L'IA et la robotique vont nous conduire à l'ultime catastrophe

Le 27 février 2024 à 18:08:22 :

Le 27 février 2024 à 18:02:28 :
t'inquiète pas khey on sera mort d'ici là

arrêtes de tomber dans le panneau des golems de la silicon valley qui hype les LLM pour rien

Je m'en fiche d'être mort. Je veux pas que ça survienne. Je le dis sans rire, je préfère que la fin du monde advienne sur une gigantesque guerre mondiale à base de têtes nucléaires que de cette manière.

Et je suis hyper sceptique vis-à-vis de ces trucs à la base, hein. Mais la courbe de progression est beaucoup trop rapide, entre l'IA de Google et le nouveau truc d'OpenAI pour faire des films. En quoi dans 50 ans ne pourrait-il pas y avoir des esseins de robots autonomes construisant d'eux-mêmes des bâtiments ?

Et le pompon c'est vraiment l'implant qui permet de bouger le curseur d'un ordinateur par la pensée. Ça veut dire que l'on peut potentiellement contrôler toutes les machines, et même communiquer avec des gens (Dans un seul sens je l'espère ? Je ne sais pas si ce sera possible de déclencher des sons dans le cerveau et puis de les articuler ?). Ça veut dire que l'on sait exploiter les signaux du cerveau.

En effet la WW3 est bien plus probable que une IA de science fiction.
C'est pas de la magie khey, cette technologie existait déjà en 1980 mais on avait pas assez de puissance et de data.
Aujourd'hui on est déjà au max de ce qu'on peut faire avec l'ia (ou presque), il faudra attendre une autre révolution (si c'est possible) pour que ça devienne inquiétant.
Les photos et la vidéo c'est pas si compliqué que ça, l'ordinateur n'a pas besoin d'être intelligent pour faire tout ça, c'est de la puissance de calcul brut.

On est des mammifères.
Les mammifères n'en branle pas une sauf nous d'où l'état mental désastreux dans notre société.

Par contre ça va nous tuer car le système n'a rien a faire des inutiles

Le 27 février 2024 à 18:08:35 :
A ceux qui voient les IA comme une avancée technologique émancipatrice comme d'autres technologies avant, ils se trompent.
Par exemple, la robotisation en usine soulageait les humains dans leurs tâches répétitives. Certes le temps du remplacement, il y a destruction d'emplois mais c'est une amélioration car ça libère l'humain de l'aliénation des tâches ingrates (travail à la chaine en usine).
Dans le cas des IA génératives d'images ou de textes. Elles subtilisent à l'humain ce qu'il a de plus cher et de précieux, sa capacité à créer, à apprendre, à s'élever par l'apprentissage des arts et a exprimer son humanité. Elle ne le libère pas, elle l'aliène. L'humain devenant spectateur, consommateur amorphe dépossédé de ce qui pourrait le rendre libre.

L'IA en art on s'en fiche un peu justement. Elle ne se contente que d'imiter ce qui existe déjà. Sans doute qu'à un moment donné elle le fera à la perfection, mais cela importe peu. Le remplacement de TOUTES LES ACTIVITÉS DE PRODUCTION, SANS AUCUNE EXCEPTION, ça c'est vraiment terrifiant.

Le 27 février 2024 à 18:11:56 :

Le 27 février 2024 à 18:08:22 :

Le 27 février 2024 à 18:02:28 :
t'inquiète pas khey on sera mort d'ici là

arrêtes de tomber dans le panneau des golems de la silicon valley qui hype les LLM pour rien

Je m'en fiche d'être mort. Je veux pas que ça survienne. Je le dis sans rire, je préfère que la fin du monde advienne sur une gigantesque guerre mondiale à base de têtes nucléaires que de cette manière.

Et je suis hyper sceptique vis-à-vis de ces trucs à la base, hein. Mais la courbe de progression est beaucoup trop rapide, entre l'IA de Google et le nouveau truc d'OpenAI pour faire des films. En quoi dans 50 ans ne pourrait-il pas y avoir des esseins de robots autonomes construisant d'eux-mêmes des bâtiments ?

