La stratégie de LFI est beaucoup plus pernicieuse qu'on ne le pense
Le 12 juin 2024 à 00:43:08 :
LFI, communiste
Et puis quoi encore ?Si seulement… Je serais le plus grand défenseur de LFI si Mélenchon était un authentique communiste stalinien.
Au lieu de ça, il n’est qu’un vulgaire social-démocrate trotskiste.
Premièrement, les trotskistes sont des communistes.
Deuxièmement, l'égalitarisme est une philosophie profondément contre-nature. Elle n'est pas seulement contre la nature humaine mais contre la nature elle-même.
La solidarité, elle, fait partie de la nature humaine. Et l'humanité doit toujours faire preuve de solidarité. Mais la solidarité n'est pas synonyme d'égalitarisme, pas plus qu'elle ne permet le vol : chacun doit être libre de la solidarité. La solidarité forcée, c'est du racket.
Et ce sont pourtant bien les religions, que le communisme vomit et a toujours persécuté avec tenacité, qui réunissent les gens et ravivent les instincts de solidarité.
Pour autant, voler le fruit du travail du producteur pour subventionner le non producteur est un non sens-total. Une hérésie qui ne peut conduire qu'à une économie en ruine. Et oui, le patron, quand bien même il dépend de ses employés (qu'il rémunèrerait mieux si la fiscalité était moins contraignante), reste un producteur.
Maintenant il est vrai que pour certains sociétés extrêmement grandes, des règles particulières devraient s'appliquer. Car lorsqu'une organisation est aussi vaste, elle est presque comme un micro-état. Mais pour ça, il n'y a pas besoin de communisme.
Pour en revenir au communisme, c'est bien la recherche des intérêts individuels qui, lorsqu'ils restent dans le cadre de la moralité (laquelle doit être légalement contraignante dans toute société civilisée digne de ce nom), permet le bénéfice de tous.
C'est ainsi que nous fonctionnons, nous raisonnons pour nous-mêmes et mêmes les décisions les plus altruistes ne sont un altruisme que de façade. Je sais que beaucoup sont persuadés d'un profond altruisme mais la psychologie d'un animal social comme un être humain est implacable et les règles qui régissent la vie chez les animaux s'appliquent de la même manière chez nous.
Enfin, je me permettrai de faire le comparatif entre les sociétés capitalistes et les sociétés communistes. Lesquelles ont permis à leur peuple de sortir de la pauvreté, lesquelles sont parvenues à éradiquer la famine, lesquelles ont permis à leur peuple de s'élever et de s'éduquer, lesquelles ont permis à l'innovation technologique de se transncender ?
Ce sont les sociétés capitalistes.
N'oublions jamais qu'avant l'avènement du libéralisme et de l'économie de marché, les famines, partout dans le monde, étaient courantes, il n'était pas rare d'avoir des proches qui étaient morts de faim.
Et ce n'est pas tant par l'immoralité des systèmes qui étaient en place avant le capitalisme. Car les chrétiens du Moyen Age n'étaient pas des monstres cruels. En revanche, ces systèmes n'étaient pas suffisamment efficaces pour garantir une stabilité alimentaire sur le long terme.
Le 12 juin 2024 à 00:56:54 :
En y réfléchissant c'est vrai, le communisme perdure dans la misère humaine , sous mao , polpot , stalineC'est bien marx qui légitimé la privatisation de la nourriture pour mettre à genoux les populations , il la fait avec sa propre famille d'ailleurs
Mais qu’est-ce qu’il raconte ce neuneu ?
Staline et Mao ont sorti des centaines de millions d’individus de la misère en industrialisant à une vitesse record des pays sous-développés, en rendant aux paysans leurs terres, en assurant le logement et l’éducation pour tous, en doublant l’espérance de vie etc. La seule raison pour laquelle tes grands-mères ont cessé de se donner à Hans et Sven, c’est parce que Staline à envoyer l’armée rouge éliminer 85% des n*zis. Tu devrais être reconnaissant.
Maintenant que c’est dit. Tu vas me sortir les passages où Marx “légitime” la privatisation de la bouffe. Et tu vas me citer une biographie sérieuse qui atteste qu’il aurait fait ça pour ses propres enfants.
