Topic de habitanpoete :

Les libéraux venez

Le 13 janvier 2024 à 01:35:18 :

Le 13 janvier 2024 à 01:30:46 :
Je vis plutôt bien
Bientôt expat de cet enfer communiste qu'est la France
Je monte ma boîte au pays bas

J'ai ma boite ici, mais je pense aussi émigrer autre part :(
La législation est insupportable :(

Rien que l'administration m'a poussé a vouloir me barrer.
Mais en plus, y'a les taxes a outrance, tout ce qui touche à la fonction publique est complètement a la dérive, et je me vois pas éduquer mes futurs gosses dans un pays où l'insécurité est grandissante

je précise bien imaginaire parce que le marxisme n’est pas contre la responsabilité individuelle, pas plus qu’il n’est opposé à la liberté individuelle, qui est au passage plus large que la seule liberté d’entreprendre et d’exploiter des salariés

si tu t’intéressais au marxisme, tu saurais que depuis les 60s on a constaté que l’émergence de nouvelles classes sociales moins polarisées avait changé la donne de la lutte politique. ensuite on ne fait de personne la victime d’une autre, on observe simplement des rapports d’exploitation et de domination, mais je ne t’en veux pas de ne pas les voir, le libéralisme ne voit aucune domination, il ne voit pas non plus d’exploitation, il ne voit que des libertés abstraites et idéalistes. encore une fois tu t’es monté un ennemi imaginaire, si tu as des questions pour dépasser ta caricature idéologique apprise par cœur que tu prends plaisir à répéter

j’ai bien vu clair dans ton jeu, tu mobilises bel et bien une forme abatardie de la psychanalyse, tu es un bel hypocrite. tu ne comprends pas petit bourgeois que tu es, on ne veut pas le paradis sur terre, on veut un modèle de production différent qui soit conforme à une reproduction de la vie sur terre et qui soit conforme à une vie qui vaille la peine d’être vécue, va travailler à mcdo un jour tu comprendras peut être la nuance

la différence entre toi et moi c’est que je ne suis pas naïf au point de me penser comme un être sui generis, qui ne devrait sa pensée à personne et qui réinventerait de lui même la roue intellectuelle de la pensée. tu refuses effectivement le dialogue, et le plus drôle la dedans c’est que tu prétends que je nie l’individualité alors que depuis 10 posts tout ce que tu fais c’est échouer à communiquer avec un autre être humain parce que tu as mis un filtre entre nous deux, tu me réduis à l’idée imaginaire du communiste que tu t’es construite et tu es incapable de prendre en compte mon individualité, est-ce que tu réalises l’ironie dans tout ça ?

je me fiche complètement que tu te serves de l’autorité de lacan pour justifier ton scepticisme réfuté par 2000 ans de philosophie qui ne te sert qu’à te conforter dans ta méconnaissance de la réalité, cantonne toi à ne pas connaître le réel :hap: mais ne projette pas ça sur le monde social s’il te plait

je ne m’attarde pas sur la suite qui est vraiment triste. tu ne fais que confirmer la destruction par deleuze et guattari de la psychanalyse. la psychanalyse n’est qu’une usine à petit soumis qui acceptent l’aliénation et renoncent à leur désir (qui n’est pas le désir de de ce concept ridicule qu’est l’objet a)

D'une, pour parler psychanalyse, encore faudrait-il ne pas citer deleuze et gattari qui n'ont rien avoir avec la psychanalyse, la psychanalyse, c'est avant tout la clinique, pas la théorie, et deleuze et gattari s'éloigne très fortement dans l'anti-oedipe de la psychanalyse.

Et tu parles à ma place car à aucun moment je n'ai dit que je parlais sans aucun déterminisme, sans aucune identification à autrui, lorsque l'on parle nous ne parlons pas toujours en notre nom, mais au nom d'un autre, le lapsus puisque tu parles psychanalyses est une des formations de l'inconscient démontrant que l'homme lorsqu'il parle, ne sait pas ce qu'il dit. Nous parlons déjà parce que nous vivons dans un monde qu parle, nos parents, notre mère, notre langue maternelle n'est pas la notre, mais en nous séparant des parents nous pouvons acquérir justement ce "je", par un processus d'individuation.

L'individu nait en se séparant de l'autre, de la mère, par une séparation symbolique. Mais ma pensée évidemment que je la dois à d'autre, mais j'ai su prendre du recul sur mon éducation pour ne plus dépendre de ma demande d'amour , de sécurité, ce qui crée du ressentiment, ton ressentiment tu le rejettes simplement sur la société, sur le bourgeois, sur le capitale, j'en ai aucun envers quiconque, je parle simplement de l'idée, et il est bien plus difficile de combattre le marxisme, l'islamisme ou le nazisme que de combattre un homme.

