[RDV] Raconte ton pire DATE avec une fille ^^
SuppriméLe 03 mai 2023 à 23:11:31 :
Moi c'est vraiment un truc de merde, une fille rencontré sur tinder la journée s'est super bien passé et on a finit chez elle, sauf que j'avais envie de chier j'ai chier chez elle et c'était terminé.La meuf à pété un cable toute seule en gueulant "Ca pu la merde gros dégueulasse", enfin dés que je suis sortie des chiottes elle a foncé dedans sentir si j'avais bien chié
Bref elle m'a demandé de partir + bloqued
Fallait partir en disant je reviens je vais acheter a boire en demandant une boisson rare genre " ta du fanta framboise " et revenir avec cette boisson et en ayant chié au café en bas
Demandez moi prochaine fois
Le 09 mai 2023 à 04:25:38 :
Le 09 mai 2023 à 04:23:42 :
J'aimerai bien que quelqu'un m'ewplique mon failUne meuf de 28 ou 29 ans , qui aimait faire le tour de la côte de France en vélo , sportive beau corps grande et disons oscillage entre 7 et 6,5 visage
On s'est rencontré sur une application de rencontre et on se donne rendez-vous à Paris pour manger asiatique et c'est moi qui avait payé.
J'avais dis à la meuf que je lui ferai faire un tour en moto . J'avais deix casques . C'était une 125 pas non plus hyper puissante mais sympa . Elle famille plutôt de droite blanche parisienne moi j'ai grandis en banlieue mais bonne éducation et fils d'immigrésDu coup on mange ça se passe bien on parle et avant de faire la queue au restaurant, elle me dit que je suis BG
Après on va marcher un peu . Là je lui parle de tout et rien comme au restaurant. Faut savoir qu'elle me parlait d'orgasmes qu'elle avait avec d'autres gars et que hop elle voulait plus rien faire après , alors que des meuf aiment continuer
Et la du coup après la bouffe pendant la balade je lui dis si elle a des préfèrences au niveau sexe cunnilingus ou je sais plus quoi. La on allait revenir sur la moto et elle dit
" Franchement je préfère être honnête je veux pas monter sur la moto "J'ai rien compris j'ai essayé d'avoir des explications. On a parlé tranquillement après 10 minutes de mémoire elle savait pas quoi faire
Franchement je sais pas même après 2 ou 3 ans
Elle a fait la chaudasse et a pas assumé quand il fallait passer à plus sérieux
Ça arrive souvent avec celles qui parlent ouvertement de cul
Celles qui en parlent peu sont généralement les meilleures au lit
Aya je t'assure que deux meufs n'en parlaient pas mais étaient très fortes.
Non mais ya pas que ça là je me dis peut être vu que c'était une gosse de riche elle a vu ma moto pourtant jolie et noire mais qui coure pas 10000e
Ou bien je l ai refroidi en parlant de cul
Ou j'ai forcé en voulant ken des le début
Ou je sais pas elle voulait manger gratuit
Le mec qui parle de badoo au Japon
Je ne comprends pas car j'y habite aussi et j'ai jamais date personne la dessus , ça a l'air comme bumble une app fantôme
(Enfin bumble ma fait baisé un peu quand-même)
Et tes dates foireux mon rappelé certain des miens
Les asiat et les filtres/argent bordel
J'en ai plusieurs à raconter, je vais le faire dans l'ordre chronologique
Mon tout premier date foireux a eu lieu au Japon, j'y étais avec mon meilleur ami. J'avais déjà testé les applications de rencontre avant et j'avais détesté. Mais comme je restais trois semaines au pays du soleil levant qui a su, je le rappelle, trouver un juste équilibre entre modernité et tradition, je me suis dit que ce serait cool de baiser local
C'est ainsi que je me suis mis en quête d'une petite autochtone à pourfendre et le moins que je puisse dire c'est que j'avais le luxe du choix tant je matchais. C'était limite insupportable tant j'avais des notifications non stop, d'autant que la plupart ne lisaient pas ma bio où je spécifiais pourtant poliment mes ambitions: baiser.
