[LIVRES] Club de lecture définitif du 18-25
Le 23 mai 2024 à 20:39:54 :
Le 23 mai 2024 à 19:19:01 :
Le 23 mai 2024 à 14:24:50 :
Mauriac va très vite à lire. Hier je me suis dit "allez une petite séance de lecture" et "ah tiens déjà fini ?"
C'était très bien, mais j'aurais tout de même aimé en avoir un peu plusSi tu veux prolonger le plaisir tu as Génitrix qui met en scène une autre forme de Célestin soumis à une mère tyrannique
Je viens de voir le résumé. Ça parle de la famille Cazenave. En fait c'est le Mauriac Extended Universe
Je met ça de côté. Je sais pas encore si je vais lire ça ou reprendre mes lectures perso. Zem a raison : j'ai n'ai pas encore lu mes livres perso et j'ai du mal à me dégager du temps pour
Par contre le livre de la semaine prochaine, c'est sur 2 semaines, compte tenue de la longueur du livre ?
Mauriac a en effet réalisé une sorte d'univers étendu avec des personnages d'un roman évoqué dans un autre etc. J'aime beaucoup l'ambiance générale de son oeuvre
J'essaierai de passer pour poster au sujet de La Conjuration des imbéciles de Toole. J'ai déjà lu le livre et c'est l'occasion de l'aborder vu qu'il a été choisi. C'est à la fois une comédie et une œuvre très touchante, émouvante rien que pour la fin.
Le 21 mai 2024 à 22:07:45 :
Le 21 mai 2024 à 19:39:22 :
Bien , bien, on lira plus tard les aventures du sieur Reilly, qui a bien des points communs avec le héro de Faim
Ignatius Reilly, whatsoever is said !!!
( Traduction proposée par ChatGpt )
Je viens de finir Le baiser au lépreux
Il est vrai que le roman était court et se lit vite, au moins j'ai pu finir dans les temps
Mauriac " tabasse " à chaque fois , Thérèse Desqueyroux m'avait fait une très forte impression
Nous avons un thème qui se dessine , assez évident puisque nous lisons des auteurs européens, le rapport au catholicisme : secours de la religion, interrogations métaphysiques et ses tourments, rôle du curé/ clergé de proximité et leur incurie ( hin hin hin )
Ignatius ( certes personnage et non romancier ) aura beaucoup de choses à nous dire à ce sujet
Il me semble que " Le journal d'un curé de campagne " de Bernanos s'impose ( enfin, je l'espère )
Le 25 mai 2024 à 01:16:48 :
Désolé les crayons, en ce moment je suis vraiment très pris et je n'ai pas pu lire avec vous les derniers romans.
J'essaierai de passer pour poster au sujet de La Conjuration des imbéciles de Toole. J'ai déjà lu le livre et c'est l'occasion de l'aborder vu qu'il a été choisi. C'est à la fois une comédie et une œuvre très touchante, émouvante rien que pour la fin.
Fin très semblable à celle de
Y a même des références à Nietzche pour bien rappeler le forum
Le 23 mai 2024 à 19:50:02 :
Bon j'ai fini colas breugnon :Au début j'était pas chaud de partir sur un livre qui parle de la vie d'un bourguignon dans un village mais j'ai été agréablement surpris. Le livre parle de thème assez intéressant, au final on suit la déchéance d'un homme ce qui contraste avec sa personnalité simple et optimiste. Le style est vraiment beau même si le registre est incohérent, l'artisan qui parle comme un poète est pas réaliste mais du coup la lecture est très agréable sur certain moment on dirait vraiment de la poésie en prose.
Par contre j'ai pas compris en quoi il correspond au thème réécriture de mythe ?
Il me reste le dernier chapitre heureusement que Mauriac à l'air court, je ne devrais pas trop être en retard.
Le racisme décomplexé En vérité j'avais la même crainte et le début avec l'inventaire m'a vraiment inquiété, mais passé le défilé et le siège par les troupes de Vézelay j'étais acquis à ce livre
Je suis d'accord avec ton retour sur le livre, l'écriture et le fond. Je suis sur la fin et même les passages drôles ne le sont plus tellement, la vie de Colas s'effondrant progressivement. La poésie vient rendre plus léger cela. Il ne va pas mourir hein ? Je ne trouve pas le registre incohérent pour autant : c'est bien exprimé que Colas est un fin orateur, qu'il n'est pas qu'un simple menuisier. Ça verve est célèbre dans son village.
Et pour le thème, ça pouvait être aussi une réécriture ou inspiration de classique. Le résumé pouvait laisser penser à une sorte d'inspiration Rabelaisienne donc ça me semblait bon.
