Les gens ABÎMÉS
Mais baise là quand même.
Le 10 octobre 2024 à 03:06:30 :
Le 10 octobre 2024 à 03:02:50 :
Moi je les plains, voilà, et je voulais leur dire que je remarque bien leurs efforts pour le monde, qu'ils ne meurent pas en vain de leur maladie triste, et que quelqu'un, quelque part, se soucie d'eux
Ne les plains pas trop, beaucoup d'entre eux transmettent, infligent leurs maux à leur entourage et à ceux qu'ils côtoient, nourrissant le diable qui les dévore comme des golems ayant abandonné toute humanité, tandis que d'autres se sont abimés tous seuls, et méritent le sort dont ils portent pour responsable la planète entière
Le 10 octobre 2024 à 03:12:47 :
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Moi je les plains, voilà, et je voulais leur dire que je remarque bien leurs efforts pour le monde, qu'ils ne meurent pas en vain de leur maladie triste, et que quelqu'un, quelque part, se soucie d'eux
Ne les plains pas trop, beaucoup d'entre eux transmettent, infligent leurs maux à leur entourage et à ceux qu'ils côtoient, nourrissant le diable qui les dévore comme des golems ayant abandonné toute humanité, tandis que d'autres se sont abimés tous seuls, et méritent le sort dont ils portent pour responsable la planète entière
On ne s'abîme jamais seul, mais avec une cohorte d'accusés, de coupables, qui devraient bien mieux que nous répondre de nos vices, oui, il faut être intransigeant sur les principes, dénoncer sans relâche les péchés, mais il faut être souple, compatissant, avec les hommes, moi je ne crois pas aux monstres, seulement aux monstruosités
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Moi je les plains, voilà, et je voulais leur dire que je remarque bien leurs efforts pour le monde, qu'ils ne meurent pas en vain de leur maladie triste, et que quelqu'un, quelque part, se soucie d'eux
Ne les plains pas trop, beaucoup d'entre eux transmettent, infligent leurs maux à leur entourage et à ceux qu'ils côtoient, nourrissant le diable qui les dévore comme des golems ayant abandonné toute humanité, tandis que d'autres se sont abimés tous seuls, et méritent le sort dont ils portent pour responsable la planète entière
On ne s'abîme jamais seul, mais avec une cohorte d'accusés, de coupables, qui devraient bien mieux que nous répondre de nos vices, oui, il faut être intransigeant sur les principes, dénoncer sans relâche les péchés, mais il faut être souple, compatissant, avec les hommes, moi je ne crois pas aux monstres, seulement aux monstruosités
Discours qui sent le pot de chambre. Les monstruosités ne tombent pas du ciel. Il faut des monstres pour les engendrer.
Parfois certains agissements, certains faits nous transforment en monstres, mais pas toujours, arrête d'idéaliser l'homme. L'homme peut s'incarner dans tout, d'un etre d'amour à la plus vile des pourritures, et c'est loin d'être des cas isolés sinon notre monde ne ressemblerait pas à ce tas de merde.
Sinon joli texte je me reconnais bien
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Moi je les plains, voilà, et je voulais leur dire que je remarque bien leurs efforts pour le monde, qu'ils ne meurent pas en vain de leur maladie triste, et que quelqu'un, quelque part, se soucie d'eux
Ne les plains pas trop, beaucoup d'entre eux transmettent, infligent leurs maux à leur entourage et à ceux qu'ils côtoient, nourrissant le diable qui les dévore comme des golems ayant abandonné toute humanité, tandis que d'autres se sont abimés tous seuls, et méritent le sort dont ils portent pour responsable la planète entière
On ne s'abîme jamais seul, mais avec une cohorte d'accusés, de coupables, qui devraient bien mieux que nous répondre de nos vices, oui, il faut être intransigeant sur les principes, dénoncer sans relâche les péchés, mais il faut être souple, compatissant, avec les hommes, moi je ne crois pas aux monstres, seulement aux monstruosités
Discours qui sent le pot de chambre. Les monstruosités ne tombent pas du ciel. Il faut des monstres pour les engendrer.
