L'IA et la robotique vont nous conduire à l'ultime catastrophe
Et cette ultime catastrophe ce ne sera pas des robots capables de simuler la conscience et se mettant à nous massacrer ni quelque chose d'analogue. Ce sera tout simplement le fait qu'il n'y aura vraiment plus besoin de travailler. Or, le travail fait partie de nous. Sans le travail (et j'inclu dans le travail toute forme de production. Peindre, c'est du travail), on dégénère, physiquement et moralement.
Ça me bouffe le moral d'y penser. Ça date pas d'hier que les tarés matérialistes souhaitent accomplir une sorte de paradis terrestre, et il va finalement vraiment s'accomplir, grâce à l'IA combinée à la robotique. Mais en vérité ce sera un enfer. Il n'y aura plus besoin de travailler, et produire sera inutile. Le revenu universel sera imposé, et il sera vraiment pertinent. Sauf que ce sera une catastrophe, parce que nous sommes faits pour travailler. Je ne dis pas que nous sommes faits pour passer tout notre temps dans un boulot minable du tertiaire (leur existence d'ailleurs atteste du fait que l'on n'a déjà plus vraiment besoin de travailler) mais nous devons être occupés par une tâche productive, et il faut qu'elle ait un effet positif, ajoutant quelque chose qu'il n'y avait pas auparavant. Si les gens n'ont plus besoin de travailler ils ne se mettront pas à faire de l'art ou quoi que ce soit d'autre, ils ne feront rien que consommer, et leur vie sera régie par le stimuli instantané. Ce sera alors la plus grande chute morale de l'humanité et son effondrement. Plus rien n'aura de sens parce que les gens ne croiront plus (Ils ne le croient déjà plus) que la vraie vie est à venir, et car il n'y aura rien accomplir dans notre temporalité. Il n'y aura plus rien que la consommation de biens générés automatiquement par les machines. Il n'y aura plus d'incitation à produire quoi que ce soit, le fait de souhaiter produire sera marginal et paraîtra étrange. Mais le plus gros des masses ne s'en souciera pas : elle aura bien du divertissement produit par l'intelligence artificielle. Pourquoi faire soi-même les films ?
Ajoutons maintenant à cela les implants cérébraux. Tout appareil électrique pourra être contrôlé par la pensée, via les signaux que notre cerveau émet lorsque nous pensons ou que nous recevons de l'information. Il sera aussi possible de connaître les pensées de quelqu'un, et même de communiquer avec autrui par télépathie. L'Etat pourrait diriger le comportement des gens par ces implants en faisant en sorte qu'ils déclenchent des chocs aux cerveaux. Il pourrait vraiment les influencer (Mais les contrôler totalement, j'en doute cependant. Je crois que l'esprit n'est pas matériel et que l'on en possède le contrôle).
Ce n'est pas de la science-fiction, on connaît les méthodes pour faire tout cela, il ne suffit que de les développer.
Ce n'est pas de la science-fiction, on connaît les méthodes pour faire tout cela, il ne suffit que de les développer.
Non bien entendu c'est pas de la SF, je pratique l'IA depuis 7ans en parallèle, je pourrais.
Le 27 février 2024 à 17:42:10 :
Ce n'est pas de la science-fiction, on connaît les méthodes pour faire tout cela, il ne suffit que de les développer.
Non bien entendu c'est pas de la SF, je pratique l'IA depuis 7ans en parallèle, je pourrais.
Moque toi donc...
Je valide
C'est aussi pour ça qu'avant ils souhaitent se débarrasser de l'homme blanc pour nous remplacer par des gens qui n'ont jamais rien produit et heureux de ne pas travailler
Plus la chute sera brutale plus il y aura de choses à sauver.
Le 27 février 2024 à 17:44:43 :
Bah vivement que l'IA fasse tout le travail, si y avait jamais besoin de le faire alors que l'IA nous éradique. À quoi ça sert de travailler juste histoire de se divertir ? Autant que l'humanité disparaisse ca sera une bonne chose, plus besoin de se distraire.
Pour moi le but de la vie c'est le salut de l'âme (je suis catholique). Sans ça, oui, tu n'as pas tort. Le travail est une distraction temporelle et temporaire dont la fonction est double : assurer ses moyens de subsistance et nous occuper jusqu'à la mort.
Le cerveau c'est pareil.
Le 27 février 2024 à 17:49:02 :
Je valideC'est aussi pour ça qu'avant ils souhaitent se débarrasser de l'homme blanc pour nous remplacer par des gens qui n'ont jamais rien produit et heureux de ne pas travailler
Blancs ou pas, ça change absolument rien, les gens dans un monde pareil seront les mêmes, indépendemment de leur race ou ethnie. Cependant, puisque tu évoques ces gens imperméables au travail... et bien imagine encore pire que ces gens-là... Ce sont les gens d'un monde où tout est automatisé.