J'ai fini par matcher avec une certaine Ayame, plutôt mignonne, durant mon passage à Kobe et après une rapide discussion, elle m'a proposé de se voir. Donc je me suis retapé le trajet jusqu'à Kobe depuis Osaka alors que de base je n'avais aucunement prévu d'y revenir. Mais lorsque l'appel de la chatte retentit, impossible de l'ignorer, ne serait-ce que pour ne pas décevoir le morveux pervers que j'étais et qui rêvait de baiser tout ce qui fait l'erreur de respirer et d'avoir de la poitrine. "C'est pour toi petit" me dis-je, un sourire satisfait aux lèvre tandis que je rejoignais Ayame devant la gare de Kobe.
Mon sourire s'est effacé quand j'ai aperçu l'animal. Une petite meuf un peu bouffie et grasse comme le boeuf qui fait la notoriété de la ville. Comme elle ne m'avait pas encore vu, je commençais à hésiter à partir en courant comme un détraqué mais j'étais comme pétrifié. À force de tergiverser, j'ai raté ma fenêtre de sortie et Ayame a fini par me voir et me rejoindre.
De près elle était encore plus moche, rien à voir avec ses photos et j'ai rapidement compris qu'en réalité elle ne parlait pas un mot d'anglais puisqu'elle se mettait à glousser bêtement quand j'essayais de lui parler, me laissant constater sa dentition quelque peu dissidente.
S'ensuivit alors un trajet dans le silence le plus total. On marchait pendant ce qui m'a semblé être une éternité, sans que je n'ai la moindre idée de notre destination. J'en profitais alors pour plonger dans mes pensées et m'entretenir avec moi même: "J'ai forcément un instinct de survie, je vais trouver un moyen de me tirer de là." Je pensais aussi à mon pote que je devais retrouver après, il me manquait et j'avais envie de pleurer tellement je voulais pas baiser cette nana.
Trop tard encore une fois pusique l'édifice qui nous barrait la route n'était ni plus ni moins qu'un Love Hotel. L'intérieur était un peu glauque, il n'y avait personne, seulement des bornes de paiement pour choisir sa chambre. Gentleman, j'ai laissé Ayame choisir la chambre dans laquelle aura lieu la pire baise de la galaxie et bon point pour elle, elle a eu la décence de choisir une des chambres les moins chères.
Malgré son prix de seulement 5000 yens ( une trentaine d'euros) pour 1h30, la chambre était franchement sympa si on exclut son ambiance de film porno du début d'année 2000. Il y avait une belle douche, un karaoké, un grand lit et sur ce lit, la grosse Ayame. "Merde, c'est vrai, il faut que je la baise" me dis-je.
On a commencé à s'embrasser et cela n'était déjà pas bien glorieux, j'ai eu des flashbacks de mes premières tentatives de French kiss et en plus je n'aimais pas ça. La voir de si près me rebutait et le duvet brin sur ses lèvres me débectait particulièrement. On a fini par se déshabiller et Ayame a eu la bonté de confirmer le cliché de la forêt noire impénétrable. Mes yeux restaient fixés un moment sur son entrejambe rudement bien coiffé d'une épaisse couronne de poils, on pouvait s'y perdre.
Une tentative maladroite de branlette plus tard, j'ai essayé de faire comprendre à Ayame que j'aurais bien aimé me faire sucer. Comme elle ne parlait pas anglais, j'ai trouvé judicieux d'accompagner ma requête d'un petit mime d'une fellation. Encore aujourd'hui, les rares moments où j'ai l'audace d'être heureux, je repense à ce geste et le désir de quitter cette planète titille mes envies.
Mais qu'importe, le message était passé et Ayame a entreprit de généreusement me rayer la queue. Chacun de ses mouvements était plus maladroit que le précédent, tellement que je commençais à penser que mimer le geste n'était peut-être pas si débile. J'ai tout de même fini par avoir une demi-molle ce qui a vraisemblablement suffit à convaincre Ayame qu'il était temps pour la pénétration puisqu'elle s'est aussitôt allongée sur le dos en me tendant une capote.
La baise fut pénible et Ayame sublimait le concept d'étoile de mer, j'avais l'impression de baiser un Staross. C'est durant la levrette qu'une idée étrange me vint, pourquoi ne pas en profiter pour s'amuser un peu ? Je repensais alors à la vidéo de Mister V où il draguait une américaine en lui susurrant des mots au hasard en français et c'est exactement ce que je décidais de faire.
"Hmm fromage râpé" pouvait-on m'entendre gémir de ma voix d'homme. Monumentale erreur puisque la blague m'a fait rire tout seul et que le peu d'érection que j'avais s'est tiré aussi vite qu'une Suicune sauvage.
