J'aurais voulu vivre en URSS...
Le 21 avril 2023 à 15:25:46 :
Le 21 avril 2023 à 15:23:44 :
La modération a supprimé (sans m'en avertir) ma réponse à ce topic. Le caractère sournois de cette suppression (et le fait qu'aucune sanction n'y soit attahcée) me permet de penser que mes propos n'enfreignaient nullement la loi ni la charte et que cette suppression est une erreur technique ou une manoeuvre purement abusive. Je pense donc être dans mon bon droit à reposter le message mot pour mot."Je suis franco-russe et de ce que disent nos anciens, la vie en URSS était effectivement préférable par rapport à celle de l'époque actuelle, tant au niveau du confort matériel que de l'ambiance en général. Il y a plusieurs mythes tenaces à détricoter pour appréhender ce qu'était la vie soviétique.
Premièrement, les images de files de centaines de gens et des tickets de rationnement que vous avez en Occident sont exagérées, ou plutôt elles correspondent à des périodes bien précises de l'histoire soviétique (début des années 30, Après-Guerre immédiat et enfin la période 89-91, quand l'URSS était déjà sur sa fin). À part ces périodes, sans parler d'abondance, les gens vivaient plutôt bien. En tous cas, il n'y avait pas d'ultra-pauves ou de SDF, chacun avait un travail qui lui permettait de manger à sa faim et de mettre un petit pécule de côté. Sans compter que les soins étaient gratuits et que les travailleurs méritants se voyaient même offrir des vacances aux frais de l'Etat.
L'autre mythe à détruire est celui de la terreur permanente. Mis à part la période des grandes purges (seconde partie des années 30) où l'on pouvait effectivement risquer le peloton pour un mot de travers, la terreur d'Etat n'est pas constitutive de l'histoire soviétique, a fortiori à partir des années 50. Bien sûr, il était interdit de critiquer ouvertement l'idéologie communiste ou d'émigrer à l'Ouest. Mais si quelqu'un s'opposait au régime, à moins de faire un attentat, il ne risquait pas l'exécution. Tout au plus pouvait-il prendre plusieurs années de prison (pour des faits graves comme un appel à la sédition ou au sabotage, par exemple), mais le plus souvent les dissidents étaient plutôt mis sous surveillance, fichés et donc tricards de tous les postes de l'Etat (ce qui, dans un pays communiste, signifie être au chômage). Ils étaient aussi calomniés par la presse et mis au ban de la société (un peu comme un activiste d'extrême-droite le serait en France actuellement...).
Enfin, l'obligation d'être athée et la prétendue persécution de la religion sont des narratifs créés par le clergé a posteriori pour se donner un rôle d'opposants et de martyrs. Dans les faits, à part les membres du Parti, chacun était libre d'aller dans son lieu de culte et de pratiquer sa foi en privé, les livres sacrés n'étant d'ailleurs pas interdits. Ce qui était interdit, c'était d'afficher ses croyances dans l'espace public et de faire du prosélytisme. Par ailleurs, le clergé lui-même collaborait avec le régime et la plupart des religieux étaient des agents du KGB, mais cela ils oublient de le dire maintenant...
Bref, dans les faits, la vie en URSS ressemblait plus à celle de la France des Trente Glorieuses (en version eco +, quand-même) qu'à une dystopie orwellienne."
"Mis à part la période des grandes purges (seconde partie des années 30) "
guignol, ddb le danger public
Laisse le il a raison
Le 21 avril 2023 à 15:27:05 :
Le 21 avril 2023 à 15:25:46 :
Le 21 avril 2023 à 15:23:44 :
La modération a supprimé (sans m'en avertir) ma réponse à ce topic. Le caractère sournois de cette suppression (et le fait qu'aucune sanction n'y soit attahcée) me permet de penser que mes propos n'enfreignaient nullement la loi ni la charte et que cette suppression est une erreur technique ou une manoeuvre purement abusive. Je pense donc être dans mon bon droit à reposter le message mot pour mot."Je suis franco-russe et de ce que disent nos anciens, la vie en URSS était effectivement préférable par rapport à celle de l'époque actuelle, tant au niveau du confort matériel que de l'ambiance en général. Il y a plusieurs mythes tenaces à détricoter pour appréhender ce qu'était la vie soviétique.