Et aussi pour Colas, petit coup de coeur pour sa belle reprise du chant du rossignol écrit par Colette quelques années plus tôt. Il en a fait un très joli passage, à la fin du chapitre " Belette", un chapitre touchant.
J'entendais déjà "Tant que la vigne pousse, pousse, pousse" quand un rossignol chantait, ça ne va pas s'arranger.
Le 25 mai 2024 à 09:34:41 :
Le 23 mai 2024 à 19:50:02 :
Bon j'ai fini colas breugnon :Au début j'était pas chaud de partir sur un livre qui parle de la vie d'un bourguignon dans un village mais j'ai été agréablement surpris. Le livre parle de thème assez intéressant, au final on suit la déchéance d'un homme ce qui contraste avec sa personnalité simple et optimiste. Le style est vraiment beau même si le registre est incohérent, l'artisan qui parle comme un poète est pas réaliste mais du coup la lecture est très agréable sur certain moment on dirait vraiment de la poésie en prose.
Par contre j'ai pas compris en quoi il correspond au thème réécriture de mythe ?Il me reste le dernier chapitre heureusement que Mauriac à l'air court, je ne devrais pas trop être en retard.
"Au début j'était pas chaud de partir sur un livre qui parle de la vie d'un bourguignon dans un village"
Le racisme décomplexé En vérité j'avais la même crainte et le début avec l'inventaire m'a vraiment inquiété, mais passé le défilé et le siège par les troupes de Vézelay j'étais acquis à ce livre
Je suis d'accord avec ton retour sur le livre, l'écriture et le fond. Je suis sur la fin et même les passages drôles ne le sont plus tellement, la vie de Colas s'effondrant progressivement. La poésie vient rendre plus léger cela. Il ne va pas mourir hein ? Je ne trouve pas le registre incohérent pour autant : c'est bien exprimé que Colas est un fin orateur, qu'il n'est pas qu'un simple menuisier. Ça verve est célèbre dans son village.
Et pour le thème, ça pouvait être aussi une réécriture ou inspiration de classique. Le résumé pouvait laisser penser à une sorte d'inspiration Rabelaisienne donc ça me semblait bon.Et aussi pour Colas, petit coup de coeur pour sa belle reprise du chant du rossignol écrit par Colette quelques années plus tôt. Il en a fait un très joli passage, à la fin du chapitre " Belette", un chapitre touchant.
J'entendais déjà "Tant que la vigne pousse, pousse, pousse" quand un rossignol chantait, ça ne va pas s'arranger.
A la fin il meurt et on incarne ses 4 fils
Sinon pour le coté bourguignon c'est surtout que l'ambiance France campagnarde me rappelait le roi sans divertissement donc j'ai cru que ça allait faire un peu redondant.
Sinon pour le registre de dialogue au delà du style c'est surtout qu'il fait énormément de référence mythologique/historique ce qui colle pas vraiment à sa personnalité, avant de lire Plutarque il dit clairement que l'histoire c'est du passé
Mais c'est pas un problème en soit, le style est suffisamment maîtrisé pour ignorer le manque de ''réalisme'
Le 25 mai 2024 à 09:45:17 :
Le 25 mai 2024 à 09:34:41 :
Le 23 mai 2024 à 19:50:02 :
Bon j'ai fini colas breugnon :Au début j'était pas chaud de partir sur un livre qui parle de la vie d'un bourguignon dans un village mais j'ai été agréablement surpris. Le livre parle de thème assez intéressant, au final on suit la déchéance d'un homme ce qui contraste avec sa personnalité simple et optimiste. Le style est vraiment beau même si le registre est incohérent, l'artisan qui parle comme un poète est pas réaliste mais du coup la lecture est très agréable sur certain moment on dirait vraiment de la poésie en prose.
Par contre j'ai pas compris en quoi il correspond au thème réécriture de mythe ?Il me reste le dernier chapitre heureusement que Mauriac à l'air court, je ne devrais pas trop être en retard.
"Au début j'était pas chaud de partir sur un livre qui parle de la vie d'un bourguignon dans un village"
Le racisme décomplexé En vérité j'avais la même crainte et le début avec l'inventaire m'a vraiment inquiété, mais passé le défilé et le siège par les troupes de Vézelay j'étais acquis à ce livre
Je suis d'accord avec ton retour sur le livre, l'écriture et le fond. Je suis sur la fin et même les passages drôles ne le sont plus tellement, la vie de Colas s'effondrant progressivement. La poésie vient rendre plus léger cela. Il ne va pas mourir hein ? Je ne trouve pas le registre incohérent pour autant : c'est bien exprimé que Colas est un fin orateur, qu'il n'est pas qu'un simple menuisier. Ça verve est célèbre dans son village.
