Le 07 juillet 2023 à 02:40:28 :
Le problème ne vient pas des origines mais des comportements, selon moi "on" juge des personnes et ensuite on améliore le système, cela ce fait en deux temps, tout faire en meme temps, c'est offrir des avantage et par conséquent déclassé ceux qui ne les ont pas.
La justice est un idéale, jamais je croit une absolue réalité.
Elle doit admettre ce trompé systématiquement en partie, et en l'assumant toujours, poir s'amélioré sans cesse.
Vouloir visé trop juste, tout de suite, c'est raté la cible.
La Nature dans son ensemble détruit les structures monstrueuses quelle que soit leur organisation, on peut l'observer en 476 et tout au long de l'histoire, chez les fleurs qui cherchent à se miniaturiser comme vers le micro; on parle de bon et de mauvais, de calme et de trouble pour le vent, la mer : les lames, la végétation, la chaleur, les présages on les substitue aux dénominations de moral et immoral autant que ces choses ont en eux la conscience à leur niveau des événements, ainsi nous arrivons à dire qu'on ne peut prêter ces choses à la volonté puisqu'elles se trouvent dans la conscience et non pas en elle, nous arriverions à ce carrefour à une contradiction in adjecto; evidemment j'essaie de déterminer où se fait cette démarcation, comment agir dessus, une première idée est celle de la bonté de coeur, si elle se présente au hasard parfois en un lieu puis se répète, on la voit ici surgir au dessus de la ligne où commence sa réalité, à savoir que la conscience la perçois comme morale, cependant la crainte seule forme l'habitude, si on prend ce principe établi, l'enseignement le plus profond est une connaissance stérile sans la crainte et l'Esprit de l'âme quintéssencié de la personnalité pure, comme il surgit du feu de toute son existence, les lauriers du poëte paraissent méprisable à l'un tandis que l'autre lui sacrifie sa vie etc... je n'ai pas terminé mon raisonnement mais par intuition on peut imaginer que l'homme rejettera ses illusions pour se consacrer au processus universel