" La vengeance est un plat que je mange tout de suite "
Le 24 septembre 2024 à 23:22:37 :
J'ai peur pour notre Celestin_Tarax si un jour Valentine meurt sous un coup de surin au détour d'une promenade
Le 24 septembre 2024 à 23:37:20 :
Le 24 septembre 2024 à 23:22:37 :
J'ai peur pour notre Celestin_Tarax si un jour Valentine meurt sous un coup de surin au détour d'une promenadeRetrouvée morte, tuée par la chauve-souris de deux coups de couteau dans le dos
Le 24 septembre 2024 à 23:38:11 :
Le 24 septembre 2024 à 23:22:37 :
J'ai peur pour notre Celestin_Tarax si un jour Valentine meurt sous un coup de surin au détour d'une promenade
Je vais quitter la fic si ça continue à me faire des coups comme ça
Le 24 septembre 2024 à 23:41:09 :
Le 24 septembre 2024 à 23:38:11 :
Le 24 septembre 2024 à 23:22:37 :
J'ai peur pour notre Celestin_Tarax si un jour Valentine meurt sous un coup de surin au détour d'une promenadeJe vais quitter la fic si ça continue à me faire des coups comme ça
Et non les shills, je restent
Le 24 septembre 2024 à 23:37:20 :
Le 24 septembre 2024 à 23:22:37 :
J'ai peur pour notre Celestin_Tarax si un jour Valentine meurt sous un coup de surin au détour d'une promenadeRetrouvée morte, tuée par la chauve-souris de deux coups de couteau dans le dos
La chauve-souris.. toujours dans les sales coups ma parole
Le 24 septembre 2024 à 23:38:11 :
Le 24 septembre 2024 à 23:22:37 :
J'ai peur pour notre Celestin_Tarax si un jour Valentine meurt sous un coup de surin au détour d'une promenade
Il en sortira que plus fort.. Qui sait il deviendra eut être un justicier nocturne à ses heures perdues..
Le 25 septembre 2024 à 19:14:04 :
Le 25 septembre 2024 à 08:03:32 :
Valentine populaire alors que c'est un perso secondaire pour l'instantFic dans un univers carcéral ou pas, une waifu ne peut rester éternellement un personnage secondaire
En effet, c'est le topic qui decide
Sauf si illusions de choix (je vous rassure, y en a pas)
Le 25 septembre 2024 à 19:34:51 :
Le 25 septembre 2024 à 19:14:04 :
Le 25 septembre 2024 à 08:03:32 :
Valentine populaire alors que c'est un perso secondaire pour l'instantFic dans un univers carcéral ou pas, une waifu ne peut rester éternellement un personnage secondaire
En effet, c'est le topic qui decide
Sauf si illusions de choix (je vous rassure, y en a pas)
Arc 1 - Chapitre 27
Point de vue de Carlos Choupolos 2 jours plus tôt.
Pour assurer sa survie en prison, Carlos n’hésitait pas à dépouiller les prisonniers les plus faibles et isolés, d’où les gangs qui continuent de l’ignorer. C’était la loi de la jungle, pas de place pour les sentiments, sans quoi Carlos serait déjà mort.
Lui-même est fortement convaincu qu’il n’était pas mauvais, puisqu’il n’avait pas le choix. Entre voler et plonger les gens dans la drogue, voler est un moindre mal. En tant que voleur notoire, il avait réussi à amasser un capital conséquent, et donc ce dernier pouvait se passer de la protection d’un des gangs.
- Tu te payes encore une fois de ma tête ? C’est la 3eme fois que tu te fais surprendre en plein rackett. Ca suffit, je confisque les biens de ta cellule et tu déguerpis en isolement pour deux jours !
- Attendez monsieur MacManus, je peux m’expliquer : Edmond est un trouble fête, il m’a frappé en premier, et comme vous pouvez le voir, je n’ai pas d’objet volé sur moi.
- Ben voyons, c’est pas ce que les témoignages disent. Michel, fais rentrer David dans la pièce !