Et pour le thème, ça pouvait être aussi une réécriture ou inspiration de classique. Le résumé pouvait laisser penser à une sorte d'inspiration Rabelaisienne donc ça me semblait bon.Et aussi pour Colas, petit coup de coeur pour sa belle reprise du chant du rossignol écrit par Colette quelques années plus tôt. Il en a fait un très joli passage, à la fin du chapitre " Belette", un chapitre touchant.
J'entendais déjà "Tant que la vigne pousse, pousse, pousse" quand un rossignol chantait, ça ne va pas s'arranger.
A la fin il meurt et on incarne ses 4 fils
Sinon pour le coté bourguignon c'est surtout que l'ambiance France campagnarde me rappelait le roi sans divertissement donc j'ai cru que ça allait faire un peu redondant.
Sinon pour le registre de dialogue au delà du style c'est surtout qu'il fait énormément de référence mythologique/historique ce qui colle pas vraiment à sa personnalité, avant de lire Plutarque il dit clairement que l'histoire c'est du passé
Mais c'est pas un problème en soit, le style est suffisamment maîtrisé pour ignorer le manque de ''réalisme'
ça n'est pas vrai, il se réincarnera en cep. Il avait prévenu : "Cep je suis, j'ai été ou je serai" .
Il me semble que " Le journal d'un curé de campagne " de Bernanos s'impose ( enfin, je l'espère )
"Sous le soleil de Satan" est le premier qu'il a écrit et il se passe avant chronologiquement mais c'est les mêmes thèmes également je serais chaud à le lire avec vous, j'avais essayé seul il y a quelques années et certains dialogues m'échappaient franchement, je l'admets
Le 25 mai 2024 à 04:34:16 :
Le 25 mai 2024 à 01:16:48 :
Désolé les crayons, en ce moment je suis vraiment très pris et je n'ai pas pu lire avec vous les derniers romans.
J'essaierai de passer pour poster au sujet de La Conjuration des imbéciles de Toole. J'ai déjà lu le livre et c'est l'occasion de l'aborder vu qu'il a été choisi. C'est à la fois une comédie et une œuvre très touchante, émouvante rien que pour la fin.Fin très semblable à celle de
Faim ,
Ah, eh bein p'être qu'il s'en est inspiré ?
En tout cas je la magnifique.
Le 25 mai 2024 à 08:36:40 :
Fini le baiser au lépreux, c'était marrant on dirait vraiment un livre écrit par GutKaiser
Y a même des références à Nietzche pour bien rappeler le forum
Je ne l'ai pas lu, comme j'ai précisé plus haut, mais si ça s'apparente à ce que GutKaiser peut faire de "mieux" alors ce doit être très "spécial".
Le 25 mai 2024 à 19:01:48 :
Le 25 mai 2024 à 08:36:40 :
Fini le baiser au lépreux, c'était marrant on dirait vraiment un livre écrit par GutKaiser
Y a même des références à Nietzche pour bien rappeler le forumJe ne l'ai pas lu, comme j'ai précisé plus haut, mais si ça s'apparente à ce que GutKaiser peut faire de "mieux" alors ce doit être très "spécial".
Y a le délire les femmes détestent le corps des hommes dedans
Le 25 mai 2024 à 22:28:54 :
Le 25 mai 2024 à 19:01:48 :
Le 25 mai 2024 à 08:36:40 :
Fini le baiser au lépreux, c'était marrant on dirait vraiment un livre écrit par GutKaiser
Y a même des références à Nietzche pour bien rappeler le forumJe ne l'ai pas lu, comme j'ai précisé plus haut, mais si ça s'apparente à ce que GutKaiser peut faire de "mieux" alors ce doit être très "spécial".
Y a le délire les femmes détestent le corps des hommes dedans
Ahi, ce délire... je l'avais oublié bordel...
Il le pense vraiment ou c'est un trouble obsessionnel compulsif que de répéter en boucle la même chose ?
Le 26 mai 2024 à 00:31:11 :
Le 25 mai 2024 à 22:28:54 :
Le 25 mai 2024 à 19:01:48 :
Le 25 mai 2024 à 08:36:40 :
Fini le baiser au lépreux, c'était marrant on dirait vraiment un livre écrit par GutKaiser
Y a même des références à Nietzche pour bien rappeler le forumJe ne l'ai pas lu, comme j'ai précisé plus haut, mais si ça s'apparente à ce que GutKaiser peut faire de "mieux" alors ce doit être très "spécial".
Y a le délire les femmes détestent le corps des hommes dedans
Ahi, ce délire... je l'avais oublié bordel...
Il le pense vraiment ou c'est un trouble obsessionnel compulsif que de répéter en boucle la même chose ?