Parfois certains agissements, certains faits nous transforment en monstres, mais pas toujours, arrête d'idéaliser l'homme. L'homme peut s'incarner dans tout, d'un etre d'amour à la plus vile des pourritures, et c'est loin d'être des cas isolés sinon notre monde ne ressemblerait pas à ce tas de merde.
Moi, au moins, je n'ai pas l'haleine qui sent la naphtaline ou le gaz des camps, et mieux, je ne me dénigre pas, oui, je me sanctifie avec tous les autres, je nous crois princiers, fins, avec de la hauteur, je nous crois justes, surtout, et je ne me joindrai jamais à la cohorte des lâches, des traîtres, qui préfèrent damner toute notre espèce, lui faire un procès absurde, l'amputer, sortir d'elle, ici, un assassin, là-bas, un voleur, ah comme c'est commode, confortable, si bourgeois, plutôt que de condamner seulement leur crime : non, on ne tue pas parce que l'on est un meurtrier, mais parce que l'on tue, alors on devient un meurtrier, et l'intransigeance doit se porter contre le meurtre, et non contre la main qui a tué, car sinon c'est toute l'idée de la rédemption, c'est même toute l'idée chrétienne, qui crève dans ce coin de l'esprit, si on enlève à l'homme la possibilité du pardon, si on le croit irrécupérable, à jamais damné, alors c'est à jamais qu'on l'enfermera dans son crime, il n'en sortira plus, et nous avec lui
Le 10 octobre 2024 à 03:15:33 :
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Moi je les plains, voilà, et je voulais leur dire que je remarque bien leurs efforts pour le monde, qu'ils ne meurent pas en vain de leur maladie triste, et que quelqu'un, quelque part, se soucie d'eux
Ne les plains pas trop, beaucoup d'entre eux transmettent, infligent leurs maux à leur entourage et à ceux qu'ils côtoient, nourrissant le diable qui les dévore comme des golems ayant abandonné toute humanité, tandis que d'autres se sont abimés tous seuls, et méritent le sort dont ils portent pour responsable la planète entière
On ne s'abîme jamais seul, mais avec une cohorte d'accusés, de coupables, qui devraient bien mieux que nous répondre de nos vices, oui, il faut être intransigeant sur les principes, dénoncer sans relâche les péchés, mais il faut être souple, compatissant, avec les hommes, moi je ne crois pas aux monstres, seulement aux monstruosités
C'est beau putain.
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Moi je les plains, voilà, et je voulais leur dire que je remarque bien leurs efforts pour le monde, qu'ils ne meurent pas en vain de leur maladie triste, et que quelqu'un, quelque part, se soucie d'eux
Ne les plains pas trop, beaucoup d'entre eux transmettent, infligent leurs maux à leur entourage et à ceux qu'ils côtoient, nourrissant le diable qui les dévore comme des golems ayant abandonné toute humanité, tandis que d'autres se sont abimés tous seuls, et méritent le sort dont ils portent pour responsable la planète entière
On ne s'abîme jamais seul, mais avec une cohorte d'accusés, de coupables, qui devraient bien mieux que nous répondre de nos vices, oui, il faut être intransigeant sur les principes, dénoncer sans relâche les péchés, mais il faut être souple, compatissant, avec les hommes, moi je ne crois pas aux monstres, seulement aux monstruosités
Discours qui sent le pot de chambre. Les monstruosités ne tombent pas du ciel. Il faut des monstres pour les engendrer.
