Je n'arrive PAS à m'attacher aux FEMMES
Le 14 avril 2024 à 16:06:00 :
[16:05:12] <Strawberrypimp>
Je suis dans cette période aussiTe pose pas de questions et profite
Ça dure pas
Développe
Rompu il y a deux mois complètement brisé
Depuis j'enchaîne via Tinder notamment
Je me complais dans la débauche pour compenser
Et comme je suis déjà passé par là, je sais que ça dure pas longtemps
Ce que tu décris, c'est le donjuanisme, l'hystérie masculine, tu ne cherches pas à connaitre une femme et à te poser avec, mais à trouver LA femme, en réalité inconsciemment la mère, le paradis perdu, ce qu'on ne peut retrouver qui est à tout jamais perdu, mais qu'on espère retrouver sans cesse par l'intermédiaire de ces conquêtes justement.
C'est la recherche de cet idéal féminin pour l'homme, et du prince charmant pour la femme qui les empêche d'arriver à une vie de couple plus ou moins stable et heureuse, sinon on reste sans cesse à la recherche de l'amant ou de l'amante idéale, sauf qu'ils n'existent pas.
Tu regardes les dragueurs de rue comme Léo et l'autre sud américain, ce sont des grosses hystériques qui cherchent à se rassurer narcissiquement sur le fait d'être un homme, ils doutent en réalité d'eux, ne cherchent pas à se poser, mais à plaire, par la théâtralisation car la drague, c'est du théâtre, un jeu, la séduction c'est faire croire à l'autre, mais ensuite il faut passer au niveau supérieur et non rester dans cette zone d'idéal et d'illusion qui ne dure qu'un temps, toi tu veux y rester tout le temps, tu tiens plus à l'idéal qu'à la femme.
Dostoievski décrit fort bien ce phénomène dans la nouvelle les nuits blanches, où l'homme amoureux de cette femme qu'il rencontre en pleine nuit, et à laquelle il finit par s'attacher, retrouve le logeur qu'elle avait rencontré, et dont elle était tombée amoureuse, elle finit par retourner avec lui et par abandonner le narrateur qui avait pris la place de ce logeur, et même son appartement, mais il finit heureux, heureux d'être avec son idéal, au final il se fichait bien de la femme, ce qui comptait c'était son rêve, l'idéal de femme et non la femme elle même.
Pour s'attacher à l'autre, encore faut il savoir perdre, se détacher de cet idéal de femme, de paradis perdu, c'est là l'essence du désir, il est selon platon manque, manque à être, et si tu vis avec ton idéal tu n'as pas à aller à la rencontre de l'autre, tu restes dans ta jouissance, jouir encore et toujours plus des femmes sans arriver à s'attacher puisque c'est l'idéal qui compte. A les vouloir toutes, tu finiras comme le narrateur de la nouvelle de dostoievski, comme don juan, seul.
Le 14 avril 2024 à 16:08:45 :
Ce que tu décris, c'est le donjuanisme, l'hystérie masculine, tu ne cherches pas à connaitre une femme et à te poser avec, mais à trouver LA femme, en réalité inconsciemment la mère, le paradis perdu, ce qu'on ne peut retrouver qui est à tout jamais perdu, mais qu'on espère retrouver sans cesse par l'intermédiaire de ces conquêtes justement.C'est la recherche de cet idéal féminin pour l'homme, et du prince charmant pour la femme qui les empêche d'arriver à une vie de couple plus ou moins stable et heureuse, sinon on reste sans cesse à la recherche de l'amant ou de l'amante idéale, sauf qu'ils n'existent pas.
Tu regardes les dragueurs de rue comme Léo et l'autre sud américain, ce sont des grosses hystériques qui cherchent à se rassurer narcissiquement sur le fait d'être un homme, ils doutent en réalité d'eux, ne cherchent pas à se poser, mais à plaire, par la théâtralisation car la drague, c'est du théâtre, un jeu, la séduction c'est faire croire à l'autre, mais ensuite il faut passer au niveau supérieur et non rester dans cette zone d'idéal et d'illusion qui ne dure qu'un temps, toi tu veux y rester tout le temps, tu tiens plus à l'idéal qu'à la femme.
Dostoievski décrit fort bien ce phénomène dans la nouvelle les nuits blanches, où l'homme amoureux de cette femme qu'il rencontre en pleine nuit, et à laquelle il finit par s'attacher, retrouve le logeur qu'elle avait rencontré, et dont elle était tombée amoureuse, elle finit par retourner avec lui et par abandonner le narrateur qui avait pris la place de ce logeur, et même son appartement, mais il finit heureux, heureux d'être avec son idéal, au final il se fichait bien de la femme, ce qui comptait c'était son rêve, l'idéal de femme et non la femme elle même.
Pour s'attacher à l'autre, encore faut il savoir perdre, se détacher de cet idéal de femme, de paradis perdu, c'est là l'essence du désir, il est selon platon manque, manque à être, et si tu vis avec ton idéal tu n'as pas à aller à la rencontre de l'autre, tu restes dans ta jouissance, jouir encore et toujours plus des femmes sans arriver à s'attacher puisque c'est l'idéal qui compte.
Édifiant
pareil que toi l'OP depuis un bon moment, je conclus très facilement lorsque j'arrive à avoir le date ( qui les 3/4 sont directement chez moi ) et j'arrive pas à vouloir + avec les meufs si ce n'est les bz pendant un petit moment ou les ghost.