Le 27 février 2024 à 17:49:28 :
Tant mieux.
Plus la chute sera brutale plus il y aura de choses à sauver.
Y aura justement rien à sauver. Ce sera la vraie fin de l'histoire (et la fin des temps, si tu es chrétien).
Le 27 février 2024 à 17:39:49 :
Et cette ultime catastrophe ce ne sera pas des robots capables de simuler la conscience et se mettant à nous massacrer ni quelque chose d'analogue. Ce sera tout simplement le fait qu'il n'y aura vraiment plus besoin de travailler. Or, le travail fait partie de nous. Sans le travail (et j'inclu dans le travail toute forme de production. Peindre, c'est du travail), on dégénère, physiquement et moralement.Ça me bouffe le moral d'y penser. Ça date pas d'hier que les tarés matérialistes souhaitent accomplir une sorte de paradis terrestre, et il va finalement vraiment s'accomplir, grâce à l'IA combinée à la robotique. Mais en vérité ce sera un enfer. Il n'y aura plus besoin de travailler, et produire sera inutile. Le revenu universel sera imposé, et il sera vraiment pertinent. Sauf que ce sera une catastrophe, parce que nous sommes faits pour travailler. Je ne dis pas que nous sommes faits pour passer tout notre temps dans un boulot minable du tertiaire (leur existence d'ailleurs atteste du fait que l'on n'a déjà plus vraiment besoin de travailler) mais nous devons être occupés par une tâche productive, et il faut qu'elle ait un effet positif, ajoutant quelque chose qu'il n'y avait pas auparavant. Si les gens n'ont plus besoin de travailler ils ne se mettront pas à faire de l'art ou quoi que ce soit d'autre, ils ne feront rien que consommer, et leur vie sera régie par le stimuli instantané. Ce sera alors la plus grande chute morale de l'humanité et son effondrement. Plus rien n'aura de sens parce que les gens ne croiront plus (Ils ne le croient déjà plus) que la vraie vie est à venir, et car il n'y aura rien accomplir dans notre temporalité. Il n'y aura plus rien que la consommation de biens générés automatiquement par les machines. Il n'y aura plus d'incitation à produire quoi que ce soit, le fait de souhaiter produire sera marginal et paraîtra étrange. Mais le plus gros des masses ne s'en souciera pas : elle aura bien du divertissement produit par l'intelligence artificielle. Pourquoi faire soi-même les films ?
Ajoutons maintenant à cela les implants cérébraux. Tout appareil électrique pourra être contrôlé par la pensée, via les signaux que notre cerveau émet lorsque nous pensons ou que nous recevons de l'information. Il sera aussi possible de connaître les pensées de quelqu'un, et même de communiquer avec autrui par télépathie. L'Etat pourrait diriger le comportement des gens par ces implants en faisant en sorte qu'ils déclenchent des chocs aux cerveaux. Il pourrait vraiment les influencer (Mais les contrôler totalement, j'en doute cependant. Je crois que l'esprit n'est pas matériel et que l'on en possède le contrôle).Ce n'est pas de la science-fiction, on connaît les méthodes pour faire tout cela, il ne suffit que de les développer.
J'ai pas tout lu mais le Grand Remplacement est en marche, le vrai Grand Remplacement
Quand tu sais que Microsoft, ou Jeff bezos investissent en masse la dedans tu sais que ça sent pas bon, not ready
Le 27 février 2024 à 17:57:12 :
Le 27 février 2024 à 17:39:49 :
Et cette ultime catastrophe ce ne sera pas des robots capables de simuler la conscience et se mettant à nous massacrer ni quelque chose d'analogue. Ce sera tout simplement le fait qu'il n'y aura vraiment plus besoin de travailler. Or, le travail fait partie de nous. Sans le travail (et j'inclu dans le travail toute forme de production. Peindre, c'est du travail), on dégénère, physiquement et moralement.Ça me bouffe le moral d'y penser. Ça date pas d'hier que les tarés matérialistes souhaitent accomplir une sorte de paradis terrestre, et il va finalement vraiment s'accomplir, grâce à l'IA combinée à la robotique. Mais en vérité ce sera un enfer. Il n'y aura plus besoin de travailler, et produire sera inutile. Le revenu universel sera imposé, et il sera vraiment pertinent. Sauf que ce sera une catastrophe, parce que nous sommes faits pour travailler. Je ne dis pas que nous sommes faits pour passer tout notre temps dans un boulot minable du tertiaire (leur existence d'ailleurs atteste du fait que l'on n'a déjà plus vraiment besoin de travailler) mais nous devons être occupés par une tâche productive, et il faut qu'elle ait un effet positif, ajoutant quelque chose qu'il n'y avait pas auparavant. Si les gens n'ont plus besoin de travailler ils ne se mettront pas à faire de l'art ou quoi que ce soit d'autre, ils ne feront rien que consommer, et leur vie sera régie par le stimuli instantané. Ce sera alors la plus grande chute morale de l'humanité et son effondrement. Plus rien n'aura de sens parce que les gens ne croiront plus (Ils ne le croient déjà plus) que la vraie vie est à venir, et car il n'y aura rien accomplir dans notre temporalité. Il n'y aura plus rien que la consommation de biens générés automatiquement par les machines. Il n'y aura plus d'incitation à produire quoi que ce soit, le fait de souhaiter produire sera marginal et paraîtra étrange. Mais le plus gros des masses ne s'en souciera pas : elle aura bien du divertissement produit par l'intelligence artificielle. Pourquoi faire soi-même les films ?
