Une critique du french Dream ?

Femme : dans le cas d'un dreameur c'est plus un tonneau.
Maison : ti pavillon en banlieue payé par la banque sur 25 ans
Chien : rien a redire
Enfant : enzo et Sarah biberonné dès les couches avec la tablette de maman et papa. Donc pas vraiment éveillé

Y a pas à dire ça donne envie

Le 12 mars 2024 à 23:38:50 :
bah 2 femmes, appartement, poisson rouge et pas d'enfants , le classique

2 femmes ? Une c'est déjà suffisant je pense perso. Marche noire me donne pas envie à long terme
Appart ? Une maison avec terrain c'est plus plaisant non ?
Poisson rouge ? Moins bien qu'un chien je trouve
Pas d'enfant ? Perso je vois pas de problème à avoir des enfants. J'aurais l'impression de vivre comme un ado toutes ma vie.

Merci quand même pour ta réponse

Le 12 mars 2024 à 23:41:30 :
Femme : dans le cas d'un dreameur c'est plus un tonneau.
Maison : ti pavillon en banlieue payé par la banque sur 25 ans
Chien : rien a redire
Enfant : enzo et Sarah biberonné dès les couches avec la tablette de maman et papa. Donc pas vraiment éveillé

Y a pas à dire ça donne envie

Merci de ta réponse
Si on choppe une femme qui n'est pas un tonneau, qu'on éduque bien ses enfants et qu'on ne vit pas en banlieue on ne rentre pas dans le french dream ?

La voiture de Jérôme, une vieille Citroën en fin de vie, crachait des fumées noires en roulant péniblement sur la route en direction de son travail. Il se sentait déjà épuisé avant même d'arriver au bureau, mais c'était un sentiment familier. Jérôme avait appris à vivre avec cette fatigue perpétuelle, ce sentiment de vide qui l'habitait jour après jour. Il se consolait en pensant à sa famille, à ses enfants, à sa femme Chloé. Mais même cette pensée réconfortante était teintée d'amertume. Car Jérôme savait que Chloé n'était jamais satisfaite de leur vie, qu'elle avait toujours des remarques acerbes à lui faire, des reproches à lui adresser. Il se sentait impuissant face à cette femme qui ne semblait jamais être contente, qui passait son temps à rêver de choses qu'ils ne pourraient jamais se permettre.

Au travail, les journées étaient interminables. Jérôme travaillait dans une entreprise de taille moyenne, où les objectifs étaient impossibles à atteindre, et le stress omniprésent. Il se sentait aliéné, réduit à une simple machine qui exécutait des tâches répétitives. Mais même dans ce contexte éreintant, Jérôme trouvait quelques moments de répit. Il aimait se plonger dans des séries télévisées médiocres, qui lui permettaient de s'évader de son quotidien morose. Il aimait aussi dénicher de bonnes affaires sur internet, ou dans des enseignes de hard-discount. Ces moments de plaisir fugaces étaient pour lui une bouffée d'air frais dans une vie étouffante.

Au fond, Jérôme savait que sa vie était triste, vide, sans réelle perspective d'avenir. Mais il préférait se voiler la face, se persuader que tout allait bien. Il se raccrochait à sa routine quotidienne, à ses petits plaisirs insignifiants. Car il avait peur de regarder en face sa propre impuissance face à un monde qui le broyait lentement mais sûrement. Et pourtant, il continuait à avancer, à lutter contre l'oppression de son quotidien, même si cela ne menait nulle part.

Les jours passaient et se ressemblaient pour Jérôme, comme si le temps s'était figé dans une boucle infinie. Les week-ends étaient sa seule bouffée d'air frais, une occasion de se retrouver en famille. Malheureusement, même ces moments étaient ternis par la lassitude et la routine.

Les sorties en famille se résumaient souvent à des visites aux fast-foods du coin. Les enfants adoraient ces moments où ils pouvaient dévorer des hamburgers gras et des frites salées, mais Jérôme savait bien que ce n'était pas la meilleure façon de les élever. Pourtant, c'était la solution de facilité, la moins chère aussi.

La soirée de Jérôme, une fois les enfants couchés, était souvent solitaire. Chloé s'endormait rapidement, épuisée par sa journée, tandis que lui errait sur internet. Il cherchait des bonnes affaires, des offres alléchantes qui lui permettraient d'économiser quelques euros ici et là. Ces moments étaient devenus une sorte de récompense pour sa peine quotidienne, une consolation illusoire face à la morosité de sa vie.

Il avait développé un goût pour la chasse aux petits prix dans les magasins de hard-discount. Ces lieux de consommation bon marché offraient l'illusion d'une vie meilleure, d'un pouvoir d'achat qui dépassait les limites de son maigre salaire. Il remplissait son caddie de produits dont il n'avait souvent pas besoin, simplement parce que c'était abordable.

Parfois, il se rendait également sur des sites de vente en ligne pour dénicher des offres incroyables, des produits en promotion à ne pas manquer. Il se sentait excité à l'idée d'ajouter des articles à son panier virtuel, comme s'il avait enfin le contrôle sur quelque chose dans sa vie.

