Proust : beaucoup de jolis mots pour dire qu'il kiffe l'odeur de sa merde
Le 22 août 2024 à 00:55:50 :
Le 22 août 2024 à 00:54:12 :
Le 22 août 2024 à 00:53:00 :
Ahi mais c'est nofakeEvidemment que c'est nofake
Je suis en train de le lire
J'ai interrompu ma lecture exprès pour vous partager cette découverteTu te fais pas trop chier ? J’ai lu swann mais bon c’est pas très excitant.
Je me fais rarement chier quand je lis
Pour l'instant je sais que je vais aller jusqu'au bout et je prononcerai mon jugement une fois la dernière page tournée
Le 22 août 2024 à 00:56:21 :
Ô émanation obscure, rejetée par tous, tu t'élèves discrètement des entrailles profondes, là où la chair, après avoir accompli son labeur, laisse tomber son dernier fardeau. Tu es l'ombre discrète de la condition humaine, l'empreinte fugace d'une nécessité honteuse mais inéluctable. Qui donc, dans ce monde de prétentions et de faux éclats, pourrait te reconnaître à ta juste valeur ?Pourtant, dans ta présence silencieuse, se révèle une vérité crue, un rappel de l'humilité de l'existence. Tu es le vestige d'un festin achevé, le reflet sombre d'une vie qui se perpétue malgré tout. Toi, rejeté, méprisé, tu es pourtant l'indispensable compagnon des âmes courbées sous le poids des jours. Dans chaque ruelle, dans chaque coin de ce monde, tu es là, fidèle, témoin discret du passage des hommes.
Car dans ta noirceur, il y a une forme de grandeur : celle de l'invisible, du nécessaire, de l'inéluctable. Sans toi, l'existence ne serait qu'un rêve fugace, sans racine ni profondeur. Tu es le revers de la médaille, l'autre visage de la vie, celui que l'on cache, mais qui, malgré tout, persiste, indélébile.
Victor Hugo
On dirait un pavé trollesque d'un forumeur
Le 22 août 2024 à 00:56:21 :
Ô émanation obscure, rejetée par tous, tu t'élèves discrètement des entrailles profondes, là où la chair, après avoir accompli son labeur, laisse tomber son dernier fardeau. Tu es l'ombre discrète de la condition humaine, l'empreinte fugace d'une nécessité honteuse mais inéluctable. Qui donc, dans ce monde de prétentions et de faux éclats, pourrait te reconnaître à ta juste valeur ?Pourtant, dans ta présence silencieuse, se révèle une vérité crue, un rappel de l'humilité de l'existence. Tu es le vestige d'un festin achevé, le reflet sombre d'une vie qui se perpétue malgré tout. Toi, rejeté, méprisé, tu es pourtant l'indispensable compagnon des âmes courbées sous le poids des jours. Dans chaque ruelle, dans chaque coin de ce monde, tu es là, fidèle, témoin discret du passage des hommes.
Car dans ta noirceur, il y a une forme de grandeur : celle de l'invisible, du nécessaire, de l'inéluctable. Sans toi, l'existence ne serait qu'un rêve fugace, sans racine ni profondeur. Tu es le revers de la médaille, l'autre visage de la vie, celui que l'on cache, mais qui, malgré tout, persiste, indélébile.
Victor Hugo
Je pense qu’ils avaient des vrais problèmes d’évacuation de la merde a l’époque, ça nous viendrait jamais à l’esprit de se branler sur notre merde vu à quelle vitesse elle disparaît (sauf quand il s’agit de bouffer la merde d’une 10/10)
Le 22 août 2024 à 00:56:06 :
[00:54:12] <Japhetite759>
Le 22 août 2024 à 00:53:00 :
Ahi mais c'est nofakeEvidemment que c'est nofake
Je suis en train de le lire
J'ai interrompu ma lecture exprès pour vous partager cette découverteBah merci clé ahi
C'est normal tkt
Le 22 août 2024 à 00:59:29 :
Le 22 août 2024 à 00:56:21 :
Ô émanation obscure, rejetée par tous, tu t'élèves discrètement des entrailles profondes, là où la chair, après avoir accompli son labeur, laisse tomber son dernier fardeau. Tu es l'ombre discrète de la condition humaine, l'empreinte fugace d'une nécessité honteuse mais inéluctable. Qui donc, dans ce monde de prétentions et de faux éclats, pourrait te reconnaître à ta juste valeur ?Pourtant, dans ta présence silencieuse, se révèle une vérité crue, un rappel de l'humilité de l'existence. Tu es le vestige d'un festin achevé, le reflet sombre d'une vie qui se perpétue malgré tout. Toi, rejeté, méprisé, tu es pourtant l'indispensable compagnon des âmes courbées sous le poids des jours. Dans chaque ruelle, dans chaque coin de ce monde, tu es là, fidèle, témoin discret du passage des hommes.
