"Madame, c'est vrai que si quelqu'un meurt on a tous notre diplôme ?"
- Bon, c'est bien sympa, mais à quand que ça bouge là ?
- Mais, vous n'êtes pas dans l'histoire ?
- J'ai plus de 8000 ans dans ma tête, tu crois que je me souviens de tout ?
- Par contre, partir à l'aventure si jeune, chapeau
- Oui, si vous n'étiez pas un génie et un sale type, j'aurais appelé cela de la folie
- Moi aussi j'aurais pu vivre de belles aventures
- Arrête de me regarder bordel, je t'ai déjà dit que j'étais désolé gamin, j'vais pas te sucer non plus
- Attends, t'es mort puceau du coup mon reuf ?
- Le seul, quelle tristesse
- Hinhin, oui oui, le seul bien sûr
- T'inquiète pas mon gars, on peut dire que je suis puceau également dans cette vie là
- Puceau moi ? sérieusement hinhin on me l'avait pas sortie celle-là depuis loooongtemps Demande à mes potes si je suis puceau tu vas voir les réponses que tu vas te prendre Rien que la semaine passée j'ai niquer donc chuuuuut ferme la puceau de merde car oui toi tu m’as tout l'air d’un bon puceau de merde car souvent vous êtes frustrer de ne pas BAISER c'est agréable de se faire un missionnaire ou un amazone avec une meuf hein ? tu peux pas répondre car tu ne sais pas ce que c'est ou alors tu le sais mais tu as du taper dans ta barre de recherche "missionnaire sexe" ou "amazone sexe" pour comprendre ce que c'était mdddrrr ! C'est grave quoiqu'il en soit.... pour revenir a moi, je pense que je suis le mec le moins puceau de ma bande de 11 meilleurs amis pas parce que j'ai eu le plus de rapport intime mais parce que j'ai eu les plus jolie femme que mes amis C'est pas moi qui le dit, c'est eux qui commente sous mes photos insta "trop belle la fille que tu as couché avec hier en boite notamment!" donc après si tu veux que ça parte plus loin ça peut partir vraiment loi j'habite dans la banlieue de Trilius ça te parle Big Benz ? C'est juste un cousin donc OKLM hinhinhin on verra si tu parles encore le puceau de merde mdddrrr pourquoi insulter quand on est soi-même puceau tu me feras toujours marrer!!
- Ok, changeons de sujet
- D'ailleurs, une idée de pourquoi on n'a pas de fille ici ?
- Dark est misogyne, je ne vois que cette solution
- Y'a qui comme meuf qui est cané déjà ?
- Alicia, Élisa, Lisa et Marion
- Y'a un certains patern qui se dessine quand même
- J'veux bien la p'tite Marion, elle savait y faire
- C'est marrant quand même, les trois premières ont presque le même nom
- On pourrait partir sur des théories
- Ouais flemme, un peu de cul cette fois ci ?
- Pas le vôtre j'espère
------
Franchissant le seuil de la taverne au nom évocateur du "Kanter Chanceux", les deux voyageurs furent assaillis par une vague de chaleur réconfortante, mêlée à l'arôme envoûtant d'un ragoût mijoté avec soin. Bien que modeste dans son apparence, la façade de bois et de pierre revêtait un certain charme rustique, égayée par l'enseigne en bois représentant un sanglier vert se balançant doucement au rythme de la brise
Pénétrant dans cette enceinte, leurs yeux eurent quelque peine à s'habituer à la clarté voilée qui y régnait. Les parois étaient ornées de dépouilles cynégétiques poussiéreuses et de cartes antiques au teint jaunâtre, silencieux échos des récits passés. Sur le sol de terre durcie, jonché de brindilles, le crissement de leurs bottes accompagnait chacune de leurs enjambées
De rustiques tables, façonnées dans un bois brut et patinées par les ans, ainsi que par les multitudes de coudes qui s'y sont appuyés, étaient disposées sans ordre apparent. Elles étaient entourées de bancs et de chaises d'époques et de styles divers, accentuant ainsi le caractère éclectique du lieu. Au cœur de cette pièce, trônait un imposant foyer de pierre, son feu crépitant doucement et dispensant une lumière tremblotante ainsi qu'une chaleur accueillante
Pierre avait jeté son dévolu sur cette humble taverne, dont la réputation demeurait des plus modérées, en quête d'un service et de tarifs tout aussi raisonnables. En somme, un lieu d'une trivialité sans égal, à merveille pour une rencontre furtive
- Ce sera parfait !
