[PRÉCARITÉ ÉTUDIANTE] "Jeanne, 20 ans, FORCÉE à TRAVAILLER pour payer ses ÉTUDES"

https://www.leprogres.fr/economie/2024/09/24/precarite-etudiante-je-ne-peux-pas-dire-a-ma-famille-de-m-aider

Jeanne, 20 ans, étudiante de L1 en sciences de l’éducation et de la formation à l’université de Saint-Etienne, se trouve livrée à elle-même pour assumer les coûts de sa vie étudiante. En parallèle des cours, elle doit travailler afin de couvrir ses dépenses.

Après son bac général l’année dernière, Jeanne est entrée en école d’architecture à Saint-Etienne. Entre le coût des études et les responsabilités qui lui incombaient, Jeanne a perdu pied.

« Je n’arrivais plus à me dire que l’école était un environnement sain dans lequel je pouvais réaliser des études à un prix correct », témoigne-t-elle. « Je suis rentrée en grosse dépression. »

« Vu l’état mental dans lequel j’étais, je ne pouvais pas »
Mais prendre soin de sa santé mentale a aussi un coût, que certains étudiants ne peuvent pas assumer : « Je devais attendre six mois pour avoir les séances de psy gratuites, mais vu l’état mental dans lequel j’étais, je ne pouvais pas....

Le 27 septembre 2024 à 06:20:48 :
Le niveau de fragilité de cette génération est affligeant.

À notre époque on avait pas une scéance de psy offerte régulièrement, on devait se débrouiller.

sciences de l’éducation et de la formation

Bordel yen a marres des "sciences" bullshit inventées par les gauchistes

Elle fait un CAP petite enfance et trouve un travail en alternance facilement.

Faut pas accuser la société pour ses propres choix de vies irrationnels.

Le 27 septembre 2024 à 06:27:24 :
Elle fait un CAP petite enfance et trouve un travail en alternance facilement.

Faut pas accuser la société pour ses propres choix de vies irrationnels.

Les jeunes ne savent pas dire quelles études sont bouchées ou ne le sont pas. Ils n'ont pas cette maturité à cet âge.

Le 27 septembre 2024 à 06:33:56 :
20 ans,.L1

Quelques redoublements en fac de socio j'imagine

Jeanne, 20 ans, étudiante de L1 en sciences de l’éducation et de la formation à l’université de Saint-Etienne

Après son bac général l’année dernière, Jeanne est entrée en école d’architecture à Saint-Etienne

?

Le 27 septembre 2024 à 06:35:55 :

Jeanne, 20 ans, étudiante de L1 en sciences de l’éducation et de la formation à l’université de Saint-Etienne

Après son bac général l’année dernière, Jeanne est entrée en école d’architecture à Saint-Etienne

?

Elle s'est peut être prise des années sabbatiques.

le fait est que travailler et étudier est difficile.
elle se plaint et c'est normal

Pourquoi la descendre

Le 27 septembre 2024 à 06:23:14 :
sciences de l’éducation et de la formation

Bordel yen a marres des "sciences" bullshit inventées par les gauchistes

Les sciences de l'éducation c'est pour faire prof en primaire ou bien "formatrice" de profs du primaire. En l'état actuel c'est 5 ans d'études avec beaucoup de propagande sur diverses idéologies.

Si y a bien un truc qu'on peut pas retirer aux boomers, et c'est bien le seul, c'est que l'ultra majorité d'entre eux bossaient en plus de se faire des études (c'était facilité par le plein emploi et des horaires compatibles), et à l'époque, ils s'en plaignaient pas parce que c'était encore vu comme un privilège et pas un droit de faire des études supérieures.

Maintenant tout le monde se plaint pour un rien et c'est affligeant. Qu'elle soit déjà reconnaissante d'avoir trouvé un taff par son privilège de femme blanche, un homme blanc moche ou un homme issu de la minorité en trouve pas en général et doit se résoudre à faire des prêts étudiants, à demander des bourses exceptionnelles et j'en passe.

Elle a le privilège de trouver du taff ETUDIANT (en outre, un taff très demandé) dans un monde où l'accès au travail est extrêmement ardu et elle se plaint, quelle honte.

Le 27 septembre 2024 à 06:40:01 :
Si y a bien un truc qu'on peut pas retirer aux boomers, et c'est bien le seul, c'est que l'ultra majorité d'entre eux bossaient en plus de se faire des études (c'était facilité par le plein emploi et des horaires compatibles), et à l'époque, ils s'en plaignaient pas parce que c'était encore vu comme un privilège et pas un droit de faire des études supérieures.

Maintenant tout le monde se plaint pour un rien et c'est affligeant. Qu'elle soit déjà reconnaissante d'avoir trouvé un taff par son privilège de femme blanche, un homme blanc moche ou un homme issu de la minorité en trouve pas en général et doit se résoudre à faire des prêts étudiants, à demander des bourses exceptionnelles et j'en passe.

Elle a le privilège de trouver du taff dans un monde où l'accès au travail est extrêmement ardu et elle se plaint, quelle honte.

Ceci...

Le 27 septembre 2024 à 06:35:55 :

Jeanne, 20 ans, étudiante de L1 en sciences de l’éducation et de la formation à l’université de Saint-Etienne

Après son bac général l’année dernière, Jeanne est entrée en école d’architecture à Saint-Etienne

?

Elle se cherche... Ça peut durer jusqu'à 40 ans... Voir plus...

[06:40:01] <KeyCat>
Si y a bien un truc qu'on peut pas retirer aux boomers, et c'est bien le seul, c'est que l'ultra majorité d'entre eux bossaient en plus de se faire des études (c'était facilité par le plein emploi et des horaires compatibles), et à l'époque, ils s'en plaignaient pas parce que c'était encore vu comme un privilège et pas un droit de faire des études supérieures.

Maintenant tout le monde se plaint pour un rien et c'est affligeant. Qu'elle soit déjà reconnaissante d'avoir trouvé un taff par son privilège de femme blanche, un homme blanc moche ou un homme issu de la minorité en trouve pas en général et doit se résoudre à faire des prêts étudiants, à demander des bourses exceptionnelles et j'en passe.

Elle a le privilège de trouver du taff ETUDIANT (en outre, un taff très demandé) dans un monde où l'accès au travail est extrêmement ardu et elle se plaint, quelle honte.

faire des études devraient être un droit et non un privilège

Le 27 septembre 2024 à 06:41:22 :