (je connais l'article) dont tu tronques le début :
"La consommation de 3-MMC, associée à celle de GHB/GBL, est initialement rattachée au milieu du chemsex, pratique de consommation de drogues en contexte sexuel, qui est essentiellement le fait d’hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), dans des contextes de sexe à plusieurs."
Comprendre 3MMC + GHB (=chemsex)
La suite de l'article :
"Les usagers et usagères de 3-MMC semblent être le plus souvent des personnes jeunes, plutôt insérées socialement et polyconsommatrices, qui ont expérimenté d’autres drogues illicites (cannabis, cocaïne, MDMA/ecstasy…) avant d’essayer la 3-MMC. Certaines ont été initiées par des amis pratiquant le chemsex ou proches de ce milieu, d’autres par des personnes hétérosexuelles éloignées du chemsex. Les consommations ont presque systématiquement lieu en contexte festif, dans des clubs techno et des raves urbaines, parfois lors de soirées privées. D’après des intervenants en espace festif alternatif en Nouvelle-Aquitaine, les usages de 3-MMC semblent plus rares dans les free parties en espace rural, les usages étant davantage visibles en ville.
Les usagers rapportent apprécier les effets de ce produit, qui se situent entre ceux de la MDMA/ecstasy (amplification des ressentis sensoriels, effets entactogène et empathogène) et de la cocaïne (diminution de la sensation de fatigue, facilité à aller vers autrui et à échanger). Ils consomment principalement en sniff. Arthur a 22 ans, travaille dans le secteur de la restauration et consomme des substances diversifiées, notamment de la 3-MMC en contexte festif (essentiellement en club techno et dans des afters privées). Il apprécie les effets stimulants de la 3-MMC, qui lui donne « envie de faire des trucs » : « Tu prends une trace et tu cours un marathon ! » Contrairement à de nombreux chemsexeurs, Arthur ne lie pas ce produit à un effet aphrodisiaque, affirmant que cette consommation ne lui donne « pas envie de baiser ».
Autre élément central rapporté par les consommateurs, le coût : le prix au gramme de la 3-MMC en Nouvelle-Aquitaine est d’environ 40 euros (avec un prix bas de 30 euros et un prix haut de 50 euros), contre un prix courant de 60 euros le gramme pour la cocaïne.
Dans son mémoire de sociologie intitulé Les nouveaux produits de synthèse : entre politiques prohibitives et a priori. Étude des particularités des carrières de consommateurs de 3-MMC, réalisé à l’Université de Bordeaux, Mélina Lapeyronie-Soula a interrogé neufs consommateurs de 3-MMC, dont huit ne pratiquent pas le chemsex. La plupart des usagers interrogés présente le faible coût de ce produit, comparé à celui de la cocaïne, comme une motivation importante à l’usage. Selon Mélina Lapeyronie-Soula, le fait que la 3-MMC ait des effets proches de deux drogues bien connues et appréciées des usagers (la MDMA/ecstasy et la cocaïne) et que son prix soit assez faible contribue à sa diffusion en espaces festifs."
Merde, c'est pas consommé que dans le milieu homo chemsex
C'est un énorme cassos, acheter de la drogue soi même dans la rue ou le métro en étant député... bordel
Par contre commencez pas avec vos délires de "chemsex" ou jsais pas quoi les pucix, la 3MMC c'est le même genre de truc que la MDMA, plein de gens en prennent à titre récréatif en festival/boite de nuit sans que ce soit à caractère sexuel hein
Le 22 octobre 2024 à 02:00:29 Loli-Pop a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 01:47:52 FanDeGTA6 a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 01:46:35 Loli-Pop a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 01:44:16 FanDeGTA6 a écrit :
J'ai l'impression qu'il nous prend pour des cons avec son communiqué.