- Bof, j'aurais préféré le bar précédent
- L'endroit le plus huppé de Flucke ? Tu comptes saigner mes économies, Mazarin ?
- Les gens surveillent moins ce genre d'endroit, on reconnaît tout de suite quand quelqu'un n'est pas à sa place
- Quand on aura du budget, j'en parlerai au prince
- Dommage, je suis sûr que de belles rencontres se font là-bas
Ils gagnèrent le comptoir de chêne, où le tavernier, au visage rébarbatif mais aux regards affables, vaquait à ses occupations. Derrière lui, des étagères chargées de chopes d'étain et de bouteilles de vin commun paraissaient attendre qu'on les sollicite. L'effluve du pain fraîchement cuit se mariait à celle du ragoût sans prétention
- Vous désirez ?
- Une table pour deux, mon brave
- Bah, asseyez-vous tout seul, vous vous pensez dans un restaurant de la haute ?
- Ah c'est sûr, nous sommes très discret maintenant
Autour d'eux, quelques âmes en conversation chuchotaient, leurs murmures s'entremêlant au tintement des chopes qui s'entrechoquaient. Dans un recoin, un groupe de joueurs de dés riaient de bon cœur, leurs visages éclairés par la lueur vacillante des chandelles et des lampes à huile. Les ombres dansantes sur les murs conféraient une touche de mystère à l'atmosphère animée mais sans démesure
Ils prirent place en un endroit libre, s'imprégnant avec plaisir de l'atmosphère paisible et accueillante de cette taverne rustique. La servante s'avança alors vers eux
- Vous savez ce que vous voulez ?
- Pas encore, nous aimerions une carte s'il vous plaît
- Ok, tenez
- On aurait dû prendre un menu du jour
- Je préfère choisir ce que j'ai dans mon assiette
- Bon, dans ce cas si on peut choisit ce que l'on veut, je peux goûter ceci ?
- Non, tu es trop jeune pour toucher à de l'alcool
- Et cela, je peux ?
- Hors de question, je ne vais pas dépenser autant pour quelque chose qu'on trouve trois fois moins cher à la capitale
- ...
- Ce n'est pas la peine de faire une telle tête, je ne céderai pas
- Vous avez choisi ce que vous voulez vous et votre petit-fils ?
La serveuse revenait, non sans une certaine lassitude, quérir leur ordre une fois de plus, et le vieil homme avisé percevait dans son intonation une marque d'agacement peu commune
Et Pierre n'affectionnait point d'attirer les regards sur lui
- Allez, choisis autre chose
- ...
- Bon, je repasserai plus tard
- C'est bon, prends ce que tu as envie, mais pas d'alcool hein !
- Merci papy !
- Je ne suis pas... Oui, bien sûr mon petit, héhéhé
Le jeune Mazarin énuméra donc sa commande, que la serveuse prit toujours avec la même mine irritée avant de se tourner vers l'ancien protecteur qui donna, lui de même, son ordre
La femme fit alors face à l'opposé, se dirigeant vers les cuisines de la taverne
- Que faisons-nous déjà ?
- On attend, j'ai rendez-vous avec l'un de nos agents ici même
- Vous savez quand il viendra ?
- Normalement dans la nuit
- On ne va pas rester ici à l'attendre, ça va être trop long
- Quand on nous confie une mission, il faut l'exécuter avec le pus grand zèle
- ...
- Tu ne vas pas te mettre à bouder ?
- ...
- Je te préviens, ça ne marchera pas
- ...
- Bon, on ira se promener, il y a quelques endroits intéressants à visiter
- J'ai lu que le casino était très beau et qu'il y avait plein d'activités
- Non, tu es trop jeune, j'avais plutôt en tête...