David se dévoila, c’était l’un des prisonniers sans gang, mais intéressé par une possible admission dans le gang administratif.
- Vous m’avez demandé boss ?
- Oh pitié, arrête de jouer le zouave et parle comme tout le monde. Tu penses quoi de cette situation, Carlos est innocent ou coupable ?
- Je l’ai vu s’en prendre au malheureux nouveau… Il n’a pas hésité à le menacer, c’est lui qui a d’ailleurs initié le contact physique, via une bousculade. Et il a dit mot pour mot « aboule ton fric ». J’espère qu’il sera puni, il perturbe le fonctionnement de votre secteur expérimental.
- Merci, même si tu n’es pas allé à l’essentiel, je peux toujours compter sur toi. Bien Carlos, tu as quelque chose à dire ?
- Va te faire voir, sale lèche bottes. Je n’avais pas le choix, monsieur MacManus. Soyez clément, je vous en prie, si je ne vole pas, les autres prisonniers n’en feront qu’une bouchée de moi.
- Tu me dégoûtes, je m’en branle de tes états d’âme, ça ne t’empêche pas de continuer de chaparder les gens. Allez dégage, t’iras faire un coucou à mon collègue Sceaux.
- Noooooooooooon pitié, vous n’avez pas le droit !
Carlos devint agité, et se mit à saccager le bureau en éparpillant les feuilles de partout, en plus d’avoir retourné une table. Deux gardiens se jetèrent sur lui pour l’immobiliser, il était incontrôlable.
Quelques minutes après, il fut jeté dans sa cellule d’isolement.
- Non, c’est injuste. Je n’ai rien fait de mal, les gens s’utilisent les uns les autres sans scrupules pour leur intérêt, alors pourquoi devrais-je en faire les frais ? Surtout quand des prisonniers gèrent la contrebande ou le trafic de drogues, mes actions ne valent rien à côté.
Sous un accès de colère, il martela avec ses poings la porte de sa cellule. En dépit des bruits provoqués, personne ne venait. Une heure est passée.
- Argh, la douleur n’est pas encore partie. Le temps s’écoule tellement lentement dans cette cellule, rendez-moi maman…
Tout à coup, la porte s’ouvrit. En entendant le bruit, Carlos sursauta. Un vieil homme portant un masque et tenant une caisse à outils, le dos voûté, ouvrit la discussion.
Musique d'ambiance https://www.youtube.com/watch?v=vhSHXGM7kgE
- Bonjour détenu Carlos Choupolos, savez-vous pourquoi vous êtes en isolement ?
- Qui êtes-vous ? Ah non, laissez-moi deviner : vous êtes ce fameux vieillard dont tout le personnel a déjà mentionné pour nous faire peur ? Vous allez l’air ridicule en vrai, vous êtes petit, masqué et cambré.
- Ne vous a-t-on jamais appris qu’il ne fallait pas se fier aux apparences ? C’est une question rhétorique, après tout, vous ne seriez pas ici si vous l’aviez appris.
- Plaît-il ?
- Vous avez négligé la vie, voire manquer de respect à elle. Et celle-ci vous le rendra au quintuple.
- Je ne vous suis plus, vous m’inquiétez…
- Cela signifie que vous avez perdu le jeu de la vie, en échouant dans cette prison. Je possède tous les droits sur votre personne.
- J’exige qu’on appelle mon avocat ! Ecoutez, je n’ai rien fait que de cambrioler des gens, ça ne méritait pas que je termine dans ce trou à rat, alors laissez-moi partir.
- Le moindre mal est une excuse pour masquer ses défauts. Je vous ai déjà sondé, vous vous réfugiez à travers vos défauts pour justifier vos méfaits.
- JE N’AVAIS PAS LE CHOIX ! Je ne recommencerai pas, je vous le jure ! Donnez-moi une seconde chance.
- Pour quoi faire ? Vous n’avez nulle part où partir, la vie vous a déjà accordé plusieurs chances que vous avez rejetées. La vie a décidé de vous renier.