Je vais te renvoyer à ce que tu es : un minable mythomane.
Le 12 juin 2024 à 00:55:34 :
Je crois avoir perdu des neurones en lisant ce pavé, pourquoi me suis-je infligé ça ? J'ai rarement lu une analyse aussi simpliste et aussi idiote sur la France Insoumise
This
Le 12 juin 2024 à 00:53:13 :
Et c'est quoi le but final ?
Le but est final est l'utopie égalitariste : plus de propriété, plus de patron, plus de chef, plus d'oppression, plus d'inégalité, plus de beaux, plus de laids, plus de riches, plus de pauvres.
Bien sûr, comme toute utopie, c'est totalement impossible et dans la réalité, c'est juste une caste de privilégiés (généralement militaires) qui dominent tous les autres et les font travailler 20h par jour dans des mines pour un bol de riz.
Au Cambodge, c'était 10g de riz par personne par jour.
C'est toujours comme ça que se termine l'utopie communiste, dans l'esclavage, la mort et la famine.
Il n'y a aucune exception.
Le 12 juin 2024 à 01:01:38 :
Le 12 juin 2024 à 00:56:54 :
En y réfléchissant c'est vrai, le communisme perdure dans la misère humaine , sous mao , polpot , stalineC'est bien marx qui légitimé la privatisation de la nourriture pour mettre à genoux les populations , il la fait avec sa propre famille d'ailleurs
Mais qu’est-ce qu’il raconte ce neuneu ?
Staline et Mao ont sorti des centaines de millions d’individus de la misère en industrialisant à une vitesse record des pays sous-développés, en rendant aux paysans leurs terres, en assurant le logement et l’éducation pour tous, en doublant l’espérance de vie etc. La seule raison pour laquelle tes grands-mères ont cessé de se donner à Hans et Sven, c’est parce que Staline à envoyer l’armée rouge éliminer 85% des n*zis. Tu devrais être reconnaissant.Maintenant que c’est dit. Tu vas me sortir les passages où Marx “légitime” la privatisation de la bouffe. Et tu vas me citer une biographie sérieuse qui atteste qu’il aurait fait ça pour ses propres enfants.
Je vais te renvoyer à ce que tu es : un minable mythomane.
Les 5 millions d'ukrainiens tués par la famine, ils ont aussi été libérés par Staline ?
Le 12 juin 2024 à 01:07:54 :
C'est cool le communisme, mais je doute que lfi ait assez d'intellecte pour soutenir une aussi noble cause
Melenchon l’est en tout cas.
J’exècre sa politique, mais c’est une personne dotée d’une intelligence rare.
Putain, je savais que t’étais un clown qui n’avais jamais rien lu sur le sujet mais là, tu causes toutes les cases de l’homme de paille grotesque que les abrutis anticommunistes dressent quand ils parlent de marxisme.
Le 12 juin 2024 à 00:59:48 :
Le 12 juin 2024 à 00:43:08 :
LFI, communiste
Et puis quoi encore ?Si seulement… Je serais le plus grand défenseur de LFI si Mélenchon était un authentique communiste stalinien.
Au lieu de ça, il n’est qu’un vulgaire social-démocrate trotskiste.
Premièrement, les trotskistes sont des communistes.
Deuxièmement, l'égalitarisme est une philosophie profondément contre-nature. Elle n'est pas seulement contre la nature humaine mais contre la nature elle-même.
La solidarité, elle, fait partie de la nature humaine. Et l'humanité doit toujours faire preuve de solidarité. Mais la solidarité n'est pas synonyme d'égalitarisme, pas plus qu'elle ne permet le vol : chacun doit être libre de la solidarité. La solidarité forcée, c'est du racket.Et ce sont pourtant bien les religions, que le communisme vomit et a toujours persécuté avec tenacité, qui réunissent les gens et ravivent les instincts de solidarité.
Pour autant, voler le fruit du travail du producteur pour subventionner le non producteur est un non sens-total. Une hérésie qui ne peut conduire qu'à une économie en ruine. Et oui, le patron, quand bien même il dépend de ses employés (qu'il rémunèrerait mieux si la fiscalité était moins contraignante), reste un producteur.Maintenant il est vrai que pour certains sociétés extrêmement grandes, des règles particulières devraient s'appliquer. Car lorsqu'une organisation est aussi vaste, elle est presque comme un micro-état. Mais pour ça, il n'y a pas besoin de communisme.