J'y connais rien, mais ça n'a pas l'air d'être une drogue que tu prends pour oublier ta vie de merdeNi pour enculer ou se faire enculer, t'as raison t'y connais rien
https://theconversation.com/du-chemsex-aux-fetes-la-3-mmc-cette-drogue-de-synthese-qui-gagne-du-terrain-chez-les-jeunes-207156
L’expertise universitaire, l’exigence journalistique" Essentiellement le fait d’hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), dans des contextes de sexe à plusieurs. Les chemsexeurs attribuent souvent à la 3-MMC des propriétés aphrodisiaques facilitant les rapports sexuels (augmentation du désir, facilité à avoir une érection, retardement de l’éjaculation…). "
Aucun rapport avec le phallus le complotiste !
Et toc !Tu parles d'un paragraphe sur plusieurs (je connais l'article) dont tu tronques le début :
"La consommation de 3-MMC, associée à celle de GHB/GBL, est initialement rattachée au milieu du chemsex, pratique de consommation de drogues en contexte sexuel, qui est essentiellement le fait d’hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), dans des contextes de sexe à plusieurs."
Comprendre 3MMC + GHB (=chemsex)
La suite de l'article :
"Les usagers et usagères de 3-MMC semblent être le plus souvent des personnes jeunes, plutôt insérées socialement et polyconsommatrices, qui ont expérimenté d’autres drogues illicites (cannabis, cocaïne, MDMA/ecstasy…) avant d’essayer la 3-MMC. Certaines ont été initiées par des amis pratiquant le chemsex ou proches de ce milieu, d’autres par des personnes hétérosexuelles éloignées du chemsex. Les consommations ont presque systématiquement lieu en contexte festif, dans des clubs techno et des raves urbaines, parfois lors de soirées privées. D’après des intervenants en espace festif alternatif en Nouvelle-Aquitaine, les usages de 3-MMC semblent plus rares dans les free parties en espace rural, les usages étant davantage visibles en ville.
Les usagers rapportent apprécier les effets de ce produit, qui se situent entre ceux de la MDMA/ecstasy (amplification des ressentis sensoriels, effets entactogène et empathogène) et de la cocaïne (diminution de la sensation de fatigue, facilité à aller vers autrui et à échanger). Ils consomment principalement en sniff. Arthur a 22 ans, travaille dans le secteur de la restauration et consomme des substances diversifiées, notamment de la 3-MMC en contexte festif (essentiellement en club techno et dans des afters privées). Il apprécie les effets stimulants de la 3-MMC, qui lui donne « envie de faire des trucs » : « Tu prends une trace et tu cours un marathon ! » Contrairement à de nombreux chemsexeurs, Arthur ne lie pas ce produit à un effet aphrodisiaque, affirmant que cette consommation ne lui donne « pas envie de baiser ».
Autre élément central rapporté par les consommateurs, le coût : le prix au gramme de la 3-MMC en Nouvelle-Aquitaine est d’environ 40 euros (avec un prix bas de 30 euros et un prix haut de 50 euros), contre un prix courant de 60 euros le gramme pour la cocaïne.
Dans son mémoire de sociologie intitulé Les nouveaux produits de synthèse : entre politiques prohibitives et a priori. Étude des particularités des carrières de consommateurs de 3-MMC, réalisé à l’Université de Bordeaux, Mélina Lapeyronie-Soula a interrogé neufs consommateurs de 3-MMC, dont huit ne pratiquent pas le chemsex. La plupart des usagers interrogés présente le faible coût de ce produit, comparé à celui de la cocaïne, comme une motivation importante à l’usage. Selon Mélina Lapeyronie-Soula, le fait que la 3-MMC ait des effets proches de deux drogues bien connues et appréciées des usagers (la MDMA/ecstasy et la cocaïne) et que son prix soit assez faible contribue à sa diffusion en espaces festifs."