Parfois certains agissements, certains faits nous transforment en monstres, mais pas toujours, arrête d'idéaliser l'homme. L'homme peut s'incarner dans tout, d'un etre d'amour à la plus vile des pourritures, et c'est loin d'être des cas isolés sinon notre monde ne ressemblerait pas à ce tas de merde.Moi, au moins, je n'ai pas l'haleine qui sent la naphtaline ou le gaz des camps, et mieux, je ne me dénigre pas, oui, je me sanctifie avec tous les autres, je nous crois princiers, fins, avec de la hauteur, je nous crois justes, surtout, et je ne me joindrai jamais à la cohorte des lâches, des traîtres, qui préfèrent damner toute notre espèce, lui faire un procès absurde, l'amputer, sortir d'elle, ici, un assassin, là-bas, un voleur, ah comme c'est commode, confortable, si bourgeois, plutôt que de condamner seulement leur crime : non, on ne tue pas parce que l'on est un meurtrier, mais parce que l'on tue, alors on devient un meurtrier, et l'intransigeance doit se porter contre le meurtre, et non contre la main qui a tué, car sinon c'est toute l'idée de la rédemption, c'est même toute l'idée chrétienne, qui crève dans ce coin de l'esprit, si on enlève à l'homme la possibilité du pardon, si on le croit irrécupérable, à jamais damné, alors c'est à jamais qu'on l'enfermera dans son crime, il n'en sortira plus, et nous avec lui
Aime le monde pour ce qu'il est au lieu de le haïr pour ce qu'il n'est pas.
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Ne les plains pas trop, beaucoup d'entre eux transmettent, infligent leurs maux à leur entourage et à ceux qu'ils côtoient, nourrissant le diable qui les dévore comme des golems ayant abandonné toute humanité, tandis que d'autres se sont abimés tous seuls, et méritent le sort dont ils portent pour responsable la planète entière
On ne s'abîme jamais seul, mais avec une cohorte d'accusés, de coupables, qui devraient bien mieux que nous répondre de nos vices, oui, il faut être intransigeant sur les principes, dénoncer sans relâche les péchés, mais il faut être souple, compatissant, avec les hommes, moi je ne crois pas aux monstres, seulement aux monstruosités
Discours qui sent le pot de chambre. Les monstruosités ne tombent pas du ciel. Il faut des monstres pour les engendrer.
Parfois certains agissements, certains faits nous transforment en monstres, mais pas toujours, arrête d'idéaliser l'homme. L'homme peut s'incarner dans tout, d'un etre d'amour à la plus vile des pourritures, et c'est loin d'être des cas isolés sinon notre monde ne ressemblerait pas à ce tas de merde.Moi, au moins, je n'ai pas l'haleine qui sent la naphtaline ou le gaz des camps, et mieux, je ne me dénigre pas, oui, je me sanctifie avec tous les autres, je nous crois princiers, fins, avec de la hauteur, je nous crois justes, surtout, et je ne me joindrai jamais à la cohorte des lâches, des traîtres, qui préfèrent damner toute notre espèce, lui faire un procès absurde, l'amputer, sortir d'elle, ici, un assassin, là-bas, un voleur, ah comme c'est commode, confortable, si bourgeois, plutôt que de condamner seulement leur crime : non, on ne tue pas parce que l'on est un meurtrier, mais parce que l'on tue, alors on devient un meurtrier, et l'intransigeance doit se porter contre le meurtre, et non contre la main qui a tué, car sinon c'est toute l'idée de la rédemption, c'est même toute l'idée chrétienne, qui crève dans ce coin de l'esprit, si on enlève à l'homme la possibilité du pardon, si on le croit irrécupérable, à jamais damné, alors c'est à jamais qu'on l'enfermera dans son crime, il n'en sortira plus, et nous avec lui
Aime le monde pour ce qu'il est au lieu de le haïr pour ce qu'il n'est pas.
Deteste le monde pour ce qu'il n'est pas au lieu de l'aimer pour ce qu'il est
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Ne les plains pas trop, beaucoup d'entre eux transmettent, infligent leurs maux à leur entourage et à ceux qu'ils côtoient, nourrissant le diable qui les dévore comme des golems ayant abandonné toute humanité, tandis que d'autres se sont abimés tous seuls, et méritent le sort dont ils portent pour responsable la planète entière
On ne s'abîme jamais seul, mais avec une cohorte d'accusés, de coupables, qui devraient bien mieux que nous répondre de nos vices, oui, il faut être intransigeant sur les principes, dénoncer sans relâche les péchés, mais il faut être souple, compatissant, avec les hommes, moi je ne crois pas aux monstres, seulement aux monstruosités
Discours qui sent le pot de chambre. Les monstruosités ne tombent pas du ciel. Il faut des monstres pour les engendrer.