Et le pompon c'est vraiment l'implant qui permet de bouger le curseur d'un ordinateur par la pensée. Ça veut dire que l'on peut potentiellement contrôler toutes les machines, et même communiquer avec des gens (Dans un seul sens je l'espère ? Je ne sais pas si ce sera possible de déclencher des sons dans le cerveau et puis de les articuler ?). Ça veut dire que l'on sait exploiter les signaux du cerveau.

En effet la WW3 est bien plus probable que une IA de science fiction.
C'est pas de la magie khey, cette technologie existait déjà en 1980 mais on avait pas assez de puissance et de data.
Aujourd'hui on est déjà au max de ce qu'on peut faire avec l'ia (ou presque), il faudra attendre une autre révolution (si c'est possible) pour que ça devienne inquiétant.
Les photos et la vidéo c'est pas si compliqué que ça, l'ordinateur n'a pas besoin d'être intelligent pour faire tout ça, c'est de la puissance de calcul brut.

Mais justement, ça fait des décennies que les méthodes actuelles existent, et les ordinateurs continuent à être de plus en plus performant, et on a les techniques. N'est-ce pas qu'une question de temps pour que les applications à la robotique se fassent ?
Qu'est-ce qui selon toi n'est pas possible ?

Puis à côté de ça y a les implants cérébraux. Ça m'angoisse encore plus ces trucs.

Le 27 février 2024 à 18:14:24 :
On est des mammifères.
Les mammifères n'en branle pas une sauf nous d'où l'état mental désastreux dans notre société.

Par contre ça va nous tuer car le système n'a rien a faire des inutiles

La finalité c'est ce que j'ai décrit. En dernier lieu les cinglés au pouvoir souhaitent bien que les gens puissent vivre selon cette sorte d'hédonisme universel. Seulement, ils le veulent absolument, et c'est pour ça qu'ils sont prêts à tout. Ce sont des tarés. Et le pire c'est que la majorité des gens adoreraient vivre dans un monde pareil.

ChatGPT, reformule moi ce pavé de frustré écrit par un puceau du 18-25 de JVC :

"Et cette ultime catastrophe ce ne sera pas des robots capables de simuler la conscience et se mettant à nous massacrer ni quelque chose d'analogue. Ce sera tout simplement le fait qu'il n'y aura vraiment plus besoin de travailler. Or, le travail fait partie de nous. Sans le travail (et j'inclu dans le travail toute forme de production. Peindre, c'est du travail), on dégénère, physiquement et moralement.

Ça me bouffe le moral d'y penser. Ça date pas d'hier que les tarés matérialistes souhaitent accomplir une sorte de paradis terrestre, et il va finalement vraiment s'accomplir, grâce à l'IA combinée à la robotique. Mais en vérité ce sera un enfer. Il n'y aura plus besoin de travailler, et produire sera inutile. Le revenu universel sera imposé, et il sera vraiment pertinent. Sauf que ce sera une catastrophe, parce que nous sommes faits pour travailler. Je ne dis pas que nous sommes faits pour passer tout notre temps dans un boulot minable du tertiaire (leur existence d'ailleurs atteste du fait que l'on n'a déjà plus vraiment besoin de travailler) mais nous devons être occupés par une tâche productive, et il faut qu'elle ait un effet positif, ajoutant quelque chose qu'il n'y avait pas auparavant. Si les gens n'ont plus besoin de travailler ils ne se mettront pas à faire de l'art ou quoi que ce soit d'autre, ils ne feront rien que consommer, et leur vie sera régie par le stimuli instantané. Ce sera alors la plus grande chute morale de l'humanité et son effondrement. Plus rien n'aura de sens parce que les gens ne croiront plus (Ils ne le croient déjà plus) que la vraie vie est à venir, et car il n'y aura rien accomplir dans notre temporalité. Il n'y aura plus rien que la consommation de biens générés automatiquement par les machines. Il n'y aura plus d'incitation à produire quoi que ce soit, le fait de souhaiter produire sera marginal et paraîtra étrange. Mais le plus gros des masses ne s'en souciera pas : elle aura bien du divertissement produit par l'intelligence artificielle. Pourquoi faire soi-même les films ?
Ajoutons maintenant à cela les implants cérébraux. Tout appareil électrique pourra être contrôlé par la pensée, via les signaux que notre cerveau émet lorsque nous pensons ou que nous recevons de l'information. Il sera aussi possible de connaître les pensées de quelqu'un, et même de communiquer avec autrui par télépathie. L'Etat pourrait diriger le comportement des gens par ces implants en faisant en sorte qu'ils déclenchent des chocs aux cerveaux. Il pourrait vraiment les influencer (Mais les contrôler totalement, j'en doute cependant. Je crois que l'esprit n'est pas matériel et que l'on en possède le contrôle).

