De Gaulle planqué en pantoufle à Londres " Battez vous "
Le 16 février 2024 à 22:19:21 :
Alors qu'Atatürk se déguisé même en ennemi pour la libertation de son pays, il participait aux batailles non-stop alors que toute les puissances du monde étaient en train d'occuper son pays
On s'en bat les couilles
Le 17 février 2024 à 01:04:32 :
Le 16 février 2024 à 22:22:29 :
"Jean, occupe toi de la résistance en France""Ok Charles, tu peux compter sur moi"
"Oui, vous pouvez le trouver à la maison du docteur Dougoujon "
C'est confirmé que c'est De Gaulle qui a dénoncé Jean Moulin ?
John Mill en VO
Sans compter qu'il s'est battu à Montcornet par exemple.
Il fallait bien quelqu'un à Londres pour gérer tout ça et sauver la France à la fois des allemands puis des alliés.
Sans parler qu'il a aussi sauver l'honneur.
Le 17 février 2024 à 13:48:11 :
L’auteur qui se croit subversif alors que c’est un déchet qui aurait pompé le chibre des bosch, des russes, des ricains, des tirailleurs africains, des collabos et des résistants juste pour survivre
tu remarqueras en observant les réponses que ça marche très bien comme technique sur les golems
Il a réussi à décaler notre décadence de 25 ans c'est déjà un miracle.
L'auteur qui exige que Foch aille en première ligne dans les tranchées (où était De Gaulle par exemple).
Le 17 février 2024 à 13:53:21 :
De Gaulle qui revient après des années de spa 5 étoiles à londres : eh toi là hop hop hop, il parait que t'as collaboré avec les autorités qui contrôlaient le pays, PEINE DE MORT
Tout ceux qui ont voté les pleins pouvoirs à Pétain pourquoi ils se sont pas barrés ? Sans parler des autres généraux ?
Le 17 février 2024 à 13:51:20 :
Le 17 février 2024 à 13:48:11 :
L’auteur qui se croit subversif alors que c’est un déchet qui aurait pompé le chibre des bosch, des russes, des ricains, des tirailleurs africains, des collabos et des résistants juste pour survivretu remarqueras en observant les réponses que ça marche très bien comme technique sur les golems
J’ai vue ça…
Le 17 février 2024 à 13:54:10 :
Le 17 février 2024 à 13:53:21 :
De Gaulle qui revient après des années de spa 5 étoiles à londres : eh toi là hop hop hop, il parait que t'as collaboré avec les autorités qui contrôlaient le pays, PEINE DE MORTTout ceux qui ont voté les pleins pouvoirs à Pétain pourquoi ils se sont pas barrés ? Sans parler des autres généraux ?
peut être car ils rêvaient d'un autre futur pour la fronce que ce qu'on vit en big 2024, à tout hasard
Le 16 février 2024 à 22:39:07 :
Rappel que de Gaulle était un mauvais militaire, hé oui, n'en déplaise à la légende gaullisteVoici un extrait du livre De Gaulle, la grandeur et le néant, de Dominique Venner.
Contexte : en 1940 l'Allemagne envahit la France, ses armées encerclent d'importantes divisions françaises et britanniques qui doivent refluer sur Dunkerque. De l'extérieur du cordon fatal l'armée française lance plusieurs attaques pour essayer de le rompre, de Gaulle est alors chargé du secteur d'Abbeville.
Préambule.
De Gaulle ne s'est pas trompé en plaçant son ambition sur le terrain politique. Il y brillera de façon incomparable alors que ses prestations militaires se révéleront décevantes.
Montcornet.
Le 17 mai, sa contre-offensive de Montcornet, près de Laon, à la tête de la 4e DCR, s'est heurté à l'arrière garde de la 2e Panzer. Elle a été refoulée avec de lourdes pertes. Sur les 162 blindés engagés par de Gaulle, 101 ont été détruits. 750 hommes ont été mis hors de combat, tués, blessés ou prisonniers. Les chars allemands ont continué leur route sans se soucier de l'attaque de la division de Gaulle. Pour les Allemands, l'affaire de Montcornet a si peu d'importance qu'elle n'a pas été portée à la connaissance du grand état-major (OKW). N'en déplaise à la pieuse légende, ce ne fut pas un succès. Devant Abbeville, ce fut pire.
Abbeville.
L'affaire d'Abbeville, les biographes s'y sont peu attardés. Elle est pourtant connue avec précision depuis l'étude rigoureuse et documentée qu'Henri de Wailly a consacrée à la bataille qui s'est déroulée pendant trois jours, les 28, 29 et 30 mai 1940. Une bataille oubliée par les livres d'histoire, sans doute parce que ce fut une bataille perdue. Du côté franco-britannique, Abbeville a pourtant été le théâtre d'une des plus grosses concentrations de chars de la campagne. Un homme a dirigé l'un des épisodes de cette bataille, le général de Gaulle. Faute d'avoir su manoeuvrer, malgré son courage et son acharnement, il a échoué.
Ordre de mission.
Abbeville avait été conquise par l'offensive audacieuse de Guderian. Le 28 mai, de Gaulle, dont la 4e DCR a été reconstituée, reçoit mission de reprendre ce noeud de communications capital sur lequel la 1re division blindée britannique vient déjà de se casser les dents. Le but est de couper Guderian de ses arrières et de ses approvisionnements (carburants, munitions, etc.), en attendant de le détruire.