- Vous savez Pierre, à chaque fois ça se passe de la même façon : vous me dites non, je fais mon adorable visage de chien battu, vous résistez, j'insiste et vous cédez. On pourrait gagner beaucoup de temps si nous passons toutes les étapes d'un coup
- ... Misère, qu'ai-je fait pour être dans cette situation
Alors que le jour déclinait et que l'ombre du crépuscule commençait à s'étendre, les murailles de Flucke se dressaient devant eux. La troupe avait fait montre d'une hâte non feinte, alternant les relais pour mener la charrette à bon port, ne s'accordant de pause que pour permettre à leurs montures de reprendre souffle. Finalement, les vaillants aventuriers atteignirent l'une des portes menant au cœur de la cité, gardée par quelques sentinelles vigilantes
- Hop là, le roi est en ville, donc dehors les étrangers !
- Abuse pas non plus, on prend juste leurs identités et on vérifie avec les avis de recherche et c'est bon, monsieur Bartels va nous faire la peau si on fout n'importe quoi
- Magie supérieure, persuasion spirituelle Il est inutile de contrôler nos identités
- Il est inutile de... Bordel, Mirodius c'est toi espèce de fripouille ?
- Cody ? Bordel, j't'avais pas reconnu avec cette armure, t'es passé capitaine mon con ?
Le capitaine de la garde, d'un pas mesuré, s'approcha du véhicule où se tenait le groupe d'aventuriers intrépides, et étreignit avec ferveur le chef des mercenaires. Profitant de cette proximité, les deux hommes entamèrent une conversation à voix feutrée, hors de portée des oreilles indiscrètes de leurs subalternes
- Ouais tout juste, depuis l'affaire du griffon, j'ai monté en grade, grâce à toi ! Par contre, on va avoir un souci, t'es sur la liste des gens dangereux, je dois t'arrêter
- Allez, pas à moi mon gars, on a fait tous les bars de Flucke ensemble !
- Je tiens à mon boulot, je suis marié maintenant Miro
- Tu me penses vraiment capable de commettre des trucs sales ?
- Bah...
- Le nid, ça compte pas hein !
- Si on fait abstraction de ça, c'est vrai que j'y crois pas trop à ces conneries
- Tu me laisses passer alors ?
- Ouais, mais tu m'en dois une
- Je tiens toujours mes promesses mon con
Le capitaine, tel un général d'armée, s'avança avec gravité vers ses troupes, tandis qu'il adressait un geste discret au cocher du véhicule, l'invitant à poursuivre sa route
- Ouvrez les portes
- On ne les contrôle pas du coup ?
- Non, je les connais c'est bon
Le véhicule rustique s'engagea devant le lieu de faction, gagnant le cœur de la cité marquise, sous la bienveillante attention du capitaine préposé à la surveillance
- Niño, si on avait dit au Dion que ça se ferait pacifiquement, je l'aurais pas crû
- C'est fou comment vous me sous-estimez en fait
- Moi, je crois en vous mon fils
- Bah c'est plus réciproque le vieux
- C'est bien beau d'avoir passé le poste de garde, mais que fait-on maintenant ?
- On essaie d'attaquer le camp des banditos cette nuit ?
- Mauvaise idée, le voyage m'a fatiguée, vaut mieux qu'on soit à 100% de nos capacités
- Demain alors, mais les auberges doivent toutes avoir des avis de recherche sur nos têtes
- Seulement sur Mirodius, Alfred et Talia, cela m’étonnerait qu'ils aient eu le temps de trouver un portrait pour Katrine et Dion, quant à moi, ils ne sont pas au courant que je suis avec vous
- On ne va pas coucher dehors non plus !
- Chut, arrête de crier imbécile !
