J’imagine la tête de ce petit bonhomme, à 4 pattes, sanglé de cuir, en train de serrer les dents puis d’hurler, le visage dégoulinant de sueur, crispé par le plaisir alors qu’un autre mâle l’enc*le sévèrement et sans relâche, après avoir pris des substances qui lui permettent de durer encore et encore et encore, d’enc*ler ce petit j*if toujours plus violemment, tout en le tenant fermement par une laisse en cuir. Après des ébats qui auront duré des heures, au milieu de l’odeur de la merde, de la sueur et du foutre, le petit Attal souri, niais, épuisé et épanoui, bien rempli. IL va prendre sa douche, se prépare, met son petit costume et se dirige vers une caméra où il va dire aux français, ceci, cela, ce qu’ils doivent faire et ce qu’ils ne doivent pas faire.