AGENT SECRET à la DGSE (Service Action), il devient ... flic municipal
Rien de fou, la police municipale est une excellente planque pour les policiers et gendarmes qui souhaitent finir leur carrière tranquillement tout en ayant une vie de famille.
J’ai moi même engagé en ancien officier des commandos Hubert comme chef de police municipale. Avec un tel CV, je peux te dire que le mec on lui a sorti une rémunération à 5k5 net dès la première année.
Non seulement il avait une rémunération de rêve pour un danger proche du 0, mais en plus il pouvait faire un métier en relation avec la sécurité en voyant les deux facettes, celle du terrain et celle des bureaux.
Encore aujourd’hui il m’assure avoir fait le meilleur choix de sa vie en allant dans la police municipale. Il n’a pas vu grandir son fils, mais il a pu voir sa fille faire ses premiers pas et dire maman pour la première fois.
Y’a des pour et des contre dans tout choix de carrière et je peux t’assurer que les passerelles vers la police municipale font indéniablement parti des choix les plus plébiscités. Pourquoi ? Parce que tu gagnes autant que dans la police nationale et tu as une vie famille.
Le 25 juin 2024 à 16:55:24 :
Le 25 juin 2024 à 16:53:50 :
Lui il a du faire une grosse bêtiseLes dates semblent coïncider
Des agents de la DGSE étaient partis s'entraîner en Bulgarie. C'était compter sans la vigilance de villageois bulgares. Une histoire de pieds nickelés.
Sofia
«On est tombés sur les mauvaises personnes au mauvais moment. Ou c'est peut-être l'inverse…» C'est ainsi que les frères Slavi et Vasko Tsonev de Koïlovtsi, un village d'un millier d'âmes au nord de la Bulgarie, décrivent ce qui s'est passé la nuit du 15 octobre dans leur champ de luzerne. Cette nuit-là, les deux frères, n'arrivaient pas à trouver le sommeil. La veille, ils avaient vu des Roms rôder autour de leur récolte. Armés de lattes, ils ont voulu avoir le cœur net. Leur voisin, policier de son état, empoche son vieux makarov de service et décide de les accompagner. «Au cas où…» Mais ce qui va leur arriver dépasse, de loin, leurs pires craintes.
Aussitôt arrivés dans le champ, les trois hommes tombent nez à nez avec cinq intrus «basanés» et parlant une langue étrangère. La situation dégénère. À mains nues, les étrangers se révèlent de redoutables combattants. Après les sommations d'usage, le policier dégaine sa pétoire en «visant les jambes», précise-t-il. Trois hommes sont à terre lorsque l'ambulance arrive. L'un a le nez cassé, les deux autres sont touchés par des balles, respectivement au pied et à la main. Les deux derniers ont pris la poudre d'escampette. Les villageois sont, eux, sains et saufs. Mais leurs émotions ne s'arrêtent pas là. Au lever du jour, ils découvrent avec stupéfaction que les étrangers ont laissé derrière eux une cohorte d'objets les uns plus curieux que les autres: du matériel médical sophistiqué, un double parachute, des combinaisons en néoprène, des GPS, des cartes, des ordinateurs… Le tout est embarqué par des policiers en civil rapidement descendus de Sofia.
Aya il s'est fait rouster par Igor l’alcoolique
Maintenant il colle des prunes
Le 25 juin 2024 à 16:59:27 :
Le 25 juin 2024 à 16:55:24 :
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Lui il a du faire une grosse bêtiseLes dates semblent coïncider
Des agents de la DGSE étaient partis s'entraîner en Bulgarie. C'était compter sans la vigilance de villageois bulgares. Une histoire de pieds nickelés.
