Finalement , l’ETAT doit pas TROUVER 10 ou 30 MILLIARDS mais 80

13 mars 2024 à 10:54:21

Le 13 mars 2024 à 10:52:44 henena0755 a écrit :
Le 13 mars 2024 à 10:48:22 :
Entre la dévaluation monétaire, l'inflation, et les prêts à taux variables
Vivement que tout soit renversé, et que la dette soit annulée
Cimer la loi Rotschild de 71
....
La loi de 71 permet d'éviter que l'êtat n'emprunte trop, ce n'est pas un mal pour limiter l'inflation ...
Si tu annules la dettes, déja tu ruines les Français ensuite personne ne va te prêter de nouveau ...

Cette loi permet surtout à des étrangers de venir "investir" dans la dette Française
Le béaba quand tu veux être libre c'est que ce sont tes citoyens qui possèdent ta dette, pas des étrangers
M'enfin c'est vrai que nos 'élites' n'ont pas grand chose à faire de l'indépendance de la France

Kijuo

13 mars 2024 à 10:54:27

Le 13 mars 2024 à 10:53:34 :
Ça devient flippant en vrai... autant la France a une belle culture et une histoire passionnante, autant la société Française c'est du grand n'importe quoi... y a rien qui va et on est quand même en déficit publique, à ce stade, je ne sais même plus ce qui pourrait empêche la France de devenir un shithole, c'est juste abusé.
Les types tu leurs une Ferrari à retapé, ils te rendent un chariot Leader Price.

on vous le dit depuis des années, y'a plus d'avenir dans ce pays

ça va être une longue et douloureuse descente

AttackerFois

13 mars 2024 à 10:55:07

Le 13 mars 2024 à 10:48:37 :
Le 13 mars 2024 à 10:47:03 :
L'Etat est littéralement en faillite. Ca va finir comme la Grèce, puissance 10.
Tout le monde le sait, tout le monde fait semblant histoire de ne pas avoir à assumer et à expliquer qu'on ne sait pas gérer le fric, et puis histoire de continuer à délirer et à se croire puissance mondiale alors qu'on carbure à la dette depuis 20 ans.
50 ans.
Pas un seul budget à l’équilibre depuis 1974.

Les niveaux de dette étaient encore supportables avant les années 2000.

Aujourd'hui, c'est littéralement criminel. Si ça avait été un ménage ou une entreprise, on serait déjà en zonzon.

Il devrait être constitutionnellement interdit d'emprunter du fric à de tels niveaux, ça serait plus intelligent comme réforme de la Constitution que le droit à l'IVG, en tout cas plus prioritaire.

Ca changerait rien pour le problème qui nous pend à la gueule, mais ça pourrait servir pour le futur.

