Je réponds aux créationnistes
Le 18 février 2024 à 17:04:23 :
Est-ce que c'est l'Homme qui est devenu bipède, ou le singe qui est devenu quadrupède ?
Déjà c'est débile de dire "l'homme et le singe" sachant qu'on est une espèce de singe
Le 18 février 2024 à 17:04:23 :
Est-ce que c'est l'Homme qui est devenu bipède, ou le singe qui est devenu quadrupède ?
L'Homme est devenu bipède
Le 18 février 2024 à 17:06:52 :
Le 18 février 2024 à 17:04:23 :
Est-ce que c'est l'Homme qui est devenu bipède, ou le singe qui est devenu quadrupède ?Déjà c'est débile de dire "l'homme et le singe" sachant qu'on est une espèce de singe
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Le 18 février 2024 à 17:07:32 :
Le 18 février 2024 à 17:06:52 :
Le 18 février 2024 à 17:04:23 :
Est-ce que c'est l'Homme qui est devenu bipède, ou le singe qui est devenu quadrupède ?Déjà c'est débile de dire "l'homme et le singe" sachant qu'on est une espèce de singe
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T'es pas si malin que tu le prétends. L'Homme et le chimpanzé ont un ancêtre commun arboricole. Cet ancêtre était-il bipède ou quadrupède ? Tu affirme qu'il était quadrupède, pourtant en l'état actuel on n'en sait rien et les deux pistes sont explorées.
Bonjour
Une chose ne peut pas devenir ce qu'elle n'est pas
Le singe n'est pas un homme. Le singe ne peut donc pas devenir homme.
C'est fou cette négation de l'essence des choses de la part des modernes. Au départ ça allait encore, cette négation se limitait aux cailloux qui sont devenus des poissons qui sont devenus des taupes qui sont devenus des singes pour enfin devenir des hommes.
Maintenant ce qui est plus embêtant, c'est qu'avec la même logique on te dit que les femmes peuvent devenir des hommes et que les hommes peuvent devenir des femmes. On va même jusqu'à affirmer que les femmes et les hommes n'existent pas vraiment ce qui est le seul moyen pour justifier cette fausse conception.
Mais en fait on devrait aussi dire qu'aucune espèce n'existe vraiment, et que plus largement, rien existe, afin de justifier le délire qu'une chose puisse devenir autre chose que ce qu'elle est. Au final toutes ces théories sont des négations du principe d'identité sur laquelle se fonde toute la logique ainsi que la connaissance rationnelle, pourtant si chère à la modernité.
Les créationnistes devront également expliquer pourquoi :
- chez le criquet africain, les cellules nerveuses commencent dans l'abdomen mais se connectent à l'aile. Cela conduit à une utilisation inutile de matériaux.
- des dispositifs de reproduction complexes chez les orchidées, apparemment construits à partir de composants ayant généralement différentes fonctions chez d'autres fleurs.
- l'utilisation par les pandas de leurs ossaux sesamoïdes radiaux d'une manière similaire à la façon dont les autres créatures utilisent des pouces.
- l'existence d'ailes inaptes au vol chez certaines espèces d'oiseaux (ex : Autruche).
- la voie du nerf laryngé récurrent est telle qu'elle se déplace du cerveau vers le larynx en bouclant autour de l'arc aortique. Cette même configuration existe pour de nombreux animaux; Dans le cas de la girafe, il en résulte environ 6 mètres de nerf supplémentaire.
- la perte de la vision tétrachromatique chez les mammifères par rapport à d'autres tétrapodes.
- l'enzyme RuBisCO a été décrite comme une enzyme "notoirement inefficace" car elle est inhibée par l'oxygène, a un chiffre d'affaires très lent et n'est pas saturée aux niveaux actuels de dioxyde de carbone de l'atmosphère. L'enzyme est inhibée car elle ne peut distinguer le dioxyde de carbone de l'oxygène moléculaire, l'oxygène agissant comme un inhibiteur de l'enzyme compétitive. Cependant, RuBisCO reste l'enzyme clé dans la fixation du carbone, et les plantes surmontent leur activité médiocre en enlevant des quantités massives de cette enzyme au sein de leurs cellules, ce qui en fait la protéine la plus abondante sur Terre.
- l'enzyme nitrogénase se lie préférentiellement avec l'acétylène plutôt que l'azote, bien qu'elle soit l'enzyme clé utilisée dans la fixation de l'azote chez de nombreuses archées et bactéries.
- les os robustes mais lourds, non-adaptés pour le vol, se retrouvent chez des animaux volants comme les chauves-souris. Ou à l'inverse, des os instables, légers et creux, adaptés au vol, se retrouvent chez des oiseaux comme les manchots et les autruches, qui ne peuvent pas voler.