Les forces allemandes :
La ville n'est défendue, au prix de lourdes pertes, que par un régiment d'infanterie bavarois. Celui-ci n'a pas un seul char et ne dispose d'aucune couverture aérienne, tous les Stukas étant jetés sur Dunkerque. En dehors de son armement d'infanterie, le régiment bénéficie toutefois d'un groupe de huit canons antiaériens Flak de 88mm qui seront remarquablement utilisés en tir horizontal par le lieutenant-colonel Wolf, commandant la Flak 64, et vrai vainqueur de cette bataille.
Les forces françaises :
En face, le général de Gaulle dispose d'une supériorité écrasante. Que l'on en juge : 187 chars modernes de la 4e DCR, dont 33 chars lourds B1/Bis, les plus imposants et les mieux protégés de l'époque. La DCR compte également six bataillons d'infanterie. Elle est renforcée par deux régiments de la 4e DLM (division légère mécanique), il est vrai en piteux état. Deux divisions légères de cavalerie motorisée (la 5e et la 2e DLC) lui sont subordonnées. Environ 20 000 combattants français sont engagés dans l'attaque d'Abbeville. À la tête de cette force, de Gaulle n'est soumis à aucun supérieur pour conduire l'action, et il a l'oreille du chef du gouvernement.
Pendant trois jours, de Gaulle livre une bataille en contradiction complète avec ses écrits. À la façon des généraux de 1918, il utilise les chars en appui de l'infanterie, les dispersant par petits paquets, expédiant ses fantassins devant les blindés sur des glacis meurtriers battus par le feu adverse.
Échecs et tensions avec les subordonnés.
"Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne".
Avec ses subordonnés qu'il insulte parfois publiquement, il se montre arrogant, impérieux, fermé aux objections. Vieil officier d'une trempe exceptionnelle le chef de bataillon Bertrand, commandant le 4e bataillon de chasseurs à pied, ne se laissera pas faire. Ses chasseurs obtiendront le seuls succès français de cette bataille, capturant en deux jours 250 fantassins allemands (et non pas 500 comme il est dit dans les Mémoires de guerre [de De Gaulle]). Alors que de Gaulle croit devoir le stimuler en lui faisant miroiter une décoration s'il s'empare d'un village, Bertrand réplique : "Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne : la carotte est superflue, je ferai mon devoir". Le dialogue n'ira pas plus loin.
"Le plan appliqué amènera au même échec que la veille."
Au troisième jour de la bataille, le 30 mai, alors que ses unités ont été durement étrillées en pure perte au cours des journées précédentes, le général de Gaulle a donné ses ordres pour reprendre l'attaque comme la veille. Au cours d'une brève conférence de liaison, intervient le général Chanoine qui commande la 5e DLC. Il a écouté le plan exposé par le chef d'état-major du général de Gaulle. Cavalier formé à la manoeuvre, il n'approuve pas. Il le dit. Le capitaine Le Corbeiller témoignera : "le général Chanoine fit une observation très pertinente. Le plan appliqué contre un ennemi ayant bien préparé ses couverts et connaissant les hausses à appliquer, amènera au même échec que la veille. Il suggère donc de modifier l'axe d'attaque : au lieu d'attaquer le point fort de l'ennemi, il propose de le déborder. On progressera ainsi hors des vues de l'ennemi, qui sera à la fois isolé et obligé de modifier ses plans de feu. on coupera de la sorte la tête de pont à sa racine".
De Gaulle n'a encore rien dit. Ayant écouté Chanoine, il répond d'un mot, écartant toute discussion : "Mon général, mes ordres sont donnés : je n'y changerai rien". Tous les officiers présents sont atterrés. Le plan sera donc appliqué. Et comme les jours précédents, il échouera au prix de de grosses pertes et beaucoup de sang.
Bilan.
En trois jours, sur 187 chars, la DCR en a perdu 111 et elle atteint la limite de l'épuisement. Le lendemain, au vu de ces brillants résultats, le général Altmayer, chef de la Xe armée, suspend jusqu'à nouvel ordre l'attaque sur Abbeville.
De Gaulle se met au repos.
Par la magie de son imagination et de son verbe, le fiasco d'Abbeville se transforme en grand succès. Se félicitant d'avoir provisoirement "conquis" quelques kilomètres de prairies sans utilité militaire, il écrit dans ses mémoires de guerre : "Nous n'avons pu liquider entièrement la tête de pont d'Abbeville".
Admirable ! La position allemande n'a pas même été écornée.
Le 17 février 2024 à 13:55:18 :
Le 17 février 2024 à 13:54:10 :
Le 17 février 2024 à 13:53:21 :
De Gaulle qui revient après des années de spa 5 étoiles à londres : eh toi là hop hop hop, il parait que t'as collaboré avec les autorités qui contrôlaient le pays, PEINE DE MORTTout ceux qui ont voté les pleins pouvoirs à Pétain pourquoi ils se sont pas barrés ? Sans parler des autres généraux ?
peut être car ils rêvaient d'un autre futur pour la fronce que ce qu'on vit en big 2024, à tout hasard
Ils ont vendu la France aux Allemands t'inquiètes pas ils l'auraient vendu aussi à n'importe qui d'autre.
Les socialos de 2024 sont leurs dignes héritiers.
Données du topic
- Auteur
- pradalhomme
- Date de création
- 16 février 2024 à 22:13:13
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