Premièrement, les images de files de centaines de gens et des tickets de rationnement que vous avez en Occident sont exagérées, ou plutôt elles correspondent à des périodes bien précises de l'histoire soviétique (début des années 30, Après-Guerre immédiat et enfin la période 89-91, quand l'URSS était déjà sur sa fin). À part ces périodes, sans parler d'abondance, les gens vivaient plutôt bien. En tous cas, il n'y avait pas d'ultra-pauves ou de SDF, chacun avait un travail qui lui permettait de manger à sa faim et de mettre un petit pécule de côté. Sans compter que les soins étaient gratuits et que les travailleurs méritants se voyaient même offrir des vacances aux frais de l'Etat.
L'autre mythe à détruire est celui de la terreur permanente. Mis à part la période des grandes purges (seconde partie des années 30) où l'on pouvait effectivement risquer le peloton pour un mot de travers, la terreur d'Etat n'est pas constitutive de l'histoire soviétique, a fortiori à partir des années 50. Bien sûr, il était interdit de critiquer ouvertement l'idéologie communiste ou d'émigrer à l'Ouest. Mais si quelqu'un s'opposait au régime, à moins de faire un attentat, il ne risquait pas l'exécution. Tout au plus pouvait-il prendre plusieurs années de prison (pour des faits graves comme un appel à la sédition ou au sabotage, par exemple), mais le plus souvent les dissidents étaient plutôt mis sous surveillance, fichés et donc tricards de tous les postes de l'Etat (ce qui, dans un pays communiste, signifie être au chômage). Ils étaient aussi calomniés par la presse et mis au ban de la société (un peu comme un activiste d'extrême-droite le serait en France actuellement...).
Enfin, l'obligation d'être athée et la prétendue persécution de la religion sont des narratifs créés par le clergé a posteriori pour se donner un rôle d'opposants et de martyrs. Dans les faits, à part les membres du Parti, chacun était libre d'aller dans son lieu de culte et de pratiquer sa foi en privé, les livres sacrés n'étant d'ailleurs pas interdits. Ce qui était interdit, c'était d'afficher ses croyances dans l'espace public et de faire du prosélytisme. Par ailleurs, le clergé lui-même collaborait avec le régime et la plupart des religieux étaient des agents du KGB, mais cela ils oublient de le dire maintenant...
Bref, dans les faits, la vie en URSS ressemblait plus à celle de la France des Trente Glorieuses (en version eco +, quand-même) qu'à une dystopie orwellienne."
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guignol, ddb le danger publicLaisse le il a raison
mais la ferme toi à défendre les purges humaines
Le 21 avril 2023 à 15:27:40 :
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Premièrement, les images de files de centaines de gens et des tickets de rationnement que vous avez en Occident sont exagérées, ou plutôt elles correspondent à des périodes bien précises de l'histoire soviétique (début des années 30, Après-Guerre immédiat et enfin la période 89-91, quand l'URSS était déjà sur sa fin). À part ces périodes, sans parler d'abondance, les gens vivaient plutôt bien. En tous cas, il n'y avait pas d'ultra-pauves ou de SDF, chacun avait un travail qui lui permettait de manger à sa faim et de mettre un petit pécule de côté. Sans compter que les soins étaient gratuits et que les travailleurs méritants se voyaient même offrir des vacances aux frais de l'Etat.
L'autre mythe à détruire est celui de la terreur permanente. Mis à part la période des grandes purges (seconde partie des années 30) où l'on pouvait effectivement risquer le peloton pour un mot de travers, la terreur d'Etat n'est pas constitutive de l'histoire soviétique, a fortiori à partir des années 50. Bien sûr, il était interdit de critiquer ouvertement l'idéologie communiste ou d'émigrer à l'Ouest. Mais si quelqu'un s'opposait au régime, à moins de faire un attentat, il ne risquait pas l'exécution. Tout au plus pouvait-il prendre plusieurs années de prison (pour des faits graves comme un appel à la sédition ou au sabotage, par exemple), mais le plus souvent les dissidents étaient plutôt mis sous surveillance, fichés et donc tricards de tous les postes de l'Etat (ce qui, dans un pays communiste, signifie être au chômage). Ils étaient aussi calomniés par la presse et mis au ban de la société (un peu comme un activiste d'extrême-droite le serait en France actuellement...).