- plusieurs parties du corps sont vestigiales, comme le fémur et le bassin chez les baleines (indiquant que l'ancêtre des baleines vivait sur terre).
- le genre Turritopsis Dohrnii et Hydra possèdent une immortalité biologique, que la plupart des animaux ne possèdent pas.
- de nombreuses espèces ont de forts instincts, et réagissent en réponse à certains stimulus. La sélection naturelle peut laisser les animaux se comporter de manière préjudiciable (faux positif) lorsqu'ils rencontrent un stimulus "surnaturel" (détection d'agent).
- les plantes sont vertes et non noires, car la chlorophylle absorbe peu la lumière verte, bien que les plantes noires absorbent plus d'énergie lumineuse.
- les baleines et les dauphins respirent l'air, mais vivent dans l'eau, ce qui signifie qu'ils doivent nager souvent en surface pour respirer.
Le 18 février 2024 à 17:14:51 :
BonjourUne chose ne peut pas devenir ce qu'elle n'est pas
Le singe n'est pas un homme. Le singe ne peut donc pas devenir homme.
C'est fou cette négation de l'essence des choses de la part des modernes. Au départ ça allait encore, cette négation se limitait aux cailloux qui sont devenus des poissons qui sont devenus des taupes qui sont devenus des singes pour enfin devenir des hommes.
Maintenant, ce qui est plus embêtant c'est qu'avec la même logique on te dit que les femmes peuvent devenir des hommes et que les hommes devenir des femmes. On va même jusqu'à affirmer que les femmes et les hommes n'existent pas vraiment ce qui est le seul moyen pour justifier cette fausse conception.
Mais en fait on devrait aussi dire qu'aucune espèce n'existe vraiment, et que plus largement, rien existe, afin de justifier le délire qu'une chose puisse devenir autre chose que ce qu'elle est. Au final toutes ces théories sont des négations du principe d'identité sur laquelle se fonde toute la logique et la connaissance rationnelle pourtant si chère à la modernité.
L'Homme fait partie de l'infraordre des simiiformes, il est donc un singe.
Par ailleurs, faire référence à des phénomènes sociaux dans un topic de biologie n'a que peu d'intérêt.
Du reste l'essentialisme n'est pas scientifique.
Le 18 février 2024 à 17:20:40 :
C'est une espece extra terrestre qui nous amener ici sachant que la terre pouvait acceuillir la vie,les premiers introduit par cette espece furent les dinausores mais apres 1 millions d'années qu'en cette espece est revenue ,aucune évolution n'avait été diagnostiquer alors ils firent un reset sans nom,disparition des dinosaures,ils sont revenues quelques millions d'années plus tard pour y introduire les especes presentes aujourd'hui et quand ils reviendront ils verront que nous avons évoluer et qui sait ce qu'il ce passera....
Le registre fossile est suffisant pour écarter l'hypothèse extraterrestre, dans le meilleur des cas il y a la panspermie, sauf que rien ne nous pousse à faire des hypothèses coûteuses.
Le 18 février 2024 à 17:18:44 :
Le 18 février 2024 à 17:14:51 :
BonjourUne chose ne peut pas devenir ce qu'elle n'est pas
Le singe n'est pas un homme. Le singe ne peut donc pas devenir homme.
C'est fou cette négation de l'essence des choses de la part des modernes. Au départ ça allait encore, cette négation se limitait aux cailloux qui sont devenus des poissons qui sont devenus des taupes qui sont devenus des singes pour enfin devenir des hommes.
Maintenant, ce qui est plus embêtant c'est qu'avec la même logique on te dit que les femmes peuvent devenir des hommes et que les hommes devenir des femmes. On va même jusqu'à affirmer que les femmes et les hommes n'existent pas vraiment ce qui est le seul moyen pour justifier cette fausse conception.
Mais en fait on devrait aussi dire qu'aucune espèce n'existe vraiment, et que plus largement, rien existe, afin de justifier le délire qu'une chose puisse devenir autre chose que ce qu'elle est. Au final toutes ces théories sont des négations du principe d'identité sur laquelle se fonde toute la logique et la connaissance rationnelle pourtant si chère à la modernité.
L'Homme fait partie de l'infraordre des simiiformes, il est donc un singe.
Par ailleurs, faire référence à des phénomènes sociaux dans un topic de biologie n'a que peu d'intérêt.
Du reste l'essentialisme n'est pas scientifique.
Un être est ce qu'il est et il n'est pas ce qu'il est pas. Il s'agit d'une vérité métaphysique irréfutable.
