Topic de AcierGalvanise :

F*ldup lit vos phrases

Supprimé
ps il n'y a rien d'hors charte, arretez de supprimer mon topax
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Quand vous vous aventurez dans les profondeurs du RER D à la station Châtelet les Halles, une chose vous frappe instantanément : cette odeur. Cette ignoble odeur de soufre, comme si les entrailles de la terre s'étaient ouvertes juste ici, libérant des effluves toxiques et acides, une promesse de l'enfer en plein Paris. Chaque bouffée d'air est une attaque, un assaut chimique qui vous fait reculer, mais il n'y a nulle part où fuir. Vous êtes piégé.

Et puis, il y a cette autre odeur, cette fragrance abominable qui semble mélanger des beignets au caca et de la transpiration rance. C'est comme si quelqu'un avait tenté de masquer l'odeur des égouts avec une douce tentation sucrée, mais sans succès. Ce mélange nauséabond vous enveloppe, vous happe, et soudain, vous n'êtes plus dans le monde réel. Vous avez no clip dans les backrooms, cet espace liminal où rien n'a de sens, où tout est distorsion et absurdité.

Le spectacle autour de vous est tout aussi surréel. Des SDF unijambistes traînent, leur présence ajoutant une couche de tragédie humaine à ce tableau déjà sinistre. Les vendeurs de marrons chauds, postés stratégiquement, essaient d'apporter un peu de chaleur et de normalité, mais leur présence semble presque ironique dans ce contexte. Leurs cris et leurs chants se mêlent aux grincements métalliques des rames, créant une symphonie dissonante, une cacophonie urbaine qui résonne dans les tunnels interminables.

La ligne de RER D n'est pas simplement un moyen de transport, c'est un passage vers un monde parallèle, une dimension où les lois de la réalité sont suspendues. Les visages fatigués des voyageurs, les lumières blafardes, et ces odeurs... oh ces odeurs. C'est un endroit où le bizarre est la norme, où l'inhabituel devient le quotidien. Vous quittez la station avec une impression indélébile, une sensation que quelque chose vous a suivi hors de ces tunnels, une ombre persistante de cette étrange réalité parallèle.

Le 28 mai 2024 à 00:15:29 :
Quand vous vous aventurez dans les profondeurs du RER D à la station Châtelet les Halles, une chose vous frappe instantanément : cette odeur. Cette ignoble odeur de soufre, comme si les entrailles de la terre s'étaient ouvertes juste ici, libérant des effluves toxiques et acides, une promesse de l'enfer en plein Paris. Chaque bouffée d'air est une attaque, un assaut chimique qui vous fait reculer, mais il n'y a nulle part où fuir. Vous êtes piégé.

Et puis, il y a cette autre odeur, cette fragrance abominable qui semble mélanger des beignets au caca et de la transpiration rance. C'est comme si quelqu'un avait tenté de masquer l'odeur des égouts avec une douce tentation sucrée, mais sans succès. Ce mélange nauséabond vous enveloppe, vous happe, et soudain, vous n'êtes plus dans le monde réel. Vous avez no clip dans les backrooms, cet espace liminal où rien n'a de sens, où tout est distorsion et absurdité.

Le spectacle autour de vous est tout aussi surréel. Des SDF unijambistes traînent, leur présence ajoutant une couche de tragédie humaine à ce tableau déjà sinistre. Les vendeurs de marrons chauds, postés stratégiquement, essaient d'apporter un peu de chaleur et de normalité, mais leur présence semble presque ironique dans ce contexte. Leurs cris et leurs chants se mêlent aux grincements métalliques des rames, créant une symphonie dissonante, une cacophonie urbaine qui résonne dans les tunnels interminables.

La ligne de RER D n'est pas simplement un moyen de transport, c'est un passage vers un monde parallèle, une dimension où les lois de la réalité sont suspendues. Les visages fatigués des voyageurs, les lumières blafardes, et ces odeurs... oh ces odeurs. C'est un endroit où le bizarre est la norme, où l'inhabituel devient le quotidien. Vous quittez la station avec une impression indélébile, une sensation que quelque chose vous a suivi hors de ces tunnels, une ombre persistante de cette étrange réalité parallèle.