Car dans ta noirceur, il y a une forme de grandeur : celle de l'invisible, du nécessaire, de l'inéluctable. Sans toi, l'existence ne serait qu'un rêve fugace, sans racine ni profondeur. Tu es le revers de la médaille, l'autre visage de la vie, celui que l'on cache, mais qui, malgré tout, persiste, indélébile.
Victor Hugo
Je pense qu’ils avaient des vrais problèmes d’évacuation de la merde a l’époque, ça nous viendrait jamais à l’esprit de se branler sur notre merde vu à quelle vitesse elle disparaît (sauf quand il s’agit de bouffer la merde d’une 10/10)
Dans le cas du petit Proust, une envie pressante au milieu de la nuit signifiait généralement de longues heures de cohabitation forcée
Le 22 août 2024 à 00:46:42 :
Le 22 août 2024 à 00:46:09 :
Quel tome ?
Ça me dit absolument rien.Le premier, du côté de chez Swann
Une réaction à chaud ?
Un rapport avec le prout de Swann quand il dit pépitochokoya ?
Le 22 août 2024 à 06:19:34 :
Le 22 août 2024 à 00:46:42 :
Le 22 août 2024 à 00:46:09 :
Quel tome ?
Ça me dit absolument rien.Le premier, du côté de chez Swann
Une réaction à chaud ?Un rapport avec le prout de Swann quand il dit pépitochokoya ?
Faudrait écrire Du côté de chez Swann et Néo
Ce serait la version reality-show du roman de Proust, avec un narrateur qui se rappelle son enfance entre sa mère proxénète et son frère trisomique
Le 22 août 2024 à 00:56:21 :
Ô émanation obscure, rejetée par tous, tu t'élèves discrètement des entrailles profondes, là où la chair, après avoir accompli son labeur, laisse tomber son dernier fardeau. Tu es l'ombre discrète de la condition humaine, l'empreinte fugace d'une nécessité honteuse mais inéluctable. Qui donc, dans ce monde de prétentions et de faux éclats, pourrait te reconnaître à ta juste valeur ?Pourtant, dans ta présence silencieuse, se révèle une vérité crue, un rappel de l'humilité de l'existence. Tu es le vestige d'un festin achevé, le reflet sombre d'une vie qui se perpétue malgré tout. Toi, rejeté, méprisé, tu es pourtant l'indispensable compagnon des âmes courbées sous le poids des jours. Dans chaque ruelle, dans chaque coin de ce monde, tu es là, fidèle, témoin discret du passage des hommes.
Car dans ta noirceur, il y a une forme de grandeur : celle de l'invisible, du nécessaire, de l'inéluctable. Sans toi, l'existence ne serait qu'un rêve fugace, sans racine ni profondeur. Tu es le revers de la médaille, l'autre visage de la vie, celui que l'on cache, mais qui, malgré tout, persiste, indélébile.
Victor Hugo
Hugo devait boire pas mal de vin pour insister sur la noirceur de sa merde.
On dirait un pavé trollesque d'un forumeur
Je crois que c'est fake, par contre Hugo a vraiment écrit un poème de ce genre: Ode à la merde
Lorsqu’après un repas l’estomac vous tiraille,
Que tout au fond de vous le haricot travaille…
Qu’il est doux de penser que bientôt, pas très loin,
Vous courrez prestement pour chier dans un coin.
Qu’on est bien, accroupi, les coudes sur les cuisses,
Tandis qu’environné d’une troupe de Suisses
On exhibe au grand air l’hémisphère dodu
Qui cache encore aux yeux le chef-d’œuvre attendu.
Ami ! Il est, dit-on, un art en toute chose,
Aussi bien à chier qu’à cultiver les roses.
Or donc, pour opérer avec discernement,
Gardez-vous qu’un papier ne vienne absurdement
Lorsque l’œuvre est parfaite, écraser l’accessoire.
Tss ! Tss ! Pas de papier si vous voulez m’en croire,
Laissez aux constipés ce procédé piteux
Qui gâche absolument un plaisir si juteux,
Que le bout de l’index, seul, fasse cet office.
Quand il aura touché trois fois votre orifice
Qui vient de s’entrouvrir comme une tendre fleur,
Il teindra votre doigt d’une étrange couleur.
Ami, si vous voulez encor goûter des charmes,
Sur la blanche muraille, esquissez quelques larmes.
Et si, par aventure, abondant est l’extrait,
De celle que vous aimez vous ferez le portrait.
Données du topic
- Auteur
- Japhetite759
- Date de création
- 22 août 2024 à 00:39:56
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