Camus en SAH

Le 18 juin 2024 à 02:24:25 :

Le 18 juin 2024 à 02:20:45 :

Le 18 juin 2024 à 02:11:51 :

Le 18 juin 2024 à 02:08:44 :
Je sens que j'ai raté un bon topic

Camus c'est comme Nietzsche. C'est bien ado, puis tu grandis

Je le relis là, je l'avais déjà lu ado, mais faut être honnête à cette âge là t'es un peu con et j'étais complétement passé à coté. D'autant plus que je ne suis pas de ces gens qui pensent qu'il y' a des penseurs pour des âges, tu peux très bien relire Nietzsche à 50 ans, tu ne le verras pas du même œil qu'à tes 15 ans, c'est complétement con de ne pas relire un auteur qu'on a lu ado

Je vanne Nietzsche mais j'ai plus de respect pour lui que pour l'absurde de Camus.

S'il n'y a pas de Dieu, alors nous ne sommes que les véhicules pour la vie, rien de plus. Nous sommes le moyen, pas la fin. Nous sommes la construction produite par des cellules qui veulent à travers nous se reproduire pour se perpétuer, c'est tout. Le sens de la vie pour nous, c'est seulement de se reproduire pour permettre à la vie qui nous a faite de continuer

La théorie de l'absurde n'est qu'une fuite à la blessure narcissique qu'est un monde sans dieu, un monde où finalement nous sommes l'outil plutôt que l'artisan

D'où l'intérêt de se trouver son propre but à l'existence, de donner son propre sens à la vie !
Sinon la seule conséquence logique au nihilisme, c'est la mort ou le suicide...

Le suicide pour fuire notre but de reproduire la vie, c'est faire le jeu de la vie comme l'explique si bien Schopenhauer. Que tu fasses un enfant ou que tu te suicide car tu ne veux pas en faire, tu fais l'acte optimum pour la perpétuation de la vie à chaque fois.

Et pourquoi trouver un sens autre si ce n'est par orgueil, par refus de ne pas être l'être centrale à l'univers mais la créature temporaire à son service ?

Le 18 juin 2024 à 02:20:45 :

Le 18 juin 2024 à 02:11:51 :

Le 18 juin 2024 à 02:08:44 :
Je sens que j'ai raté un bon topic

Camus c'est comme Nietzsche. C'est bien ado, puis tu grandis

Je le relis là, je l'avais déjà lu ado, mais faut être honnête à cette âge là t'es un peu con et j'étais complétement passé à coté. D'autant plus que je ne suis pas de ces gens qui pensent qu'il y' a des penseurs pour des âges, tu peux très bien relire Nietzsche à 50 ans, tu ne le verras pas du même œil qu'à tes 15 ans, c'est complétement con de ne pas relire un auteur qu'on a lu ado

Je vanne Nietzsche mais j'ai plus de respect pour lui que pour l'absurde de Camus.

S'il n'y a pas de Dieu, alors nous ne sommes que les véhicules pour la vie, rien de plus. Nous sommes le moyen, pas la fin. Nous sommes la construction produite par des cellules qui veulent à travers nous se reproduire pour se perpétuer, c'est tout. Le sens de la vie pour nous, c'est seulement de se reproduire pour permettre à la vie qui nous a faite de continuer

La théorie de l'absurde n'est qu'une fuite à la blessure narcissique qu'est un monde sans dieu, un monde où finalement nous sommes l'outil plutôt que l'artisan

Réduire l'existence à la reproduction est la pire chose à faire selon moi, l'Humain ne peut pas s'empêcher de s'interroger sur le but de ses actes, et pourquoi donc se reproduire dans un monde où l'on ne cesse de souffrir ? A quoi bon répéter un schéma que l'on sait négative ?

Et c'est justement ca l'absurde, vivre dans un monde où l'on souffre sans but, et c'est impossible de balayer l'absurde comme t'essayes maladroitement de le faire en réduisant le sens de nos vies à une pure mécanisation biologique, par ce que cette vision est d'autant plus absurde que toute autre

Le 18 juin 2024 à 02:25:20 :
En vrai, à moins d'écrire comme un vrai segpa, les mecs qui taclent sur l'orthographe ou la grammaire le font car ils sont à cours d'arguments.

Il parlait de quoi l'ancien topic ?