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Depuis que le père de WKS Paul du xbox live l'a forcé à le regarde baiser sa grand-mère il ne peut s'empêcher d'avoir des flashbacks durant ses séances de masturbations et de coït avec Kyeldan" pour un pote pas de ddb svp

Le 28 mai 2024 à 00:14:40 :
ps il n'y a rien d'hors charte, arretez de supprimer mon topax
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Le 28 mai 2024 à 00:16:54 :

Le 28 mai 2024 à 00:15:29 :
Quand vous vous aventurez dans les profondeurs du RER D à la station Châtelet les Halles, une chose vous frappe instantanément : cette odeur. Cette ignoble odeur de soufre, comme si les entrailles de la terre s'étaient ouvertes juste ici, libérant des effluves toxiques et acides, une promesse de l'enfer en plein Paris. Chaque bouffée d'air est une attaque, un assaut chimique qui vous fait reculer, mais il n'y a nulle part où fuir. Vous êtes piégé.

Et puis, il y a cette autre odeur, cette fragrance abominable qui semble mélanger des beignets au caca et de la transpiration rance. C'est comme si quelqu'un avait tenté de masquer l'odeur des égouts avec une douce tentation sucrée, mais sans succès. Ce mélange nauséabond vous enveloppe, vous happe, et soudain, vous n'êtes plus dans le monde réel. Vous avez no clip dans les backrooms, cet espace liminal où rien n'a de sens, où tout est distorsion et absurdité.

Le spectacle autour de vous est tout aussi surréel. Des SDF unijambistes traînent, leur présence ajoutant une couche de tragédie humaine à ce tableau déjà sinistre. Les vendeurs de marrons chauds, postés stratégiquement, essaient d'apporter un peu de chaleur et de normalité, mais leur présence semble presque ironique dans ce contexte. Leurs cris et leurs chants se mêlent aux grincements métalliques des rames, créant une symphonie dissonante, une cacophonie urbaine qui résonne dans les tunnels interminables.

La ligne de RER D n'est pas simplement un moyen de transport, c'est un passage vers un monde parallèle, une dimension où les lois de la réalité sont suspendues. Les visages fatigués des voyageurs, les lumières blafardes, et ces odeurs... oh ces odeurs. C'est un endroit où le bizarre est la norme, où l'inhabituel devient le quotidien. Vous quittez la station avec une impression indélébile, une sensation que quelque chose vous a suivi hors de ces tunnels, une ombre persistante de cette étrange réalité parallèle.

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J'adore :rire:

Le 28 mai 2024 à 00:19:10 :

Le 28 mai 2024 à 00:16:54 :

Le 28 mai 2024 à 00:15:29 :
Quand vous vous aventurez dans les profondeurs du RER D à la station Châtelet les Halles, une chose vous frappe instantanément : cette odeur. Cette ignoble odeur de soufre, comme si les entrailles de la terre s'étaient ouvertes juste ici, libérant des effluves toxiques et acides, une promesse de l'enfer en plein Paris. Chaque bouffée d'air est une attaque, un assaut chimique qui vous fait reculer, mais il n'y a nulle part où fuir. Vous êtes piégé.

Et puis, il y a cette autre odeur, cette fragrance abominable qui semble mélanger des beignets au caca et de la transpiration rance. C'est comme si quelqu'un avait tenté de masquer l'odeur des égouts avec une douce tentation sucrée, mais sans succès. Ce mélange nauséabond vous enveloppe, vous happe, et soudain, vous n'êtes plus dans le monde réel. Vous avez no clip dans les backrooms, cet espace liminal où rien n'a de sens, où tout est distorsion et absurdité.

Le spectacle autour de vous est tout aussi surréel. Des SDF unijambistes traînent, leur présence ajoutant une couche de tragédie humaine à ce tableau déjà sinistre. Les vendeurs de marrons chauds, postés stratégiquement, essaient d'apporter un peu de chaleur et de normalité, mais leur présence semble presque ironique dans ce contexte. Leurs cris et leurs chants se mêlent aux grincements métalliques des rames, créant une symphonie dissonante, une cacophonie urbaine qui résonne dans les tunnels interminables.

La ligne de RER D n'est pas simplement un moyen de transport, c'est un passage vers un monde parallèle, une dimension où les lois de la réalité sont suspendues. Les visages fatigués des voyageurs, les lumières blafardes, et ces odeurs... oh ces odeurs. C'est un endroit où le bizarre est la norme, où l'inhabituel devient le quotidien. Vous quittez la station avec une impression indélébile, une sensation que quelque chose vous a suivi hors de ces tunnels, une ombre persistante de cette étrange réalité parallèle.

