La plus grosse connerie que vous avez fait au boulot

Le 20 février 2024 à 08:53:48 :
Dans mon équipe, une des meufs a oublié de refermer la chambre froide. Le lendemain il faisait 18 degrés dedans, j'ai pu jeter l'intégralité des stocks de produits frais et on a dû fermer et tout recommander en urgence. 2 jours de fermeture le temps que les livraisons arrivent et avec la moitié de la carte disponible seulement

elle a été viré ?

Je bossais en tant qu'agent de voirie, je balayais les trottoirs et je ramassais les crottes de chien pour faire court. Un matin je décide de planquer ma charrette dans un buisson et de piquer un somme sur un banc que j'avais repéré, il était à l'abri des regards dans un coin d'un bois peu fréquenté, j'avais pas vraiment décuvé de la veille donc je me suis endormi aussi sec. Pas de chance pour moi, la dame qui m'avait fait passer l'entretien d'embauche passait justement par là pour promener son chien, j'ai reçu un coup de fil dans l'après-midi et je me suis évidemment fait virer

Mon job suivant était dans un camping, un camping de merde 2 étoiles où je faisais le ménage. J'avais une grande salle à ma disposition qui me servait de local, et évidemment de salle de pause où je passais la plupart de mon temps à glander entre deux récurages de chiottes, l'avantage étant que je pouvais m'enfermer à clé. Un matin où je n'avais de nouveau pas décuvé de la veille, je décida d'accoler plusieurs chaises afin de me constituer un petit lit de fortune sur lequel je pourrais roupiller à ma guise. Mais quelle ne fût pas ma surprise quand mon chef passa justement par là alors que je ronflais à plein volume, il me cherchait depuis une demi-heure dans tout le camping le con, virer dans la seconde bien-sûr

Par la suite j'ai décroché un job dans une usine via une boite d'intérim au poste de conducteur de ligne de production automatisée dans l'agroalimentaire. Premier jour, et putain ce que le rythme était effréné bordel j'étais pas préparé à ça, la machine ne me laissait aucun répit, je pouvais sentir ma sueur s'accumuler dans la charlotte ridicule que j'avais sur la tête. Sauf qu'à force de prendre du retard les produits s'entassaient sur la putain de plaque tournante et dans la panique j'avais oublié quel était le bouton qui permettait d'arrêter cette machine du démon. Ça débordait de partout et tout a fini par se casser la gueule dans tous les sens, je me suis fait remercier, et j'ai plus jamais eu de nouvelles de la boite d'intérim. Depuis je suis au RSA, je crois que le travail c'est pas fait pour moi

Le 20 février 2024 à 09:28:18 :
Je bossais en tant qu'agent de voirie, je balayais les trottoirs et je ramassais les crottes de chien pour faire court. Un matin je décide de planquer ma charrette dans un buisson et de piquer un somme sur un banc que j'avais repérer, il était à l'abri des regards dans un coin d'un bois peu fréquenté, j'avais pas vraiment décuvé de la veille donc je me suis endormi aussi sec. Pas de chance pour moi, la dame qui m'avait fait passer l'entretien d'embauche passait justement par là pour promener son chien, j'ai reçu un coup de fil dans l'après-midi et je me suis évidemment fait virer

Mon job suivant était dans un camping, un camping de merde 2 étoiles où je faisais le ménage. J'avais une grande salle qui me servait de local, et évidemment de salle de pause où je passais la plupart de mon temps à glander entre deux récurages de chiottes, l'avantage étant que je pouvais m'enfermer à clé. Un matin où je n'avais de nouveau pas décuvé de la veille, je décida d'accoler plusieurs chaises afin de me constituer un petit lit de fortune sur lequel je pourrais roupiller à ma guise. Mais quelle ne fût pas ma surprise quand mon chef passa justement par là alors que je ronflais à plein volume, il me cherchait depuis une demi-heure dans tout le camping le con, virer dans la seconde bien-sûr

Par la suite j'ai décroché un job dans une usine via une boite d'intérim au poste de conducteur de ligne de production automatisée dans l'agroalimentaire. Premier jour, et putain ce que le rythme était effréné bordel j'étais pas préparé à ça, la machine ne me laissait aucun répit, je pouvais sentir ma sueur s'accumuler dans la charlotte ridicule que j'avais sur la tête. Sauf qu'à force de prendre du retard les produits s'entassaient sur la putain de plaque tournante et dans la panique j'avais oublié quel était le bouton qui permettait d'arrêter cette machine du démon. Ça débordait de partout et tout a fini par se casser la gueule dans tous les sens, je me suis fait remercier, et j'ai plus jamais eu de nouvelles de la boite d'intérim. Depuis je suis au RSA, je crois que le travail c'est pas fait pour moi

Par contre y'a du progrès, la 3eme anecdote n'est plus associée au fait de dormir au travail, tu te professionnalises, c'est bien .