Ce n'est pas de la science-fiction, on connaît les méthodes pour faire tout cela, il ne suffit que de les développer."

------------------------------------------

Réponse :

"L'ultime révolution ne sera pas l'émergence de robots conscientes menaçant l'humanité, mais plutôt l'obsolescence du travail due à l'avancée de l'intelligence artificielle et de la robotique. Cette situation, où le besoin de travailler disparaît, pourrait sembler idéale à première vue, mais elle porte en elle des conséquences néfastes pour notre bien-être physique et moral. Le travail, sous toutes ses formes, y compris la création artistique, est essentiel à notre épanouissement.

L'idée d'un paradis sur Terre, sans besoin de travailler, alimentée par la vision matérialiste de certains, semble se concrétiser grâce aux progrès technologiques. Néanmoins, cette réalité s'avère être un véritable enfer. L'absence de nécessité de travail et de production rendra le revenu universel indispensable, mais cela entraînera une perte de sens et d'engagement dans des activités productives et créatives. Au lieu de se tourner vers l'art ou d'autres formes d'expression, la majorité se contentera de consommer passivement les divertissements générés par l'IA, entraînant une décadence morale sans précédent.

L'introduction d'implants cérébraux, permettant le contrôle des appareils électroniques par la pensée et potentiellement la lecture des pensées ou la communication télépathique, ajoute une dimension supplémentaire à cette dystopie. Bien que cela puisse sembler relever de la science-fiction, les bases scientifiques et techniques pour réaliser de telles technologies existent déjà, nécessitant simplement leur développement ultérieur."

Tellement mieux.

Le 27 février 2024 à 18:28:10 :
ChatGPT, reformule moi ce pavé de frustré écrit par un puceau du 18-25 de JVC :

"Et cette ultime catastrophe ce ne sera pas des robots capables de simuler la conscience et se mettant à nous massacrer ni quelque chose d'analogue. Ce sera tout simplement le fait qu'il n'y aura vraiment plus besoin de travailler. Or, le travail fait partie de nous. Sans le travail (et j'inclu dans le travail toute forme de production. Peindre, c'est du travail), on dégénère, physiquement et moralement.

Ça me bouffe le moral d'y penser. Ça date pas d'hier que les tarés matérialistes souhaitent accomplir une sorte de paradis terrestre, et il va finalement vraiment s'accomplir, grâce à l'IA combinée à la robotique. Mais en vérité ce sera un enfer. Il n'y aura plus besoin de travailler, et produire sera inutile. Le revenu universel sera imposé, et il sera vraiment pertinent. Sauf que ce sera une catastrophe, parce que nous sommes faits pour travailler. Je ne dis pas que nous sommes faits pour passer tout notre temps dans un boulot minable du tertiaire (leur existence d'ailleurs atteste du fait que l'on n'a déjà plus vraiment besoin de travailler) mais nous devons être occupés par une tâche productive, et il faut qu'elle ait un effet positif, ajoutant quelque chose qu'il n'y avait pas auparavant. Si les gens n'ont plus besoin de travailler ils ne se mettront pas à faire de l'art ou quoi que ce soit d'autre, ils ne feront rien que consommer, et leur vie sera régie par le stimuli instantané. Ce sera alors la plus grande chute morale de l'humanité et son effondrement. Plus rien n'aura de sens parce que les gens ne croiront plus (Ils ne le croient déjà plus) que la vraie vie est à venir, et car il n'y aura rien accomplir dans notre temporalité. Il n'y aura plus rien que la consommation de biens générés automatiquement par les machines. Il n'y aura plus d'incitation à produire quoi que ce soit, le fait de souhaiter produire sera marginal et paraîtra étrange. Mais le plus gros des masses ne s'en souciera pas : elle aura bien du divertissement produit par l'intelligence artificielle. Pourquoi faire soi-même les films ?
Ajoutons maintenant à cela les implants cérébraux. Tout appareil électrique pourra être contrôlé par la pensée, via les signaux que notre cerveau émet lorsque nous pensons ou que nous recevons de l'information. Il sera aussi possible de connaître les pensées de quelqu'un, et même de communiquer avec autrui par télépathie. L'Etat pourrait diriger le comportement des gens par ces implants en faisant en sorte qu'ils déclenchent des chocs aux cerveaux. Il pourrait vraiment les influencer (Mais les contrôler totalement, j'en doute cependant. Je crois que l'esprit n'est pas matériel et que l'on en possède le contrôle).