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J'adore :rire:

ton texte colle tellement bien à Feldup

c'est bien écrit c'est top https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

Le 28 mai 2024 à 00:19:10 :

Le 28 mai 2024 à 00:16:54 :

Le 28 mai 2024 à 00:15:29 :
Quand vous vous aventurez dans les profondeurs du RER D à la station Châtelet les Halles, une chose vous frappe instantanément : cette odeur. Cette ignoble odeur de soufre, comme si les entrailles de la terre s'étaient ouvertes juste ici, libérant des effluves toxiques et acides, une promesse de l'enfer en plein Paris. Chaque bouffée d'air est une attaque, un assaut chimique qui vous fait reculer, mais il n'y a nulle part où fuir. Vous êtes piégé.

Et puis, il y a cette autre odeur, cette fragrance abominable qui semble mélanger des beignets au caca et de la transpiration rance. C'est comme si quelqu'un avait tenté de masquer l'odeur des égouts avec une douce tentation sucrée, mais sans succès. Ce mélange nauséabond vous enveloppe, vous happe, et soudain, vous n'êtes plus dans le monde réel. Vous avez no clip dans les backrooms, cet espace liminal où rien n'a de sens, où tout est distorsion et absurdité.

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La ligne de RER D n'est pas simplement un moyen de transport, c'est un passage vers un monde parallèle, une dimension où les lois de la réalité sont suspendues. Les visages fatigués des voyageurs, les lumières blafardes, et ces odeurs... oh ces odeurs. C'est un endroit où le bizarre est la norme, où l'inhabituel devient le quotidien. Vous quittez la station avec une impression indélébile, une sensation que quelque chose vous a suivi hors de ces tunnels, une ombre persistante de cette étrange réalité parallèle.

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J'adore :rire:

BORDEL https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png

Le 28 mai 2024 à 00:16:54 AcierGalvanise a écrit :

Le 28 mai 2024 à 00:15:29 :
Quand vous vous aventurez dans les profondeurs du RER D à la station Châtelet les Halles, une chose vous frappe instantanément : cette odeur. Cette ignoble odeur de soufre, comme si les entrailles de la terre s'étaient ouvertes juste ici, libérant des effluves toxiques et acides, une promesse de l'enfer en plein Paris. Chaque bouffée d'air est une attaque, un assaut chimique qui vous fait reculer, mais il n'y a nulle part où fuir. Vous êtes piégé.

Et puis, il y a cette autre odeur, cette fragrance abominable qui semble mélanger des beignets au caca et de la transpiration rance. C'est comme si quelqu'un avait tenté de masquer l'odeur des égouts avec une douce tentation sucrée, mais sans succès. Ce mélange nauséabond vous enveloppe, vous happe, et soudain, vous n'êtes plus dans le monde réel. Vous avez no clip dans les backrooms, cet espace liminal où rien n'a de sens, où tout est distorsion et absurdité.

Le spectacle autour de vous est tout aussi surréel. Des SDF unijambistes traînent, leur présence ajoutant une couche de tragédie humaine à ce tableau déjà sinistre. Les vendeurs de marrons chauds, postés stratégiquement, essaient d'apporter un peu de chaleur et de normalité, mais leur présence semble presque ironique dans ce contexte. Leurs cris et leurs chants se mêlent aux grincements métalliques des rames, créant une symphonie dissonante, une cacophonie urbaine qui résonne dans les tunnels interminables.

La ligne de RER D n'est pas simplement un moyen de transport, c'est un passage vers un monde parallèle, une dimension où les lois de la réalité sont suspendues. Les visages fatigués des voyageurs, les lumières blafardes, et ces odeurs... oh ces odeurs. C'est un endroit où le bizarre est la norme, où l'inhabituel devient le quotidien. Vous quittez la station avec une impression indélébile, une sensation que quelque chose vous a suivi hors de ces tunnels, une ombre persistante de cette étrange réalité parallèle.

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AYAAA avec la musique bordel https://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474488555-jesus24.png

Le 28 mai 2024 à 00:16:54 :

Le 28 mai 2024 à 00:15:29 :
Quand vous vous aventurez dans les profondeurs du RER D à la station Châtelet les Halles, une chose vous frappe instantanément : cette odeur. Cette ignoble odeur de soufre, comme si les entrailles de la terre s'étaient ouvertes juste ici, libérant des effluves toxiques et acides, une promesse de l'enfer en plein Paris. Chaque bouffée d'air est une attaque, un assaut chimique qui vous fait reculer, mais il n'y a nulle part où fuir. Vous êtes piégé.

Et puis, il y a cette autre odeur, cette fragrance abominable qui semble mélanger des beignets au caca et de la transpiration rance. C'est comme si quelqu'un avait tenté de masquer l'odeur des égouts avec une douce tentation sucrée, mais sans succès. Ce mélange nauséabond vous enveloppe, vous happe, et soudain, vous n'êtes plus dans le monde réel. Vous avez no clip dans les backrooms, cet espace liminal où rien n'a de sens, où tout est distorsion et absurdité.