Sofia
«On est tombés sur les mauvaises personnes au mauvais moment. Ou c'est peut-être l'inverse…» C'est ainsi que les frères Slavi et Vasko Tsonev de Koïlovtsi, un village d'un millier d'âmes au nord de la Bulgarie, décrivent ce qui s'est passé la nuit du 15 octobre dans leur champ de luzerne. Cette nuit-là, les deux frères, n'arrivaient pas à trouver le sommeil. La veille, ils avaient vu des Roms rôder autour de leur récolte. Armés de lattes, ils ont voulu avoir le cœur net. Leur voisin, policier de son état, empoche son vieux makarov de service et décide de les accompagner. «Au cas où…» Mais ce qui va leur arriver dépasse, de loin, leurs pires craintes.
Aussitôt arrivés dans le champ, les trois hommes tombent nez à nez avec cinq intrus «basanés» et parlant une langue étrangère. La situation dégénère. À mains nues, les étrangers se révèlent de redoutables combattants. Après les sommations d'usage, le policier dégaine sa pétoire en «visant les jambes», précise-t-il. Trois hommes sont à terre lorsque l'ambulance arrive. L'un a le nez cassé, les deux autres sont touchés par des balles, respectivement au pied et à la main. Les deux derniers ont pris la poudre d'escampette. Les villageois sont, eux, sains et saufs. Mais leurs émotions ne s'arrêtent pas là. Au lever du jour, ils découvrent avec stupéfaction que les étrangers ont laissé derrière eux une cohorte d'objets les uns plus curieux que les autres: du matériel médical sophistiqué, un double parachute, des combinaisons en néoprène, des GPS, des cartes, des ordinateurs… Le tout est embarqué par des policiers en civil rapidement descendus de Sofia.
Aya il s'est fait rouster par Igor l’alcoolique
Maintenant il colle des prunes
Le 25 juin 2024 à 16:59:27 :
Le 25 juin 2024 à 16:55:24 :
Le 25 juin 2024 à 16:53:50 :
Lui il a du faire une grosse bêtiseLes dates semblent coïncider
Des agents de la DGSE étaient partis s'entraîner en Bulgarie. C'était compter sans la vigilance de villageois bulgares. Une histoire de pieds nickelés.
Sofia
«On est tombés sur les mauvaises personnes au mauvais moment. Ou c'est peut-être l'inverse…» C'est ainsi que les frères Slavi et Vasko Tsonev de Koïlovtsi, un village d'un millier d'âmes au nord de la Bulgarie, décrivent ce qui s'est passé la nuit du 15 octobre dans leur champ de luzerne. Cette nuit-là, les deux frères, n'arrivaient pas à trouver le sommeil. La veille, ils avaient vu des Roms rôder autour de leur récolte. Armés de lattes, ils ont voulu avoir le cœur net. Leur voisin, policier de son état, empoche son vieux makarov de service et décide de les accompagner. «Au cas où…» Mais ce qui va leur arriver dépasse, de loin, leurs pires craintes.
Aussitôt arrivés dans le champ, les trois hommes tombent nez à nez avec cinq intrus «basanés» et parlant une langue étrangère. La situation dégénère. À mains nues, les étrangers se révèlent de redoutables combattants. Après les sommations d'usage, le policier dégaine sa pétoire en «visant les jambes», précise-t-il. Trois hommes sont à terre lorsque l'ambulance arrive. L'un a le nez cassé, les deux autres sont touchés par des balles, respectivement au pied et à la main. Les deux derniers ont pris la poudre d'escampette. Les villageois sont, eux, sains et saufs. Mais leurs émotions ne s'arrêtent pas là. Au lever du jour, ils découvrent avec stupéfaction que les étrangers ont laissé derrière eux une cohorte d'objets les uns plus curieux que les autres: du matériel médical sophistiqué, un double parachute, des combinaisons en néoprène, des GPS, des cartes, des ordinateurs… Le tout est embarqué par des policiers en civil rapidement descendus de Sofia.
Aya il s'est fait rouster par Igor l’alcoolique
Maintenant il colle des prunes
Ayaaaaaa cette victime
Données du topic
- Auteur
- Tirlibibi47
- Date de création
- 24 mai 2024 à 21:59:10
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