Ca parlait de Camus

Le 18 juin 2024 à 02:29:58 :

Le 18 juin 2024 à 02:20:45 :

Le 18 juin 2024 à 02:11:51 :

Le 18 juin 2024 à 02:08:44 :
Je sens que j'ai raté un bon topic

Camus c'est comme Nietzsche. C'est bien ado, puis tu grandis

Je le relis là, je l'avais déjà lu ado, mais faut être honnête à cette âge là t'es un peu con et j'étais complétement passé à coté. D'autant plus que je ne suis pas de ces gens qui pensent qu'il y' a des penseurs pour des âges, tu peux très bien relire Nietzsche à 50 ans, tu ne le verras pas du même œil qu'à tes 15 ans, c'est complétement con de ne pas relire un auteur qu'on a lu ado

Je vanne Nietzsche mais j'ai plus de respect pour lui que pour l'absurde de Camus.

S'il n'y a pas de Dieu, alors nous ne sommes que les véhicules pour la vie, rien de plus. Nous sommes le moyen, pas la fin. Nous sommes la construction produite par des cellules qui veulent à travers nous se reproduire pour se perpétuer, c'est tout. Le sens de la vie pour nous, c'est seulement de se reproduire pour permettre à la vie qui nous a faite de continuer

La théorie de l'absurde n'est qu'une fuite à la blessure narcissique qu'est un monde sans dieu, un monde où finalement nous sommes l'outil plutôt que l'artisan

Réduire l'existence à la reproduction est la pire chose à faire selon moi, l'Humain ne peut pas s'empêcher de s'interroger sur le but de ses actes, et pourquoi donc se reproduire dans un monde où l'on ne cesse de souffrir ? A quoi bon répéter un schéma que l'on sait négative ?

Et c'est justement ca l'absurde, vivre dans un monde où l'on souffre sans but, et c'est impossible de balayer l'absurde comme t'essayes maladroitement de le faire en réduisant le sens de nos vies à une pure mécanisation biologique, par ce que cette vision est d'autant plus absurde que toute autre

Tu trouves cette "réduction" absurde car elle ne fait pas de toi l'élément central de l'équation. La voiture s'use au contacte de la route, subie des accidents, mais n'est jamais le sens de la conduite, cela reste le conducteur.

Les théories existentialistes ne sont que des réflexes d'orgueil face à la possibilité de ne pas être le conducteur, mais la voiture.

Ça n'est pas parce que l'on semble mieux penser que ce qui nous entoure que c'est nous le but de toutes choses

Le 18 juin 2024 à 02:28:47 :

Le 18 juin 2024 à 02:24:25 :

Le 18 juin 2024 à 02:20:45 :

Le 18 juin 2024 à 02:11:51 :

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Je sens que j'ai raté un bon topic

Camus c'est comme Nietzsche. C'est bien ado, puis tu grandis

Je le relis là, je l'avais déjà lu ado, mais faut être honnête à cette âge là t'es un peu con et j'étais complétement passé à coté. D'autant plus que je ne suis pas de ces gens qui pensent qu'il y' a des penseurs pour des âges, tu peux très bien relire Nietzsche à 50 ans, tu ne le verras pas du même œil qu'à tes 15 ans, c'est complétement con de ne pas relire un auteur qu'on a lu ado

Je vanne Nietzsche mais j'ai plus de respect pour lui que pour l'absurde de Camus.

S'il n'y a pas de Dieu, alors nous ne sommes que les véhicules pour la vie, rien de plus. Nous sommes le moyen, pas la fin. Nous sommes la construction produite par des cellules qui veulent à travers nous se reproduire pour se perpétuer, c'est tout. Le sens de la vie pour nous, c'est seulement de se reproduire pour permettre à la vie qui nous a faite de continuer

La théorie de l'absurde n'est qu'une fuite à la blessure narcissique qu'est un monde sans dieu, un monde où finalement nous sommes l'outil plutôt que l'artisan

D'où l'intérêt de se trouver son propre but à l'existence, de donner son propre sens à la vie !
Sinon la seule conséquence logique au nihilisme, c'est la mort ou le suicide...

Le suicide pour fuire notre but de reproduire la vie, c'est faire le jeu de la vie comme l'explique si bien Schopenhauer. Que tu fasses un enfant ou que tu te suicide car tu ne veux pas en faire, tu fais l'acte optimum pour la perpétuation de la vie à chaque fois.

Et pourquoi trouver un sens autre si ce n'est par orgueil, par refus de ne pas être l'être centrale à l'univers mais la créature temporaire à son service ?