Enfin, l'obligation d'être athée et la prétendue persécution de la religion sont des narratifs créés par le clergé a posteriori pour se donner un rôle d'opposants et de martyrs. Dans les faits, à part les membres du Parti, chacun était libre d'aller dans son lieu de culte et de pratiquer sa foi en privé, les livres sacrés n'étant d'ailleurs pas interdits. Ce qui était interdit, c'était d'afficher ses croyances dans l'espace public et de faire du prosélytisme. Par ailleurs, le clergé lui-même collaborait avec le régime et la plupart des religieux étaient des agents du KGB, mais cela ils oublient de le dire maintenant...
Bref, dans les faits, la vie en URSS ressemblait plus à celle de la France des Trente Glorieuses (en version eco +, quand-même) qu'à une dystopie orwellienne."
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Retourne dans tes livres d'histoire golem
Le 21 avril 2023 à 15:28:14 :
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La modération a supprimé (sans m'en avertir) ma réponse à ce topic. Le caractère sournois de cette suppression (et le fait qu'aucune sanction n'y soit attahcée) me permet de penser que mes propos n'enfreignaient nullement la loi ni la charte et que cette suppression est une erreur technique ou une manoeuvre purement abusive. Je pense donc être dans mon bon droit à reposter le message mot pour mot."Je suis franco-russe et de ce que disent nos anciens, la vie en URSS était effectivement préférable par rapport à celle de l'époque actuelle, tant au niveau du confort matériel que de l'ambiance en général. Il y a plusieurs mythes tenaces à détricoter pour appréhender ce qu'était la vie soviétique.
Premièrement, les images de files de centaines de gens et des tickets de rationnement que vous avez en Occident sont exagérées, ou plutôt elles correspondent à des périodes bien précises de l'histoire soviétique (début des années 30, Après-Guerre immédiat et enfin la période 89-91, quand l'URSS était déjà sur sa fin). À part ces périodes, sans parler d'abondance, les gens vivaient plutôt bien. En tous cas, il n'y avait pas d'ultra-pauves ou de SDF, chacun avait un travail qui lui permettait de manger à sa faim et de mettre un petit pécule de côté. Sans compter que les soins étaient gratuits et que les travailleurs méritants se voyaient même offrir des vacances aux frais de l'Etat.
L'autre mythe à détruire est celui de la terreur permanente. Mis à part la période des grandes purges (seconde partie des années 30) où l'on pouvait effectivement risquer le peloton pour un mot de travers, la terreur d'Etat n'est pas constitutive de l'histoire soviétique, a fortiori à partir des années 50. Bien sûr, il était interdit de critiquer ouvertement l'idéologie communiste ou d'émigrer à l'Ouest. Mais si quelqu'un s'opposait au régime, à moins de faire un attentat, il ne risquait pas l'exécution. Tout au plus pouvait-il prendre plusieurs années de prison (pour des faits graves comme un appel à la sédition ou au sabotage, par exemple), mais le plus souvent les dissidents étaient plutôt mis sous surveillance, fichés et donc tricards de tous les postes de l'Etat (ce qui, dans un pays communiste, signifie être au chômage). Ils étaient aussi calomniés par la presse et mis au ban de la société (un peu comme un activiste d'extrême-droite le serait en France actuellement...).
Enfin, l'obligation d'être athée et la prétendue persécution de la religion sont des narratifs créés par le clergé a posteriori pour se donner un rôle d'opposants et de martyrs. Dans les faits, à part les membres du Parti, chacun était libre d'aller dans son lieu de culte et de pratiquer sa foi en privé, les livres sacrés n'étant d'ailleurs pas interdits. Ce qui était interdit, c'était d'afficher ses croyances dans l'espace public et de faire du prosélytisme. Par ailleurs, le clergé lui-même collaborait avec le régime et la plupart des religieux étaient des agents du KGB, mais cela ils oublient de le dire maintenant...
