Ça fait combien de temps que vous avez pas pleuré?

Aucune idée, c’était il y a plus de dix ans. Sans doute parce que j’ai vu que ça servait à rien et que je me sens mieux dans l’action que dans la lamentation.

Certains diront que c’est une forme de fuite, peut-être, mais vers l’avant, autre chose, toujours essayer autre chose. Si quelque chose n’a pas fonctionné, autre chose fonctionnera.

Le 07 octobre 2024 à 02:17:44 clownPhilosophe a écrit :
La dernière fois que j'ai pleuré à chaude larmes, je m'en souviendrais toujours, c'était lors d'un repas du soir au lycée (j'étais à l'internat). Depuis 2/3 jours j'avais une humeur mélancolique inexplicable, et durant ce repas, ma cousine l'a remarqué et m'a demandé ce que j'avais. J'ai littéralement fondu en larmes. Jusqu'aux sanglots.Après coup j'ai rationnalisé en invoquant certaines explications, mais j'étais franchement pas convaincu. Et je le suis toujours pas.Je repense régulièrement à ce moment. Et j'adorerais pleurer à nouveau comme ça actuellement, pour libérer un peu la pression intérieure que j'ai en moi depuis toutes ces années. Mais impossible. Donc je fantasme à partir de ce souvenir, je m'imagine ressentir ce sentiment libérateur que procure une cascade de larme.Le pire c'est que je peux arriver à générer quelques larmes parfois, mais il y a comme un bouchon qui bloque. ça se noue au niveau de ma gorge et de ma poitrine, et ça s'arrête à une ou deux larmes. Qu'est-ce que c'est frustrant.

Et qu’est-ce que tu avais, du coup ? Verbaliser, décortiquer (même pour soi-même et surtout pour soi-même), c’est indispensable si tu veux résoudre un problème.

Le 07 octobre 2024 à 02:27:57 :

Le 07 octobre 2024 à 02:17:44 clownPhilosophe a écrit :
La dernière fois que j'ai pleuré à chaude larmes, je m'en souviendrais toujours, c'était lors d'un repas du soir au lycée (j'étais à l'internat). Depuis 2/3 jours j'avais une humeur mélancolique inexplicable, et durant ce repas, ma cousine l'a remarqué et m'a demandé ce que j'avais. J'ai littéralement fondu en larmes. Jusqu'aux sanglots.Après coup j'ai rationnalisé en invoquant certaines explications, mais j'étais franchement pas convaincu. Et je le suis toujours pas.Je repense régulièrement à ce moment. Et j'adorerais pleurer à nouveau comme ça actuellement, pour libérer un peu la pression intérieure que j'ai en moi depuis toutes ces années. Mais impossible. Donc je fantasme à partir de ce souvenir, je m'imagine ressentir ce sentiment libérateur que procure une cascade de larme.Le pire c'est que je peux arriver à générer quelques larmes parfois, mais il y a comme un bouchon qui bloque. ça se noue au niveau de ma gorge et de ma poitrine, et ça s'arrête à une ou deux larmes. Qu'est-ce que c'est frustrant.

Et qu’est-ce que tu avais, du coup ? Verbaliser, décortiquer (même pour soi-même et surtout pour soi-même), c’est indispensable si tu veux résoudre un problème.

J'en sais toujours rien. A l'époque j'ai mis ça sur le compte que je me sentais mal d'être encore puceau à 17 ans, et un autre truc je sais plus quoi.
J'y ai réfléchis plusieurs fois, je comprends toujours pas. ça a été si soudain.

Le 07 octobre 2024 à 01:45:42 :
Mais en vrai les kheys vous avez de la chance de pouvoir pleurer, de pouvoir ressentir l'émotion qu'est la tristesse et de l'évacuer, je vous envie

Watashi mo onajiyoni kanjimasu

de tristesse je sais pas

mais le jeu vidéo the walking dead m’avait fait pleurer plusieurs fois

lee

Pleurer pour chialer de tristesse ou de colère ? Si c'est ça alors ça doit faire.... je sais pas peut-être le collège

Parfois j'ai envie de chialer mais je me retiens chiibpas une lopette de salopette hé lo