Merde, c'est pas consommé que dans le milieu homo chemsex
J'ai jamais dit que c'était uniquement consommé dans le milieu homo le diffamateur
C'est d'ailleurs l'introduction de l'article
Tout le comme le VIH n'est pas exclusivement une maladie homosexuelle
Ne me lance pas sur les chiffres ou je ressors le pavé redpill avec étude Santé Publique France ainsi que l'article du fondateur du centre "Le 190", Dr Michel Ohayon
Facteur x200 et reprise depuis 2010, comportements à risques en hausse
Le 22 octobre 2024 à 02:05:25 FanDeGTA6 a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 02:00:29 Loli-Pop a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 01:47:52 FanDeGTA6 a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 01:46:35 Loli-Pop a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 01:44:16 FanDeGTA6 a écrit :
J'ai l'impression qu'il nous prend pour des cons avec son communiqué.
J'y connais rien, mais ça n'a pas l'air d'être une drogue que tu prends pour oublier ta vie de merdeNi pour enculer ou se faire enculer, t'as raison t'y connais rien
https://theconversation.com/du-chemsex-aux-fetes-la-3-mmc-cette-drogue-de-synthese-qui-gagne-du-terrain-chez-les-jeunes-207156
L’expertise universitaire, l’exigence journalistique" Essentiellement le fait d’hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), dans des contextes de sexe à plusieurs. Les chemsexeurs attribuent souvent à la 3-MMC des propriétés aphrodisiaques facilitant les rapports sexuels (augmentation du désir, facilité à avoir une érection, retardement de l’éjaculation…). "
Aucun rapport avec le phallus le complotiste !
Et toc !Tu parles d'un paragraphe sur plusieurs (je connais l'article) dont tu tronques le début :
"La consommation de 3-MMC, associée à celle de GHB/GBL, est initialement rattachée au milieu du chemsex, pratique de consommation de drogues en contexte sexuel, qui est essentiellement le fait d’hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), dans des contextes de sexe à plusieurs."
Comprendre 3MMC + GHB (=chemsex)
La suite de l'article :
"Les usagers et usagères de 3-MMC semblent être le plus souvent des personnes jeunes, plutôt insérées socialement et polyconsommatrices, qui ont expérimenté d’autres drogues illicites (cannabis, cocaïne, MDMA/ecstasy…) avant d’essayer la 3-MMC. Certaines ont été initiées par des amis pratiquant le chemsex ou proches de ce milieu, d’autres par des personnes hétérosexuelles éloignées du chemsex. Les consommations ont presque systématiquement lieu en contexte festif, dans des clubs techno et des raves urbaines, parfois lors de soirées privées. D’après des intervenants en espace festif alternatif en Nouvelle-Aquitaine, les usages de 3-MMC semblent plus rares dans les free parties en espace rural, les usages étant davantage visibles en ville.
Les usagers rapportent apprécier les effets de ce produit, qui se situent entre ceux de la MDMA/ecstasy (amplification des ressentis sensoriels, effets entactogène et empathogène) et de la cocaïne (diminution de la sensation de fatigue, facilité à aller vers autrui et à échanger). Ils consomment principalement en sniff. Arthur a 22 ans, travaille dans le secteur de la restauration et consomme des substances diversifiées, notamment de la 3-MMC en contexte festif (essentiellement en club techno et dans des afters privées). Il apprécie les effets stimulants de la 3-MMC, qui lui donne « envie de faire des trucs » : « Tu prends une trace et tu cours un marathon ! » Contrairement à de nombreux chemsexeurs, Arthur ne lie pas ce produit à un effet aphrodisiaque, affirmant que cette consommation ne lui donne « pas envie de baiser ».
Autre élément central rapporté par les consommateurs, le coût : le prix au gramme de la 3-MMC en Nouvelle-Aquitaine est d’environ 40 euros (avec un prix bas de 30 euros et un prix haut de 50 euros), contre un prix courant de 60 euros le gramme pour la cocaïne.