Bref, dans les faits, la vie en URSS ressemblait plus à celle de la France des Trente Glorieuses (en version eco +, quand-même) qu'à une dystopie orwellienne."
"Mis à part la période des grandes purges (seconde partie des années 30) "
guignol, ddb le danger publicLaisse le il a raison
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signal gouv apologie de crimes contre l'humanité
Le 21 avril 2023 à 15:35:38 :
Le 21 avril 2023 à 15:35:00 :
Le 21 avril 2023 à 15:33:45 :
Le 21 avril 2023 à 15:31:53 :
Le 21 avril 2023 à 15:30:21 :
> Le 21 avril 2023 à 15:28:44 :
>> Le 21 avril 2023 à 15:28:14 :
> >> Le 21 avril 2023 à 15:27:40 :
> > >> Le 21 avril 2023 à 15:27:05 :
> > > >> Le 21 avril 2023 à 15:25:46 :
> > > > >> Le 21 avril 2023 à 15:23:44 :
> > > > > >La modération a supprimé (sans m'en avertir) ma réponse à ce topic. Le caractère sournois de cette suppression (et le fait qu'aucune sanction n'y soit attahcée) me permet de penser que mes propos n'enfreignaient nullement la loi ni la charte et que cette suppression est une erreur technique ou une manoeuvre purement abusive. Je pense donc être dans mon bon droit à reposter le message mot pour mot.
> > > > > >
> > > > > > "Je suis franco-russe et de ce que disent nos anciens, la vie en URSS était effectivement préférable par rapport à celle de l'époque actuelle, tant au niveau du confort matériel que de l'ambiance en général. Il y a plusieurs mythes tenaces à détricoter pour appréhender ce qu'était la vie soviétique.
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> > > > > > Premièrement, les images de files de centaines de gens et des tickets de rationnement que vous avez en Occident sont exagérées, ou plutôt elles correspondent à des périodes bien précises de l'histoire soviétique (début des années 30, Après-Guerre immédiat et enfin la période 89-91, quand l'URSS était déjà sur sa fin). À part ces périodes, sans parler d'abondance, les gens vivaient plutôt bien. En tous cas, il n'y avait pas d'ultra-pauves ou de SDF, chacun avait un travail qui lui permettait de manger à sa faim et de mettre un petit pécule de côté. Sans compter que les soins étaient gratuits et que les travailleurs méritants se voyaient même offrir des vacances aux frais de l'Etat.
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> > > > > > L'autre mythe à détruire est celui de la terreur permanente. Mis à part la période des grandes purges (seconde partie des années 30) où l'on pouvait effectivement risquer le peloton pour un mot de travers, la terreur d'Etat n'est pas constitutive de l'histoire soviétique, a fortiori à partir des années 50. Bien sûr, il était interdit de critiquer ouvertement l'idéologie communiste ou d'émigrer à l'Ouest. Mais si quelqu'un s'opposait au régime, à moins de faire un attentat, il ne risquait pas l'exécution. Tout au plus pouvait-il prendre plusieurs années de prison (pour des faits graves comme un appel à la sédition ou au sabotage, par exemple), mais le plus souvent les dissidents étaient plutôt mis sous surveillance, fichés et donc tricards de tous les postes de l'Etat (ce qui, dans un pays communiste, signifie être au chômage). Ils étaient aussi calomniés par la presse et mis au ban de la société (un peu comme un activiste d'extrême-droite le serait en France actuellement...).
> > > > > >
> > > > > > Enfin, l'obligation d'être athée et la prétendue persécution de la religion sont des narratifs créés par le clergé a posteriori pour se donner un rôle d'opposants et de martyrs. Dans les faits, à part les membres du Parti, chacun était libre d'aller dans son lieu de culte et de pratiquer sa foi en privé, les livres sacrés n'étant d'ailleurs pas interdits. Ce qui était interdit, c'était d'afficher ses croyances dans l'espace public et de faire du prosélytisme. Par ailleurs, le clergé lui-même collaborait avec le régime et la plupart des religieux étaient des agents du KGB, mais cela ils oublient de le dire maintenant...