De cette vérité métaphysique découle ceci :
Le singe est singe et n'est pas homme
L'homme est homme et n'est pas singe
Chaque espèce est ce qu'elle est et elle n'est pas ce qu'elle n'est pas.
Nier ceci c'est nier le principe d'identité sur lequel se fonde toute connaissance rationnelle et toute logique.
Entre les vérités métaphysiques et les théories plus ou moins farfelues du scientisme moderne se sont les vérités métaphysiques qui l'emportent.
Le 18 février 2024 à 17:24:31 :
Le 18 février 2024 à 17:18:44 :
Le 18 février 2024 à 17:14:51 :
BonjourUne chose ne peut pas devenir ce qu'elle n'est pas
Le singe n'est pas un homme. Le singe ne peut donc pas devenir homme.
C'est fou cette négation de l'essence des choses de la part des modernes. Au départ ça allait encore, cette négation se limitait aux cailloux qui sont devenus des poissons qui sont devenus des taupes qui sont devenus des singes pour enfin devenir des hommes.
Maintenant, ce qui est plus embêtant c'est qu'avec la même logique on te dit que les femmes peuvent devenir des hommes et que les hommes devenir des femmes. On va même jusqu'à affirmer que les femmes et les hommes n'existent pas vraiment ce qui est le seul moyen pour justifier cette fausse conception.
Mais en fait on devrait aussi dire qu'aucune espèce n'existe vraiment, et que plus largement, rien existe, afin de justifier le délire qu'une chose puisse devenir autre chose que ce qu'elle est. Au final toutes ces théories sont des négations du principe d'identité sur laquelle se fonde toute la logique et la connaissance rationnelle pourtant si chère à la modernité.
L'Homme fait partie de l'infraordre des simiiformes, il est donc un singe.
Par ailleurs, faire référence à des phénomènes sociaux dans un topic de biologie n'a que peu d'intérêt.
Du reste l'essentialisme n'est pas scientifique.
Un être est ce qu'il est et il n'est pas ce qu'il est pas. Il s'agit d'une vérité métaphysique irréfutable.
De cette vérité métaphysique découle ceci :
Le singe est singe et n'est pas homme
L'homme est homme et n'est pas singe
Chaque espèce est ce qu'elle est et elle n'est pas ce qu'elle n'est pas.
Nier ceci c'est nier le principe d'identité sur lequel se fonde toute connaissance rationnelle et toute logique.
Entre les vérités métaphysiques et les théories plus ou moins farfelues du scientisme moderne se sont les vérités métaphysiques qui l'emportent.
Sauf que la case "espèce" n'existe pas dans le monde réel, c'est des cases que nous avons artificiellement créées afin de faciliter l'étude du vivant.
Ton père n'est pas toi, pourtant tu descends de lui (vous faites tous les deux partie du genre homo).
Tu es complètement hors sujet.
Le 18 février 2024 à 17:27:57 :
Le 18 février 2024 à 17:24:31 :
Le 18 février 2024 à 17:18:44 :
Le 18 février 2024 à 17:14:51 :
BonjourUne chose ne peut pas devenir ce qu'elle n'est pas
Le singe n'est pas un homme. Le singe ne peut donc pas devenir homme.
C'est fou cette négation de l'essence des choses de la part des modernes. Au départ ça allait encore, cette négation se limitait aux cailloux qui sont devenus des poissons qui sont devenus des taupes qui sont devenus des singes pour enfin devenir des hommes.
Maintenant, ce qui est plus embêtant c'est qu'avec la même logique on te dit que les femmes peuvent devenir des hommes et que les hommes devenir des femmes. On va même jusqu'à affirmer que les femmes et les hommes n'existent pas vraiment ce qui est le seul moyen pour justifier cette fausse conception.
Mais en fait on devrait aussi dire qu'aucune espèce n'existe vraiment, et que plus largement, rien existe, afin de justifier le délire qu'une chose puisse devenir autre chose que ce qu'elle est. Au final toutes ces théories sont des négations du principe d'identité sur laquelle se fonde toute la logique et la connaissance rationnelle pourtant si chère à la modernité.
L'Homme fait partie de l'infraordre des simiiformes, il est donc un singe.
Par ailleurs, faire référence à des phénomènes sociaux dans un topic de biologie n'a que peu d'intérêt.
Du reste l'essentialisme n'est pas scientifique.
Un être est ce qu'il est et il n'est pas ce qu'il est pas. Il s'agit d'une vérité métaphysique irréfutable.
De cette vérité métaphysique découle ceci :
Le singe est singe et n'est pas homme
L'homme est homme et n'est pas singe
Chaque espèce est ce qu'elle est et elle n'est pas ce qu'elle n'est pas.