La charrette poursuivait son chemin à travers les artères de la cité. En cette heure tardive, rares étaient les âmes qui s'attardaient dans ces parages, préférant sans nul doute les tumultes du centre-ville, où les seigneurs et leurs suivants avaient investi cabarets et tavernes afin de s'adonner aux plaisirs du repos et de la débauche
Méditant sur la question, la compagnie convint de se retirer en une auberge de basse condition, dans ces recoins de la cité les moins courus des hommes. Là, avec un peu de fortune, pourraient-ils se recueillir et se préparer pour l'épreuve qui les attendait le lendemain
Tandis qu'ils cheminaient vers l'établissement en question, un carrosse vint entraver leur passage, faisant se cabrer leurs montures, manquant de précipiter leur modeste véhicule contre l'une des maisons de la ville
- Et la priorité, c'est fait pour les trolls ?
- J'étais déjà engagé, sale conne va !
- Oh !
- Hep là, tu vas te calmer là, sinon c'est moi qui te calme mon con
- T'as un problème sale tocard ?
- Mais j'vais lui péter les deux jambes moi !
- Mais que ce passe t'il bon sang ?
Un homme, affublé d'habits somptueux, descendit avec élégance du véhicule. Promenant un regard rapide sur les différents individus réunis, il fit signe à son cocher de se tenir coi
- Maîtrise les ardeurs de ton conducteur, mon enfant, car la douceur est le plus beau des ornements
- Et qu'on va lui casser la boca s'il continu de mal nous parler
Le fortuné maître toisa alors son automédon d'un air grave et sourcilleux
- C'est vrai que vous m'avez l'air bien tendu ces derniers temps, vous voulez peut-être un peu de temps libre pour y réfléchir au calme ?
- C'est vrai qu'avec ce que j'ai vécu, ça me ferait du bien. Je serais payé ?
- HAHAHAHAHAHAHA Juste ciel, non. Et puis quoi, que je vous paye quand vous êtes malade ?
- J'men fous de vos trucs, dégage de la route bordel
- ...
Le suzerain du charretier observa Mirodius avec une focalisation marquée, avant de reporter son inspection sur Alfred. Naturellement, les deux jeunes gens se tinrent sur leurs gardes, présageant que l'opulent individu avait démasqué leur véritable nature. Son air grave et sérieux se dissipa pour laisser éclore sur ses traits une vaste et exubérante expression de joie
- Vous êtes des mercenaires ?
- Plus ou moins oui
- Écoutez, je suis navré du comportement de mon cocher, si vous voulez, je vous invite chez moi pour le dîner, je peux même m'arranger pour vous trouver des chambres tranquilles pour la nuit
- Comme ça ?
- Pas vraiment, à vrai dire, j'aurais un service à vous demander en retour et je paie bien
- C'est que nous sommes déjà en mission
- Je suis désolé, j'avais pensé que vous étiez de puissants mercenaires et non pas de jeunes sans expérience
Le capitaine de la compagnie s'élança d'un mouvement alerte hors du véhicule, se dirigeant d'un pas vif vers l'individu à l'éloquence flamboyante
- Alors mon gars, nous sommes le groupe de mercenaires le plus efficace de tout le coin, que dis-je, de tout le foutu royaume ! Foi de Mirodius !
- Mais quel imbécile...
- Deux ou trois missions en même temps, c'est du gâteau pour nous
- Il vient de divulguer son identité au premier venu ?
- Ah, je savais que je ne m'étais pas trompé en vous regardant de plus près ! Venez, suivez mon carrosse, je vous emmène chez moi, yallah !
Remontant dans sa somptueuse calèche, le prospère marchand fit un gracieux mouvement du bras pour intimer à son cocher de lancer les coursiers, s'élançant alors vers les quartiers les plus fastueux de la ville. Saisissant les rênes de son attelage, le sulfureux meneur de cette audacieuse entreprise de mercenaires s'engouffra dans les méandres des rues de Flucke, à la suite du carrosse de monsieur Bartels
- Bravo pour l'infiltration hein !
- Qu'est-ce qu'ta toi ?
- Jefe, tu viens de lui donner ton nom
- ... Oh le con
- Il faudrait que tu sois moins impulsif dans tes décisions et dans tes réactions
- Cela portera préjudice un jour ou l'autre
- Puisse le seigneur vous apportez un peu de sa sagesse
- J'suis pas impulsif !