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> > > > > > Bref, dans les faits, la vie en URSS ressemblait plus à celle de la France des Trente Glorieuses (en version eco +, quand-même) qu'à une dystopie orwellienne."
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> > > > > "Mis à part la période des grandes purges (seconde partie des années 30) "
> > > > > guignol, ddb le danger public
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> > > > Laisse le il a raison
> > >
> > > mais la ferme toi à défendre les purges humaines
> >
> > Retourne dans tes livres d'histoire golem
>
> signal gouv apologie de crimes contre l'humanité
Je te réponds avec mon pseudo préféré
Retourne chialeron a inventé les prisons pour enfermer les malades dans ton genre, et crois moi c'est pas prêt de s'arrêter, de mon côté j'éduque les meufs à pas faire d'enfant avec les gens dans ton genre, enjoy la séléction
Détend ton slip et écoute moi ce Bijou..
https://youtu.be/Rm6q_3WGy9M
L'hymne SOVIÉTIQUE, bordel, vivre l'urssraconte pas ta vie, je m'en branle que tu aies des passions nationalistes russes, c'est pas le sujet
Alors dégage on parle d'URSS ici, meilleur pays au monde, Staline meilleur dirigeant de L'HISTOIRE
je t'ai déjà demandé de la fermer le fan des purges humaines
typiquement un comportement de gogole sans enfants ou qui ne compte pas en avoir, prison + séléction naturelle pour les gens dans ton genre
+ ça ne changera jamais car les types comme toi sont toujours des prolo faibles qui ne tiennent jamais sur la durée, la preuve l'urss s'est effondrée car c'était de la merde
Le 21 avril 2023 à 15:38:48 :
Le 21 avril 2023 à 15:35:38 :
Le 21 avril 2023 à 15:35:00 :
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> > >> Le 21 avril 2023 à 15:27:40 :
> > > >> Le 21 avril 2023 à 15:27:05 :
> > > > >> Le 21 avril 2023 à 15:25:46 :
> > > > > >> Le 21 avril 2023 à 15:23:44 :
> > > > > > >La modération a supprimé (sans m'en avertir) ma réponse à ce topic. Le caractère sournois de cette suppression (et le fait qu'aucune sanction n'y soit attahcée) me permet de penser que mes propos n'enfreignaient nullement la loi ni la charte et que cette suppression est une erreur technique ou une manoeuvre purement abusive. Je pense donc être dans mon bon droit à reposter le message mot pour mot.
> > > > > > >
> > > > > > > "Je suis franco-russe et de ce que disent nos anciens, la vie en URSS était effectivement préférable par rapport à celle de l'époque actuelle, tant au niveau du confort matériel que de l'ambiance en général. Il y a plusieurs mythes tenaces à détricoter pour appréhender ce qu'était la vie soviétique.
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> > > > > > > Premièrement, les images de files de centaines de gens et des tickets de rationnement que vous avez en Occident sont exagérées, ou plutôt elles correspondent à des périodes bien précises de l'histoire soviétique (début des années 30, Après-Guerre immédiat et enfin la période 89-91, quand l'URSS était déjà sur sa fin). À part ces périodes, sans parler d'abondance, les gens vivaient plutôt bien. En tous cas, il n'y avait pas d'ultra-pauves ou de SDF, chacun avait un travail qui lui permettait de manger à sa faim et de mettre un petit pécule de côté. Sans compter que les soins étaient gratuits et que les travailleurs méritants se voyaient même offrir des vacances aux frais de l'Etat.