Nier ceci c'est nier le principe d'identité sur lequel se fonde toute connaissance rationnelle et toute logique.
Entre les vérités métaphysiques et les théories plus ou moins farfelues du scientisme moderne se sont les vérités métaphysiques qui l'emportent.
Sauf que la case "espèce" n'existe pas dans le monde réel, c'est des cases que nous avons artificiellement créées afin de faciliter l'étude du vivant.
Ton père n'est pas toi, pourtant tu descends de lui.
Tu es complètement hors sujet.
C'est donc ce que je disais plus haut
De même qu'aujourd'hui on dit que ni les hommes ni les femmes existent vraiment et que se sont des créations artificielles, on est contraint comme tu le fais de nier que les espèce existent. Les espèces deviennent des créations artificielles qui n'ont pas véritablement d'existence.
Et pour mon père nous partageons la même espèce mais non la même individualité. Mon père est mon père et moi je suis moi. Au cas où, il y a une légère différence entre "l'espèce" et "l'individualité"; cette dernière faisant partie de telle ou telle espèce en vertu de sa nature propre.
Et encore une fois, les vérités métaphysiques priment sur tout le reste. Il suffit d'affirmer que "l'être est ce qu'il est et n'est pas ce qu'il n'est pas" ou que "l'être ne peut pas devenir autre que ce qu'il est" pour démontrer de facto que la "théorie de l'évolution" est une impossibilité pure et simple.
Les vérités métaphysiques conditionnent toutes réalités, y compris les organisme vivants qu'étudie la biologie. Et l'on voit combien les autres sciences, dans une civilisation ignorante de la métaphysique, ne tardent guère à dégénérer pour aboutir à des théories qui sont le fruit de l'imagination de tel ou tel individu dans un esprit de réaction aux sagesses anciennes.
Le 18 février 2024 à 17:44:31 :
Le 18 février 2024 à 17:27:57 :
Le 18 février 2024 à 17:24:31 :
Le 18 février 2024 à 17:18:44 :
Le 18 février 2024 à 17:14:51 :
BonjourUne chose ne peut pas devenir ce qu'elle n'est pas
Le singe n'est pas un homme. Le singe ne peut donc pas devenir homme.
C'est fou cette négation de l'essence des choses de la part des modernes. Au départ ça allait encore, cette négation se limitait aux cailloux qui sont devenus des poissons qui sont devenus des taupes qui sont devenus des singes pour enfin devenir des hommes.
Maintenant, ce qui est plus embêtant c'est qu'avec la même logique on te dit que les femmes peuvent devenir des hommes et que les hommes devenir des femmes. On va même jusqu'à affirmer que les femmes et les hommes n'existent pas vraiment ce qui est le seul moyen pour justifier cette fausse conception.
Mais en fait on devrait aussi dire qu'aucune espèce n'existe vraiment, et que plus largement, rien existe, afin de justifier le délire qu'une chose puisse devenir autre chose que ce qu'elle est. Au final toutes ces théories sont des négations du principe d'identité sur laquelle se fonde toute la logique et la connaissance rationnelle pourtant si chère à la modernité.
L'Homme fait partie de l'infraordre des simiiformes, il est donc un singe.
Par ailleurs, faire référence à des phénomènes sociaux dans un topic de biologie n'a que peu d'intérêt.
Du reste l'essentialisme n'est pas scientifique.
Un être est ce qu'il est et il n'est pas ce qu'il est pas. Il s'agit d'une vérité métaphysique irréfutable.
De cette vérité métaphysique découle ceci :
Le singe est singe et n'est pas homme
L'homme est homme et n'est pas singe
Chaque espèce est ce qu'elle est et elle n'est pas ce qu'elle n'est pas.
Nier ceci c'est nier le principe d'identité sur lequel se fonde toute connaissance rationnelle et toute logique.
Entre les vérités métaphysiques et les théories plus ou moins farfelues du scientisme moderne se sont les vérités métaphysiques qui l'emportent.
Sauf que la case "espèce" n'existe pas dans le monde réel, c'est des cases que nous avons artificiellement créées afin de faciliter l'étude du vivant.
Ton père n'est pas toi, pourtant tu descends de lui.
Tu es complètement hors sujet.
C'est donc ce que je disais plus haut
De même qu'aujourd'hui on dit que ni les hommes ni les femmes existent vraiment et que se sont des créations artificielles, on est contraint comme tu le fais de nier que les espèce existent. Les espèces deviennent des créations artificielles qui n'ont pas véritablement d'existence.