Le spectacle autour de vous est tout aussi surréel. Des SDF unijambistes traînent, leur présence ajoutant une couche de tragédie humaine à ce tableau déjà sinistre. Les vendeurs de marrons chauds, postés stratégiquement, essaient d'apporter un peu de chaleur et de normalité, mais leur présence semble presque ironique dans ce contexte. Leurs cris et leurs chants se mêlent aux grincements métalliques des rames, créant une symphonie dissonante, une cacophonie urbaine qui résonne dans les tunnels interminables.

La ligne de RER D n'est pas simplement un moyen de transport, c'est un passage vers un monde parallèle, une dimension où les lois de la réalité sont suspendues. Les visages fatigués des voyageurs, les lumières blafardes, et ces odeurs... oh ces odeurs. C'est un endroit où le bizarre est la norme, où l'inhabituel devient le quotidien. Vous quittez la station avec une impression indélébile, une sensation que quelque chose vous a suivi hors de ces tunnels, une ombre persistante de cette étrange réalité parallèle.

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la musique de fond https://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474488555-jesus24.png

Le 28 mai 2024 à 00:20:25 NuageOnduleux a écrit :
MODO EPINGLE

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Le 28 mai 2024 à 00:16:54 :

Le 28 mai 2024 à 00:15:29 :
Quand vous vous aventurez dans les profondeurs du RER D à la station Châtelet les Halles, une chose vous frappe instantanément : cette odeur. Cette ignoble odeur de soufre, comme si les entrailles de la terre s'étaient ouvertes juste ici, libérant des effluves toxiques et acides, une promesse de l'enfer en plein Paris. Chaque bouffée d'air est une attaque, un assaut chimique qui vous fait reculer, mais il n'y a nulle part où fuir. Vous êtes piégé.

Et puis, il y a cette autre odeur, cette fragrance abominable qui semble mélanger des beignets au caca et de la transpiration rance. C'est comme si quelqu'un avait tenté de masquer l'odeur des égouts avec une douce tentation sucrée, mais sans succès. Ce mélange nauséabond vous enveloppe, vous happe, et soudain, vous n'êtes plus dans le monde réel. Vous avez no clip dans les backrooms, cet espace liminal où rien n'a de sens, où tout est distorsion et absurdité.

Le spectacle autour de vous est tout aussi surréel. Des SDF unijambistes traînent, leur présence ajoutant une couche de tragédie humaine à ce tableau déjà sinistre. Les vendeurs de marrons chauds, postés stratégiquement, essaient d'apporter un peu de chaleur et de normalité, mais leur présence semble presque ironique dans ce contexte. Leurs cris et leurs chants se mêlent aux grincements métalliques des rames, créant une symphonie dissonante, une cacophonie urbaine qui résonne dans les tunnels interminables.

La ligne de RER D n'est pas simplement un moyen de transport, c'est un passage vers un monde parallèle, une dimension où les lois de la réalité sont suspendues. Les visages fatigués des voyageurs, les lumières blafardes, et ces odeurs... oh ces odeurs. C'est un endroit où le bizarre est la norme, où l'inhabituel devient le quotidien. Vous quittez la station avec une impression indélébile, une sensation que quelque chose vous a suivi hors de ces tunnels, une ombre persistante de cette étrange réalité parallèle.

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bordel https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png

Scène choquante capturée par les caméras de sécurité dans une backroom de l’état de Floride aux États-Unis.
Le criminel est actuellement recherché par la CIA, laquelle a posé 250000 dollars pour toute information qui pourrait mener à la capture de l'individu, ce dernier étant déjà en tête de la liste des hommes les plus recherchés au monde.
Nous rappelons qu’en vertu de l’article 27 du TFUE, la détention et la consommation de sauce Sonic est strictement interdite au sein des pays de l'OCDE et de l'espace schengen

Le 28 mai 2024 à 00:19:56 :

Le 28 mai 2024 à 00:16:54 AcierGalvanise a écrit :

Le 28 mai 2024 à 00:15:29 :
Quand vous vous aventurez dans les profondeurs du RER D à la station Châtelet les Halles, une chose vous frappe instantanément : cette odeur. Cette ignoble odeur de soufre, comme si les entrailles de la terre s'étaient ouvertes juste ici, libérant des effluves toxiques et acides, une promesse de l'enfer en plein Paris. Chaque bouffée d'air est une attaque, un assaut chimique qui vous fait reculer, mais il n'y a nulle part où fuir. Vous êtes piégé.