OlivinePrestige

13 mars 2024 à 10:55:16

J’ai jamais été doué en maths

NagiAmano

13 mars 2024 à 10:55:24

Emmanuel Macron et Gabriel Attal n'ont plus le choix. S'ils veulent empêcher leurs espoirs de redressement des comptes, déjà modestes, de s'évanouir d'ici 2027, ils vont devoir opérer des choix douloureux. Selon la Cour des comptes, il va falloir trouver, d'ici la fin du quinquennat, 50 milliards d'euros. Au bas mot. Une somme qui s'ajoute aux 10 milliards d'euros de coupes dans les crédits des ministères annoncées en urgence mi-février pour 2024. Et pour cause : cet effort, « qui n'a pas d'exemple dans l'histoire récente », a été constamment repoussé jusqu'à présent. Bien « conscient » de l'enjeu, selon ses interlocuteurs récents, le président se retrouve dos au mur, lui qui a toujours été réticent à opérer des coupes dans les dépenses. Depuis sa campagne de 2022, Emmanuel Macron caressait l'espoir de récolter les fruits de ses réformes pour faire augmenter les taux d'emploi et l'activité, ce qui aurait automatiquement fait rentrer de l'argent dans les caisses. Le chef de l'Etat a été rattrapé la réalité de la conjoncture internationale et les déboires allemands. Alors qu'elle devait signer la fin du « quoi qu'il en coûte », 2023 n'a été qu'une « d'année blanche en termes de réduction du déficit et de maîtrise de la dépense publique », écrit la Cour des comptes dans son rapport public annuel publié ce mardi. 2024 n'est guère plus brillante. Malgré les avertissements du Haut conseil des finances publiques lors de la présentation du budget à l'automne 2023, le chef de l'Etat et son ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, se sont accrochés à l'espoir d'une croissance de 1,4 % quand le consensus des économistes prévoyait déjà 0,8 %. Le Haut conseil des finances publiques n'a pas jugé cette prévision « insincère » - l'arme nucléaire qui aurait pu aboutir à ce qu'il soit rejeté par le Conseil constitutionnel - car il n'a pas décelé de volonté de tromper le Parlement. Mais il a tout de même hésité à la juger non réaliste. Il a finalement opté pour « élevée ». Pour Bruno Le Maire, cette prévision de croissance était simplement « volontariste » puisque la Commission européenne et l'OCDE affichaient encore, à cette période, une prévision de 1,2 % de croissance pour l'Hexagone. Quoi qu'il en soit, la loi de finances initiale ne comprenait quasiment aucune économie structurelle. Le gouvernement s'est contenté de débrancher les mesures exceptionnelles prises pour faire face à la crise énergétique. « Je ne sais même pas s'il y a eu 1 milliard d'économies structurelles dans le PLF 2024 », lâche cruellement le Premier président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici. Rattrapé par la réalité, Bercy mise désormais sur une progression de l'activité de 1 %. Un chiffre « qui reste largement au-dessus du consensus des économistes » à 0,7 %, souligne celui qui dirige également le Haut conseil des finances publiques. Si bien que les 10 milliards d'économies pris par décret, encore à concrétiser, risquent d'être insuffisants pour revenir à 4,4 % de déficit cette année. Ce qui nécessiterait de nouvelles coupes dans un projet de loi de finances rectificatives. Même si la cible de 4,4 % de déficit en 2024 était atteinte, souligne Pierre Moscovici, « les finances de la France resteraient parmi les plus dégradées de la zone euro ». « On est solidement installés sur le podium des trois pays les plus endettés de la zone euro, ce n'est pas la place de la France ». Depuis 2019, la dette publique a bondi de 800 milliards pour atteindre 3 200 milliards. Sauf à la laisser encore augmenter par rapport au PIB, ou se résigner à relever les impôts, il va donc falloir couper dans les dépenses de 2025 à 2027, avant l'élection présidentielle... En 2025, l'effort culminera à 20 milliards. « C'est brutal, reconnaît Pierre Moscovici, mais ça arrive parce qu'on ne l'a pas fait avant. C'est un effort qu'on peut parfaitement faire ». Si Emmanuel Macron risque de se fracasser sur le mur budgétaire, c'est que, comme le souligne le président de la Cour des comptes, sa trajectoire de finances publiques est « peu ambitieuse et fragile. Elle n'a aucune marge de sécurité tant les hypothèses sous-jacentes sont optimistes ». La croissance attendue de 2025 à 2027, entre 1,7 et 1,8 %, devra être revue fortement revue à la baisse. « Hors charges d'intérêts et hors dépenses exceptionnelles, la dépense publique ne devrait (...) progresser que très modérément en volume, écrit la Cour des comptes, à raison de 0,2 % en moyenne par an sur la période 2025-2027 ». Un chiffre à comparer avec 1,2 % atteint de 2025 à 2019, années déjà marquées par un réel effort d'économies. Et ce alors qu'il va falloir financer les investissements nécessaires à la transition climatique tout en respectant les engagements des lois de programmation sectorielles (Défense, Intérieur, Justice, Recherche) qui représentent déjà 20 % des dépenses de l'Etat. Pour y parvenir, il va falloir baisser les dépenses de l'Etat en volume (en tenant compte de l'inflation) et refroidir considérablement les dépenses de santé, qui augmentent tendanciellement compte tenu du vieillissement de la population. La ligne de crête entre nécessité de réduire la dette sans sombrer dans une austérité débridée s'annonce très difficile à tenir. « Il faut que les économies ne soient pas celles qui minent la croissance. Sinon, on entre dans un cycle sans fin », reconnaît Pierre Moscovici. « Le rythme de consolidation budgétaire choisi par le Gouvernement répond à la volonté (...) de ne pas reproduire les erreurs commises la décennie passée lors de la crise des dettes souveraines en zone euro », considère l'exécutif dans sa réponse au rapport des magistrats financiers. Sauf qu'il va devoir couper bien plus que prévu... Scénarios noirs. Pour nourrir de telles économies, outre les multiples revues de dépenses en cours, Gabriel Attal a demandé à la Cour des comptes trois rapports : sur la participation des collectivités territoriales à l'effort, sur la sortie des dispositifs de crise et sur la « régulation des dépenses d'assurance maladie ». Afin de montrer à quel point la situation peut devenir hors de contrôle, la Cour des comptes s'est essayée à calculer le dérapage du déficit et de la dette en cas de croissance « faible », de 1 %, chaque année d'ici 2027. Le déficit resterait alors supérieur à 4 % et la dette augmenterait pour atteindre 114 % du PIB. Si, en plus de cela, les économies promises n'étaient pas au rendez-vous, et que les dépenses progressaient de 1,2 % par an comme avant la crise du Covid, le déficit bondirait à... 5,7 % en 2027 ! La dette publique, elle, culminerait à 117 % du PIB.

