Le salariat est la forme d'esclavagisme qui ne dit pas son nom la plus poussée de l'histoire humaine

Le 19 septembre 2024 à 00:07:17 :

Le 18 septembre 2024 à 22:00:14 :
8 heures par jour, parfois plus pour les golems les plus zélés.

8 heures ou vous ne méditerez pas sur votre existence fugace sur cette Terre, sur la raison de la vie, de l'univers, de tout. 8 heures ou vous ne vous vous élèverez pas l'esprit. 8 heures ou vous ne ferez pas des choses que vous aimez réellement, qui vous transcendent. 8 heures ou vous ne ferez que répéter continuellement la même boucle tel un automate.

Y avez vous seulement pensé ?

le pire étant les heures qui restent après avoir travailler. Pour peu que le travail soit pénible physiquement et/ou éloigné du domicile, on perd du temps pour rentrer, se remettre dans son rythme personnel (parfois il est même impossible de faire autre chose que de "décompresser" de sa journée autant mentalement que physiquement). Si bien qu'entre le temps du sommeil nécessaire à la récupération physique, de faire sa toilette, ses repas, etc. il est déjà temps de retourner au travail, sans jamais avoir eu le temps et/ou l'envie de méditer sur sa condition, de lire des ouvrages, des choses qui élèves l'âme loin du quotidien..

Les 8 heures de travail ne compte que pour 50% du temps réel capté par l'emploi (à moins d'avoir une profession intellectuelle ou professorale, culturel, etc.

Oui quand on bosse 35h ou plus

on passe son temps soit au travail, soit entrain de se préparer à bosser

tu ne peux pas déconnecter sereinement puisque dans moins de 12h tu retournes au charbon

A tous ceux qui sont encore bloqués dans la boucle du salariat je dis : il y a de l'espoir ! Les coréens commencent a se révolter.

https://www.courrierinternational.com/article/surmenage-en-coree-du-sud-la-semaine-de-69-heures-ne-passe-pas Alors peut etre ?

[00:07:12] <JapanTobacco>

Le 18 septembre 2024 à 23:58:15 :

[22:00:14] <JapanTobacco>
8 heures par jour, parfois plus pour les golems les plus zélés.

8 heures ou vous ne méditerez pas sur votre existence fugace sur cette Terre, sur la raison de la vie, de l'univers, de tout. 8 heures ou vous ne vous vous élèverez pas l'esprit. 8 heures ou vous ne ferez pas des choses que vous aimez réellement, qui vous transcendent. 8 heures ou vous ne ferez que répéter continuellement la même boucle tel un automate.

Y avez vous seulement pensé ?

C'est bien ça le problème, les golems ne sont pas intéressés. Ils se complaisent dans leur médiocrité et acceptent volontiers d'échanger leur temps contre des plaisirs matériels.

Ce n'est pas une mauvaise chose en soit, car on ne peut pas faire société avec des gens éveillés.

Je pense aussi que la majorité des gens n'ont pas conscience de la valeur de leur vie, de leur temps. On leur a appris que 1h a faire ci c'est au minimum 10,5 brut de l'heure. Ils ont été éduqués ainsi, on prône le salaire minimum comme un progrès : je pense que c'est un autre instrument de l'asservissement des foules.

Je pense que les foules sont faites pour être asservies. C'est dans l'ordre naturel des choses, ce n'est pas un complot de la bourgeoisie. Je crois que les hommes sont fondamentalement inégaux par nature.

L'idée que tu proposes (que tout le monde profite de son temps libre) suppose que tous les hommes sont au fond égaux, et feraient un usage éclairé de leur temps libre. Au final le temps libre serait le privilège d'une minorité, qui refuserait de l'accorder aux autres (qu'il conviendrait de partager).

Tu es donc un communiste qui s'ignore (ou pas).

Le 19 septembre 2024 à 00:20:42 :

[00:07:12] <JapanTobacco>

Le 18 septembre 2024 à 23:58:15 :

[22:00:14] <JapanTobacco>
8 heures par jour, parfois plus pour les golems les plus zélés.

8 heures ou vous ne méditerez pas sur votre existence fugace sur cette Terre, sur la raison de la vie, de l'univers, de tout. 8 heures ou vous ne vous vous élèverez pas l'esprit. 8 heures ou vous ne ferez pas des choses que vous aimez réellement, qui vous transcendent. 8 heures ou vous ne ferez que répéter continuellement la même boucle tel un automate.

Y avez vous seulement pensé ?

C'est bien ça le problème, les golems ne sont pas intéressés. Ils se complaisent dans leur médiocrité et acceptent volontiers d'échanger leur temps contre des plaisirs matériels.

Ce n'est pas une mauvaise chose en soit, car on ne peut pas faire société avec des gens éveillés.

Je pense aussi que la majorité des gens n'ont pas conscience de la valeur de leur vie, de leur temps. On leur a appris que 1h a faire ci c'est au minimum 10,5 brut de l'heure. Ils ont été éduqués ainsi, on prône le salaire minimum comme un progrès : je pense que c'est un autre instrument de l'asservissement des foules.

Je pense que les foules sont faites pour être asservies. C'est dans l'ordre naturel des choses, ce n'est pas un complot de la bourgeoisie. Je crois que les hommes sont fondamentalement inégaux par nature.