Ajoutons maintenant à cela les implants cérébraux. Tout appareil électrique pourra être contrôlé par la pensée, via les signaux que notre cerveau émet lorsque nous pensons ou que nous recevons de l'information. Il sera aussi possible de connaître les pensées de quelqu'un, et même de communiquer avec autrui par télépathie. L'Etat pourrait diriger le comportement des gens par ces implants en faisant en sorte qu'ils déclenchent des chocs aux cerveaux. Il pourrait vraiment les influencer (Mais les contrôler totalement, j'en doute cependant. Je crois que l'esprit n'est pas matériel et que l'on en possède le contrôle).Ce n'est pas de la science-fiction, on connaît les méthodes pour faire tout cela, il ne suffit que de les développer.
J'ai pas tout lu mais le Grand Remplacement est en marche, le vrai Grand Remplacement
Quand tu sais que Microsoft, ou Jeff bezos investissent en masse la dedans tu sais que ça sent pas bon, not ready
Plus besoin de travailler, des robots partout, des puces dans le crâne pour n'accomplir absolument aucune tâche servile et pouvoir contrôler les machines. Ça fait rêver.
Effectivement l'IA, au lieu de nous libérer risque de nous aliéner et faire de nous de véritable larves.
Le 27 février 2024 à 18:02:28 :
t'inquiète pas khey on sera mort d'ici làarrêtes de tomber dans le panneau des golems de la silicon valley qui hype les LLM pour rien
Je m'en fiche d'être mort. Je veux pas que ça survienne. Je le dis sans rire, je préfère que la fin du monde advienne sur une gigantesque guerre mondiale à base de têtes nucléaires que de cette manière.
Et je suis hyper sceptique vis-à-vis de ces trucs à la base, hein. Mais la courbe de progression est beaucoup trop rapide, entre l'IA de Google et le nouveau truc d'OpenAI pour faire des films. En quoi dans 50 ans ne pourrait-il pas y avoir des esseins de robots autonomes construisant d'eux-mêmes des bâtiments ?
Et le pompon c'est vraiment l'implant qui permet de bouger le curseur d'un ordinateur par la pensée. Ça veut dire que l'on peut potentiellement contrôler toutes les machines, et même communiquer avec des gens (Dans un seul sens je l'espère ? Je ne sais pas si ce sera possible de déclencher des sons dans le cerveau et puis de les articuler ?). Ça veut dire que l'on sait exploiter les signaux du cerveau.
Par exemple, la robotisation en usine soulageait les humains dans leurs tâches répétitives. Certes le temps du remplacement, il y a destruction d'emplois mais c'est une amélioration car ça libère l'humain de l'aliénation des tâches ingrates (travail à la chaine en usine).
Dans le cas des IA génératives d'images ou de textes. Elles subtilisent à l'humain ce qu'il a de plus cher et de précieux, sa capacité à créer, à apprendre, à s'élever par l'apprentissage des arts et a exprimer son humanité. Elle ne le libère pas, elle l'aliène. L'humain devenant spectateur, consommateur amorphe dépossédé de ce qui pourrait le rendre libre.
Le 27 février 2024 à 18:04:50 :
J'ai déjà fait des posts là dessus.
Effectivement l'IA, au lieu de nous libérer risque de nous aliéner et faire de nous de véritable larves.
L'année dernière dans un cours d'anglais (Les cours d'anglais de fac quoi) on devait faire une rédaction pour donner notre avis sur ChatGPT. Je n'avais pas encore testé l'outil et j'avais dit, en me disant que je disais n'importe quoi, que ça nous rendrait fainéants. Maintenant j'en suis convaincu.
Données du topic
- Auteur
- chaisefenetre
- Date de création
- 27 février 2024 à 17:39:49
- Nb. messages archivés
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