Ba il a raison surtout
Les femmes sont pas attirés par le corps des hommes
Demain je vais en forêt j'emmène les livres et je m'éloigne le plus possible des gens pour lire en toutes tranquillité. Ce sont des livres excellent ! J'espère qu'il ne pleuvra pas .J'adore me posée dans la nature avec des bon livres. Loin de ce monde de merde
Profite bien de ta chute d'eau
ouais mais je vais en montagne avec les livre. je vais prendre de l'altitude pour lire
Si j'avais un couchage je pense que je serais partie camper la haut.J'adore lire dans la nature,c'est top pour se ressourcer.
J'ai actuellement regroupé les preuves que Jean Péloueyre est un Khey pur souche du forum.
Ça va spoil
Jean applique le "bah sors" dès la PREMIERE PAGE "Sors, promène-toi, pauvre Jean Péloueyre ! "
Jean est un 0 tout
- physiquement : "Il était si petit que la basse glace du trumeau refléta sa pauvre mine, ses joues creuses, un nez long, au bout pointu, rouge et comme usé pareil à un sucre d'orge qu'amincissent, en les suçant, de patients garçon"
-mentalement : "Il avait été tout de même classé dernier" en parlant de sa scolarité
Jean vit seul chez son père et refuse d'être un golem ingesclave
" N'était-ce pas enfin l'instant de s'échapper du troupeau des esclaves et d'agir en maître ?"
Jean est un mage noir
" Il lui était révélé que sa virginité ne serait peut être pas éternelle."
De l'espoir dans cette phrase, tragique quand on sait qu'il mourra puceau malheureusement
Jean est un nain, invisible auprès des femmes
" Il se lève, il est encore plus petit levé qu'assis"
Malgré tout ça, Jean veut une femme tradi soumise à lui " il reviendrait au pays, s'imposerait à cette femme, jouirait d'elle, dût-elle en crever ! il en ferait un objet à son usage"
Jean go escort évidemment "Une blonde charnue glissa de son tabouret, lui demanda du feu, but dans son verre, à mi-voix lui promit pour cinq louis de bonheur"
Jean épouse Noemi qui, dès lors, se prend le mur "rendue à la vie de jeune fille, connaissait dans sa chair qu'elle n'était plus une jeune fille"
Noemi qui deviendra une Magalax french dreamed "Madame Péloueyre, si vous ne prenez pas d'exercice, vous deviendrais énorme. Votre coeur est déjà gêné par la graisse."
Sans compter le médecin provax triple dosed "il traitait la tuberculose par la teinture d'iode à "doses massives". "
Tuberculose dont Jean finira par en mourir.
Bon certaines phrases sont un peu sorties de leur contexte
J'ai réuni toutes les preuves comme quoi Jean Péloueyre est un Khey pur souche.
Ça va spoil
Jean applique le "bah sors" dès la PREMIERE PAGE "Sors, promène-toi, pauvre Jean Péloueyre ! "
Jean est un 0 tout
- physiquement : "Il était si petit que la basse glace du trumeau refléta sa pauvre mine, ses joues creuses, un nez long, au bout pointu, rouge et comme usé pareil à un sucre d'orge qu'amincissent, en les suçant, de patients garçon"
-mentalement : "Il avait été tout de même classé dernier" en parlant de sa scolarité
Jean vit seul chez son père et refuse d'être un golem ingesclave
" N'était-ce pas enfin l'instant de s'échapper du troupeau des esclaves et d'agir en maître ?"
Jean est un mage noir
" Il lui était révélé que sa virginité ne serait peut être pas éternelle."
De l'espoir dans cette phrase, tragique quand on sait qu'il mourra puceau malheureusement
Jean est un nain, invisible auprès des femmes
" Il se lève, il est encore plus petit levé qu'assis"
Malgré tout ça, Jean veut une femme tradi soumise à lui " il reviendrait au pays, s'imposerait à cette femme, jouirait d'elle, dût-elle en crever ! il en ferait un objet à son usage"
Jean go escort évidemment "Une blonde charnue glissa de son tabouret, lui demanda du feu, but dans son verre, à mi-voix lui promit pour cinq louis de bonheur"
Jean épouse Noemi qui, dès lors, se prend le mur "rendue à la vie de jeune fille, connaissait dans sa chair qu'elle n'était plus une jeune fille"
Noemi qui deviendra une Magalie french dreamed "Madame Péloueyre, si vous ne prenez pas d'exercice, vous deviendrais énorme. Votre coeur est déjà gêné par la graisse."
Sans compter le médecin provax triple dosed "il traitait la tuberculose par la teinture d'iode à "doses massives". "
Tuberculose dont Jean finira par en mourir.
Bon certaines phrases sont un peu sorties de leur contexte, tout ceci n'est qu'humoir
Données du topic
- Auteur
- badoitperrier1
- Date de création
- 31 mars 2024 à 23:33:01
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