L'idée que tu proposes (que tout le monde profite de son temps libre) suppose que tous les hommes sont au fond égaux, et feraient un usage éclairé de leur temps libre. Au final le temps libre serait le privilège d'une minorité, qui refuserait de l'accorder aux autres (qu'il conviendrait de partager).

Tu es donc un communiste qui s'ignore (ou pas).

Je crois aussi en un ordre naturel. Mais je crois que le système controle trop de paramètres pour que ce soit quelque chose de purement naturel. La nature est cruelle, mais il y a de la parcimonie dans cette cruauté, et un sens. Le salariat n'a aucun sens, il invente des sens pour des esclaves qui n'ont pas appris a réfléchir par eux mêmes, à réfléchir a la valeur réelle de leur vie (50% de la vie passée a bosser, je rappelle ...). A s'élever plus haut que la soupe consumériste qu'on nous sert

Comme si ça ne suffisait pas, le salarié d'aujourd'hui est un soldat embarqué dans une guerre économique, du fait de la libre concurrence. Le salarié moderne doit se battre pour que son entreprise soit compétitive

À l'époque, travailler à un rythme lent ne posait pas de problème, parce que ça ne faisait pas perdre des parts de marché

Le 19 septembre 2024 à 00:35:30 :
Comme si ça ne suffisait pas, le salarié d'aujourd'hui est un soldat embarqué dans une guerre économique, du fait de la libre concurrence. Le salarié moderne doit se battre pour que son entreprise soit compétitive

À l'époque, travailler à un rythme lent ne posait pas de problème, parce que ça ne faisait pas perdre des parts de marché

La capitalisme est un trou noir qui finira par s'effondrer sur lui même, mais il aura broyé bien des choses auparavant dans son abime. Je ne suis pas communiste, car cette société n'est pas encore prête pour les utopies, mais je ne peux plus être capitaliste, ce système me dégoute au plus haut point.

[00:32:15] <JapanTobacco>

Le 19 septembre 2024 à 00:20:42 :

[00:07:12] <JapanTobacco>

Le 18 septembre 2024 à 23:58:15 :

[22:00:14] <JapanTobacco>
8 heures par jour, parfois plus pour les golems les plus zélés.

8 heures ou vous ne méditerez pas sur votre existence fugace sur cette Terre, sur la raison de la vie, de l'univers, de tout. 8 heures ou vous ne vous vous élèverez pas l'esprit. 8 heures ou vous ne ferez pas des choses que vous aimez réellement, qui vous transcendent. 8 heures ou vous ne ferez que répéter continuellement la même boucle tel un automate.

Y avez vous seulement pensé ?

C'est bien ça le problème, les golems ne sont pas intéressés. Ils se complaisent dans leur médiocrité et acceptent volontiers d'échanger leur temps contre des plaisirs matériels.

Ce n'est pas une mauvaise chose en soit, car on ne peut pas faire société avec des gens éveillés.

Je pense aussi que la majorité des gens n'ont pas conscience de la valeur de leur vie, de leur temps. On leur a appris que 1h a faire ci c'est au minimum 10,5 brut de l'heure. Ils ont été éduqués ainsi, on prône le salaire minimum comme un progrès : je pense que c'est un autre instrument de l'asservissement des foules.

Je pense que les foules sont faites pour être asservies. C'est dans l'ordre naturel des choses, ce n'est pas un complot de la bourgeoisie. Je crois que les hommes sont fondamentalement inégaux par nature.

L'idée que tu proposes (que tout le monde profite de son temps libre) suppose que tous les hommes sont au fond égaux, et feraient un usage éclairé de leur temps libre. Au final le temps libre serait le privilège d'une minorité, qui refuserait de l'accorder aux autres (qu'il conviendrait de partager).

Tu es donc un communiste qui s'ignore (ou pas).

Je crois aussi en un ordre naturel. Mais je crois que le système controle trop de paramètres pour que ce soit quelque chose de purement naturel. La nature est cruelle, mais il y a de la parcimonie dans cette cruauté, et un sens. Le salariat n'a aucun sens, il invente des sens pour des esclaves qui n'ont pas appris a réfléchir par eux mêmes, à réfléchir a la valeur réelle de leur vie (50% de la vie passée a bosser, je rappelle ...). A s'élever plus haut que la soupe consumériste qu'on nous sert

Les esclaves ne peuvent pas réfléchir par eux-mêmes, ils en sont incapables. Ils ont besoin d'un chef à qui faire confiance. C'est pour ça qu'il y a toujours eu des dogmes pour les masses et des rites pour les initiés.

Ce n'est pas à la masse de s'élever elle-même, mais aux initiés d'éduquer la foule. C'est un problème que la foule soit éduquée par des matérialistes, il faut qu'elle le soit par des idéalistes. Pourtant, la méthode reste la même ("servir une soupe").

Le salariat est mauvais car il favorise le consumérisme, donc l'individualisme. On ne fait pas une société avec des individus, mais avec des hommes conscients de s'inscrire dans un destin commun. C'est là qu'est le sujet à mon avis. Il y a une différence entre travailler pour le bien-être de ta communauté, et travailler contre un salaire pour acheter des biens de consommation.

Le temps libre est important mais ce n'est pas la finalité. Attention à ne pas en donner trop non plus, car on peut rapidement tomber dans l'hédonisme ou le nihilisme (l'un menant à l'autre). La finalité est de continuer à faire tourner la société. Accorder du temps libre (et plus généralement améliorer les conditions d'existence) est un moyen d'y parvenir.