Le 12 mars 2024 à 23:46:36 :
La voiture de Jérôme, une vieille Citroën en fin de vie, crachait des fumées noires en roulant péniblement sur la route en direction de son travail. Il se sentait déjà épuisé avant même d'arriver au bureau, mais c'était un sentiment familier. Jérôme avait appris à vivre avec cette fatigue perpétuelle, ce sentiment de vide qui l'habitait jour après jour. Il se consolait en pensant à sa famille, à ses enfants, à sa femme Chloé. Mais même cette pensée réconfortante était teintée d'amertume. Car Jérôme savait que Chloé n'était jamais satisfaite de leur vie, qu'elle avait toujours des remarques acerbes à lui faire, des reproches à lui adresser. Il se sentait impuissant face à cette femme qui ne semblait jamais être contente, qui passait son temps à rêver de choses qu'ils ne pourraient jamais se permettre.

Au travail, les journées étaient interminables. Jérôme travaillait dans une entreprise de taille moyenne, où les objectifs étaient impossibles à atteindre, et le stress omniprésent. Il se sentait aliéné, réduit à une simple machine qui exécutait des tâches répétitives. Mais même dans ce contexte éreintant, Jérôme trouvait quelques moments de répit. Il aimait se plonger dans des séries télévisées médiocres, qui lui permettaient de s'évader de son quotidien morose. Il aimait aussi dénicher de bonnes affaires sur internet, ou dans des enseignes de hard-discount. Ces moments de plaisir fugaces étaient pour lui une bouffée d'air frais dans une vie étouffante.

Au fond, Jérôme savait que sa vie était triste, vide, sans réelle perspective d'avenir. Mais il préférait se voiler la face, se persuader que tout allait bien. Il se raccrochait à sa routine quotidienne, à ses petits plaisirs insignifiants. Car il avait peur de regarder en face sa propre impuissance face à un monde qui le broyait lentement mais sûrement. Et pourtant, il continuait à avancer, à lutter contre l'oppression de son quotidien, même si cela ne menait nulle part.

Merci de ta réponse.
D'accord je vois bien ce tableau pessimiste de la vie de Jérôme. Mais je pense pas que ça soit le cas de tout les gens ayant un travail, une maison, une femme et des enfants.
Quelles alternatives te semblent être une plus réjouissante à long terme ?

femme = baise à disposition, gain de temps, faible investissement, pas d'effort de drague, tu peux taper dedans sans froufrou

enfants = animation dans la maison, si éduqués participe aux tâches ménagère (gain de temps), moteur

maison : adieu le loyer à vie,

chien = seul truc un peu inutile

l'anti-french dream c'est pour les jaloux

Le 13 mars 2024 à 00:01:45 :
femme = baise à disposition, gain de temps, faible investissement, pas d'effort de drague, tu peux taper dedans sans froufrou

enfants = animation dans la maison, si éduqués participe aux tâches ménagère (gain de temps), moteur

maison : adieu le loyer à vie,

chien = seul truc un peu inutile

l'anti-french dream c'est pour les jaloux

Merci de ta réponse. On débouche sur la même conclusion je ne vois pas de chose plus enviables.

Le 13 mars 2024 à 00:03:45 :

Le 13 mars 2024 à 00:01:45 :
femme = baise à disposition, gain de temps, faible investissement, pas d'effort de drague, tu peux taper dedans sans froufrou

enfants = animation dans la maison, si éduqués participe aux tâches ménagère (gain de temps), moteur

maison : adieu le loyer à vie,

chien = seul truc un peu inutile

l'anti-french dream c'est pour les jaloux

Merci de ta réponse. On débouche sur la même conclusion je ne vois pas de chose plus enviables.

bah si tu vises pas ça, il te reste que ta salle de sport, youporn et des collègues de boulot qui font leur vie (c'est pas un alternative-dream)

Le 13 mars 2024 à 00:05:32 :

Le 13 mars 2024 à 00:03:45 :

Le 13 mars 2024 à 00:01:45 :
femme = baise à disposition, gain de temps, faible investissement, pas d'effort de drague, tu peux taper dedans sans froufrou

enfants = animation dans la maison, si éduqués participe aux tâches ménagère (gain de temps), moteur

maison : adieu le loyer à vie,

chien = seul truc un peu inutile

l'anti-french dream c'est pour les jaloux

Merci de ta réponse. On débouche sur la même conclusion je ne vois pas de chose plus enviables.

bah si tu vises pas ça, il te reste que ta salle de sport, youporn et des collègues de boulot qui font leur vie (c'est pas un alternative-dream)

On est d'accord c'est une vie d'ados quoi. Mais ceux qui critique le french dream n'ont donc pas d'alternatives ?

Le 13 mars 2024 à 00:12:08 VidalGandolfo a écrit :
le French Dream c'est le World Dream
99% des gens ont cette vie dans le monde

+1000

Le 13 mars 2024 à 00:12:08 :
le French Dream c'est le World Dream
99% des gens ont cette vie dans le monde

+1000

Le 12 mars 2024 à 23:37:13 :
Femme, maison, chien, enfant. On est d'accord ?
Une majorité chie dessus ici.
Possible d'avoir une critique objectives des kheys ?
Et les alternatives les plus enviables ?

Y a quoi maintenant ?

Alors que la plupart d'entre nous bloque déjà à l'étape de la femme

Donnez moi un bon french dream en campagne que je sois en pax

Déferlement de khey qui vont dans le sens du french dream. J'aurais peut être du mettre un sondage l'histoire de voir

Ducoup pas vraiment de réponse qui va à l'encontre du french dream