Peut importe ce que la vie veut de nous, ce qui importe avant tout, c'est nos vies à nous, et la question de savoir si il vaut mieux vivre ou mourir est capitale, c'est la question la plus importante de nos vies, et encore une fois on ne pas la balayer du revers de la mains comme tu le fait de façon presque inconsciente, considérant que dans tous les cas "c'est le jeu de la vie".

Trouver un sens à sa vie, c'est avant trouver une raison de vivre, et je pense pas que ce soit un mal, à moins de ne pas vouloir vivre.

Le 18 juin 2024 à 02:33:40 :
Un problème avec Lovecraft l'auteur ?

Non osef de lui

Le 18 juin 2024 à 02:34:11 :

Le 18 juin 2024 à 02:29:58 :

Le 18 juin 2024 à 02:20:45 :

Le 18 juin 2024 à 02:11:51 :

Le 18 juin 2024 à 02:08:44 :
Je sens que j'ai raté un bon topic

Camus c'est comme Nietzsche. C'est bien ado, puis tu grandis

Je le relis là, je l'avais déjà lu ado, mais faut être honnête à cette âge là t'es un peu con et j'étais complétement passé à coté. D'autant plus que je ne suis pas de ces gens qui pensent qu'il y' a des penseurs pour des âges, tu peux très bien relire Nietzsche à 50 ans, tu ne le verras pas du même œil qu'à tes 15 ans, c'est complétement con de ne pas relire un auteur qu'on a lu ado

Je vanne Nietzsche mais j'ai plus de respect pour lui que pour l'absurde de Camus.

S'il n'y a pas de Dieu, alors nous ne sommes que les véhicules pour la vie, rien de plus. Nous sommes le moyen, pas la fin. Nous sommes la construction produite par des cellules qui veulent à travers nous se reproduire pour se perpétuer, c'est tout. Le sens de la vie pour nous, c'est seulement de se reproduire pour permettre à la vie qui nous a faite de continuer

La théorie de l'absurde n'est qu'une fuite à la blessure narcissique qu'est un monde sans dieu, un monde où finalement nous sommes l'outil plutôt que l'artisan

Réduire l'existence à la reproduction est la pire chose à faire selon moi, l'Humain ne peut pas s'empêcher de s'interroger sur le but de ses actes, et pourquoi donc se reproduire dans un monde où l'on ne cesse de souffrir ? A quoi bon répéter un schéma que l'on sait négative ?

Et c'est justement ca l'absurde, vivre dans un monde où l'on souffre sans but, et c'est impossible de balayer l'absurde comme t'essayes maladroitement de le faire en réduisant le sens de nos vies à une pure mécanisation biologique, par ce que cette vision est d'autant plus absurde que toute autre

Tu trouves cette "réduction" absurde car elle ne fait pas de toi l'élément central de l'équation. La voiture s'use au contacte de la route, subie des accidents, mais n'est jamais le sens de la conduite, cela reste le conducteur.

Les théories existentialistes ne sont que des réflexes d'orgueil face à la possibilité de ne pas être le conducteur, mais la voiture.

Ça n'est pas parce que l'on semble mieux penser que ce qui nous entoure que c'est nous le but de toutes choses

Je trouve ta réduction absurde dans le contexte de notre interrogation, qui est celle "du choix entre vivre ou mourir", qui n'est pas un question à prendre à la légère, et donc ca n'est pas une question à la quelle on peut répondre par de médiocre considération ontologique/métaphysique comme tu le fait.

Maintenant ca ne veut pas dire que je considère cette vision comme étant inintéressante, mais seulement inadapté à la question posé.

Le 18 juin 2024 à 02:35:27 :> >

Le suicide pour fuire notre but de reproduire la vie, c'est faire le jeu de la vie comme l'explique si bien Schopenhauer. Que tu fasses un enfant ou que tu te suicide car tu ne veux pas en faire, tu fais l'acte optimum pour la perpétuation de la vie à chaque fois.

Et pourquoi trouver un sens autre si ce n'est par orgueil, par refus de ne pas être l'être centrale à l'univers mais la créature temporaire à son service ?

Peut importe ce que la vie veut de nous, ce qui importe avant tout, c'est nos vies à nous, et la question de savoir si il vaut mieux vivre ou mourir est capitale, c'est la question la plus importante de nos vies, et encore une fois on ne pas la balayer du revers de la mains comme tu le fait de façon presque inconsciente, considérant que dans tous les cas "c'est le jeu de la vie".