Dans son mémoire de sociologie intitulé Les nouveaux produits de synthèse : entre politiques prohibitives et a priori. Étude des particularités des carrières de consommateurs de 3-MMC, réalisé à l’Université de Bordeaux, Mélina Lapeyronie-Soula a interrogé neufs consommateurs de 3-MMC, dont huit ne pratiquent pas le chemsex. La plupart des usagers interrogés présente le faible coût de ce produit, comparé à celui de la cocaïne, comme une motivation importante à l’usage. Selon Mélina Lapeyronie-Soula, le fait que la 3-MMC ait des effets proches de deux drogues bien connues et appréciées des usagers (la MDMA/ecstasy et la cocaïne) et que son prix soit assez faible contribue à sa diffusion en espaces festifs."
Merde, c'est pas consommé que dans le milieu homo chemsex
J'ai jamais dit que c'était uniquement consommé dans le milieu homo le diffamateur
C'est d'ailleurs l'introduction de l'articleTout le comme le VIH n'est pas exclusivement une maladie homosexuelle
Ne me lance pas sur les chiffres ou je ressors le pavé redpill avec étude Santé Publique France ainsi que l'article du fondateur du centre "Le 190", Dr Michel Ohayon
Facteur x200 et reprise depuis 2010, comportements à risques en hausse
"Je parle des homos mais je disais pas que c'est une drogue pour rapports homosexuels"
Allez Célestin, lis les articles dans leur intégralité la prochaine fois au lieu de faire des c/c minables de pucelin 0 tout
Le 22 octobre 2024 à 02:04:55 Lorenzito a écrit :
C'est un énorme cassos, acheter de la drogue soi même dans la rue ou le métro en étant député... bordelPar contre commencez pas avec vos délires de "chemsex" ou jsais pas quoi les pucix, la 3MMC c'est le même genre de truc que la MDMA, plein de gens en prennent à titre récréatif en festival/boite de nuit sans que ce soit à caractère sexuel hein
"commencez pas avec votre délire de sexe les puceaux"
"commencez pas avec votre délire de sexe les puceaux"
non mais direct dès que ca parle de dr0gue t'as des mecs qui débarquent et qui pensent que tout le monde fait des orgies sexuelles ayaaaa
Le 22 octobre 2024 à 02:07:28 Loli-Pop a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 02:05:25 FanDeGTA6 a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 02:00:29 Loli-Pop a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 01:47:52 FanDeGTA6 a écrit :
Le 22 octobre 2024 à 01:46:35 Loli-Pop a écrit :
> Le 22 octobre 2024 à 01:44:16 FanDeGTA6 a écrit :
>J'ai l'impression qu'il nous prend pour des cons avec son communiqué.
> J'y connais rien, mais ça n'a pas l'air d'être une drogue que tu prends pour oublier ta vie de merde
Ni pour enculer ou se faire enculer, t'as raison t'y connais rien
https://theconversation.com/du-chemsex-aux-fetes-la-3-mmc-cette-drogue-de-synthese-qui-gagne-du-terrain-chez-les-jeunes-207156
L’expertise universitaire, l’exigence journalistique" Essentiellement le fait d’hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), dans des contextes de sexe à plusieurs. Les chemsexeurs attribuent souvent à la 3-MMC des propriétés aphrodisiaques facilitant les rapports sexuels (augmentation du désir, facilité à avoir une érection, retardement de l’éjaculation…). "
Aucun rapport avec le phallus le complotiste !
Et toc !Tu parles d'un paragraphe sur plusieurs (je connais l'article) dont tu tronques le début :
"La consommation de 3-MMC, associée à celle de GHB/GBL, est initialement rattachée au milieu du chemsex, pratique de consommation de drogues en contexte sexuel, qui est essentiellement le fait d’hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), dans des contextes de sexe à plusieurs."