Pour en revenir au communisme, c'est bien la recherche des intérêts individuels qui, lorsqu'ils restent dans le cadre de la moralité (laquelle doit être légalement contraignante dans toute société civilisée digne de ce nom), permet le bénéfice de tous.
C'est ainsi que nous fonctionnons, nous raisonnons pour nous-mêmes et mêmes les décisions les plus altruistes ne sont un altruisme que de façade. Je sais que beaucoup sont persuadés d'un profond altruisme mais la psychologie d'un animal social comme un être humain est implacable et les règles qui régissent la vie chez les animaux s'appliquent de la même manière chez nous.Enfin, je me permettrai de faire le comparatif entre les sociétés capitalistes et les sociétés communistes. Lesquelles ont permis à leur peuple de sortir de la pauvreté, lesquelles sont parvenues à éradiquer la famine, lesquelles ont permis à leur peuple de s'élever et de s'éduquer, lesquelles ont permis à l'innovation technologique de se transncender ?
Ce sont les sociétés capitalistes.
N'oublions jamais qu'avant l'avènement du libéralisme et de l'économie de marché, les famines, partout dans le monde, étaient courantes, il n'était pas rare d'avoir des proches qui étaient morts de faim.
Et ce n'est pas tant par l'immoralité des systèmes qui étaient en place avant le capitalisme. Car les chrétiens du Moyen Age n'étaient pas des monstres cruels. En revanche, ces systèmes n'étaient pas suffisamment efficaces pour garantir une stabilité alimentaire sur le long terme.
Le trotskisme n’est pas une forme de communisme. C’est une forme de fascisme. Trotski était un agent étranger qui bossait pour le renseignement anglais. Il a d’ailleurs loué “le H” en le qualifiant de pacifiste.
https://sovinform.net/Trotsky-MI6-agent.htm
Lis bien ce qui suit, t’es prêt ? J’y vais :
LE COMMUNISME N’A JAMAIS ÉTÉ, N’EST PAS ET NE SERA JAMAIS ÉGALITARISTE. Marx et Engels critiquaient l’égalitarisme comme une abstraction, une sorte d’utopie naïve.
As between one country, one province and even one place and another, living conditions will always evince a certain inequality which may be reduced to a minimum but never wholly eliminated. The living conditions of Alpine dwellers will always be different from those of the plainsmen. The concept of a socialist society as a realm of equality is a one-sided French concept deriving from the old “liberty, equality, fraternity,” a concept which was justified in that, in its own time and place, it signified a phase of development, but which, like all the one-sided ideas of earlier socialist schools, ought now to be superseded, since they produce nothing but mental confusion, and more accurate ways of presenting the matter have been discovered (Engels 1875).
Le communisme n’a jamais été fondé sur des principes comme “la charité” ou “la solidarité”. C’est un mode de production donc une manière d’organiser les rapports sociaux selon la manière de produire. Tu ne sais pas de quoi tu parles, c’est absolument embrassant à constater.
Le communisme ne “vomit” pas les religions. Certains régimes ont pu avoir, à certains moments, des politiques hostiles aux religions qui se sont avérées contre-productives et qui ont été abandonnées. C’est pour ça que Staline est aujourd’hui loué par l’église orthodoxe de Russie et que les musulmans et chrétiens chinois peuvent vivre librement leurs religions. Là encore, tu mens.
Je vais revenir sur ce point, une démonstration inédite de bouffonnerie :
Pour autant, voler le fruit du travail du producteur pour subventionner le non producteur est un non sens-total. Une hérésie qui ne peut conduire qu'à une économie en ruine. Et oui, le patron, quand bien même il dépend de ses employés (qu'il rémunèrerait mieux si la fiscalité était moins contraignante), reste un producteur.
Plusieurs questions : où as-tu vu que c’était ça, le communisme ? Cite quoi que ce soit, dans les écrits des penseurs communistes ou dans l’histoire des régimes communistes qui s’apparente à cela.
Le patron est un producteur ? Mais qu’en est-il de l’ouvrier qu’il emploie et qui se sert des moyens de production pour produire ? L’ouvrier est objectivement producteur, et il produit la plus-value.