Trouver un sens à sa vie, c'est avant trouver une raison de vivre, et je pense pas que ce soit un mal, à moins de ne pas vouloir vivre.

Mais je te le donne la raison de vivre : parmi toutes les formes que la vie à choisie pour optimiser ses chances d'existence, une fut ta naissance. Ton but est de te reproduire pour continuer le développement de cette existence.

Plus une cellule est immortelle, moins elle à la capacité de se reproduire. Toi tu es de celle qui meurt le plus vite, tu es donc en devoir de te reproduire. Il est la ton sens de la vie.

Il y a un "animal", la galère portugaise, qui est en vérité un amas d'organismes ne faisant plus qu'un pour survivre. Nous sommes la même chose

Le 18 juin 2024 à 02:39:17 :

Le 18 juin 2024 à 02:34:11 :

Le 18 juin 2024 à 02:29:58 :

Le 18 juin 2024 à 02:20:45 :

Le 18 juin 2024 à 02:11:51 :

> Le 18 juin 2024 à 02:08:44 :

>Je sens que j'ai raté un bon topic

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> Camus c'est comme Nietzsche. C'est bien ado, puis tu grandis

Je le relis là, je l'avais déjà lu ado, mais faut être honnête à cette âge là t'es un peu con et j'étais complétement passé à coté. D'autant plus que je ne suis pas de ces gens qui pensent qu'il y' a des penseurs pour des âges, tu peux très bien relire Nietzsche à 50 ans, tu ne le verras pas du même œil qu'à tes 15 ans, c'est complétement con de ne pas relire un auteur qu'on a lu ado

Je vanne Nietzsche mais j'ai plus de respect pour lui que pour l'absurde de Camus.

S'il n'y a pas de Dieu, alors nous ne sommes que les véhicules pour la vie, rien de plus. Nous sommes le moyen, pas la fin. Nous sommes la construction produite par des cellules qui veulent à travers nous se reproduire pour se perpétuer, c'est tout. Le sens de la vie pour nous, c'est seulement de se reproduire pour permettre à la vie qui nous a faite de continuer

La théorie de l'absurde n'est qu'une fuite à la blessure narcissique qu'est un monde sans dieu, un monde où finalement nous sommes l'outil plutôt que l'artisan

Réduire l'existence à la reproduction est la pire chose à faire selon moi, l'Humain ne peut pas s'empêcher de s'interroger sur le but de ses actes, et pourquoi donc se reproduire dans un monde où l'on ne cesse de souffrir ? A quoi bon répéter un schéma que l'on sait négative ?

Et c'est justement ca l'absurde, vivre dans un monde où l'on souffre sans but, et c'est impossible de balayer l'absurde comme t'essayes maladroitement de le faire en réduisant le sens de nos vies à une pure mécanisation biologique, par ce que cette vision est d'autant plus absurde que toute autre

Tu trouves cette "réduction" absurde car elle ne fait pas de toi l'élément central de l'équation. La voiture s'use au contacte de la route, subie des accidents, mais n'est jamais le sens de la conduite, cela reste le conducteur.

Les théories existentialistes ne sont que des réflexes d'orgueil face à la possibilité de ne pas être le conducteur, mais la voiture.

Ça n'est pas parce que l'on semble mieux penser que ce qui nous entoure que c'est nous le but de toutes choses

Je trouve ta réduction absurde dans le contexte de notre interrogation, qui est celle "du choix entre vivre ou mourir", qui n'est pas un question à prendre à la légère, et donc ca n'est pas une question à la quelle on peut répondre par de médiocre considération ontologique/métaphysique comme tu le fait.

Maintenant ca ne veut pas dire que je considère cette vision comme étant inintéressante, mais seulement inadapté à la question posé.

Et d'ailleurs Camus n'est pas un existentialiste

Le 18 juin 2024 à 02:40:48 :

Le 18 juin 2024 à 02:35:27 :> >

Le suicide pour fuire notre but de reproduire la vie, c'est faire le jeu de la vie comme l'explique si bien Schopenhauer. Que tu fasses un enfant ou que tu te suicide car tu ne veux pas en faire, tu fais l'acte optimum pour la perpétuation de la vie à chaque fois.

Et pourquoi trouver un sens autre si ce n'est par orgueil, par refus de ne pas être l'être centrale à l'univers mais la créature temporaire à son service ?

