De Gaulle planqué en pantoufle à Londres " Battez vous "
C'est la timp placée par les Anglais, rien de plus.
Il crame en enfer actuellement.
Oui c'était mieux de rester sur place pour se faire chopper comme Jean Moulin car un cul-terreux a pas pu s'empêcher de parler alors que son sort restait le même qu'il le dénonce ou pas.
De toutes manières, qu'on l'apprécie ou non, ceux qui ont éliminés l'Allemagne, c'est les seuls qui faisait pire : l'URSS.
Le 16 février 2024 à 22:35:10 :
Oui c'était mieux de rester sur place pour se faire chopper comme Jean Moulin car un cul-terreux a pas pu s'empêcher de parler alors que son sort restait le même qu'il le dénonce ou pas.
bah oui c'est mieux oui de rester sur place et se battre avec son peuple au risque de se faire prendre
Le 16 février 2024 à 22:34:43 :
Français, françaises, je vous demande de prendre les armes et de sacrifier votre vie pour notre pays, moi le général De Gaulle, chef de résistants, je serai derrière vous pendant les combats- Vous venez vous battre avec nous donc mon général ?
- Non pour l'instant je serai derrière vous mais de loin, mais promis je serai là pour me battre quand on aura repris 99% de notre pays
Le 16 février 2024 à 22:35:10 :
Oui c'était mieux de rester sur place pour se faire chopper comme Jean Moulin car un cul-terreux a pas pu s'empêcher de parler
Rappel que de Gaulle était un mauvais militaire, hé oui, n'en déplaise à la légende gaulliste
Voici un extrait du livre De Gaulle, la grandeur et le néant, de Dominique Venner.
Contexte : en 1940 l'Allemagne envahit la France, ses armées encerclent d'importantes divisions françaises et britanniques qui doivent refluer sur Dunkerque. De l'extérieur du cordon fatal l'armée française lance plusieurs attaques pour essayer de le rompre, de Gaulle est alors chargé du secteur d'Abbeville.
Préambule.
De Gaulle ne s'est pas trompé en plaçant son ambition sur le terrain politique. Il y brillera de façon incomparable alors que ses prestations militaires se révéleront décevantes.
Montcornet.
Le 17 mai, sa contre-offensive de Montcornet, près de Laon, à la tête de la 4e DCR, s'est heurté à l'arrière garde de la 2e Panzer. Elle a été refoulée avec de lourdes pertes. Sur les 162 blindés engagés par de Gaulle, 101 ont été détruits. 750 hommes ont été mis hors de combat, tués, blessés ou prisonniers. Les chars allemands ont continué leur route sans se soucier de l'attaque de la division de Gaulle. Pour les Allemands, l'affaire de Montcornet a si peu d'importance qu'elle n'a pas été portée à la connaissance du grand état-major (OKW). N'en déplaise à la pieuse légende, ce ne fut pas un succès. Devant Abbeville, ce fut pire.
Abbeville.
L'affaire d'Abbeville, les biographes s'y sont peu attardés. Elle est pourtant connue avec précision depuis l'étude rigoureuse et documentée qu'Henri de Wailly a consacrée à la bataille qui s'est déroulée pendant trois jours, les 28, 29 et 30 mai 1940. Une bataille oubliée par les livres d'histoire, sans doute parce que ce fut une bataille perdue. Du côté franco-britannique, Abbeville a pourtant été le théâtre d'une des plus grosses concentrations de chars de la campagne. Un homme a dirigé l'un des épisodes de cette bataille, le général de Gaulle. Faute d'avoir su manoeuvrer, malgré son courage et son acharnement, il a échoué.
Ordre de mission.
Abbeville avait été conquise par l'offensive audacieuse de Guderian. Le 28 mai, de Gaulle, dont la 4e DCR a été reconstituée, reçoit mission de reprendre ce noeud de communications capital sur lequel la 1re division blindée britannique vient déjà de se casser les dents. Le but est de couper Guderian de ses arrières et de ses approvisionnements (carburants, munitions, etc.), en attendant de le détruire.
Les forces allemandes :
La ville n'est défendue, au prix de lourdes pertes, que par un régiment d'infanterie bavarois. Celui-ci n'a pas un seul char et ne dispose d'aucune couverture aérienne, tous les Stukas étant jetés sur Dunkerque. En dehors de son armement d'infanterie, le régiment bénéficie toutefois d'un groupe de huit canons antiaériens Flak de 88mm qui seront remarquablement utilisés en tir horizontal par le lieutenant-colonel Wolf, commandant la Flak 64, et vrai vainqueur de cette bataille.
Les forces françaises :
En face, le général de Gaulle dispose d'une supériorité écrasante. Que l'on en juge : 187 chars modernes de la 4e DCR, dont 33 chars lourds B1/Bis, les plus imposants et les mieux protégés de l'époque. La DCR compte également six bataillons d'infanterie. Elle est renforcée par deux régiments de la 4e DLM (division légère mécanique), il est vrai en piteux état. Deux divisions légères de cavalerie motorisée (la 5e et la 2e DLC) lui sont subordonnées. Environ 20 000 combattants français sont engagés dans l'attaque d'Abbeville. À la tête de cette force, de Gaulle n'est soumis à aucun supérieur pour conduire l'action, et il a l'oreille du chef du gouvernement.
Pendant trois jours, de Gaulle livre une bataille en contradiction complète avec ses écrits. À la façon des généraux de 1918, il utilise les chars en appui de l'infanterie, les dispersant par petits paquets, expédiant ses fantassins devant les blindés sur des glacis meurtriers battus par le feu adverse.