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> > > > > > > L'autre mythe à détruire est celui de la terreur permanente. Mis à part la période des grandes purges (seconde partie des années 30) où l'on pouvait effectivement risquer le peloton pour un mot de travers, la terreur d'Etat n'est pas constitutive de l'histoire soviétique, a fortiori à partir des années 50. Bien sûr, il était interdit de critiquer ouvertement l'idéologie communiste ou d'émigrer à l'Ouest. Mais si quelqu'un s'opposait au régime, à moins de faire un attentat, il ne risquait pas l'exécution. Tout au plus pouvait-il prendre plusieurs années de prison (pour des faits graves comme un appel à la sédition ou au sabotage, par exemple), mais le plus souvent les dissidents étaient plutôt mis sous surveillance, fichés et donc tricards de tous les postes de l'Etat (ce qui, dans un pays communiste, signifie être au chômage). Ils étaient aussi calomniés par la presse et mis au ban de la société (un peu comme un activiste d'extrême-droite le serait en France actuellement...).
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> > > > > > > Enfin, l'obligation d'être athée et la prétendue persécution de la religion sont des narratifs créés par le clergé a posteriori pour se donner un rôle d'opposants et de martyrs. Dans les faits, à part les membres du Parti, chacun était libre d'aller dans son lieu de culte et de pratiquer sa foi en privé, les livres sacrés n'étant d'ailleurs pas interdits. Ce qui était interdit, c'était d'afficher ses croyances dans l'espace public et de faire du prosélytisme. Par ailleurs, le clergé lui-même collaborait avec le régime et la plupart des religieux étaient des agents du KGB, mais cela ils oublient de le dire maintenant...
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> > > > > > > Bref, dans les faits, la vie en URSS ressemblait plus à celle de la France des Trente Glorieuses (en version eco +, quand-même) qu'à une dystopie orwellienne."
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> > > > > > "Mis à part la période des grandes purges (seconde partie des années 30) "
> > > > > > guignol, ddb le danger public
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> > > > > Laisse le il a raison
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> > > > mais la ferme toi à défendre les purges humaines
> > >
> > > Retourne dans tes livres d'histoire golem
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> > signal gouv apologie de crimes contre l'humanité
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> Je te réponds avec mon pseudo préféré
> Retourne chialer
on a inventé les prisons pour enfermer les malades dans ton genre, et crois moi c'est pas prêt de s'arrêter, de mon côté j'éduque les meufs à pas faire d'enfant avec les gens dans ton genre, enjoy la séléction
Détend ton slip et écoute moi ce Bijou..
https://youtu.be/Rm6q_3WGy9M
L'hymne SOVIÉTIQUE, bordel, vivre l'urssraconte pas ta vie, je m'en branle que tu aies des passions nationalistes russes, c'est pas le sujet
Alors dégage on parle d'URSS ici, meilleur pays au monde, Staline meilleur dirigeant de L'HISTOIRE
je t'ai déjà demandé de la fermer le fan des purges humaines
typiquement un comportement de gogole sans enfants ou qui ne compte pas en avoir, prison + séléction naturelle pour les gens dans ton genre+ ça ne changera jamais car les types comme toi sont toujours des prolo faibles qui ne tiennent jamais sur la durée, la preuve l'urss s'est effondrée car c'était de la merde
Staline était le petit pères depuis peuples. Jamais il n'aurai forcé sa population à faire un vaccin par exemple
Gloire à Staline, gloire à l'URSS
Le 21 avril 2023 à 15:29:42 :
Être haut fonctionnaire en URSS et partir en vacances en Crimée
Le rêve
J'aurai aimé moi aussi que mon pays travaille pour prospérer.
Mais en France on a ce concept en horreur...
Le 21 avril 2023 à 15:44:05 :
J'aurai aimé moi aussi que mon pays travaille pour prospérer.Mais en France on a ce concept en horreur...
Malheureusement...
Le 21 avril 2023 à 15:29:42 :
Être haut fonctionnaire en URSS et partir en vacances en Crimée
Tout le monde pouvait aller en Crimée lors du mois de vacance estival. C'était pas réservé à l'élite.
Par contre attention la belle vie en URSS c'est années 60 et 70
Le reste c'est pas top.
J'ai une série documentaire de 1968 où on suit le quotidien de 13 soviétiques de toute l'URSS si ça intéresse certains. Full HD et quasiment introuvable depuis, et surtout en Français.
Données du topic
- Auteur
- Saykinlove
- Date de création
- 20 avril 2023 à 22:06:01
- Nb. messages archivés
- 34
- Nb. messages JVC
- 27