Vot' Stephane Edouard là
Et dire que ce mec est vu comme un modèle de masculinité par certains, bon j'aime pas me moquer du physique mais quand même
Et sinon c'est un sociologue je crois pour répondre à ta question l'op
Il est pas moche
Surtout pour son âge
Le 02 février 2024 à 22:25:29 :
Il est pas mocheSurtout pour son âge
Au niveau du visage non pas du tout, c'est au niveau du corps où...Je te laisse vérifier sur JVArchive, tape "Stéphane Édouard Rome"
Il s'est arrêté à bac +7 je crois
Le 02 février 2024 à 22:33:34 :
Je vois les topics mais aucune image
https://jv*rchive.com/forums/42-51-70384781-3-0-1-0-le-delire-stephane-edouard-sur-google-maps-va-trop-loin
Une rescapée à la dernière page, le reste il a pas assumé + tout censuré
Le réveil sonnait, il diffusait un concerto allegro, dans un rythme harmonieux. Il lui semblait être envahit par une armée de vacarme. Les oreilles de Stéphane, fines, en tout cas physiquement, étaient incapables d'apprécier son propre snobisme. Cuistre et racaille qu'il était, il adressait un "Ta gueule" à son réveil. Il allait rejoindre sa baignoire, la remplir d'une eau bien chaude, chose qu'il avait l'habitude de faire, il souffrait.
En effet, les petites jambettes qui lui servait de moyen de transport, avaient transportées ses soixante kilos tout ronds, sur une distance de presque dix kilomètres. Il souffrait. Les larmes lui ruisselaient au creux des paupières, chaque mouvement était accompagné d'un petit cris aigue, fluet, un couinement de petite fillette. Il retirait longuement ses petites chaussettes mauves bien dodues, pour vérifier s'il n'avait pas de bobo aux orteils. Il se levait difficilement, à l'endroit même où les hoplites, des millénaires avant, se levaient après une rude confrontation armée. Seulement, il n'en avait pas la carrure, ni la testostérone, et encore moins la couleur.
Stéphane boitait en direction de sa baignoire, où un gel douche bébé, et plusieurs bains moussants à la lavande enguirlandaient la paroi. La douleur le fit se tortiller, ou plutôt, son énorme fion se tortillait, comme un chef d'orchestre enragé. Tandis que le reste du corps accompagnait les hanches, dans une bien pâle mélodie. Ses membres fins, comme des flutistes esseulés en fin de carrière.
Son bain coulait, à l'instant même, Stéphane s'entraînait à moduler sa voix pour sa prochaine vidéoscopie, il utilisait un lime ongle, et s'empêchait dorénavant de les ronger. Attitude barbare, pensait il, en se les limant avec un sourire flagada qui lui rendait cette insouciance infantile. Quoiqu'il avait surtout l'air d'un inverti qui s'apprêtait. Sur le compte instagram qu'il ouvrait sur son smatphone, il publia une photo supplémentaire. Une photo inédite, celle qu'il avait prise hier à proximité de sa Ferrari, elle apparaissait discrètement dans le coin de la photo. Comme tout bon aristocrate, il se refusait à trop d'ostentation. Lui, il était distingué. Bien sûr, il n'oublia pas de préciser en description que, d'habitude, il évitait à tout prix de montrer sa Ferrari. Et d'ailleurs, il s'en excusait.
L'eau du bain était prête. Le petit bonhomme en pain d'épice s'emparait d'un panier en bambou tressé. Il disséminait coquettement de petites fleurs sur l'eau, chaude, qui le faisait déjà transpirer. Luisant, son teint brun devint chatoyant sous la lumière, sa peau était mordorée. Il retira son slip, il eut un frisson quand il lui glissait des jambes, ses poils se hérissaient. Les effluves de lavandes réveillaient ses narines, il sentait ses douleurs fondre dans l'eau brûlante. Les fleurs chatouillaient son corps, il pouffait, ricanait avant de se détendre. Il lui échappa un gémissement, authentique, qui ressortait similaire au cris d'une pute. Il restait ébahit un instant, une confrontation en lui. Son taux de H, pourtant fort, intrépide, tombait en miette (avait-il seulement été autre chose que des miettes?) face à son F qui prenait (qui avait toujours eu) un immense empire à lui tout seul, où régnait la coquetterie, la fragilité, le désir de plaire, mais surtout, le désir d'être rempli. Stéphane repensait à Marcello, il avait pu lire son nom hier, sur la bibliothèque. Cet homme qui avait si intrépidement déposer un regard décomplexé sur gros popotin.
Il repensait à ses mains rudes, qui s'agrippaient à la barre de sa fenêtre. Stéphane avait mémoriser la musculature des doigts, l'épaisseur des poils qui recouvrait sa poigne. Par la finesse de son imagination, quand il s'agissait de Marcello, les songes débordaient sur le sensible. La prévalence de son F capturait souvent Stéphane dans les fantasmes les plus coriaces, et il se surprit à ressentir les mains de Marcello sur son derrière. Chaque doigts puissants s'y enfonçait. Il haletait dans son bain, son pénis durcit. Une fleur, une petite gerberas rose trônait sur le gland de Stéphane, hors de l'eau. Elle fut catapulté dans un geysers, quand Stéphane déchargeait, hurlant jusqu'à s'en faire entendre dans le couloir : " MARCELLLO !!!!!! "
Stéphane Edouard trottinait sur la Piazza del Colloseo, son petit fion malicieux tournant casaque face au majestueux Colisée.
Une belle après-midi s'offrait à lui, pleine de promesses moites et langoureusement Latines.
Suant légèrement, surveillant son Tinder, il tournat en boucle dans le quartier.
Stéphane, pris de chaleures soudaines, décida de pénétrer un lieu climatisé... pour le changer...
Devant une boutique de textile pour femmes, impressionné par le professionnalisme Romain, il entra, essuyant ses mocassins en toile à l'entrée.
Déjà il savourait la délicatesse des étoffes, fou d'un plaisir difficilement dissimulé.
Il y acheta une robe DolceGabana, prétextant un rendez-vous galant Piazza de Trevi, le sourire mutin, les mains tremblantes.
Sortant après avoir payé, son Tote Bag lui fouettant doucement la hanche, il vit alors une Google Car à sa hauteur...
Pris d'un frisson, il détournait déjà son visage, les mollets hérissés, le pas hésitant.
Il fallait faire vite.
En effet, Piero, son date de l'après-midi, lui envoyait maintenant un sms empressé :
" Quarante viale delle Terme di Caracalla, Stephane, Avanti Amore".
Stéphane, déjà trempé, courut dans la ruelle, transi d'un amour incertain...
Son escapade transalpine, devait en effet rester secrète...
C’est pour ça qu’il ne se définit pas comme sociologue mais comme mécanicien en relation homme/femme même si l’expression pourrait prêter à rire.
Données du topic
- Auteur
- COOLCALL
- Date de création
- 2 février 2024 à 21:50:13
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