Peut être que c'est juste car j'arrive pas à rencontrer " the one " mais bon écoute on va pas se plaindre on bz au moins
Le 14 avril 2024 à 16:02:29 :
Oui trouver une personne avec qui tu es sur la même longueur d'onde est extrêmement difficile.Perso dans ma vie j'ai rencontré des centaines de personnes, et y'en a qu'une poignée avec qui j'aurais en fait envie de discuter ne serait-ce que plus de 10 minutes, et pour l'instant aucune avec qui j'aurais envie de vivre toute ma vie.
Au final je me dis que le jour où je trouve quelqu'un avec qui je m'entends parfaitement, même si elle sera moche, franchement je prendrai.
Y'a pas de perfection, ni de même longueur d'onde, ni de "'ah elle a les mêmes goûts que moi", encore moins d'âme soeur, ça encore c'est l'idéal, idéal dont il est nécessaire de se détacher pour désirer de manière durable et aimer. On désire par le manque, donc dans la différence de l'autre, c'est ce que transmet platon dans le mythe d'aristophane avec l'androgyne, mais aussi la bible avec la séparation de l'homme en différents langages. Si on avait tout, si on ne formait qu'un, à la fois mâle et femelle, UN seul langage, il n'y aurait plus de manque, donc plus de désir, et il y'a une crise du désir dans cette société où des individus se décrivent selon moi à tort dans un flou du genre, ni homme ni femme, genderfluide, sauf que c'est le cas de tous les enfants, le sexe est biologique, le genre est culturel et social, mais chacun doit se placer un jour ou l'autre en tant qu'homme ou en tant que femme, c'est ce à quoi servait les séparations symboliques, les rites de passages à l'age adulte.
Sans ça, l'homme reste dans une adolescence qui s'éternise, dans un doute interminable, à se poser des questions, ou alors à surjouer une virilité factice, ou à vouloir plaire sans cesse par les réseaux sociaux, ça c'est bon normalement à l'adolescence, pas à l'age adulte pour faire des vidéos drague à 40 ans. Mais il est bon de se mettre dans la tête que l'autre idéal n'existe pas, l'idéal ça écrase, et ça nous évite de voir le monde et l'autre tel qu'il est non tel qu'on voudrait qu'il soit. Y'en a aucune pour l'instant, car il n'y en aura jamais aucune en réalité, ce qui était parfait tel l'amour d'une mère idéalisée, l'amour du paradis perdu est à tout jamais perdu et ne peut être retrouvé, il y'aura toujours un manque et il faut faire avec, c'est cela l'amour, pas combler le manque, mais le partager avec l'autre aimé. Ce n'est jamais totalement satisfaisant et ça n'a pas à l'être, car c'est cette éternelle insatisfaction du désir qui nous permet de désirer encore et toujours l'autre, il n'y a pas plus tue l'amour que le discours 68ard de réaliser tous ses désirs et de jouir sans entrave.
[16:14:22] <blueshit4>
pareil que toi l'OP depuis un bon moment, je conclus très facilement lorsque j'arrive à avoir le date ( qui les 3/4 sont directement chez moi ) et j'arrive pas à vouloir + avec les meufs si ce n'est les bz pendant un petit moment ou les ghost.Peut être que c'est juste car j'arrive pas à rencontrer " the one " mais bon écoute on va pas se plaindre on bz au moins
J'évite de ghost, sauf si le date ne donne vraiment rien.
Faut prendre les responsabilités de ses gestes et parfois arriver avec des excuses même si c'est jamais facile ni plaisant.
Perso je vois pas trop le soucis si et SEULEMENT SI à coté tu travail pour constituer un patrimoine personnel conséquent.
Tu peux attendre tes 30 ans facilement pour trouver une meuf jeune ( -25 ans ) pour faire ta vie.
Celui qui s'attache c'est celui qui est dans la merde à la fin de la relation
[16:20:44] <CoquiNoiseaux>
et t'es triste ? Mais tu réfléchis à l'envers ou quoi ?
Celui qui s'attache c'est celui qui est dans la merde à la fin de la relation
J'ai utilisé un abus de langage. Par l'attachement je voulais surtout entendre la volonté de construire quelque chose avec ces filles. Quelque chose de durable qui va simplement au-delà du désir et du plaisir sexuel.
Le 14 avril 2024 à 16:26:03 :
[16:20:44] <CoquiNoiseaux>
et t'es triste ? Mais tu réfléchis à l'envers ou quoi ?
Celui qui s'attache c'est celui qui est dans la merde à la fin de la relationJ'ai utilisé un abus de langage. Par l'attachement je voulais surtout entendre la volonté de construire quelque chose avec ces filles. Quelque chose de durable qui va simplement au-delà du désir et du plaisir sexuel.
Certains sont fait pour être des aventuriers toutes leurs vies hein ...
C'est ainsi.
Le 14 avril 2024 à 16:27:32 :
Le 14 avril 2024 à 16:26:03 :
[16:20:44] <CoquiNoiseaux>
et t'es triste ? Mais tu réfléchis à l'envers ou quoi ?
Celui qui s'attache c'est celui qui est dans la merde à la fin de la relationJ'ai utilisé un abus de langage. Par l'attachement je voulais surtout entendre la volonté de construire quelque chose avec ces filles. Quelque chose de durable qui va simplement au-delà du désir et du plaisir sexuel.
Certains sont fait pour être des aventuriers toutes leurs vies hein ...
C'est ainsi.
Aventurier
Queutard
Données du topic
- Auteur
- Rosee2gland
- Date de création
- 14 avril 2024 à 15:55:08
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