Et pour mon père nous partageons la même espèce mais non la même individualité. Mon père est mon père et moi je suis moi. Au cas où, il y a une légère différence entre "l'espèce" et "l'individualité"; cette dernière faisant partie de telle ou telle espèce en vertu de sa nature propre.
Et encore une fois, les vérités métaphysiques priment sur tout le reste. Il suffit d'affirmer que "l'être est ce qu'il est et n'est pas ce qu'il n'est pas" ou que "l'être ne peut pas devenir autre que ce qu'il est" pour démontrer de facto que la "théorie de l'évolution" est une impossibilité pure et simple.
Les vérités métaphysiques conditionnent toutes réalités, y compris les organisme vivants qu'étudie la biologie. Et l'on voit combien les autres sciences, dans une civilisation ignorante de la métaphysique, ne tardent guère à dégénérer pour aboutir à des théories qui sont le fruit de l'imagination de tel ou tel individu dans un esprit de réaction aux sagesses anciennes.
Nous n'avons pas nié que le concept d'espèce était artificiel puisque nous l'avons justement créé tel quel.
Les espèces représentent également un groupe d'individus ayant une individualité propre, t'es sûr de saisir ce que tu racontes? Personne n'a jamais nié le principe d'identité.
Les vérités logiques priment sur le reste.
C'est cool tout ça mais tu pourrais expliquer comment les rétrovirus endogènes corroborent l'hypothèse de descendance commune si l'évolution est impossible?
Nous disposons de fossiles d'intérêts, par exemple Proailurus vieux de voici 40 millions d’années (c'est le fossile de félidés le plus ancien), ou encore Pseudaelurus qui vivait il y a 9 à 20 millions d’années en Europe et en Asie.
Enfin, le célèbre tigre à dents de sabres (ou Smilodon) qui disparu il y a de ça ~ 10000 ans.
L'ADN mitochondrial des félidés actuels permettent jusqu'à la reconstruction de leur évolution biogéographique, et concorde parfaitement avec les archives fossiles.
L'évolution des hominidés est en revanche extrêmement bien documenté.
De l'ADN Néanderthalien composant de 1 à 4% de l'ADN des Hommes modernes, au registre fossile indiquant un arbre phylogénétique particulièrement touffu ; (Homo rudolfensis, habilis, antecessor, naledi, ergaster, floresiensis, erectus, denisova, heidelbergensis, rhodesiensis etc.)
Du reste, la paléoparasitologie permet de reconstituer, à travers l'analyse génétique des différentes variétés d'un même agent parasite des hommes, les mouvements des populations humaines à travers la préhistoire ; l'analyse génétique de différents haplogroupes humains dans diverses localisations permet de reconstituer les mouvements des populations humaines à travers la préhistoire ; les données archéologiques permettent de reconstituer les mouvements des populations humaines à travers la préhistoire ; ces différentes reconstitutions indépendantes donnent des résultats très proches les uns des autres.
De l'ADN Néanderthalien composant de 1 à 4% de l'ADN des Hommes modernes, au registre fossile indiquant un arbre phylogénétique particulièrement touffu ; (Homo rudolfensis, habilis, antecessor, naledi, ergaster, floresiensis, erectus, denisova, heidelbergensis, rhodesiensis etc.)
Il faut préciser : l'ADN de Néandertal se retrouve jusqu'à 2% chez les populations européennes et jusqu'à 4% chez les populations d'Asie de l'est (auxquelles il faut ajouter l'ADN de Denisova). Aucune trace de Néandertal chez les populations d'origine africaine. En revanche, on trouve chez eux jusqu'à 19% d'ADN d'un ancêtre inconnu qu'on ne retrouve pas chez les autres populations.
Le 18 février 2024 à 19:24:38 :
De l'ADN Néanderthalien composant de 1 à 4% de l'ADN des Hommes modernes, au registre fossile indiquant un arbre phylogénétique particulièrement touffu ; (Homo rudolfensis, habilis, antecessor, naledi, ergaster, floresiensis, erectus, denisova, heidelbergensis, rhodesiensis etc.)
Il faut préciser : l'ADN de Néandertal se retrouve jusqu'à 2% chez les populations européennes et jusqu'à 4% chez les populations d'Asie de l'est (auxquelles il faut ajouter l'ADN de Denisova). Aucune trace de Néandertal chez les populations d'origine africaine. En revanche, on trouve chez eux jusqu'à 19% d'ADN d'un ancêtre inconnu qu'on ne retrouve pas chez les autres populations.
Exact pour les populations africaines.
Données du topic
- Auteur
- Aleph4
- Date de création
- 18 février 2024 à 15:57:06
- Nb. messages archivés
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