Peut importe ce que la vie veut de nous, ce qui importe avant tout, c'est nos vies à nous, et la question de savoir si il vaut mieux vivre ou mourir est capitale, c'est la question la plus importante de nos vies, et encore une fois on ne pas la balayer du revers de la mains comme tu le fait de façon presque inconsciente, considérant que dans tous les cas "c'est le jeu de la vie".

Trouver un sens à sa vie, c'est avant trouver une raison de vivre, et je pense pas que ce soit un mal, à moins de ne pas vouloir vivre.

Mais je te le donne la raison de vivre : parmi toutes les formes que la vie à choisie pour optimiser ses chances d'existence, une fut ta naissance. Ton but est de te reproduire pour continuer le développement de cette existence.

Plus une cellule est immortelle, moins elle à la capacité de se reproduire. Toi tu es de celle qui meurt le plus vite, tu es donc en devoir de te reproduire. Il est la ton sens de la vie.

Il y a un "animal", la galère portugaise, qui est en vérité un amas d'organismes ne faisant plus qu'un pour survivre. Nous sommes la même chose

J'espère que c'est du troll, par ce que sinon c'est très grave, maintenant si c'est ce qui te fait tenir en vie tant mieux

Au moins ton pavé m'aura fait rire

Le 18 juin 2024 à 02:41:14 :

Réduire l'existence à la reproduction est la pire chose à faire selon moi, l'Humain ne peut pas s'empêcher de s'interroger sur le but de ses actes, et pourquoi donc se reproduire dans un monde où l'on ne cesse de souffrir ? A quoi bon répéter un schéma que l'on sait négative ?

Et c'est justement ca l'absurde, vivre dans un monde où l'on souffre sans but, et c'est impossible de balayer l'absurde comme t'essayes maladroitement de le faire en réduisant le sens de nos vies à une pure mécanisation biologique, par ce que cette vision est d'autant plus absurde que toute autre

Tu trouves cette "réduction" absurde car elle ne fait pas de toi l'élément central de l'équation. La voiture s'use au contacte de la route, subie des accidents, mais n'est jamais le sens de la conduite, cela reste le conducteur.

Les théories existentialistes ne sont que des réflexes d'orgueil face à la possibilité de ne pas être le conducteur, mais la voiture.

Ça n'est pas parce que l'on semble mieux penser que ce qui nous entoure que c'est nous le but de toutes choses

Je trouve ta réduction absurde dans le contexte de notre interrogation, qui est celle "du choix entre vivre ou mourir", qui n'est pas un question à prendre à la légère, et donc ca n'est pas une question à la quelle on peut répondre par de médiocre considération ontologique/métaphysique comme tu le fait.

Maintenant ca ne veut pas dire que je considère cette vision comme étant inintéressante, mais seulement inadapté à la question posé.

Et d'ailleurs Camus n'est pas un existentialiste

Il est une branche de l'existentialisme.

Le 18 juin 2024 à 02:42:28 :

Le 18 juin 2024 à 02:40:48 :

Le 18 juin 2024 à 02:35:27 :> >

Le suicide pour fuire notre but de reproduire la vie, c'est faire le jeu de la vie comme l'explique si bien Schopenhauer. Que tu fasses un enfant ou que tu te suicide car tu ne veux pas en faire, tu fais l'acte optimum pour la perpétuation de la vie à chaque fois.

Et pourquoi trouver un sens autre si ce n'est par orgueil, par refus de ne pas être l'être centrale à l'univers mais la créature temporaire à son service ?

Peut importe ce que la vie veut de nous, ce qui importe avant tout, c'est nos vies à nous, et la question de savoir si il vaut mieux vivre ou mourir est capitale, c'est la question la plus importante de nos vies, et encore une fois on ne pas la balayer du revers de la mains comme tu le fait de façon presque inconsciente, considérant que dans tous les cas "c'est le jeu de la vie".

Trouver un sens à sa vie, c'est avant trouver une raison de vivre, et je pense pas que ce soit un mal, à moins de ne pas vouloir vivre.

Mais je te le donne la raison de vivre : parmi toutes les formes que la vie à choisie pour optimiser ses chances d'existence, une fut ta naissance. Ton but est de te reproduire pour continuer le développement de cette existence.

Plus une cellule est immortelle, moins elle à la capacité de se reproduire. Toi tu es de celle qui meurt le plus vite, tu es donc en devoir de te reproduire. Il est la ton sens de la vie.