Parfois certains agissements, certains faits nous transforment en monstres, mais pas toujours, arrête d'idéaliser l'homme. L'homme peut s'incarner dans tout, d'un etre d'amour à la plus vile des pourritures, et c'est loin d'être des cas isolés sinon notre monde ne ressemblerait pas à ce tas de merde.Moi, au moins, je n'ai pas l'haleine qui sent la naphtaline ou le gaz des camps, et mieux, je ne me dénigre pas, oui, je me sanctifie avec tous les autres, je nous crois princiers, fins, avec de la hauteur, je nous crois justes, surtout, et je ne me joindrai jamais à la cohorte des lâches, des traîtres, qui préfèrent damner toute notre espèce, lui faire un procès absurde, l'amputer, sortir d'elle, ici, un assassin, là-bas, un voleur, ah comme c'est commode, confortable, si bourgeois, plutôt que de condamner seulement leur crime : non, on ne tue pas parce que l'on est un meurtrier, mais parce que l'on tue, alors on devient un meurtrier, et l'intransigeance doit se porter contre le meurtre, et non contre la main qui a tué, car sinon c'est toute l'idée de la rédemption, c'est même toute l'idée chrétienne, qui crève dans ce coin de l'esprit, si on enlève à l'homme la possibilité du pardon, si on le croit irrécupérable, à jamais damné, alors c'est à jamais qu'on l'enfermera dans son crime, il n'en sortira plus, et nous avec lui
Arrête avec ta caricature, c'est ridicule, tu touches d'ailleurs tellement peu juste que je ne suis pas pour la peine de mort. T'es un extrémiste qui pense qui si tout homme n'est pas vu, décrit, considéré comme propre et pur par quelqu'un ou une société, alors ces derniers sont forcemment des tortionnaires en puissance qui plongent leur propre noirceur dans celle de tous les autres hommes.
Tu es un idéaliste et un bourgeois qui nie la réalité et nous plonge dans un enfer criminel par pure stupidité, dogmatisme et malveillance égotiste.
Les premières victimes des voleurs, des brigands, des guerres, ont toujours été les pauvres qui échangeaient leur liberté contre un peu de protection parce que des gens comme toi ont toujours méprisé les premières victimes, les premiers innocents, les blessures pas assez torturées pour se masturber dessus frénétiquement comme la première des ribaudes dans un parloir de meurtriers
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On ne s'abîme jamais seul, mais avec une cohorte d'accusés, de coupables, qui devraient bien mieux que nous répondre de nos vices, oui, il faut être intransigeant sur les principes, dénoncer sans relâche les péchés, mais il faut être souple, compatissant, avec les hommes, moi je ne crois pas aux monstres, seulement aux monstruosités
Discours qui sent le pot de chambre. Les monstruosités ne tombent pas du ciel. Il faut des monstres pour les engendrer.
Parfois certains agissements, certains faits nous transforment en monstres, mais pas toujours, arrête d'idéaliser l'homme. L'homme peut s'incarner dans tout, d'un etre d'amour à la plus vile des pourritures, et c'est loin d'être des cas isolés sinon notre monde ne ressemblerait pas à ce tas de merde.Moi, au moins, je n'ai pas l'haleine qui sent la naphtaline ou le gaz des camps, et mieux, je ne me dénigre pas, oui, je me sanctifie avec tous les autres, je nous crois princiers, fins, avec de la hauteur, je nous crois justes, surtout, et je ne me joindrai jamais à la cohorte des lâches, des traîtres, qui préfèrent damner toute notre espèce, lui faire un procès absurde, l'amputer, sortir d'elle, ici, un assassin, là-bas, un voleur, ah comme c'est commode, confortable, si bourgeois, plutôt que de condamner seulement leur crime : non, on ne tue pas parce que l'on est un meurtrier, mais parce que l'on tue, alors on devient un meurtrier, et l'intransigeance doit se porter contre le meurtre, et non contre la main qui a tué, car sinon c'est toute l'idée de la rédemption, c'est même toute l'idée chrétienne, qui crève dans ce coin de l'esprit, si on enlève à l'homme la possibilité du pardon, si on le croit irrécupérable, à jamais damné, alors c'est à jamais qu'on l'enfermera dans son crime, il n'en sortira plus, et nous avec lui
Aime le monde pour ce qu'il est au lieu de le haïr pour ce qu'il n'est pas.