Ce n'est pas de la science-fiction, on connaît les méthodes pour faire tout cela, il ne suffit que de les développer."

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Réponse :

"L'ultime révolution ne sera pas l'émergence de robots conscientes menaçant l'humanité, mais plutôt l'obsolescence du travail due à l'avancée de l'intelligence artificielle et de la robotique. Cette situation, où le besoin de travailler disparaît, pourrait sembler idéale à première vue, mais elle porte en elle des conséquences néfastes pour notre bien-être physique et moral. Le travail, sous toutes ses formes, y compris la création artistique, est essentiel à notre épanouissement.

L'idée d'un paradis sur Terre, sans besoin de travailler, alimentée par la vision matérialiste de certains, semble se concrétiser grâce aux progrès technologiques. Néanmoins, cette réalité s'avère être un véritable enfer. L'absence de nécessité de travail et de production rendra le revenu universel indispensable, mais cela entraînera une perte de sens et d'engagement dans des activités productives et créatives. Au lieu de se tourner vers l'art ou d'autres formes d'expression, la majorité se contentera de consommer passivement les divertissements générés par l'IA, entraînant une décadence morale sans précédent.

L'introduction d'implants cérébraux, permettant le contrôle des appareils électroniques par la pensée et potentiellement la lecture des pensées ou la communication télépathique, ajoute une dimension supplémentaire à cette dystopie. Bien que cela puisse sembler relever de la science-fiction, les bases scientifiques et techniques pour réaliser de telles technologies existent déjà, nécessitant simplement leur développement ultérieur."

Tellement mieux.

Même l'IA dit que j'ai raison

Le 27 février 2024 à 18:30:07 :

Le 27 février 2024 à 18:28:10 :
ChatGPT, reformule moi ce pavé de frustré écrit par un puceau du 18-25 de JVC :

"Et cette ultime catastrophe ce ne sera pas des robots capables de simuler la conscience et se mettant à nous massacrer ni quelque chose d'analogue. Ce sera tout simplement le fait qu'il n'y aura vraiment plus besoin de travailler. Or, le travail fait partie de nous. Sans le travail (et j'inclu dans le travail toute forme de production. Peindre, c'est du travail), on dégénère, physiquement et moralement.