Le 20 février 2024 à 09:31:40 :

Le 20 février 2024 à 09:28:18 :
Je bossais en tant qu'agent de voirie, je balayais les trottoirs et je ramassais les crottes de chien pour faire court. Un matin je décide de planquer ma charrette dans un buisson et de piquer un somme sur un banc que j'avais repérer, il était à l'abri des regards dans un coin d'un bois peu fréquenté, j'avais pas vraiment décuvé de la veille donc je me suis endormi aussi sec. Pas de chance pour moi, la dame qui m'avait fait passer l'entretien d'embauche passait justement par là pour promener son chien, j'ai reçu un coup de fil dans l'après-midi et je me suis évidemment fait virer

Mon job suivant était dans un camping, un camping de merde 2 étoiles où je faisais le ménage. J'avais une grande salle qui me servait de local, et évidemment de salle de pause où je passais la plupart de mon temps à glander entre deux récurages de chiottes, l'avantage étant que je pouvais m'enfermer à clé. Un matin où je n'avais de nouveau pas décuvé de la veille, je décida d'accoler plusieurs chaises afin de me constituer un petit lit de fortune sur lequel je pourrais roupiller à ma guise. Mais quelle ne fût pas ma surprise quand mon chef passa justement par là alors que je ronflais à plein volume, il me cherchait depuis une demi-heure dans tout le camping le con, virer dans la seconde bien-sûr

Par la suite j'ai décroché un job dans une usine via une boite d'intérim au poste de conducteur de ligne de production automatisée dans l'agroalimentaire. Premier jour, et putain ce que le rythme était effréné bordel j'étais pas préparé à ça, la machine ne me laissait aucun répit, je pouvais sentir ma sueur s'accumuler dans la charlotte ridicule que j'avais sur la tête. Sauf qu'à force de prendre du retard les produits s'entassaient sur la putain de plaque tournante et dans la panique j'avais oublié quel était le bouton qui permettait d'arrêter cette machine du démon. Ça débordait de partout et tout a fini par se casser la gueule dans tous les sens, je me suis fait remercier, et j'ai plus jamais eu de nouvelles de la boite d'intérim. Depuis je suis au RSA, je crois que le travail c'est pas fait pour moi

Par contre y'a du progrès, la 3eme anecdote n'est plus associée au fait de dormir au travail, tu te professionnalises, c'est bien .

On progresse on progresse

Le 20 février 2024 à 09:28:18 :
Je bossais en tant qu'agent de voirie, je balayais les trottoirs et je ramassais les crottes de chien pour faire court. Un matin je décide de planquer ma charrette dans un buisson et de piquer un somme sur un banc que j'avais repéré, il était à l'abri des regards dans un coin d'un bois peu fréquenté, j'avais pas vraiment décuvé de la veille donc je me suis endormi aussi sec. Pas de chance pour moi, la dame qui m'avait fait passer l'entretien d'embauche passait justement par là pour promener son chien, j'ai reçu un coup de fil dans l'après-midi et je me suis évidemment fait virer

Mon job suivant était dans un camping, un camping de merde 2 étoiles où je faisais le ménage. J'avais une grande salle à ma disposition qui me servait de local, et évidemment de salle de pause où je passais la plupart de mon temps à glander entre deux récurages de chiottes, l'avantage étant que je pouvais m'enfermer à clé. Un matin où je n'avais de nouveau pas décuvé de la veille, je décida d'accoler plusieurs chaises afin de me constituer un petit lit de fortune sur lequel je pourrais roupiller à ma guise. Mais quelle ne fût pas ma surprise quand mon chef passa justement par là alors que je ronflais à plein volume, il me cherchait depuis une demi-heure dans tout le camping le con, virer dans la seconde bien-sûr

Par la suite j'ai décroché un job dans une usine via une boite d'intérim au poste de conducteur de ligne de production automatisée dans l'agroalimentaire. Premier jour, et putain ce que le rythme était effréné bordel j'étais pas préparé à ça, la machine ne me laissait aucun répit, je pouvais sentir ma sueur s'accumuler dans la charlotte ridicule que j'avais sur la tête. Sauf qu'à force de prendre du retard les produits s'entassaient sur la putain de plaque tournante et dans la panique j'avais oublié quel était le bouton qui permettait d'arrêter cette machine du démon. Ça débordait de partout et tout a fini par se casser la gueule dans tous les sens, je me suis fait remercier, et j'ai plus jamais eu de nouvelles de la boite d'intérim. Depuis je suis au RSA, je crois que le travail c'est pas fait pour moi

Courage kheyou, dans 10 ans tu réussiras peut être à faire une journée de taf normale.

Blague à part, dommage pour agent de voirie tu aurais eu une planque en or et job tranquille.