Ker_Vizic

13 mars 2024 à 10:55:34

Le 13 mars 2024 à 10:53:48 Eleutherios a écrit :
Le 13 mars 2024 à 10:52:39 :
Le 13 mars 2024 à 10:50:39 Eleutherios a écrit :
Le 13 mars 2024 à 10:48:22 :
Entre la dévaluation monétaire, l'inflation, et les prêts à taux variables
Vivement que tout soit renversé, et que la dette soit annulée
Cimer la loi Rotschild de 71
J’en peux plus des ignares qui citent toujours cette loi sans rien y comprendre.
C’est justement grâce à l’impossibilité de pouvoir utiliser la planche à billets trop facilement qu’on a réussi à limiter l’inflation jusqu’à 2008, à partir de quand la BCE a cessé de respecter ses statuts.
Premier QI. à deux chiffres qui ne comprend pas que l'euro a été vendu comme un étalon dollar
Étalon perdu dès le départ
M'enfin c'est vrai que lire les traités de l'UE. ce n'est pas à la portée du premier gueux venu
Tu deviens gênant à tout mélanger comme ça.

Ce n'est pas mélanger ça s'appelle réfléchir et analyser
L'euro c'était la prospérité et une monnaie pour peser contre le dollar, finalement ma baguette de pain coûte 10 F. et nos exports se sont écroulés

Dikajivotnya107

13 mars 2024 à 10:55:38

Mon PEA Full versements qui va passer de 17,2% de PS à 30%
:hap:

sebcov18

13 mars 2024 à 10:55:57

- Et l’argent des JO ?

- c’est de la dette

- ah oui, c’est dans ce sens. C’est compliqué bordel

CroqueFromage

13 mars 2024 à 10:56:20

Mais pourquoi l'état emprunte de l'argent qu'il n'arrivera jamais à rembourser au lieu de dépenser moins que ce qu'il gagne ?

SaintMax2

13 mars 2024 à 10:56:29

Pour 1000 euros de dépenses publiques il y a :

459 euros qui vont dans la poche des boomers

39 euros qui vont dans la poche des prolos

35 euros qui vont dans la poche des chômeurs

16 euros destinés à l'environnement

53 euros qui vont dans la poche des actionnaires

31 euros qui vont dans l'armée

25 euros qui vont dans le tabassage des manifestants

4 euros dans la justice (ayaa)

96 euros qui vont dans la garderie l'éducation

23 euros qui vont dans la recherche

66 euros qui vont dans le fonctionnement de l'administration

Et 37 euros pour rembourser les intérêts de la dette publique

Source :

hisseo-santian4

13 mars 2024 à 10:56:31

Le 13 mars 2024 à 10:44:08 :
Avec 3000 milliards de dette et 1000 milliard de dépense publique tout va bien se passer

La dette ne se rembourse pas.

henena0755

13 mars 2024 à 10:56:34

Le 13 mars 2024 à 10:54:21 :
Le 13 mars 2024 à 10:52:44 henena0755 a écrit :
Le 13 mars 2024 à 10:48:22 :
Entre la dévaluation monétaire, l'inflation, et les prêts à taux variables
Vivement que tout soit renversé, et que la dette soit annulée
Cimer la loi Rotschild de 71
....
La loi de 71 permet d'éviter que l'êtat n'emprunte trop, ce n'est pas un mal pour limiter l'inflation ...
Si tu annules la dettes, déja tu ruines les Français ensuite personne ne va te prêter de nouveau ...
Cette loi permet surtout à des étrangers de venir "investir" dans la dette Française
Le béaba quand tu veux être libre c'est que ce sont tes citoyens qui possèdent ta dette, pas des étrangers
M'enfin c'est vrai que nos 'élites' n'ont pas grand chose à faire de l'indépendance de la France