Ils n'auront pas ma haine, par contre tu auras le sang de leurs morts sur tes mains
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On ne s'abîme jamais seul, mais avec une cohorte d'accusés, de coupables, qui devraient bien mieux que nous répondre de nos vices, oui, il faut être intransigeant sur les principes, dénoncer sans relâche les péchés, mais il faut être souple, compatissant, avec les hommes, moi je ne crois pas aux monstres, seulement aux monstruosités
Discours qui sent le pot de chambre. Les monstruosités ne tombent pas du ciel. Il faut des monstres pour les engendrer.
Parfois certains agissements, certains faits nous transforment en monstres, mais pas toujours, arrête d'idéaliser l'homme. L'homme peut s'incarner dans tout, d'un etre d'amour à la plus vile des pourritures, et c'est loin d'être des cas isolés sinon notre monde ne ressemblerait pas à ce tas de merde.Moi, au moins, je n'ai pas l'haleine qui sent la naphtaline ou le gaz des camps, et mieux, je ne me dénigre pas, oui, je me sanctifie avec tous les autres, je nous crois princiers, fins, avec de la hauteur, je nous crois justes, surtout, et je ne me joindrai jamais à la cohorte des lâches, des traîtres, qui préfèrent damner toute notre espèce, lui faire un procès absurde, l'amputer, sortir d'elle, ici, un assassin, là-bas, un voleur, ah comme c'est commode, confortable, si bourgeois, plutôt que de condamner seulement leur crime : non, on ne tue pas parce que l'on est un meurtrier, mais parce que l'on tue, alors on devient un meurtrier, et l'intransigeance doit se porter contre le meurtre, et non contre la main qui a tué, car sinon c'est toute l'idée de la rédemption, c'est même toute l'idée chrétienne, qui crève dans ce coin de l'esprit, si on enlève à l'homme la possibilité du pardon, si on le croit irrécupérable, à jamais damné, alors c'est à jamais qu'on l'enfermera dans son crime, il n'en sortira plus, et nous avec lui
Aime le monde pour ce qu'il est au lieu de le haïr pour ce qu'il n'est pas.
Ils n'auront pas ma haine, par contre tu auras le sang de leurs morts sur tes mains
Rien à voir.
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> > Ne les plains pas trop, beaucoup d'entre eux transmettent, infligent leurs maux à leur entourage et à ceux qu'ils côtoient, nourrissant le diable qui les dévore comme des golems ayant abandonné toute humanité, tandis que d'autres se sont abimés tous seuls, et méritent le sort dont ils portent pour responsable la planète entière
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> On ne s'abîme jamais seul, mais avec une cohorte d'accusés, de coupables, qui devraient bien mieux que nous répondre de nos vices, oui, il faut être intransigeant sur les principes, dénoncer sans relâche les péchés, mais il faut être souple, compatissant, avec les hommes, moi je ne crois pas aux monstres, seulement aux monstruosités
Discours qui sent le pot de chambre. Les monstruosités ne tombent pas du ciel. Il faut des monstres pour les engendrer.