Ça me bouffe le moral d'y penser. Ça date pas d'hier que les tarés matérialistes souhaitent accomplir une sorte de paradis terrestre, et il va finalement vraiment s'accomplir, grâce à l'IA combinée à la robotique. Mais en vérité ce sera un enfer. Il n'y aura plus besoin de travailler, et produire sera inutile. Le revenu universel sera imposé, et il sera vraiment pertinent. Sauf que ce sera une catastrophe, parce que nous sommes faits pour travailler. Je ne dis pas que nous sommes faits pour passer tout notre temps dans un boulot minable du tertiaire (leur existence d'ailleurs atteste du fait que l'on n'a déjà plus vraiment besoin de travailler) mais nous devons être occupés par une tâche productive, et il faut qu'elle ait un effet positif, ajoutant quelque chose qu'il n'y avait pas auparavant. Si les gens n'ont plus besoin de travailler ils ne se mettront pas à faire de l'art ou quoi que ce soit d'autre, ils ne feront rien que consommer, et leur vie sera régie par le stimuli instantané. Ce sera alors la plus grande chute morale de l'humanité et son effondrement. Plus rien n'aura de sens parce que les gens ne croiront plus (Ils ne le croient déjà plus) que la vraie vie est à venir, et car il n'y aura rien accomplir dans notre temporalité. Il n'y aura plus rien que la consommation de biens générés automatiquement par les machines. Il n'y aura plus d'incitation à produire quoi que ce soit, le fait de souhaiter produire sera marginal et paraîtra étrange. Mais le plus gros des masses ne s'en souciera pas : elle aura bien du divertissement produit par l'intelligence artificielle. Pourquoi faire soi-même les films ?
Ajoutons maintenant à cela les implants cérébraux. Tout appareil électrique pourra être contrôlé par la pensée, via les signaux que notre cerveau émet lorsque nous pensons ou que nous recevons de l'information. Il sera aussi possible de connaître les pensées de quelqu'un, et même de communiquer avec autrui par télépathie. L'Etat pourrait diriger le comportement des gens par ces implants en faisant en sorte qu'ils déclenchent des chocs aux cerveaux. Il pourrait vraiment les influencer (Mais les contrôler totalement, j'en doute cependant. Je crois que l'esprit n'est pas matériel et que l'on en possède le contrôle).

Ce n'est pas de la science-fiction, on connaît les méthodes pour faire tout cela, il ne suffit que de les développer."

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Réponse :

"L'ultime révolution ne sera pas l'émergence de robots conscientes menaçant l'humanité, mais plutôt l'obsolescence du travail due à l'avancée de l'intelligence artificielle et de la robotique. Cette situation, où le besoin de travailler disparaît, pourrait sembler idéale à première vue, mais elle porte en elle des conséquences néfastes pour notre bien-être physique et moral. Le travail, sous toutes ses formes, y compris la création artistique, est essentiel à notre épanouissement.

L'idée d'un paradis sur Terre, sans besoin de travailler, alimentée par la vision matérialiste de certains, semble se concrétiser grâce aux progrès technologiques. Néanmoins, cette réalité s'avère être un véritable enfer. L'absence de nécessité de travail et de production rendra le revenu universel indispensable, mais cela entraînera une perte de sens et d'engagement dans des activités productives et créatives. Au lieu de se tourner vers l'art ou d'autres formes d'expression, la majorité se contentera de consommer passivement les divertissements générés par l'IA, entraînant une décadence morale sans précédent.

L'introduction d'implants cérébraux, permettant le contrôle des appareils électroniques par la pensée et potentiellement la lecture des pensées ou la communication télépathique, ajoute une dimension supplémentaire à cette dystopie. Bien que cela puisse sembler relever de la science-fiction, les bases scientifiques et techniques pour réaliser de telles technologies existent déjà, nécessitant simplement leur développement ultérieur."

Tellement mieux.

Même l'IA dit que j'ai raison

L'IA se contente de réécrire ton bousin, comme je lui ai ordonné, le malhonnête intellectuel

L'IA se contente de réécrire ton bousin, comme je lui ai ordonné, le malhonnête intellectuel

ça s'appelle une blague

Le 27 février 2024 à 18:50:25 :
L'auteur t'es un demi-habile

Le demi-habile c'est celui qui voit que les conventions sociales sont théâtrales et les dénonce pour cela, sans voir qu'elles sont en fait nécessaires. Ce que tu veux me dire c'est que finalement j'ai des craintes infondées sur l'IA parce qu'en dernier lieu elle serait positive, ou car je lui vois un développement impossible ? Même question sur les implants cérébraux.

En fait on peut déjà lire dans nos pensées.

https://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-12855871/mind-reading-AI-translates-brainwaves-text.html

J'en peux plus de ce monde abominable