Le 05 juillet 2024 à 00:33:03 :
Symbol
Film japonais de 2009 d’après Google ? Pas vu. Désolé.
Le 05 juillet 2024 à 00:34:39 :
pirates des caraibes trilogie
Pas regardé depuis que je suis môme. Je pense pas en tirer une bonne analyse. Mais je pense qu’on peut dire que c’est une sacrée publicité pour l’attraction de Disneyland.
Le 05 juillet 2024 à 00:35:18 :
Yi Yi
Il y aurait pas mal à dire.
Grosso modo, comme souvent chez Yang, il s’agit du malaise de la modernité taïwanaise, tiraillée entre l’ombre du géant chinois et l’occidentalisation excessive qui achève de nuire à la construction d’une identité propre à ce peuple. Ici, Yang dépeint ce malaise dans un contexte intergénérationnel : la grand-mère est à l’agonie tandis que chez l’enfant naît un intérêt pour la contemplation via la photographie, le père suit le spectre d’un amour d’adolescence perdu tandis que sa femme poursuit son premier amour etc. C’est un film fondé sur des parallèles et des dissonances.
Le 05 juillet 2024 à 00:35:39 :
Tu dirais quoi sur Shrek ? Absolument aucun troll.
Que c’est un film qui dépeint la culture trash américaine de la fin des 90s/début des années 2000 comme un antidote à la normativité établie par les contes enseignés aux enfants. Cette culture trash est associée à une forme de sincérité qui déconstruit les structures sociales aliénantes. Le problème, c’est que Shrek finit lui-même intégré à ces structures. En gros, le film dépeint - malgré lui - le fait que l’opposition s’intègre toujours au système.