Échecs et tensions avec les subordonnés.
"Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne".
Avec ses subordonnés qu'il insulte parfois publiquement, il se montre arrogant, impérieux, fermé aux objections. Vieil officier d'une trempe exceptionnelle le chef de bataillon Bertrand, commandant le 4e bataillon de chasseurs à pied, ne se laissera pas faire. Ses chasseurs obtiendront le seuls succès français de cette bataille, capturant en deux jours 250 fantassins allemands (et non pas 500 comme il est dit dans les Mémoires de guerre [de De Gaulle]). Alors que de Gaulle croit devoir le stimuler en lui faisant miroiter une décoration s'il s'empare d'un village, Bertrand réplique : "Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne : la carotte est superflue, je ferai mon devoir". Le dialogue n'ira pas plus loin.
"Le plan appliqué amènera au même échec que la veille."
Au troisième jour de la bataille, le 30 mai, alors que ses unités ont été durement étrillées en pure perte au cours des journées précédentes, le général de Gaulle a donné ses ordres pour reprendre l'attaque comme la veille. Au cours d'une brève conférence de liaison, intervient le général Chanoine qui commande la 5e DLC. Il a écouté le plan exposé par le chef d'état-major du général de Gaulle. Cavalier formé à la manoeuvre, il n'approuve pas. Il le dit. Le capitaine Le Corbeiller témoignera : "le général Chanoine fit une observation très pertinente. Le plan appliqué contre un ennemi ayant bien préparé ses couverts et connaissant les hausses à appliquer, amènera au même échec que la veille. Il suggère donc de modifier l'axe d'attaque : au lieu d'attaquer le point fort de l'ennemi, il propose de le déborder. On progressera ainsi hors des vues de l'ennemi, qui sera à la fois isolé et obligé de modifier ses plans de feu. on coupera de la sorte la tête de pont à sa racine".
De Gaulle n'a encore rien dit. Ayant écouté Chanoine, il répond d'un mot, écartant toute discussion : "Mon général, mes ordres sont donnés : je n'y changerai rien". Tous les officiers présents sont atterrés. Le plan sera donc appliqué. Et comme les jours précédents, il échouera au prix de de grosses pertes et beaucoup de sang.
Bilan.
En trois jours, sur 187 chars, la DCR en a perdu 111 et elle atteint la limite de l'épuisement. Le lendemain, au vu de ces brillants résultats, le général Altmayer, chef de la Xe armée, suspend jusqu'à nouvel ordre l'attaque sur Abbeville.
De Gaulle se met au repos.
Par la magie de son imagination et de son verbe, le fiasco d'Abbeville se transforme en grand succès. Se félicitant d'avoir provisoirement "conquis" quelques kilomètres de prairies sans utilité militaire, il écrit dans ses mémoires de guerre : "Nous n'avons pu liquider entièrement la tête de pont d'Abbeville".
Admirable ! La position allemande n'a pas même été écornée.
Le 16 février 2024 à 22:24:06 :
Dès son premier combat à Dinant le 15 août 1914, il est touché à la jambe (« fracture du péroné par balles avec éclats dans l'articulation »)[26]. Il rejoint ensuite le 33e RI sur le front de Champagne pour commander la 7e compagnie. Il est à nouveau blessé le 10 mars 1915, à la main gauche, au Mesnil-lès-Hurlus en Champagne. Décidé à en découdre, il désobéit à ses supérieurs en ordonnant de tirer sur les tranchées ennemies. Cet acte lui vaut d'être relevé huit jours de ses fonctions. Officier tatillon, volontiers cassant, son intelligence et son courage face au feu le distinguent au point que le commandant du 33e RI lui offre d'être son adjoint[27].Le 2 mars 1916, son régiment est attaqué et décimé, anéanti par l'ennemi en défendant le village de Douaumont, près de Verdun. Sa compagnie est mise à mal au cours de ce combat et les survivants sont encerclés. Tentant alors une percée, il est obligé par la violence du combat à sauter dans un trou d'obus pour se protéger, mais des Allemands le suivent et le blessent d'un coup de baïonnette à la cuisse gauche[28]. Capturé par les troupes allemandes, il est soigné à l'hôpital de Mayence puis interné à Osnabrück en Westphalie[29]. Tenu pour mort au combat, cette disparition lui vaut d'être cité à l'ordre de l'armée[30],[n 7].
Ouais en gros il a passé la 1ere GM alité à l'hôpital au chaud avec repas pendant que les poilus crevaient dans les tranchées en compagnie des rats
Le 16 février 2024 à 22:36:58 :
De Gaulle était un piètre militaire, mais un génie politique, c’est grâce à lui que la France, un pays vaincu en 40 sort assise à la table des vainqueurs en 45 + si De Gaulle n’avait jamais existé, la France serait en train de se casser la gueule encore plus que maintenant, tout ce qui fait que la France tiens encore à peine debout c’est de Gaulle qui l’a mis en place
Jean Moulin aurait fait mieux.
Le 16 février 2024 à 22:18:40 :
La Carriere politique de De Gaulle qui existe seulement grace à ChurchillEl famoso plus grand homme politique francais du 20 siecle
C'était un tocard.
La plupart des résistants étaient des cassos aussi, demandez aux vieux que vous connaissez ce qu'ils pensaient des résistants pendant la guerre.
Données du topic
- Auteur
- pradalhomme
- Date de création
- 16 février 2024 à 22:13:13
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