Et puis, il y a cette autre odeur, cette fragrance abominable qui semble mélanger des beignets au caca et de la transpiration rance. C'est comme si quelqu'un avait tenté de masquer l'odeur des égouts avec une douce tentation sucrée, mais sans succès. Ce mélange nauséabond vous enveloppe, vous happe, et soudain, vous n'êtes plus dans le monde réel. Vous avez no clip dans les backrooms, cet espace liminal où rien n'a de sens, où tout est distorsion et absurdité.

Le spectacle autour de vous est tout aussi surréel. Des SDF unijambistes traînent, leur présence ajoutant une couche de tragédie humaine à ce tableau déjà sinistre. Les vendeurs de marrons chauds, postés stratégiquement, essaient d'apporter un peu de chaleur et de normalité, mais leur présence semble presque ironique dans ce contexte. Leurs cris et leurs chants se mêlent aux grincements métalliques des rames, créant une symphonie dissonante, une cacophonie urbaine qui résonne dans les tunnels interminables.

La ligne de RER D n'est pas simplement un moyen de transport, c'est un passage vers un monde parallèle, une dimension où les lois de la réalité sont suspendues. Les visages fatigués des voyageurs, les lumières blafardes, et ces odeurs... oh ces odeurs. C'est un endroit où le bizarre est la norme, où l'inhabituel devient le quotidien. Vous quittez la station avec une impression indélébile, une sensation que quelque chose vous a suivi hors de ces tunnels, une ombre persistante de cette étrange réalité parallèle.

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AYAAA avec la musique bordel https://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474488555-jesus24.png

les beignets au caca ça m'a terminé

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Salut c'est Feldup et aujourd'hui je vais vous parler de mon fantasme. Mon fantasme c'est de me faire prendre en facesitting par une jolie hijabi après une randonnée dans les montagnes du Gunung Bromo en Indonésie.
Bury my nose in her sweaty ass comme disent les américains.

ne soyez pas trop vulgaires dans vos textes j'aimerais éviter une énième suppression de topax

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png

Le 28 mai 2024 à 00:16:54 :

Le 28 mai 2024 à 00:15:29 :
Quand vous vous aventurez dans les profondeurs du RER D à la station Châtelet les Halles, une chose vous frappe instantanément : cette odeur. Cette ignoble odeur de soufre, comme si les entrailles de la terre s'étaient ouvertes juste ici, libérant des effluves toxiques et acides, une promesse de l'enfer en plein Paris. Chaque bouffée d'air est une attaque, un assaut chimique qui vous fait reculer, mais il n'y a nulle part où fuir. Vous êtes piégé.

Et puis, il y a cette autre odeur, cette fragrance abominable qui semble mélanger des beignets au caca et de la transpiration rance. C'est comme si quelqu'un avait tenté de masquer l'odeur des égouts avec une douce tentation sucrée, mais sans succès. Ce mélange nauséabond vous enveloppe, vous happe, et soudain, vous n'êtes plus dans le monde réel. Vous avez no clip dans les backrooms, cet espace liminal où rien n'a de sens, où tout est distorsion et absurdité.

Le spectacle autour de vous est tout aussi surréel. Des SDF unijambistes traînent, leur présence ajoutant une couche de tragédie humaine à ce tableau déjà sinistre. Les vendeurs de marrons chauds, postés stratégiquement, essaient d'apporter un peu de chaleur et de normalité, mais leur présence semble presque ironique dans ce contexte. Leurs cris et leurs chants se mêlent aux grincements métalliques des rames, créant une symphonie dissonante, une cacophonie urbaine qui résonne dans les tunnels interminables.

La ligne de RER D n'est pas simplement un moyen de transport, c'est un passage vers un monde parallèle, une dimension où les lois de la réalité sont suspendues. Les visages fatigués des voyageurs, les lumières blafardes, et ces odeurs... oh ces odeurs. C'est un endroit où le bizarre est la norme, où l'inhabituel devient le quotidien. Vous quittez la station avec une impression indélébile, une sensation que quelque chose vous a suivi hors de ces tunnels, une ombre persistante de cette étrange réalité parallèle.

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Je connais un chat. Enfin... Un matou. Mais pas un simple matou non.. Un matou orange. Sans dent. Et constipé.. Je parle évidemment de Josh patakloche. Dans cette nouvelle vidéo, je vais raconter le mystère.. Enfin les mystère, autour de ce bon gros Josh.

Données du topic

Auteur
AcierGalvanise
Date de création
28 mai 2024 à 00:14:40
Date de suppression
28 mai 2024 à 21:48:00
Supprimé par
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