Leur itinéraire les guida jusqu'à l'une des villas les plus imposantes de la ville du marquisat, une fastueuse résidence que David Bartels s'était procurée grâce à un échange prospère avec un noble démuni qui avait perdu sa fortune à la suite d'une mauvaise série de mauvais placements financiers
Ayant transformé cette demeure en résidence secondaire afin de se tenir au plus près des activités du marquis Glücke, il y avait établi toute sa famille et ses possessions depuis l'incident impliquant un certain preux chevalier épris d'équité
Le propriétaire des lieux et son cortège d'hôtes mirent pied à terre, tandis qu'un jeune homme s'élançait à leur encontre
- Monsieur Bartels, madame commençait à s'impatienter
- Va lui dire que nous avons des invités
- Restent-ils pour le dîner ?
- Bien sûr, yallah ! Et dépêche-toi avant que je te foute mon pied au cul !
- Oui, monsieur Bartels
- Puceau moi ? sérieusement hinhin on me l'avait pas sortie celle-là depuis loooongtemps Demande à mes potes si je suis puceau tu vas voir les réponses que tu vas te prendre
- Je te préviens, ça ne marchera pas
- ...
- Bon, on ira se promener, il y a quelques endroits intéressants à visiter
- Vous savez Pierre, à chaque fois ça se passe de la même façon : vous me dites non, je fais mon adorable visage de chien battu, vous résistez, j'insiste et vous cédez. On pourrait gagner beaucoup de temps si nous passons toutes les étapes d'un coup
Ah ça y est, maintenant j'ai la voix de Brigitte Lecordier dans la tête pour les répliques de Mazarin.
Ah, je connais cette technique.
- HAHAHAHAHAHAHA Juste ciel, non. Et puis quoi, que je vous paye quand vous êtes malade ?
un noble démuni qui avait perdu sa fortune à la suite d'une mauvaise série de mauvais placements financiers
Pas faute d'avoir prévenu que le Padericoin est un shitcoin.
Le 08 juin 2024 à 13:42:25 :
Ah pour une fois que c'est juste en deux parties.
Oui, je vais couper désormais, trop long c'est chiant à lire et à écrire
Le 08 juin 2024 à 14:43:26 :
Dark qui se défoule sur Simon en plus de ce qui lui a été mis au travers de la fic bordel
Entre les spin-off et la fin alternative il n'est pas gâté ce pauvre Simon
Manque plus qu'un petit épilogue bonus pour qu'il en prenne pleins la gueule et c'est bon
Ah, je pensais qu'on version un peu vieille et soutenue, cela voulait dire pareil, scuzez moi m'sieur l'ia
Le 08 juin 2024 à 16:24:22 :
Pourquoi ce topic a plus de 1400 pages ?
6419 pages +
Sommaire DÉFINITIF de la fic "Madame, c'est vrai que si quelqu'un meurt on a tous notre diplôme ?" par PijakoDeter MasskoDeter :
Première partie - Trouver sa place dans un nouveau monde...
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1241722324
Seconde partie - ... et se battre pour la préserver.
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1241722236
Fin - La seule vie qui comptait vraiment.
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1241722180
Fin - L'aube nouvelle de Paderi.
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1241722156
--------------------------------------------
Liens et ressources annexes
Google Docs de la fic (tous les chapitres + liste des sorts et techniques de tous les personnages) https://drive.google.com/drive/folders/1camW_qKepGRAXmvRNA84NxCXTvm8KS-2
Pour faire votre tierlist des personnages https://tiermaker.com/create/tierlist-des-personnages-de-la-fic-diplme-de-masskodeter-16111096
Élisez votre waifu PRÉFÉRÉE de la fic https://strawpoll.com/Qrgeb6DRrZp
Faites votre CLASSEMENT des waifus de la fic https://strawpoll.com/ajnEOERWmZW
Article JVFlux de la fic https://jvflux.fr/Madame,_c%27est_vrai_que_si_quelqu%27un_meurt_on_a_tous_notre_dipl%C3%B4me_%3F
Données du topic
- Auteur
- PijakoDeter
- Date de création
- 1 février 2024 à 19:49:27
- Nb. messages archivés
- 30122
- Nb. messages JVC
- 29834