Les TECHNOLOGIES sont les ENNEMIS de l'HUMANITÉ
Les technologies d'aujourd'hui, surtout celles qui touchent au numérique, à l'information, la communcation, et à l'intelligence artificielle, sont une sorte de double tranchant. D'un côté, elles nous donnent des moyens de communication et d'apprentissage incroyables. Mais de l'autre, elles ne sont pas sans risques. Je pense vraiment que le mauvais dépasse le bon dans ce cas, et qu'on risque de s'y perdre. Regardez les trente dernières années : le progrès technologique n'a pas apporté que des solutions, il a aussi créé pas mal de soucis, pour nous tous, et pour la société.
Personnellement, je vois autour de moi de plus en plus de gens qui se sentent seuls, stressés, qui ont des problèmes psychologiques, et ça touche même et surtout les jeunes. Ces outils, qui étaient censés nous "rapprocher", finissent par nous isoler et nous rendre indifférents. Ce qui est vraiment inquiétant, c'est la manière dont notre cerveau réagit à tout ça, on est surstimulé en permanence, ce qui bouscule notre équilibre interne. On n'arrive plus à apprécier les petites choses, et on en veut toujours plus, un peu comme un toxicomane qui cherche sa prochaine dose.
Et cette dépendance, on la voit partout, que ce soit dans l'augmentation des addictions au porno, aux jeux vidéo, ou à toutes sortes d'activités numériques. Tout ça, c'est comme si on perdait petit à petit notre humanité, notre capacité à ressentir de l'empathie, et qu'on devenait plus agressifs, plus irritables. Avec l'anonymat sur Internet, les gens se permettent de dire n'importe quoi, ce qui rend la méchanceté et l'indifférence presque banales.
Ça se répercute partout, dans les familles, chez les couples, dans la société entière. Quand on voit le nombre de divorces, quand on voit combien de jeunes se retrouvent seuls, ça fait peur. Les technologies ne pourront jamais remplacer la vraie vie, ces moments authentiques et spontanés qu'on devrait tous vivre. Nous sommes des êtres sociaux, c'est dans notre nature. Si on perd ça, on perd tout ce qui fait de nous des humains. On a survécu pendant des milliers, des millions d'années grâce à notre capacité à vivre ensemble. Si on oublie ça, on oublie qui on est vraiment.
Il semble que l'intense développement, l'énergie, le temps et l'argent investis dans ces technologies servent une stratégie de division, une incarnation moderne de la maxime "diviser pour mieux régner". Plutôt que de nous unir, la technologie a tendance à nous diviser, à nous éloigner et à nous déconnecter les uns des autres.
Trop de personnes sont enfermées dans des paradigmes et des dogmes illusoires, des constructions virtuelles qui s'éloignent de la réalité. Ceux qui ne sont pas ancrés dans le monde réel et qui consacrent une grande partie de leur temps à ces technologies développent une vision de la réalité qui est biaisée et erronée. C'est là notre problème majeur, nous sommes déconnectés les uns des autres, passant plus de temps dans un univers virtuel que dans le monde réel. Cela représente une distorsion significative de la réalité et une menace à la cohésion sociale.
Je peux aborder un autre aspect préoccupant, le potentiel démagogique de ces technologies. Elles peuvent, en effet, faciliter une forme de manipulation subtile et néfaste orchestrée par les élites. La propagation de messages à des fins de propagande est devenue incroyablement aisée. Les gens deviennent accros à ces technologies, et les élites peuvent alors diffuser les idées qu'elles souhaitent. Que ce soit par des moyens subliminaux ou ouvertement explicites, les individus se retrouvent modelés, conditionnés selon les désirs de ces élites.
C'est une manipulation cognitive qui s'insinue dans notre quotidien, souvent sans que nous en soyons conscients. C'est un point crucial à comprendre, ces outils technologiques ont le pouvoir non seulement de changer notre comportement, mais aussi de façonner notre manière de penser, nos croyances et, finalement, notre réalité. Et c'est là, selon moi, un des aspects les plus importants et des plus essentiels à saisir.
On sait qu'une consommation excessive de ces technologies réduit notre capacité de concentration et d'attention. Je suis certain qu'on va trouver des cas typiques sur ce topic où des kheys ne prennent même pas deux minutes pour lire mon post originel Pourquoi cela ? Parce que notre cerveau est perturbé par ces technologies qui privilégient la gratification immédiate. Mais cela équivaut à céder à nos instincts les plus primaires, à être dominés par nos impulsions les plus basiques.
C'est comme si on régressait à un état sauvage, perdant toute maîtrise de soi. Dans cet état, nous sommes bien loin d'être une espèce qui se veut intelligente, civilisée et avancée. Il y a là un décalage flagrant entre le progrès technique et notre développement personnel et social.
Lire un post ne devrait prendre que deux minutes, et l'idée est d'échanger puisqu'on est sur un forum de discussion, non ? Le hic, c'est que notre cerveau est devenu tellement habitué à être hyperstimulé par ces technologies qu'une simple lecture semble fastidieuse et épuisante. On cherche alors un autre sujet qui promet une satisfaction immédiate, une gratification rapide, signe flagrant que nos circuits neuronaux peuvent être déréglés par l'usage intensif de ces technologies. Et c'est là un point crucial.