Parfois certains agissements, certains faits nous transforment en monstres, mais pas toujours, arrête d'idéaliser l'homme. L'homme peut s'incarner dans tout, d'un etre d'amour à la plus vile des pourritures, et c'est loin d'être des cas isolés sinon notre monde ne ressemblerait pas à ce tas de merde.Moi, au moins, je n'ai pas l'haleine qui sent la naphtaline ou le gaz des camps, et mieux, je ne me dénigre pas, oui, je me sanctifie avec tous les autres, je nous crois princiers, fins, avec de la hauteur, je nous crois justes, surtout, et je ne me joindrai jamais à la cohorte des lâches, des traîtres, qui préfèrent damner toute notre espèce, lui faire un procès absurde, l'amputer, sortir d'elle, ici, un assassin, là-bas, un voleur, ah comme c'est commode, confortable, si bourgeois, plutôt que de condamner seulement leur crime : non, on ne tue pas parce que l'on est un meurtrier, mais parce que l'on tue, alors on devient un meurtrier, et l'intransigeance doit se porter contre le meurtre, et non contre la main qui a tué, car sinon c'est toute l'idée de la rédemption, c'est même toute l'idée chrétienne, qui crève dans ce coin de l'esprit, si on enlève à l'homme la possibilité du pardon, si on le croit irrécupérable, à jamais damné, alors c'est à jamais qu'on l'enfermera dans son crime, il n'en sortira plus, et nous avec lui
Aime le monde pour ce qu'il est au lieu de le haïr pour ce qu'il n'est pas.
Ils n'auront pas ma haine, par contre tu auras le sang de leurs morts sur tes mains
Rien à voir.
sa peut a voir si la calotte de ses morts est en jeu ou pas
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> > Ne les plains pas trop, beaucoup d'entre eux transmettent, infligent leurs maux à leur entourage et à ceux qu'ils côtoient, nourrissant le diable qui les dévore comme des golems ayant abandonné toute humanité, tandis que d'autres se sont abimés tous seuls, et méritent le sort dont ils portent pour responsable la planète entière
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> On ne s'abîme jamais seul, mais avec une cohorte d'accusés, de coupables, qui devraient bien mieux que nous répondre de nos vices, oui, il faut être intransigeant sur les principes, dénoncer sans relâche les péchés, mais il faut être souple, compatissant, avec les hommes, moi je ne crois pas aux monstres, seulement aux monstruosités
Discours qui sent le pot de chambre. Les monstruosités ne tombent pas du ciel. Il faut des monstres pour les engendrer.
Parfois certains agissements, certains faits nous transforment en monstres, mais pas toujours, arrête d'idéaliser l'homme. L'homme peut s'incarner dans tout, d'un etre d'amour à la plus vile des pourritures, et c'est loin d'être des cas isolés sinon notre monde ne ressemblerait pas à ce tas de merde.Moi, au moins, je n'ai pas l'haleine qui sent la naphtaline ou le gaz des camps, et mieux, je ne me dénigre pas, oui, je me sanctifie avec tous les autres, je nous crois princiers, fins, avec de la hauteur, je nous crois justes, surtout, et je ne me joindrai jamais à la cohorte des lâches, des traîtres, qui préfèrent damner toute notre espèce, lui faire un procès absurde, l'amputer, sortir d'elle, ici, un assassin, là-bas, un voleur, ah comme c'est commode, confortable, si bourgeois, plutôt que de condamner seulement leur crime : non, on ne tue pas parce que l'on est un meurtrier, mais parce que l'on tue, alors on devient un meurtrier, et l'intransigeance doit se porter contre le meurtre, et non contre la main qui a tué, car sinon c'est toute l'idée de la rédemption, c'est même toute l'idée chrétienne, qui crève dans ce coin de l'esprit, si on enlève à l'homme la possibilité du pardon, si on le croit irrécupérable, à jamais damné, alors c'est à jamais qu'on l'enfermera dans son crime, il n'en sortira plus, et nous avec lui
Aime le monde pour ce qu'il est au lieu de le haïr pour ce qu'il n'est pas.
Ils n'auront pas ma haine, par contre tu auras le sang de leurs morts sur tes mains
Rien à voir.
N'aie pas peur, arrête de fuir la réalité ça va bien se passer
Données du topic
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- Rothirsch2
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- 10 octobre 2024 à 03:01:17
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