Le vieil homme enleva avec élégance son masque, un visage truffé de rides symbolisant son vécu se dévoila. Son visage était dénué d’expressions, on pouvait se perdre dans ses yeux. Celui-ci sorti des instruments de torture de sa boîte à outils.
Le visage de Carlos se décomposa.
- Je m’appelle Robert Sceaux, 88 ans, forgé par la guerre d’Algérie. En deux jours, tu vivras l’équivalent de 8 ans de guerre.
- NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON
- Ne m’en veux pas, tu en ressortiras grand.
Un cri frissonnant se fit entendre et résonna dans tout le couloir de l’isolement.
Point de vue de Philippe Mouevoyait
Buanderie, un jour plus tôt
- La machine a fini, super. Bon je vais récupérer mes vêtements… attends, qu’est-ce que c’est ??
Le pantalon de Philippe était tâché de sang, un bout du surin sortait d’une des poches.
- Qui est le fils de p*te qui a abrité une arme dans mes vêtements, sans déconner.
Philippe remarqua une présence et se retourna immédiatement.
- Euh tu fais quoi planquer dans l’une des angles de la buanderie ? T’as quelque chose à te reprocher ?
- De quoi je me mêle ?! Fini le cinéma, je te pose des questions moi m’voooooyez ?
- Je voulais pas t’agresser mais t’es très suspect, tu sais. Je suis simplement curieux, tu as quelque chose dans ta poche ?
- Ta g*eule !
- Merde ! Je vais me faire passer pour quelqu’un de suspect, j’ai pas été prudent.
- Quelque chose ne va pas, Philippe ?
- Non non, rien. Je réfléchissais m’voyez.
- D’accord.
- (Bon, y a un incompétent qui a directement jeté sa pile de vêtements dans la machine à laver. Cet idiot n’a pas vérifié que des vêtements s’y trouvaient déjà. Quelqu’un a saigné et a foutu son sang partout sur mon jean. Si je l’attrape… On va faire un tour à l’infirmerie. )
Avant de se rendre à l’infirmerie, Philippe rangea son pantalon dans sa cellule.
- B’jour Géraldine. Récemment, t’aurais pas accueilli un nouveau patient par hasard ?
- Salut Philippe, pourquoi cette question ? Tu t’inquiètes que ta collègue Laura ait flashé sur un de mes patients ?
- Rien à voir ! C’est important, il se trouve que je cherche le détenteur d’une arme blanche, qui a récemment logé ici parce que sa peau s’est ouverte. Tu peux me dire son nom ?
- Perspicace le Philippe. C’est le nouveau, il s’appelle Edmond Celestin. Physiquement, il est très grand et costaud, tu l’as déjà croisé ?
- Ah mais c’est l’aut’ con de la buanderie, m’voyez ! Je peux avoir accès au registre de l’infirmerie ? J’en ai besoin pour mon enquête, ce bouffon a sali mon dernier pantalon durement acquis m’voyez.
- Ok attends un instant. Le voilà !
- « Visite hier, l’après-midi, du prisonnier 24C047 Edmond Celestin von Dantès, blessure : menton. Ca saignait abondamment. » BINGO ! Il s’agit bien de lui.
- Mais il avait quoi ? Il me semblait normal, bien que nerveux.
- Le malandrin planquait un surin qu’il a sûrement dû cacher dans la précipitation, ici. Il avait peur de se faire voir.
- Ahhhhhhhhhhh ! Ceci explique sa nervosité d’hier. Que fait-on ? Il faut le dénoncer.
- T’occupe, j’ai entendu dire qu’il s’était bagarré hier avec Carlos justement, m’voyez. Je le porte pas dans mon coeur, mais je compte l’aider dans sa vendetta, deux témoignages contre Edmond ferait monter ma réputation auprès du personnel hahahaha.
- Que tu es calculateur ! Je ferai comme si je n’ai rien entendu, c’est pas mes affaires.