"tu existes pour valoriser de la valeur, pour augmenter la valeur déjà existante, pour assurer le bon déroulement de 1argent2marchandise3plus d’argent (pas pour toi), voilà tout ce que tu es pour la société, un esclave"

Tu fais exactement de l'individu un esclave pour la société, ne me dis pas qu'il n'y a pas ici la volonté de te faire victime d'un autre, d'un puissant ayant droit de vie ou de mort sur ta personne, qui te manipule. Le complotiste agit de même avec une élite qui le manipulerait, lui voudrait du mal, la féministe avec le patriarcat, le marxiste avec la bourgeoisie.

La seule manière de s'émanciper, de devenir libre, c'est par l'éducation, en quittant la sécurité de la caverne de platon en contemplant les ombres, et seule une aristocratie qui guide le peuple, qui pense, peut faire sortir le peuple de cette caverne, le rendre autonome.

Après tout ton post c'est une invention sur ma personne, si tu vois clair dans mon jeu, que tu sais ce que je pense sans même pouvoir parler, tu bloques justement tout dialogue. Je ne m'attaque à aucun moment à toi, ce que toi tu te permets par contre de faire, j'attaque les idées, toi t'attaque la personne en me disant "naïf", "petit soumis", et tu parles de psychanalyse en me parlant de deleuze et guattari, de l'anti oedipe, ce que toute personnes incultes feraient puisque ne connaissant rien à la chose car ils y traitent de freud, de la vision dogmatique de l'oedipe, de lacan, mais à aucun moment c'est un texte de clinicien, Ferenczi et son journal clinique ça n'intéresse pas Deleuze et Guattari, hors Ferenczi c'est vers lui que freud amenait ses patients difficiles, et freud lui même se disait à la fin de sa vie plus théoricien, que clinicien, et la psychanalyse n'est pas une, elle accepte justement plusieurs théories, dont la théorie de la pulsion de mort chez freud qui n'est pas acceptée par tous. Et là encore c'est de la théorie, l'intérêt d'une psychanalyse c'est justement de cesser d'être aliéné par l'image de l'autre, de dire "je", de ne plus être soumis face à l'autre percu comme un tyran car on fait de l'autre son propre tyran bien souvent, t'as une vision de la chose sans l'expérience ni la culture, c'est ça qui est navrant. La psychanalyse ne sert à rien en ce qui concerne la théorie, c'est le transfert qui en s'établissant dans une relation de confiance permet à la personne de parler, de se lier, puis de se détacher en étant non plus spectateur, victime, soumis à son histoire, mais acteur responsable

Ce qui permet de parler c'est le principe du sujet supposé savoir, de supposer un savoir au thérapeute, au médecin, mais ce qui inhibe le savoir c'est que le médecin, thérapeute, psy, pense réellement détenir le savoir sur cette personne et l'empêche de parler d'elle. Mais à un moment donné, pour devenir sujet, la personne va se confronter à un mur, l'autre, n'en sait pas plus que lui, c'est lui au fond qui détient les clés de son propre savoir, l'aboutissement c'est l'inverse même de la dépendance, tu as une vision de la chose très dogmatique, alors que c'est le dogme qui empêche de parler. Le psychanalyste doit partir sans apriori sur la personne, plus il parle de lui, et même de théorie, plus il empêche l'individu de parler de lui.

Et il n'est pas question de renoncer à son désir, mais de ne pas céder sur son désir, ce qui est à l'inverse même du discours 68ard. Son désir on peut le reconnaitre, l'articuler autrement que dans l'acte, ni forcément le refouler par le religion, mais le dire, un désir qui n'est pas là pour être satisfait, c'est la logique du fameux non rapport sexuel, car il n'y a pas de satisfaction sexuelle totale, pleine, de symbiose entre deux être, mais il y'a toujours un manque à être chez l'être humain comme dans le mythe d'aristophane, et il est bon de le dire. C'est à aucun moment une ode à la vie ascétique sans désir. Un désir fondamentalement inconscient, premier, de ne faire qu'un avec l'autre, que l'on rencontre de les mythes de retour au paradis perdu, dans la quête du graal, un désir de savoir toujours là aussi incomplet.

C'est toi-même qui sors de ton individualité en te cachant derrière le "nous", pas moi, j'ai jamais prétendu ne pas dépendre d'une éducation, d'identification, être né ex nihilo ou prétendre à un délire d'auto engendrement, mais je parle seulement pour ma personne. Tu fermes seul l'échange d'une par ce nous, de deux en m'attaquant personnellement et non l'idée et également par un vocabulaire "violent", virulent de "destruction" par deleuze, mais à quel moment il est idée d'échange si t'es là pour détruire l'autre ?

L’op insulte les gens sans comprendre de quoi il parle et ca feed https://image.noelshack.com/fichiers/2021/48/2/1638292927-castaldi.png

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Auteur
habitanpoete
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12 janvier 2024 à 23:54:55
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