En réalité, ces technologies, qui semblent anodines au premier abord, peuvent finir par dominer entièrement nos vies, nous rendant esclaves de nos impulsions et instincts. C'est là que le transhumanisme entre en jeu, et ce n'est que le début
Un autre point essentiel touche au noyau de notre société, celui de la famille. Aujourd'hui, beaucoup de relations commencent sur des applications de rencontre, transformant la recherche de partenaires en une sorte de shopping où on choisit les "produits" les plus attirants. Mais l'attirance initiale peut s'avérer trompeuse, et l'abondance de choix nous pousse à devenir des éternels insatisfaits. Cette quête incessante de satisfaction immédiate mine le fondement même du foyer familial, y compris l'éducation des enfants.
De nos jours, la tendance est à la gratification instantanée plutôt qu'à l'édification d'une relation solide et durable. Avec un accès facile aux avantages sans les inconvénients, pourquoi ne pas en profiter ? Mais cette recherche de satisfaction à court terme a des conséquences dévastatrices sur le long terme. Les gens se séparent pour des futilités, renonçant à renforcer leur couple ou à résoudre les problèmes, qui sont pourtant solubles. Plutôt que de trouver des solutions, ils préfèrent esquiver les difficultés et rejeter la faute sur l'autre, mettant en péril la stabilité familiale.
Les technologies ont une part de responsabilité dans ce phénomène. Elles ont perturbé la chimie de notre cerveau et nous ont rendus apathiques, même envers nos proches. En te promenant, tu peux observer que beaucoup de personnes, même au sein d'un groupe d'amis ou d'un couple, passent plus de temps les yeux fixés sur leur téléphone qu'à interagir réellement. Cette déshumanisation se fait sentir fortement et affecte les fondations de la famille, qui est pourtant cruciale pour le succès personnel et l'intégration sociale.
Si on enlève à l'individu les aspects sociaux et familiaux de sa vie, on lui retire la possibilité de se sentir accompli. Sans cela, il ne reste que le regret et la tristesse pour des relations superficielles qui ne sauraient remplacer les liens profonds et significatifs.
Ces technologies ont aussi le potentiel de nous transformer en sortes de zombies, nous privant de motivation et de volonté dans notre vie quotidienne. Cela diminue notre capacité à influencer positivement la société et l'humanité. Sur le plan individuel, cela est préoccupant, mais collectivement, c'est encore plus alarmant. Nous sommes pris dans un système compétitif où la lutte contre les autres prévaut sur l'entraide. On aspire à être le meilleur, le plus fort, à gagner seul, au lieu de viser une victoire commune ou de célébrer les réussites d'autrui.
La compétition est exacerbée par les technologies qui nous incitent à toujours vouloir exceller, être le plus beau, le plus influent, comme le montrent les réseaux sociaux avec la quête de la photo parfaite, ou les applications de rencontre où chacun tente de se "vendre" au mieux. Cette course à la superficialité a des effets déshumanisants et des répercussions néfastes sur notre quotidien. Elle nous rend passifs, inactifs, à la recherche constante de gratifications immédiates que les technologies nous fournissent si aisément, contrairement à la réalité où les récompenses prennent du temps à se matérialiser. Mais qui ont pourtant, une réalité, une signification véritable, authentique, durable, saine et solide, qui perdurent dans le temps et qui ne s'oublient pas au moindre coup de vent.
Notre cerveau est trompé par ces récompenses faciles qui ne possèdent pas la même valeur à long terme que les accomplissements réels et tangibles. Si nous cessons de construire quelque chose de solide et durable, nous en souffrons, car nous sommes faits pour réaliser, créer, transformer et embellir. Sans volonté ou motivation, en perdant nos liens sociaux et familiaux, en perdant la substance de notre essence, nous risquons de perdre notre humanité. C'est là que le transhumanisme et la domination de la technologie sur l'homme prennent tout leur sens.
Il est très probable que ce sujet n'attire pas l'attention de la majorité et sombre dans l'oubli, dans les abysses de l'indifférence, ce qui reflète précisément l'intention de certaines élites, favoriser une société axée sur le spectacle et le divertissement plutôt que sur l'introspection et l'action. C'est également une des stratégies délibérées pour détourner l'attention des questions fondamentales.
Dans la vie, nous sommes confrontés à un choix crucial, soit nous maîtrisons notre esprit, nous transcendons notre biologie et nos instincts grâce à la force de notre conscience, soit nous devenons les esclaves de nos impulsions et de nos instincts les plus basiques. Ce n'est qu'en prenant conscience de cette dichotomie et en œuvrant pour cultiver notre volonté et notre réflexion que nous pouvons espérer reprendre le contrôle de nos vies face à la technologie.
Tu ne changeras rien, donc ça sert a rien de s'attarder dessus.
Par contre, tu peux saisir les multiples opportunités offerte, histoire de pas se retrouver dans le camp des perdants.