Il y a un "animal", la galère portugaise, qui est en vérité un amas d'organismes ne faisant plus qu'un pour survivre. Nous sommes la même chose

J'espère que c'est du troll, par ce que sinon c'est très grave, maintenant si c'est ce qui te fait tenir en vie tant mieux

Au moins ton pavé m'aura fait rire

En quoi est-ce grave, développe. Je suis très sérieux. La seule question philosophique sérieuse, pour singer Camus, est l'existence de Dieu, car s'il n'existe pas, la réalité est d'un cynisme insoutenable pour la plupart à cause de l'orgueil né de notre faculté de conscience

Et pour le suicide, Schopenhauer a répondu avant que Camus ne pose la question :

-Si tu vis et te reproduit, tu fais le jeu de la vie
- Si tu te suicide, tu fais aussi le jeu de la vie en éliminant celui qui ne veut par participer à la reproduction.

Il n'a trouvé qu'un seul véritable contre choix : le vivant-mort. Celui qui ne se suicide pas, mais qui ne participe pas à la vie. Seul celui-ci, le temps d'un instant, défi la vie.

Le 18 juin 2024 à 02:45:00 :

Le 18 juin 2024 à 02:42:28 :

Le 18 juin 2024 à 02:40:48 :

Le 18 juin 2024 à 02:35:27 :> >

Le suicide pour fuire notre but de reproduire la vie, c'est faire le jeu de la vie comme l'explique si bien Schopenhauer. Que tu fasses un enfant ou que tu te suicide car tu ne veux pas en faire, tu fais l'acte optimum pour la perpétuation de la vie à chaque fois.

Et pourquoi trouver un sens autre si ce n'est par orgueil, par refus de ne pas être l'être centrale à l'univers mais la créature temporaire à son service ?

Peut importe ce que la vie veut de nous, ce qui importe avant tout, c'est nos vies à nous, et la question de savoir si il vaut mieux vivre ou mourir est capitale, c'est la question la plus importante de nos vies, et encore une fois on ne pas la balayer du revers de la mains comme tu le fait de façon presque inconsciente, considérant que dans tous les cas "c'est le jeu de la vie".

Trouver un sens à sa vie, c'est avant trouver une raison de vivre, et je pense pas que ce soit un mal, à moins de ne pas vouloir vivre.

Mais je te le donne la raison de vivre : parmi toutes les formes que la vie à choisie pour optimiser ses chances d'existence, une fut ta naissance. Ton but est de te reproduire pour continuer le développement de cette existence.

Plus une cellule est immortelle, moins elle à la capacité de se reproduire. Toi tu es de celle qui meurt le plus vite, tu es donc en devoir de te reproduire. Il est la ton sens de la vie.

Il y a un "animal", la galère portugaise, qui est en vérité un amas d'organismes ne faisant plus qu'un pour survivre. Nous sommes la même chose

J'espère que c'est du troll, par ce que sinon c'est très grave, maintenant si c'est ce qui te fait tenir en vie tant mieux

Au moins ton pavé m'aura fait rire

En quoi est-ce grave, développe. Je suis très sérieux. La seule question philosophique sérieuse, pour singer Camus, est l'existence de Dieu, car s'il n'existe pas, la réalité est d'un cynisme insoutenable pour la plupart à cause de l'orgueil né de notre faculté de conscience

C'est grave par ce qu'on n'est pas de bête machine à baiser, on a la malheureuse faculté de penser, et personne ne peut se contenter de bêtement vivre et saluer son existence, par ce que les gens souffrent, et que les gens veulent une justification à leurs souffrances, si c'est pas Dieu, ou un monde après celui ci, y' a rien qui puissent justifier leurs souffrance

> Le suicide pour fuire notre but de reproduire la vie, c'est faire le jeu de la vie comme l'explique si bien Schopenhauer. Que tu fasses un enfant ou que tu te suicide car tu ne veux pas en faire, tu fais l'acte optimum pour la perpétuation de la vie à chaque fois.

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> Et pourquoi trouver un sens autre si ce n'est par orgueil, par refus de ne pas être l'être centrale à l'univers mais la créature temporaire à son service ?

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Peut importe ce que la vie veut de nous, ce qui importe avant tout, c'est nos vies à nous, et la question de savoir si il vaut mieux vivre ou mourir est capitale, c'est la question la plus importante de nos vies, et encore une fois on ne pas la balayer du revers de la mains comme tu le fait de façon presque inconsciente, considérant que dans tous les cas "c'est le jeu de la vie".