Je pensais que le calvaire touchait à sa fin mais c'était mal connaître l'obstination légendaire du peuple japonais et Ayame, véritable héroïne de shonen qui n'abandonne jamais, s'est mise à m'offrir une seconde branlette foirée. Quel petit veinard j'étais.
Après une éjaculation que je dédis à mes souvenirs de bonnes baises passées et au fait que j'avais les couilles bien pleines, Ayame s'est blottie contre moi en me fixant amoureusement tandis que mon dégoût pour elle s'amplifiait grandement. J'avais honte de moi, baiser une nana qui me rebutait, étais-je réellement ce genre d'animal ? N'avais-je donc aucune notion d'amour propre ?
Après ce date, j'ai rejoins mon pote. Il a vite compris mon dégoût et j'ai passé la soirée terré dans mon mutisme.
Heureusement je me suis rattrapé un peu plus tard avec une autre jap en boite et là c'était une sacrée baise.
Le 03 mai 2023 à 23:03:54 :
On s’était parlé pendant le confinement, on se parlait tous les jours et on s’appelait 1h chaque soir.
Un jour je décide d’aller la voir et donc de parcourir les 1h30 de train qui nous séparent.
La première chose qu’elle me dit avant même de me dire bonjour c’est « ah mais t’es petit en fait :O »
Magnum10
MP
CiterBlacklisterAlerte
Niveau 10
10 mai 2023 à 10:09:41
Ah ben j’en ai un tout nouveau qui date d’hier. Quand j’aurai le courage de raconter
Je veux tout savoir bro
404 not found
Tinder, une Polonaise à Varsovie.
Elle se pointe au rencard, mignonne comme sur les photos donc ça passe. Elle veut aller en boite, pas trop chaud mais on prend le taxi.
Seulement la boite, excentrée, n'accepte que le cash. Donc on doit trouver un distributeur et on enjambe des obstacles dans la nuit
Je sens qu'elle est de plus en plus froide. J'essaye d'accrocher et de danser avec elle mais rien à faire. Elle finit tout simplement par disparaitre
Le 09 mai 2023 à 16:32:06 :
J'en ai plusieurs à raconter, je vais le faire dans l'ordre chronologiqueMon tout premier date foireux a eu lieu au Japon, j'y étais avec mon meilleur ami. J'avais déjà testé les applications de rencontre avant et j'avais détesté. Mais comme je restais trois semaines au pays du soleil levant qui a su, je le rappelle, trouver un juste équilibre entre modernité et tradition, je me suis dit que ce serait cool de baiser local
C'est ainsi que je me suis mis en quête d'une petite autochtone à pourfendre et le moins que je puisse dire c'est que j'avais le luxe du choix tant je matchais. C'était limite insupportable tant j'avais des notifications non stop, d'autant que la plupart ne lisaient pas ma bio où je spécifiais pourtant poliment mes ambitions: baiser.
J'ai fini par matcher avec une certaine Ayame, plutôt mignonne, durant mon passage à Kobe et après une rapide discussion, elle m'a proposé de se voir. Donc je me suis retapé le trajet jusqu'à Kobe depuis Osaka alors que de base je n'avais aucunement prévu d'y revenir. Mais lorsque l'appel de la chatte retentit, impossible de l'ignorer, ne serait-ce que pour ne pas décevoir le morveux pervers que j'étais et qui rêvait de baiser tout ce qui fait l'erreur de respirer et d'avoir de la poitrine. "C'est pour toi petit" me dis-je, un sourire satisfait aux lèvre tandis que je rejoignais Ayame devant la gare de Kobe.
Mon sourire s'est effacé quand j'ai aperçu l'animal. Une petite meuf un peu bouffie et grasse comme le boeuf qui fait la notoriété de la ville. Comme elle ne m'avait pas encore vu, je commençais à hésiter à partir en courant comme un détraqué mais j'étais comme pétrifié. À force de tergiverser, j'ai raté ma fenêtre de sortie et Ayame a fini par me voir et me rejoindre.
De près elle était encore plus moche, rien à voir avec ses photos et j'ai rapidement compris qu'en réalité elle ne parlait pas un mot d'anglais puisqu'elle se mettait à glousser bêtement quand j'essayais de lui parler, me laissant constater sa dentition quelque peu dissidente.