- Il vaut mieux, oui m’voyez. Avant de filer, dis au bras cassé qu’il veillera à ne pas jeter la pile dégueulasse de l’infirmerie avec les autres vêtements, m’voyez.
- Oh ? Mon assistant ? Je l’avertirai.
- Ok, salut !
Point de vue de Carlos Choupolos.
Sortie de l'isolement
- C’est ce bon vieux Carlos ! Mais tu t’es fait démolir le portrait, je te reconnais plus. Tu vas bien ?
- Ce maudit Edmond va payer kof kof Il a signé son arrêt de mort.
- Attends, tu vas où l’ami ?
Carlos ignora son camarade du groupe des travailleurs et marchait tout droit, d’un pas déterminé, avant d’être arrêté par Philippe.
- Excuse-moi Carlos m’voyez.
- Déguerpis de ma vue, ou donne-moi une bonne raison de te causer.
- Tu as perdu ton entrain et ta politesse m’voyez. Enfin j’comprends, passer chez Sceaux n’est pas de la tarte ! Je sais qui est le responsable de cette situation.
- Hein ?
- En fait, j’ai mené ma petite investigation de mon côté m’voyez. J’ai une preuve comme quoi Edmond Celestin possédait un surin, ça pourrait te racheter auprès du personnel m’voyez.
- Ahhhhhhhhhh c’était donc ça ! J’avais senti son arme pendant le rixe. Mais j’imagine que tu viens pas par pure bonté, tu veux quoi en retour ?
- Un soutien de ta part hahahaha. Je te propose de délaisser tes extorsions et de devenir un mouchard comme moi. Avec ton zèle, je ne doute pas qu’on fera un duo d’enfer ensemble.
- Voler ? C’est de l’histoire ancienne, t’as vu l’état de mon visage kof kof. Et puis, je titube, cet infâme Sceaux ne m’a pas raté.
- Si on gravit les échelons de cette prison dans les règles, on pourra diminuer son pouvoir, alors accepte de t’associer avec toi !
- D’abord on s’occupe du cas Edmond, puis j’y songerai. Marché conclu, pour le moment.
- T’es pas si bête que ça m’voyez.
Point de vue d’Edmond Celestin, retour au présent
- De quoi m’accusez-vous ? C’est Carlos a essayé de me voler, je vous l’avais dit hier Timothée. Et que fait Philippe ici ?
- On est au courant pour le surin, arrête de faire ton acteur.
- Je ne vois pas de quoi tu parles. (Comment il a su ? J’ai été minutieux pour le cacher. )
- Ben voyons, Philippe balance la preuve.
- J’ai vu ton nom sur la liste des visites de l’infirmerie, m’voyez. Pourquoi ai-je enquête sur toi ? Ben parce que t’es le porc qui a sali mon dernier pantalon que j’ai économisé, et que j’ai des intérêts en commun avec Carlos !
- Héhéhéhé, monsieur MacManus, Edmond n’est pas totalement innocent.
- Si tu n’as rien à dire, je t’enverrai faire les travaux forcés durant ton temps libre, et ce pour deux jours.
- Attends ! Ce surin, il est pas à moi. Quelqu’un me l’a donné.
- Ah oui ? Bizarre ça, toi qui fais des vagues, tu n’as encore rien fait comme par hasard. Donne-moi son identité.
- Je ne peux pas le dire, il me tuerait.
- Très bien, je te laisse réfléchir à ta décision et une fois fait, je prendrai la mienne.
1) Assumer votre peine, vous perdrez deux après-midi et vous raterez des infos.
2) Soudoyer MacManus avec votre argent de poche. Il n’est pas très bien payé pour ce qu’il fait.
3) Balancer que c’est le gang d’Adebisi qui est responsable de l’état de Dorian. Peut-être qu’on fermera les yeux sur le surin.
Données du topic
- Auteur
- GentarouHongou
- Date de création
- 15 août 2024 à 23:49:58
- Nb. messages archivés
- 2744
- Nb. messages JVC
- 2693