Trouver un sens à sa vie, c'est avant trouver une raison de vivre, et je pense pas que ce soit un mal, à moins de ne pas vouloir vivre.

Mais je te le donne la raison de vivre : parmi toutes les formes que la vie à choisie pour optimiser ses chances d'existence, une fut ta naissance. Ton but est de te reproduire pour continuer le développement de cette existence.

Plus une cellule est immortelle, moins elle à la capacité de se reproduire. Toi tu es de celle qui meurt le plus vite, tu es donc en devoir de te reproduire. Il est la ton sens de la vie.

Il y a un "animal", la galère portugaise, qui est en vérité un amas d'organismes ne faisant plus qu'un pour survivre. Nous sommes la même chose

J'espère que c'est du troll, par ce que sinon c'est très grave, maintenant si c'est ce qui te fait tenir en vie tant mieux

Au moins ton pavé m'aura fait rire

En quoi est-ce grave, développe. Je suis très sérieux. La seule question philosophique sérieuse, pour singer Camus, est l'existence de Dieu, car s'il n'existe pas, la réalité est d'un cynisme insoutenable pour la plupart à cause de l'orgueil né de notre faculté de conscience

C'est grave par ce qu'on n'est pas de bête machine à baiser, on a la malheureuse faculté de penser, et personne ne peut se contenter de bêtement vivre et saluer son existence, par ce que les gens souffrent, et que les gens veulent une justification à leurs souffrances, si c'est pas Dieu, ou un monde après celui ci, y' a rien qui puissent justifier leurs souffrance

Et comment continuer à vivre dans un monde où l'on souffre sans raison ? Certainement pas en se disant qu'on est fait de cellule et qu'on va baiser par ce que la vie, personne ne se dit ca, et a raison.

Le 18 juin 2024 à 02:07:47 :

Le 18 juin 2024 à 02:05:17 :
Combien de livres / mois en moyenne ?
Combien de temps / jour ?

Genre favori ?
Pas de mytho on est anonymes.

J'ai arrêter de lire depuis quelque mois, mais avant j'étais à un livre par semaine, beaucoup de philo et de classique de la littérature

El famoso classiques mais pas une référence ...

Le 18 juin 2024 à 02:49:25 :
Et pour le suicide, Schopenhauer a répondu avant que Camus ne pose la question :

-Si tu vis et te reproduit, tu fais le jeu de la vie
- Si tu te suicide, tu fais aussi le jeu de la vie en éliminant celui qui ne veut par participer à la reproduction.

Il n'a trouvé qu'un seul véritable contre choix : le vivant-mort. Celui qui ne se suicide pas, mais qui ne participe pas à la vie. Seul celui-ci, le temps d'un instant, défi la vie.

Je trouve ca réponse intéressante dans un contexte métaphysique, mais c'est tout, c'est pas le genre de truc applicable dans la vie, donc c'est bien pour se palucher mais c'est tout

Le 18 juin 2024 à 02:51:06 :> >

En quoi est-ce grave, développe. Je suis très sérieux. La seule question philosophique sérieuse, pour singer Camus, est l'existence de Dieu, car s'il n'existe pas, la réalité est d'un cynisme insoutenable pour la plupart à cause de l'orgueil né de notre faculté de conscience

C'est grave par ce qu'on n'est pas de bête machine à baiser, on a la malheureuse faculté de penser, et personne ne peut se contenter de bêtement vivre et saluer son existence, par ce que les gens souffrent, et que les gens veulent une justification à leurs souffrances, si c'est pas Dieu, ou un monde après celui ci, y' a rien qui puissent justifier leurs souffrance

Bien sûr que si. Il faut bien entretenir et sélectionner les meilleurs reproducteurs. La douleur est nécessaire pour avancer et ne jamais se reposer, elle est un repoussoir.

Et ton message confirme que le problème est plus une blessure narcissique engendrée par cette réalité qu'autre chose. Une nouvelle révolution copernicienne.

Il a fallu des milliers d'années pour que l'homme accepte l'idée qu'il ne vivait pas au centre spatial de l'univers, alors l'idée qu'il ne soit pas le centre de la vie, je ne pense même pas qu'elle lui soit accessible à grande échelle. Trop dangereux pour la vie