S'ensuivit alors un trajet dans le silence le plus total. On marchait pendant ce qui m'a semblé être une éternité, sans que je n'ai la moindre idée de notre destination. J'en profitais alors pour plonger dans mes pensées et m'entretenir avec moi même: "J'ai forcément un instinct de survie, je vais trouver un moyen de me tirer de là." Je pensais aussi à mon pote que je devais retrouver après, il me manquait et j'avais envie de pleurer tellement je voulais pas baiser cette nana.
Trop tard encore une fois pusique l'édifice qui nous barrait la route n'était ni plus ni moins qu'un Love Hotel. L'intérieur était un peu glauque, il n'y avait personne, seulement des bornes de paiement pour choisir sa chambre. Gentleman, j'ai laissé Ayame choisir la chambre dans laquelle aura lieu la pire baise de la galaxie et bon point pour elle, elle a eu la décence de choisir une des chambres les moins chères.
Malgré son prix de seulement 5000 yens ( une trentaine d'euros) pour 1h30, la chambre était franchement sympa si on exclut son ambiance de film porno du début d'année 2000. Il y avait une belle douche, un karaoké, un grand lit et sur ce lit, la grosse Ayame. "Merde, c'est vrai, il faut que je la baise" me dis-je.
On a commencé à s'embrasser et cela n'était déjà pas bien glorieux, j'ai eu des flashbacks de mes premières tentatives de French kiss et en plus je n'aimais pas ça. La voir de si près me rebutait et le duvet brin sur ses lèvres me débectait particulièrement. On a fini par se déshabiller et Ayame a eu la bonté de confirmer le cliché de la forêt noire impénétrable. Mes yeux restaient fixés un moment sur son entrejambe rudement bien coiffé d'une épaisse couronne de poils, on pouvait s'y perdre.
Une tentative maladroite de branlette plus tard, j'ai essayé de faire comprendre à Ayame que j'aurais bien aimé me faire sucer. Comme elle ne parlait pas anglais, j'ai trouvé judicieux d'accompagner ma requête d'un petit mime d'une fellation. Encore aujourd'hui, les rares moments où j'ai l'audace d'être heureux, je repense à ce geste et le désir de quitter cette planète titille mes envies.
Mais qu'importe, le message était passé et Ayame a entreprit de généreusement me rayer la queue. Chacun de ses mouvements était plus maladroit que le précédent, tellement que je commençais à penser que mimer le geste n'était peut-être pas si débile. J'ai tout de même fini par avoir une demi-molle ce qui a vraisemblablement suffit à convaincre Ayame qu'il était temps pour la pénétration puisqu'elle s'est aussitôt allongée sur le dos en me tendant une capote.
La baise fut pénible et Ayame sublimait le concept d'étoile de mer, j'avais l'impression de baiser un Staross. C'est durant la levrette qu'une idée étrange me vint, pourquoi ne pas en profiter pour s'amuser un peu ? Je repensais alors à la vidéo de Mister V où il draguait une américaine en lui susurrant des mots au hasard en français et c'est exactement ce que je décidais de faire.
"Hmm fromage râpé" pouvait-on m'entendre gémir de ma voix d'homme. Monumentale erreur puisque la blague m'a fait rire tout seul et que le peu d'érection que j'avais s'est tiré aussi vite qu'une Suicune sauvage.
Je pensais que le calvaire touchait à sa fin mais c'était mal connaître l'obstination légendaire du peuple japonais et Ayame, véritable héroïne de shonen qui n'abandonne jamais, s'est mise à m'offrir une seconde branlette foirée. Quel petit veinard j'étais.Après une éjaculation que je dédis à mes souvenirs de bonnes baises passées et au fait que j'avais les couilles bien pleines, Ayame s'est blottie contre moi en me fixant amoureusement tandis que mon dégoût pour elle s'amplifiait grandement. J'avais honte de moi, baiser une nana qui me rebutait, étais-je réellement ce genre d'animal ? N'avais-je donc aucune notion d'amour propre ?
Après ce date, j'ai rejoins mon pote. Il a vite compris mon dégoût et j'ai passé la soirée terré dans mon mutisme.
Heureusement je me suis rattrapé un peu plus tard avec une autre jap en boite et là c'était une sacrée baise.
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- mrfindus207
- Date de création
- 3 mai 2023 à 22:58:34
- Date de suppression
- 28 mai 2023 à 05:13:00
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