Le 10 novembre 2023 à 22:58:35 Ombra_Alexius18 a écrit :
J'ai lu rapidement et ce que je peux en dire c'est que : Tu manques cruellement ( d'apparence du moin ) d'opportunisme.
Tu ne changeras rien, donc ça sert a rien de s'attarder dessus.
Par contre, tu peux saisir les multiples opportunités offerte, histoire de pas se retrouver dans le camp des perdants.
Ma réflexion ne porte pas que sur mon cas individuel, mais sur l'humanité dans son ensemble. Nous traversons une phase de déshumanisation telle que l'essence même de notre humanité, telle que nous l'avons connue, est en péril, menaçant de disparaître à jamais.
Cependant, adopter une vision entièrement pessimiste comme tu le fais n'est pas constructif, car comme je l'ai dis, les pensées négatives se matérialisent et peuvent créer une réalité négative. Si nous croyons que rien ne peut changer, alors rien ne changera. Mais je suis convaincu qu'un changement est toujours possible. Bien sûr, je ne peux pas induire ce changement seul, mais chaque voix qui s'élève, chaque opinion qui résonne, contribue à un changement potentiel.
Le 10 novembre 2023 à 22:58:35 :
J'ai lu rapidement et ce que je peux en dire c'est que : Tu manques cruellement ( d'apparence du moin ) d'opportunisme.
Tu ne changeras rien, donc ça sert a rien de s'attarder dessus.
Par contre, tu peux saisir les multiples opportunités offerte, histoire de pas se retrouver dans le camp des perdants.
Ca c'est un gros souci dans notre société. Quand on voit des problèmes de fonctionnement sociétal, on ne lutte même plus contre, on binarise la pensée "gagnants/perdants" et on essaie d'être du côté des "gagnants" sans réfléchir à l'horreur du monde dans lequel on gagne
A l'époque au moins il y avait des gens qui luttaient, des grèves d'importance qui nous ont permis de changer les choses et améliorer nos droits par exemple. Si on appliquait la mentalité actuelle à il y a 100 ans, on n'aurait pas eu de grèves d'ouvriers dans un but collectif pour de meilleurs salaires des congés, etc. Mais juste un ensemble de petits lèches-culs poussant leur statut d'esclave au paroxisme dans l'espoir d'avoir sa petite promotion et de pouvoir dominer ses autres camarades.
Le 10 novembre 2023 à 23:07:18 pairnoel a écrit :
Le 10 novembre 2023 à 22:58:35 :
J'ai lu rapidement et ce que je peux en dire c'est que : Tu manques cruellement ( d'apparence du moin ) d'opportunisme.
Tu ne changeras rien, donc ça sert a rien de s'attarder dessus.
Par contre, tu peux saisir les multiples opportunités offerte, histoire de pas se retrouver dans le camp des perdants.Ca c'est un gros souci dans notre société. Quand on voit des problèmes de fonctionnement sociétal, on ne lutte même plus contre, on binarise la pensée "gagnants/perdants" et on essaie d'être du côté des "gagnants" sans réfléchir à l'horreur du monde dans lequel on gagne
A l'époque au moins il y avait des gens qui luttaient, des grèves d'importance qui nous ont permis de changer les choses et améliorer nos droits par exemple. Si on appliquait la mentalité actuelle à il y a 100 ans, on n'aurait pas eu de grèves d'ouvriers dans un but collectif pour de meilleurs salaires des congés, etc. Mais juste un ensemble de petits lèches-culs poussant leur statut d'esclave au paroxisme dans l'espoir d'avoir sa petite promotion et de pouvoir dominer ses autres camarades.
De nos jours, on assiste à une montée du narcissisme et d'un egocentrisme exacerbé chez les individus, alimentés par un système compétitif qui nous pousse à vouloir être plus forts, plus beaux, meilleurs que les autres. Cette tendance est profondément nocive car elle incite chacun à se focaliser sur soi-même plutôt que de se soucier des autres, sauf pour se comparer et s'assurer de les surpasser. Cela crée un environnement sociétal et communautaire toxique et nuit à l'humanité dans son ensemble.
Face à cette situation, beaucoup adoptent une attitude fataliste, se disant que le monde est perdu et qu'il vaut mieux se concentrer sur sa propre survie. Mais c'est précisément ce type de pensée qui alimente le narcissisme et la compétition, et qui permet aux inégalités, aux injustices et à la violence de s'enraciner et de se propager.
J'ai toujours pensé qu'au-delà de notre existence éphémère, ce qui perdure, c'est l'humanité. Dans 60 ans, nous ne serons plus là, mais l'humanité continuera. Alors, qu'est-ce qui est le plus important ? Notre vie individuelle, temporaire et fugace, ou l'humanité ? C'est sans doute l'humanité. Et quand on pense à l'humanité, on pense inévitablement à chaque individu, car le bien-être collectif ne peut exister sans des vies individuelles dignes. Si l'on se concentre uniquement sur l'individualité sans penser au collectif, on perd de vue l'essence même de notre interconnexion et de notre responsabilité partagée en tant qu'êtres humains.
Données du topic
- Auteur
- CKOMSAWI
- Date de création
- 10 novembre 2023 à 22:31:01
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
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