Freud : aimer les PIEDS des femmes = GAY
SuppriméLe 01 avril 2023 à 00:42:02 :
Le 01 avril 2023 à 00:40:49 :
Le 01 avril 2023 à 00:40:04 :
C'est juste deux zones du cerveaux qui se touchent. Celle de la perception des pieds et celle de perception génitale.La neuroscience a bien évoluée depuis Freud.
sauf que la neuroscience c'est de la merde, la preuve
Quelle preuve ? Celle qui avance des faits pour expliquer des causes de conséquences ?
vas t'allonger timmy tu m'a l'air éreinté
Le 01 avril 2023 à 00:41:48 :
Le 01 avril 2023 à 00:40:04 :
C'est juste deux zones du cerveaux qui se touchent. Celle de la perception des pieds et celle de perception génitale.La neuroscience a bien évoluée depuis Freud.
Il n'y a pas de "zone du cerveau qui gère spécifiquement les pieds" c'est une foutaise de descolarisés ça
Tu es le seul à parler de zones spécifiques, j'ai parlé de zones qui gèrent des choses differentes
Vous n'allez pas le croire en cliquant la desssu
Le 01 avril 2023 à 00:43:53 :
Le 01 avril 2023 à 00:41:48 :
Le 01 avril 2023 à 00:40:04 :
C'est juste deux zones du cerveaux qui se touchent. Celle de la perception des pieds et celle de perception génitale.La neuroscience a bien évoluée depuis Freud.
Il n'y a pas de "zone du cerveau qui gère spécifiquement les pieds" c'est une foutaise de descolarisés ça
Tu es le seul à parler de zones spécifiques, j'ai parlé de zones qui gèrent des choses differentes
t'es malaisant timmy
Le 01 avril 2023 à 00:22:29 :
Freud avance très simplement que pour tous les cas qu'il a connus, une seule explication s’impose : ce fétiche est un substitut du pénis - il s'empresse de préciser qu’il s’agit du pénis de la femme, auquel le petit garçon a cru et auquel il ne veut pas renoncer. Le fétiche répond donc à une seule et même nécessité. Il s'est substitué au pénis de sa mère que le sujet aurait souhaité voir, et dont il a bien dû constater l’absence.Soit, le phallus de la femme. Freud distingue donc le pénis de la réalité de la fonction symbolique du phallus,
qui prend alors une valeur signifiante. La perception demeure et "[le sujet] a entrepris une action très énergique pour maintenir son déni. Il a conservé la croyance que la femme a un phallus mais il l'a aussi abandonnée.7" Le sujet se divise ici, à l'endroit de la réalité. Ce clivage lié au conflit entre le poids de la perception et la force du contre-désir trouve un compromis. Le sujet sait bien consciemment que la mère n'a pas de pénis, tout en lui attribuant un phallus dans son fantasme inconscient. Le pénis qu'il n'y a pas est remplacé par une autre image signifiante.On voit bien à quoi répond l'existence de ce fétiche :
- à un triomphe sur la menace de castration ;
- à une protection contre cette menace de castration ;
- et à un évitement de l'homosexualité, car le fétiche permet à la femme de rester supportable en tant qu'objet sexuel.Freud l'affirme tranquillement, son expérience lui permet de dire qu'il n'est épargné à aucun petit sujet
masculin d'être effrayé par la vue de l'organe génital féminin. Ce manque de quelque chose qui est essentiel
à son narcissisme entraine une terreur de la castration.Pour garantir sa propre intégrité il lui faut trouver
une solution :
- devenir homosexuel ;
- ou se défendre par l'érection d'un fétiche ;
- ou encore surmonter son effroi et entrer dans la dialectique entre les sexes par la castration symbolique
ou il parle de pieds des femmes mec ?
le seul pavé qui existe par contre : il n'est NUL part fait mention des pieds des femmes
https://sectioncliniquenantes.fr/wp-content/uploads/2021/04/14-02_lip-lestien_fetichisme.pdf
Données du topic
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- JeuneDoc
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- 1 avril 2023 à 00:19:44
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- 1 avril 2023 à 01:03:00
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