Non tu racontes absolument n'importe quoi et avoir des capitaux étrangers n'est pas un mal pour commercer notamment ... :hap:
Si l'êtat crée trop de monnaie et se finance à taux zéro cela provoque de l'inflation ...
Sans être méchant, ouvre un manuel d'éco.... :hap:

Eleutherios

13 mars 2024 à 10:57:13

Le 13 mars 2024 à 10:52:44 :
Le 13 mars 2024 à 10:48:22 :
Entre la dévaluation monétaire, l'inflation, et les prêts à taux variables
Vivement que tout soit renversé, et que la dette soit annulée
Cimer la loi Rotschild de 71
....
La loi de 71 permet d'éviter que l'êtat n'emprunte trop, ce n'est pas un mal pour limiter l'inflation ...
Si tu annules la dette, déja tu ruines les Français ensuite personne ne va te prêter de nouveau ...

C’était pour anticiper la fin de Bretton Woods et éviter que ça devienne la fête du slip à la Banque de France, mais y’a toujours des gens sans aucune formation économique qui n’ont pas compris ça.

Et comme les dépenses publiques sont environ à 20% de deficit, si plus personne ne te prête à nouveau, tu peux donc virer un cinquième des dépenses (infinançables) du jour au lendemain : salaires des fonctionnaires, retraites, à peu près ce qu’il s’est passé en Grèce.

Kijuo

13 mars 2024 à 10:57:38

Le 13 mars 2024 à 10:55:07 :
Le 13 mars 2024 à 10:48:37 :
Le 13 mars 2024 à 10:47:03 :
L'Etat est littéralement en faillite. Ca va finir comme la Grèce, puissance 10.
Tout le monde le sait, tout le monde fait semblant histoire de ne pas avoir à assumer et à expliquer qu'on ne sait pas gérer le fric, et puis histoire de continuer à délirer et à se croire puissance mondiale alors qu'on carbure à la dette depuis 20 ans.
50 ans.
Pas un seul budget à l’équilibre depuis 1974.
Les niveaux de dette étaient encore supportables avant les années 2000.
Aujourd'hui, c'est littéralement criminel. Si ça avait été un ménage ou une entreprise, on serait déjà en zonzon.
Il devrait être constitutionnellement interdit d'emprunter du fric à de tels niveaux, ça serait plus intelligent comme réforme de la Constitution que le droit à l'IVG, en tout cas plus prioritaire.
Ca changerait rien pour le problème qui nous pend à la gueule, mais ça pourrait servir pour le futur.

Macron qui veut les JO, aider l'Ukraine , malgré le fait qu'il a fait exploser la dette , il en veut toujours plus

-henry-gentil-

13 mars 2024 à 10:58:04

Les banques sont bien remplis vous en faites pas.
C'était son métier après tout...
Mais le peuple peut bien mourrir de faim et le pays être en flamme il s'en fout le Mac.

petitecyprine2

13 mars 2024 à 10:58:23

Une bonne guerre pourrait résoudre tous ces problèmes

Eleutherios

13 mars 2024 à 10:59:12

Le 13 mars 2024 à 10:56:20 :
Mais pourquoi l'état emprunte de l'argent qu'il n'arrivera jamais à rembourser au lieu de dépenser moins que ce qu'il gagne ?

Kesketunapadilà.

sebcov18

13 mars 2024 à 10:59:20

Le 13 mars 2024 à 10:58:23 :
Une bonne guerre pourrait résoudre tous ces problèmes

Faudrai envoyer les retraités faire la guerre , on équilibre à fond le budget

MagalaxCasee

13 mars 2024 à 10:59:48

Le 13 mars 2024 à 10:47:03 :
L'Etat est littéralement en faillite. Ca va finir comme la Grèce, puissance 10.
Tout le monde le sait, tout le monde fait semblant histoire de ne pas avoir à assumer et à expliquer qu'on ne sait pas gérer le fric, et puis histoire de continuer à délirer et à se croire puissance mondiale alors qu'on carbure à la dette depuis 20 ans.

ecoute faut dire qu'à la moindre réforme t'as les français qui vont dans la rue foutre le bordel pour s'assurer que le cout des réparations surpasse le bénéfice associé aux réformes

à un moment, on a ce qu'on mérite

KJ-Sigma

13 mars 2024 à 11:00:06

Il y aura un salaire unique pour 90 % des gens dans quelques années max une décennie

C’est déjà bien parti avec le SMIC qui regroupe de plus en plus de salaire, du faîte de son indexation sur l’inflation

Données du topic

Auteur: sebcov18
Date de création: 13 mars 2024 à 10:41:15
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