Maintenant, dis-moi, en quoi un patron du tertiaire peut-il être producteur ? Si j’ai une entreprise de nettoyage, qu’est-ce que je produis ? Le service n’est pas une production, le neuneu, je tiens à anticiper ton énième sursaut d’idiotie.
Pour en revenir au communisme, c'est bien la recherche des intérêts individuels qui, lorsqu'ils restent dans le cadre de la moralité (laquelle doit être légalement contraignante dans toute société civilisée digne de ce nom), permet le bénéfice de tous.
Prouve-le.
Question : je suis un banquier qui accorde un crédit à une famille que je sais insolvable, je récupère la maison que cette famille ne pourra plus payer et j’attends que le marché de l’immobilier monte pour la vendre plus chère : en quoi mon petit tour de passe-passe aura été “bénéfique” pour tous ? L’exemple que je cite est librement inspiré de la crise de 2008. Je t’en prie, explique.
C'est ainsi que nous fonctionnons, nous raisonnons pour nous-mêmes et mêmes les décisions les plus altruistes ne sont un altruisme que de façade. Je sais que beaucoup sont persuadés d'un profond altruisme mais la psychologie d'un animal social comme un être humain est implacable et les règles qui régissent la vie chez les animaux s'appliquent de la même manière chez nous.
En partant du principe que tu dis vrai (ce qui est une façon de penser affreusement simpliste) : en quoi le communisme prétend l’inverse ?
lesquelles sont parvenues à éradiquer la famine, lesquelles ont permis à leur peuple de s'élever et de s'éduquer, lesquelles ont permis à l'innovation technologique de se transncender ?
La Chine, première puissance mondiale, a éradiqué la misère, 90% des foyers sont propriétaires… Une puissance communiste.
N'oublions jamais qu'avant l'avènement du libéralisme et de l'économie de marché, les famines, partout dans le monde, étaient courantes, il n'était pas rare d'avoir des proches qui étaient morts de faim.
Et ce n'est pas tant par l'immoralité des systèmes qui étaient en place avant le capitalisme. Car les chrétiens du Moyen Age n'étaient pas des monstres cruels. En revanche, ces systèmes n'étaient pas suffisamment efficaces pour garantir une stabilité alimentaire sur le long terme.
Où est-ce que le communisme nie que le basculement vers le mode de production capitaliste a représenté un progrès objectif ?
Le 12 juin 2024 à 01:07:51 :
Le 12 juin 2024 à 01:01:38 :
Le 12 juin 2024 à 00:56:54 :
En y réfléchissant c'est vrai, le communisme perdure dans la misère humaine , sous mao , polpot , stalineC'est bien marx qui légitimé la privatisation de la nourriture pour mettre à genoux les populations , il la fait avec sa propre famille d'ailleurs
Mais qu’est-ce qu’il raconte ce neuneu ?
Staline et Mao ont sorti des centaines de millions d’individus de la misère en industrialisant à une vitesse record des pays sous-développés, en rendant aux paysans leurs terres, en assurant le logement et l’éducation pour tous, en doublant l’espérance de vie etc. La seule raison pour laquelle tes grands-mères ont cessé de se donner à Hans et Sven, c’est parce que Staline à envoyer l’armée rouge éliminer 85% des n*zis. Tu devrais être reconnaissant.Maintenant que c’est dit. Tu vas me sortir les passages où Marx “légitime” la privatisation de la bouffe. Et tu vas me citer une biographie sérieuse qui atteste qu’il aurait fait ça pour ses propres enfants.
Je vais te renvoyer à ce que tu es : un minable mythomane.
Les 5 millions d'ukrainiens tués par la famine, ils ont aussi été libérés par Staline ?
1. La famine ukrainienne n’était pas causée par l’homme et elle a été cachée à Staline pendant un certain par des hauts dignitaires ukrainiens.
2. Staline a tout fait pour résoudre le problème rapidement dès qu’il a été mis au courant.
3. Les famines surviennent souvent dans un processus d’industrialisation, ça n’a jamais été propre au communisme. Cf. La grande famine au Royaume Uni.
Données du topic
- Auteur
- MagaloxCasox
- Date de création
- 12 juin 2024 à 00:20:58
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