Comprendre 3MMC + GHB (=chemsex)
La suite de l'article :
"Les usagers et usagères de 3-MMC semblent être le plus souvent des personnes jeunes, plutôt insérées socialement et polyconsommatrices, qui ont expérimenté d’autres drogues illicites (cannabis, cocaïne, MDMA/ecstasy…) avant d’essayer la 3-MMC. Certaines ont été initiées par des amis pratiquant le chemsex ou proches de ce milieu, d’autres par des personnes hétérosexuelles éloignées du chemsex. Les consommations ont presque systématiquement lieu en contexte festif, dans des clubs techno et des raves urbaines, parfois lors de soirées privées. D’après des intervenants en espace festif alternatif en Nouvelle-Aquitaine, les usages de 3-MMC semblent plus rares dans les free parties en espace rural, les usages étant davantage visibles en ville.
Les usagers rapportent apprécier les effets de ce produit, qui se situent entre ceux de la MDMA/ecstasy (amplification des ressentis sensoriels, effets entactogène et empathogène) et de la cocaïne (diminution de la sensation de fatigue, facilité à aller vers autrui et à échanger). Ils consomment principalement en sniff. Arthur a 22 ans, travaille dans le secteur de la restauration et consomme des substances diversifiées, notamment de la 3-MMC en contexte festif (essentiellement en club techno et dans des afters privées). Il apprécie les effets stimulants de la 3-MMC, qui lui donne « envie de faire des trucs » : « Tu prends une trace et tu cours un marathon ! » Contrairement à de nombreux chemsexeurs, Arthur ne lie pas ce produit à un effet aphrodisiaque, affirmant que cette consommation ne lui donne « pas envie de baiser ».
Autre élément central rapporté par les consommateurs, le coût : le prix au gramme de la 3-MMC en Nouvelle-Aquitaine est d’environ 40 euros (avec un prix bas de 30 euros et un prix haut de 50 euros), contre un prix courant de 60 euros le gramme pour la cocaïne.
Dans son mémoire de sociologie intitulé Les nouveaux produits de synthèse : entre politiques prohibitives et a priori. Étude des particularités des carrières de consommateurs de 3-MMC, réalisé à l’Université de Bordeaux, Mélina Lapeyronie-Soula a interrogé neufs consommateurs de 3-MMC, dont huit ne pratiquent pas le chemsex. La plupart des usagers interrogés présente le faible coût de ce produit, comparé à celui de la cocaïne, comme une motivation importante à l’usage. Selon Mélina Lapeyronie-Soula, le fait que la 3-MMC ait des effets proches de deux drogues bien connues et appréciées des usagers (la MDMA/ecstasy et la cocaïne) et que son prix soit assez faible contribue à sa diffusion en espaces festifs."
Merde, c'est pas consommé que dans le milieu homo chemsex
J'ai jamais dit que c'était uniquement consommé dans le milieu homo le diffamateur
C'est d'ailleurs l'introduction de l'articleTout le comme le VIH n'est pas exclusivement une maladie homosexuelle
Ne me lance pas sur les chiffres ou je ressors le pavé redpill avec étude Santé Publique France ainsi que l'article du fondateur du centre "Le 190", Dr Michel Ohayon
Facteur x200 et reprise depuis 2010, comportements à risques en hausse
"Je parle des homos mais je disais pas que c'est une drogue pour rapports homosexuels"
Allez Célestin, lis les articles dans leur intégralité la prochaine fois au lieu de faire des c/c minables de pucelin 0 tout
Cite le message ou je dis que c'est une drogue réservée aux homos ?
L'article que j'ai cité parle justement de la popularité grandissante de cette drogue de synthèse, qui n'est désormais plus cantonnée à la communauté HSH
J'ai rien supprimé, amuse-toi
Toujours de la diffamation de la part des toxicos
D'ailleurs la citation que tu soulignes
"Contrairement à de nombreux chemsexeurs, Arthur ne lie pas ce produit à un effet aphrodisiaque, "
Si je simplifie le propos, c'est seul contre tous
Données du topic
- Auteur
- VraiTarax23
- Date de création
- 22 octobre 2024 à 00:51:17
- Date de suppression
- 22 octobre 2024 à 04:14:00
- Supprimé par
- Modération ou administration
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